vendredi 20 septembre 2013

(blog à finir et à corriger)

Bon, les jeux olympiques vont avoir lieu à Tokyo. Alors, mes chers cinq lecteurs, comme, je suis un bon samaritain, je vais conseillers un plat unique japonais aux athlètes étrangers.

(source :

Miso Soup Found to Protect Against Radiation Exposure

Christina Sarich
by
September 11th, 2013
Updated 09/11/2013 at 2:25 am
miso soup 263x164 Miso Soup Found to Protect Against Radiation ExposureResearcher Hiromitsu Watanabe of Hiroshima University has published a startling study in the Journal of Toxicologic Pathology about a simple soup – miso – and how it can protect you from radiation exposure. This savory dish often enjoyed at sushi restaurants, while consumed by Asian cultures for centuries, might just be the answer to recent radiation exposure at Fukushima.
The site of a recent nuclear reactor mishap is still leaking tons of radioactive water into the Pacific Ocean. People in its wake, from Japan to Hawaii, and all the way to California, are still concerned about the true levels of radiation being reported, suspecting that they often underestimated – which they are. In an ironic turn of events, officials fighting the toxic leaks at Fukushima have turned to the US firm that produced plutonium dropped on Nagasaki for advice on a ‘cocooning’ safety process to halt the leaks.
Read: Use Flaxseeds to Protect Against Radiation Exposure
In the meantime, this horrid disaster can be mitigated, at least to some degree, by a simple soup made of a delicious, fermented broth called dashi. Miso soups are made of different things depending on the location in Japan, but most commonly is a mixture of niboshi (dried sardines), kombu (dried kelp), katsuobushi (shaved pieces of bonito or skipjack tuna), a fermented mixture of soybeans with rice, wheat or oats and dried shiitake mushrooms. The soup also contains vitamins, microorganisms, salts, minerals, and plant proteins. In vegetarian versions only the kelp and shiitake form the broth.
Not only does Watanabe’s study point out the efficacy of miso as a treatment of radiation injury, but also as a way to successfully mitigate cancer and hypertension. Misos used in a study with mice, that had the longest fermentation period (180-days), increased survival time significantly. Colon cancers, azoxymethane (AOM)-induced aberrant crypt foci (ACF), breast tumors, gastric tumors, and lung tumors were suppressed with miso treatments. Even though miso is known for high sodium content, blood pressure in the rats was stabilized.
Miso was also studied after the atomic bomb was dropped on Nagasaki, by a physician named Tatuichiro Akizuki. Even though he and 20 other employees were in Nagasaki treating patients with acute tuberculosis, they did not develop radiation disease. He figured out it was because he and his staff consumed large amounts of wakame miso soup. Wakame is a type of seaweed that has also been shown to help reduce radiation damage.
When a Chernobyl-like nuclear power plant accident happened in the Ukraine in 1986, many Europeans consumed miso soup as a preventative measure to guard against radiation disease. It was these historical accounts of miso being an effective radiation therapy which inspired the more recent study."

Vous avez vu, mes chers lecteurs, comme je suis une bonne pâte ?
Ben, oui, je suis comme ça.
Mais, passons, revenons-en à Mosanto.

(source :Global Relay Network)

Monsanto : massacre à la moissonneuse

monsanto1Avec le Monsanto Act, le géant de l’agro-alimentaire américain vient encore de franchir une étape dans la domination mondiale et la monopolisation agricole. Le savoir-faire de centaines de générations de cultivateurs sera demain effacé avec l’aide des gouvernements européens et nord-américains au profit d’un géant vert qui n’a rien d’amical. Chronique d’une inéluctable fin d’un monde : la mort programmée des paysans par une firme qui a sans doute le plus lourd pédigrée en matière de nocivité.
Depuis le 26 mars dernier, l’utilisation des OGM devient juridiquement intouchable aux États-Unis. L’amendement dit « Monsanto protection Act » à la loi américaine ( Plant Protection Act ) précise que « sur simple demande d’un cultivateur, exploitant ou producteur, le ministère de l’agriculture doit accorder une autorisation, ou une dérogation, même si l’autorisation a été précédemment annulée ou invalidée ».
En d’autres termes, cette loi ne permettra plus aux tribunaux américains de s’opposer à la vente ou à la plantation de plantes OGM même si elles n’ont pas été approuvées par la procédure officielle et même si elles font l’objet d’une suspension décrétée par un tribunal.
Monsanto devient en quelque sorte une exception à la règle universelle faisant du pouvoir judiciaire le garant de l’ordre public. En délivrant un chèque en blanc à Monsanto, les autorités étasuniennes jouent avec la santé de dizaines de millions d’Américains et menacent également l’Europe (par l’extension de cette loi à l’UE devenue partenaire des USA), et finalement la planète entière.
Décrire le géant multinational Monsanto peut s’apparenter à déboucher les égouts de l’Histoire récente et pas seulement dans le domaine de l’agro-alimentaire industriel et des pesticides, mais également dans des segments dans lesquels on ne s’attend pas du tout à trouver une société commercialisant des denrées alimentaires. Et la liste des activités nauséabondes paraît interminable…
En 1901, Monsanto a été initialement créée pour produire de la Saccharine vendue pour l’essentiel à une petite société en développement nommée Coca-Cola. Monsanto diversifie ses activités dès 1904 avec la production de caféine et de vanilline.
C’est en 1918 que débute la production d’aspirine : Monsanto en restera le premier producteur étasunien jusque dans les années 1980.
En 1940, Monsanto devient partenaire de l’armée des États-Unis, en effectuant des recherches sur l’uranium dans le cadre du projet Manhattan, qui vise la fabrication de la première bombe atomique. Parallèlement Monsanto crée « l’agent orange », désherbant hyper toxique, que l’armée des États-Unis perçoit comme une arme chimique potentielle. Monsanto développe donc son désherbant à usage militaire, qui sera employé par l’armée américaine lors de la guerre du Vietnam, en particulier entre 1961 et 1971 provoquant aujourd’hui encore de nombreux cancers, malformations congénitales et maladies diverses.
Ensuite on retrouve Monsanto dans ce qui se fait de pire : l’hormone de croissance bovine, les PCB hautement cancérigènes (désormais interdits), les insecticides et herbicides dont le tristement célèbre « Round-up » accusé entre autres d’être la cause de la mort de 60 % des abeilles aux USA, mais aussi en Europe ; ce phénomène particulièrement alarmant remet en cause tout simplement le rôle primordial des abeilles dans l’agriculture.
Via ses filiales, Monsanto est aussi un producteur d’aspartame, (succédané du sucre présent dans quasiment toutes les boissons allégées et dont certaines études vite démenties par les autorités sanitaires tendraient à prouver le caractère cancérigène.
Vous lisez bien ; l’aspartame que l’on retrouve dans vos sucrettes prises avec votre café du matin ou dans le soda « light » de vos enfants a été fabriqué par le même empoisonneur industriel qui a conçu le PCB, l’agent orange, le Round-up ou encore qui a collaboré à des recherches sur l’uranium qui a servi à vitrifier les habitants d’Hiroshima et de Nagasaki.
mons-b1fc4
Le coup le plus réussi de cette firme est sans doute, pour l’instant, la céréale « round up Ready » savant mélange d’une plante génétiquement modifiée pour résister à l’herbicide total « round up « aussi commercialisé par Monsanto qui fait un coup de maître en vendant non seulement le poison mais également son antidote . Toutes les plantes sont détruites par Monsanto, sauf celles commercialisées par Monsanto. Le résultat est le suivant ; le maïs OGM fut suivi par le colza, le soja et même le coton « round up ready » qui dominent actuellement le marché étasunien, mais s’attaquent également aux pays émergents comme l’Inde, gros producteur traditionnel de coton) et l’Argentine, sans compter l’Europe qui devient de plus en liée à l’économie américaine. Aucune région ne semble échapper à la voracité du géant agro-chimique.
Par exemple, suite au tremblement de terre de 2010 à Haïti, Monsanto a annoncé la fourniture à titre gracieux de 475 tonnes de semences OGM aux paysans haïtiens.
Quoi de plus normal effectivement que de profiter d’une catastrophe naturelle de grande ampleur pour tenter de conquérir un marché jusque là basé sur l’agriculture traditionnelle.
Suite à cet élan de bienfaisance suspecte de la part de la compagnie, des milliers de paysans haïtiens ont manifesté contre Monsanto et dénoncé la volonté de la multinationale de détruire l’agriculture paysanne, la biodiversité, et de rendre les paysans locaux dépendants de ses produits.
Monsanto réalise des profits avec le blé et Haïti, comme d’autres, l’ont parfaitement saisi et se sont protégés de ce suicide agricole vers lequel la firme américaine a voulu les pousser.
En France, malgré l’interdiction de la culture à grande échelle des OGM, Monsanto a pourtant réussi à vendre des céréales modifiées par le biais de la nourriture pour le bétail qui n’est pas soumise à la même loi et qui finalement, va se retrouver indirectement dans le métabolisme des consommateurs que nous sommes. Votre santé n’a pas la même saveur qu’un bon bilan à présenter à Wall Street et puis si vous êtes atteint d’un cancer ou d’on ne sait quelle autre maladie, vous irez acheter les produits pharmaceutiques fabriqués par le groupe Monsanto, Bayer and Co., puisque toutes ses sociétés ont différentes adresses mais le même propriétaire Un peu comme le round up ready : on vous a vendu le poison et on vous vendra l’antidote.
Si la situation n’est pas désespérée, elle devient alarmante avec le « Monsanto Act » qui délivre un permis de nuire à l’agriculture traditionnelle et globale. Monsanto, nous l’avons vu, n’est pas issu de la dernière pluie en ce qui concerne la commercialisation de produits qui se sont avérés par la suite très nocifs, voire mortels. Ainsi il n’est pas impossible qu’un un jour cette firme sorte de son chapeau un lapin à huit pattes ou que demain les étalages de nos supermarchés soient remplis d’œufs cubiques pondus par des poules carrées génétiquement modifiées, nous laissant impuissants devant le constat que décidément il y avait quelque chose de pourri au royaume de l’agro-alimentaire. La mort des paysans, comme la disparition des abeilles, préfigurera l’ère du génétiquement manipulé : du précuit, du prémâché, du prédigéré, du précancéreux. Bref, le goût du cadavre dans la bouche.


 Bon, mais, j'en ai marre de tous ce qui détruit votre santé à travers votre environnement, votre alimentation, vos médicaments et tant d'autres choses, c'est la raison pour laquelle, je vous souhaite de vivre vieux.

(source : Futura Santé)

Changer de mode de vie pour inverser le vieillissement cellulaire ?

En adoptant une hygiène de vie saine, on pourrait allonger les télomères, des fragments d’ADN qui protègent les chromosomes et dont le rétrécissement est associé au vieillissement cellulaire. Bonne nouvelle ? Oui, même si l’on ne sait pas encore ce que cette découverte implique réellement pour la santé.

Une alimentation saine, à base de fruits et de légumes, semble l'un des secrets pour vivre plus longtemps, à défaut d'inverser le vieillissement. Une étude parue en début d'année dans la revue Plos One montre que des souris nourries à base d'un régime moins calorique voyaient leurs télomères s'allonger... et mouraient plus tard que les autres. © Jazzijava, Fotopédia, cc by nc nd 2.0
Peut-on inverser le vieillissement ? Une question qui taraude depuis bien longtemps les humains, angoissés par leur finitude. À tel point que de nombreuses équipes de recherche à travers le monde travaillent sur le problème. Pour l’heure, aucune fontaine de jouvence n’a été découverte. Et il est fort probable qu’on ne la trouvera pas de sitôt.
Cependant, les premières étapes de cette vaste quête consistent à caractériser le vieillissement. Ainsi, on l’explique relativement en détail à l’échelle cellulaire. Dans le noyau se trouve l’ADN, code-barre du vivant, compressé et aggloméré sous forme de chromosomes. À l’extrémité de ceux-ci, on remarque de longues séquences répétitives n’ayant aucune fonction directe dans la traduction protéique, appelées télomères.
Il a été constaté qu’au fur et à mesure des divisions cellulaires, ces séquences se raccourcissaient. Si bien qu’à un certain moment, l’ADN se trouvait exposé aux mutations et aux délétions entraînant diverses pathologies, telles que le rhume, mais aussi et surtout le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabète ou des démences. Les télomères jouent donc un rôle protecteur, et leur longueur est un des signes du vieillissement cellulaire. Il a même été montré qu’ils pouvaient être liés à l’espérance de vie.

Des télomères qui gagnent 10 % de leur longueur

Alors, peut-on rallonger ces télomères ? L’université de Californie à San Francisco (UCSF) propose une solution plutôt conventionnelle : opter pour une hygiène de vie saine. Bien qu’il ne faille plus démontrer l’importance d’un régime alimentaire diversifié et limité en graisses ainsi que d’une activité physique régulière pour une bonne santé, l’effet sur l’ADN cellulaire n’avait jusqu’ici pas été montré chez l’humain. Dans The Lancet Oncology, une étude souligne que de telles pratiques sur le long terme se traduisent par un allongement des télomères.
Les télomères, ici schématisés, constituent l'extrémité chromosomique qui ne peut être entièrement dupliquée par l'enzyme chargée de cette fonction. Ceci explique pourquoi peu à peu, ceux-ci ont tendance à se raccourcir avec le temps. Sauf si l’on mène une vie saine.
Les télomères, ici schématisés, constituent l'extrémité chromosomique qui ne peut être entièrement dupliquée par l'enzyme chargée de cette fonction. Ceci explique pourquoi peu à peu, ceux-ci ont tendance à se raccourcir avec le temps. Sauf si l’on mène une vie saine. © Samulili, Wikipédia, cc by sa 3.0
Quelque 35 hommes sexagénaires et touchés par un cancer de la prostate ont été classés en deux groupes. Dix d’entre eux devaient faire attention à leur mode de vie : au moins 30 minutes de marche six jours par semaine, une alimentation surveillée et riche en fruits et légumes, en plus d’une heure quotidienne de lutte contre le stress par des techniques de yoga et de relaxation. Le tout cumulé à un suivi social et médical important. Les 25 restants n’étaient pas soumis à cette rigueur.
Évidemment, les télomères ont été mesurés avant le début de cette étude, et comparés après cinq ans d’un tel mode de vie, dans des globules blancs. Chez l’échantillon témoin, sans surprise, les séquences protectrices des chromosomes étaient en moyenne 3 % plus courtes. À l’inverse, les hommes ayant changé d’hygiène de vie ont vu leurs télomères gagner 10 % de leur longueur. L’effet était d’autant plus important que le régime était suivi drastiquement. Une inversion du vieillissement cellulaire ?

L’hygiène de vie modifie les cellules en profondeur

Il est encore trop tôt pour tirer des conclusions, de l’aveu même de Dean Ornish, l'un des auteurs. D’abord parce qu’il faut répliquer cette étude sur un échantillon bien plus important et plus représentatif, pour vérifier la généralisation de cette découverte. Ensuite, on ignore encore précisément les effets d’un allongement des télomères chez l’Homme. Même si dans ce cadre, on a toutes les raisons de penser qu’il est bénéfique, puisqu’associé à des pratiques saines permettant de lutter contre des maladies. 
Pour l’instant, on peut juste supposer que l’activité physique conjuguée à une alimentation équilibrée rallonge l’espérance de vie. Ce qui n’a absolument rien de révolutionnaire. Mais désormais, on observe les changements à l’échelle cellulaire.
Bien que ces hommes aient tous été atteints d’un cancer, les chercheurs pensent que de tels résultats seraient extrapolables à l’ensemble de la population s’ils venaient à se confirmer. Cependant, difficile de croire qu’un maintien permanent d’une bonne hygiène de vie nous permettrait de préserver éternellement notre jeunesse, voire d’imaginer un retour en arrière à l’image de Benjamin Button, personnage fictif dans le film retraçant son étrange histoire. La route est encore longue."

Et pour en arriver là, il faut peut-être en passer par là.

(source : Expovaccins.over.blog.com)

Le mouvement populaire affirmant le droit des individus à  refuser les vaccins gagne du terrain aux Etats-Unis.
 
Par Ethan Huff, 18 septembre 2013
 
Haut-parleur.jpg
 
Que leurs gouvernements respectifs le reconnaissent ou non, chaque être humain sur la planète possède le droit fondamental de choisir son ou ses soins médicaux, y compris de se faire ou non vacciner.
 
Un mouvement de la base populaire américaine connu sous le nom d’American Rally for Personal Rights (ARPR) milite pour que, partout dans le monde, les gens puissent connaître leurs propres droits, surtout en ce qui concerne les vaccinations.
 
Lors du meeting inaugural qui a eu lieu en 2010 dans le Grand Parc de Chicago, l’ARPR a invité des conférenciers des milieux universitaires, militaire, de la Santé Publique, des affaires, du gouvernement, de la médecine et des milieux juridiques pour partager leurs perspectives sur le problème des vaccinations. Le but ultime de ces discours n’était nullement de décrier les vaccins -  L’ARPR défend le droit au choix en matière de vaccination et n’est pas un mouvement anti-vaccins. . L’ARPR a comme objectif principal de mettre en lumière toute la vérité sur les vaccins et la politique de vaccinations, points qui ne sont pratiquement jamais abordés dans les principaux médias.
 
Les vaccins peuvent provoquer des handicaps et même tuer – aujourd’hui, tout le monde devrait le savoir !
 
«  C’est un fait scientifique incontestable que les vaccins dans leur état actuel de développement peuvent tuer et handicaper certaines personnes vulnérables qu’il n’est actuellement pas possible d’identifier à l’avance. » a expliqué le Professeur Mary Holland, J.D. de la Faculté de Droit de l’Université de New York.
 
« Selon la Loi Américaine, les vaccins sont, aujourd’hui, effectivement considérés comme étant inévitablement dangereux. »
 
Le Pr. Mary Holland a poursuivi en soulignant que le consentement libre et éclairé qui a pendant longtemps été le fondement de la civilisation américaine, est essentiel en matière de vaccinations. Le Professeur a également dénoncé avec véhémence la pratique utilitariste et immorale qui consiste à  forcer les gens à se faire vacciner pour « protéger la majorité tout en sacrifiant ceux qui ne sont pas informés ou qui ne sont pas spécialement conscients du problème. » Ces dispositions empêchent des enfants de fréquenter l’école et font perdre à certains adultes leur emploi.
 
Vidéo du discours du Pr. Mary Holland J.D. :
 
 
Les vaccins n’améliorent pas la santé des enfants – il suffit de regarder les données
 
Mais  il y a plus à dire sur l’histoire des vaccins, y compris le fait souvent ignoré que les enfants sont de plus en plus malades et toujours plus frappés par les maladies chroniques. Judy Converse, M.P.H., R.D., L.D., déclare qu’il existe une forte corrélation entre le calendrier vaccinal en pleine expansion et ces problèmes de maladie que le système médical conventionnel continue de vouloir ignorer.
 
Judy explique : «  les enfants américains sont plus que jamais atteints de maladies chroniques ou handicapés. » - « Ils sont davantage susceptibles de mourir que les bébés de plus de 40 autres pays. Aujourd’hui, les enfants aux Etats-Unis souffrent beaucoup plus souvent d’asthme, de diabète, d’autisme, de la maladie de Crohn, d’épilepsie, d’allergies alimentaires graves, d’obésité, de troubles de l’apprentissage, du comportement, voire de troubles suicidaires par rapport aux enfants des années 1980 quand le nombre des vaccins administrés était nettement moins élevé. Peut-on vraiment croire qu’il s’agisse de troubles génétiques qui apparaissent soudainement et que l’on n’aurait pu identifier précédemment ?
 
Vidéo sur l’intervention de Judy :
 
 
Les militaires américains ne disposent d’aucune liberté de choix en matière de vaccinations
                                                                                                                                         Il y a en plus cet élément pénible de contrainte où les militaires sont finalement condamnés à devenir les cobayes des vaccins, et sont susceptibles d’être dégradés ou même  emprisonnés.
Le capitaine Richard Rovet, pensionné de la Force Aérienne raconte une histoire qui fait réfléchir sur la façon dont le vaccin expérimental contre l’anthrax, dont les horribles symptômes  ont été regroupés dans la catégorie du syndrome de la guerre du Golfe, a été contraint de se faire vacciner, alors que les adjuvants expérimentaux qui, en son temps, faisaient partie du vaccin, ont disparu des vaccins destinés aux civils.
 
Le capitaine Rovet raconte : « A jamais sera gravée dans ma mémoire l’histoire de cette jeune-fille afro-américaine qui, pendant qu’on la maintenait, pleurait et criait alors qu’on la vaccinait de force contre l’anthrax. »   « Je me rappellerai toujours, avec la plus grande tristesse, du cas de mon cher ami, Clarence Glover, qui est mort après la vaccination contre l’anthrax. Je ne pourrai non plus jamais oublier ceux dont la peau a littéralement brûlé à la suite du syndrome de Stevens-Johnson, ou les enfants que j’ai soignés et qui souffraient de graves malformations congénitales suite à la vaccination contre l’anthrax. »
 
Vidéo du discours du capitaine Rovet :
 
 
Les politiques de vaccinations obligatoires doivent absolument être abolies.
 
Une liste complète de tous les discours prononcés lors du Rallye de l’ARPR en 2010 est disponible au lien qui suit. On vous recommande fortement de regarder ces vidéos pour vous faire une meilleure idée du véritable débat sur le problème des vaccins et pour que chacun comprenne et affirme son droit de choisir quand il s’agit de vaccinations.
 
 
Vous pouvez également en apprendre davantage sur le travail de l’ARPR sur le lien suivant :
 
http://americanpersonalrights.c
vv

Aucun commentaire: