Salut aux banques qui nous "enculent" et qui "enculent" l'état. Il paraît que vous payer trop d'impôt alors que vous manipulez vos bilans et planquez vos bénéfices frauduleux dans les paradis fiscaux !
Toujours sympathiques les arabes du golfe, mes chers cinq lecteurs.
(source : wikistrike)
Des "esclaves" népalais morts au Qatar sur les chantiers de la Coupe du monde
Au moins 44 ouvriers népalais employés sur des chantiers de construction des sites de la Coupe du monde 2022 au Qatar sont morts entre le 4 juin et le 8 août. Jeunes pour la plupart, ils ont été victimes d'attaques et insuffisances cardiaques ainsi que d'accidents sur leur lieu de travail. D'après le journal britannique The Guardian, tous exerçaient dans des conditions d'exploitation qui s'apparentent à de l'esclavage moderne.
L'émirat affiche la part de travailleurs migrants rapportée à sa population la plus importante au monde. Plus de 90 % de la main-d'œuvre est composée d'immigrés et, d'après le Guardian, "1,5 million d'ouvriers supplémentaires doivent être recrutés pour construire les stades, les routes, les ports et les hôtels nécessaires au bon déroulement du tournoi" de football. Les Népalais comptent pour 40 % d'entre eux et plus de 100 000 se sont rendus au Qatar l'an passé.
UNE "PRISON À CIEL OUVERT"
Le voyage depuis le plateau himalayen jusqu'aux déserts de la péninsule arabique coûte une fortune aux migrants, obligés de s'endetter pour payer les agences qui prennent en charge leur transfert. Sur place, ils sont souvent payés avec plusieurs mois de retard et leurs salaires retenus pour les empêcher defuir. Certains ont vu leurs passeport ou pièces d'identité confisqués. D'autres été privés de nourriture pendant 24 heures ou d'eau en plein désert, contraints de dormir à 12 dans des dortoirs insalubres... Une forme d'exploitation qui relève du travail forcé, selon les normes internationales.
D'après l'ambassadeur népalais à Doha, le Qatar est une "prison à ciel ouvert". Une trentaine d'ouvriers ont trouvé refuge dans la représentation diplomatique.
Le Comité suprême Qatar 2022, structure chargée de préparer la Coupe du monde, s'est dit "profondément concerné par ces allégations visant certains prestataires et sous-traitants du site de construction de Lusail City et considère la question avec le plus grand sérieux". Les autorités, assure-t-on, ont lancé une enquête.
Eh, oui, ces quataris qui prétendent aider le gouvernement français et qui financent les djihadistes syriens qui brûlent les villages chrétiens et qui sont désormais majoritaires au niveau de la rébellion ont un état terroristes. Sauf, que, l'argent n'a pas d'odeur, n'est-ce pas monsieur le président Hollande ?
Mais, passons, car, il y a plus grave comme question, les vaccins que l'on cherche à nous obliger à faire inoculer à nos enfants. Cela, c'est vraiment grave.
En fait, ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui sont derrière l'OMS et l'UNICEF qu'il faudrait connaître, car, personnellement, je considère les campagnes de vaccination comme des armes de destruction massive.
Alors, connaitre ces laboratoires nous permettra de croiser les informations et comprendre pourquoi ces labos injectent autant de saloperies dans les vaccins.
Soit pour se créer une clientèle captive.
Soit dans d'autres intentions cachées.
(source : Exposvaccins.over-blog.com)
Une histoire de fric, vous croyez mes chers lecteurs ?
Mais, si, ce n'est qu'une histoire de fric pour les laboratoires pharmaceutiques ressentent le besoin de rajouter des saloperies d'adjuvants à leur vaccins ?
Ne serait-ce pas plutôt une histoire comme les chemtrails ?
On dit que c'est pour aider l'humanité et on s'arrange pour la pourrir un peu plus ?
Mais, passons à nouveau, parce qu'en France les banques sont des pauvres victimes.
(source : Marianne)
Alors, que devrait dire la classe moyenne français que les sociaux libéraux de Hollande continuent de laminer, continuant en cela le travail de sape commencé par Lionel Jospin et dominique strauss kahn, l'un premier ministre de Chirac et l'autre ministre de l'économie de l'époque.
Comme cela en France, comme cela se passe aux States, il ne restera plus que les pauvres et les riches.
Mais, passons encore et faites gaffe à vos enfants mes chers lecteurs.
(source :
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Toujours sympathiques les arabes du golfe, mes chers cinq lecteurs.
(source : wikistrike)
Des "esclaves" népalais morts au Qatar sur les chantiers de la Coupe du monde
Au moins 44 ouvriers népalais employés sur des chantiers de construction des sites de la Coupe du monde 2022 au Qatar sont morts entre le 4 juin et le 8 août. Jeunes pour la plupart, ils ont été victimes d'attaques et insuffisances cardiaques ainsi que d'accidents sur leur lieu de travail. D'après le journal britannique The Guardian, tous exerçaient dans des conditions d'exploitation qui s'apparentent à de l'esclavage moderne.
L'émirat affiche la part de travailleurs migrants rapportée à sa population la plus importante au monde. Plus de 90 % de la main-d'œuvre est composée d'immigrés et, d'après le Guardian, "1,5 million d'ouvriers supplémentaires doivent être recrutés pour construire les stades, les routes, les ports et les hôtels nécessaires au bon déroulement du tournoi" de football. Les Népalais comptent pour 40 % d'entre eux et plus de 100 000 se sont rendus au Qatar l'an passé.
UNE "PRISON À CIEL OUVERT"
Le voyage depuis le plateau himalayen jusqu'aux déserts de la péninsule arabique coûte une fortune aux migrants, obligés de s'endetter pour payer les agences qui prennent en charge leur transfert. Sur place, ils sont souvent payés avec plusieurs mois de retard et leurs salaires retenus pour les empêcher defuir. Certains ont vu leurs passeport ou pièces d'identité confisqués. D'autres été privés de nourriture pendant 24 heures ou d'eau en plein désert, contraints de dormir à 12 dans des dortoirs insalubres... Une forme d'exploitation qui relève du travail forcé, selon les normes internationales.
D'après l'ambassadeur népalais à Doha, le Qatar est une "prison à ciel ouvert". Une trentaine d'ouvriers ont trouvé refuge dans la représentation diplomatique.
Le Comité suprême Qatar 2022, structure chargée de préparer la Coupe du monde, s'est dit "profondément concerné par ces allégations visant certains prestataires et sous-traitants du site de construction de Lusail City et considère la question avec le plus grand sérieux". Les autorités, assure-t-on, ont lancé une enquête.
Eh, oui, ces quataris qui prétendent aider le gouvernement français et qui financent les djihadistes syriens qui brûlent les villages chrétiens et qui sont désormais majoritaires au niveau de la rébellion ont un état terroristes. Sauf, que, l'argent n'a pas d'odeur, n'est-ce pas monsieur le président Hollande ?
Mais, passons, car, il y a plus grave comme question, les vaccins que l'on cherche à nous obliger à faire inoculer à nos enfants. Cela, c'est vraiment grave.
En fait, ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui sont derrière l'OMS et l'UNICEF qu'il faudrait connaître, car, personnellement, je considère les campagnes de vaccination comme des armes de destruction massive.
Alors, connaitre ces laboratoires nous permettra de croiser les informations et comprendre pourquoi ces labos injectent autant de saloperies dans les vaccins.
Soit pour se créer une clientèle captive.
Soit dans d'autres intentions cachées.
(source : Exposvaccins.over-blog.com)
Mardi 24 septembre 2013
Le Dr Sherri TENPENNY répond à l’UNICEF
Journaliste : Dr Tenpenny,
que diriez-vous si l’UNICEF vous demandait pourquoi certains parents refusent les vaccinations ?
Dr Tenpenny : Ce que l’UNICEF
a publié est tout simplement étonnant. Ce qu’ils disent sous-entend que le CDC, l’OMS, l’UNICEF, toutes ces organisations
aux Etats-Unis et dans le
monde qui veulent promouvoir les vaccinations sont les seules
personnes intelligentes, les seules qui savent lire. Tout ce qui vient
de ces organisations, y compris la propagande est tout
simplement La Vérité. Nous avons tout juste le droit de nous taire,
d’écouter ce qu’ils disent et de nous contenter d’obéir.
Selon
moi, la véritable raison pour laquelle des parents refusent les
vaccinations, c’est parce qu’ils ont fait des choses toutes
simples, comme se donner la peine de lire les notices des vaccins,
et qu’ils ont découvert que les produits que l’on voudrait injecter à
leurs enfants ne leur conviennent pas du
tout.
J’ai
personnellement publié plus de 5.000 articles sur les vaccinations, et
dont l’information ne fait qu’émaner de documents
scientifiques et médicaux, d’articles de journaux médicaux revus par
les pairs. De plus en plus de parents se décident à lire et à se
renseigner, et c’est tout juste s’il existe encore des
familles où il n’y a pas, au moins, un enfant dont la santé a été
endommagée par les vaccins. Ce qui frappe le plus les parents, c’est
évidemment les cas possibles d’autisme.
C’est en découvrant les chiffres de l’autisme que de plus en plus de parents commencent à se réveiller et à se demander pourquoi
ils auraient besoin de tous ces vaccins et pourquoi il faut les injecter à de si jeunes enfants.
Cas d’autisme aux USA (général) 1 sur 50
Cas d’autisme chez les NON vaccinés 1 sur 25.000
Journaliste : Comment
répondriez-vous aux inquiétudes les plus importantes de l’UNICEF par rapport aux parents qui refusent les vaccinations ?
Dr Sherri Tenpenny : Les
plus
grandes inquiétudes de l’UNICEF ont trait aux théories
conspirationnistes, aux exemptions religieuses, à l’opinion des gens qui
estiment que leur corps n’est nullement destiné à recevoir des injections obligatoires de produits chimiques.
L’UNICEF semble ignorer complètement le fait
que les vaccins peuvent provoquer des
dommages, que ces vaccins n’ont pas été suffisamment testés,
qu’aucune étude sérieuse n’a pu comparer des enfants vaccinés à des
enfants non vaccinés.
Les
parents qui ne veulent pas vacciner leurs enfants savent pertinemment
que les vaccins peuvent causer des problèmes, et nous
savons très bien que c’est effectivement le cas, et la meilleure
preuve est que le gouvernement Américain a déjà payé plus de 2 milliards
de dollars en dédommagement aux victimes des
vaccinations, alors que seuls 25% des dossiers de plaintes sont pris
en considération. Les gens de l’UNICEF ignoreraient-ils donc
complètement le revers de la médaille ?
Journaliste : Quelle a été
votre réaction quand le rapport de l’UNICEF a été publié et que vous y avez vu votre nom ?
Dr Sherri Tenpenny : ma
toute
première réaction a été celle-ci : Si ces personnes voulaient
vraiment parler de moi, elles auraient bien fait d’apprendre à écrire
mon nom correctement !Par rapport à ma deuxième réaction, je dois dire que je suis très heureuse d’avoir consacré un temps énorme de ma vie à ce grave problème. J’ai investi 18.000 heures de ma vie pour cette recherche qui a duré 13 ans. Sur Facebook, j’ai 48.000 fans et chaque mois je découvre un nouveau millier d’amis.
Je
suis très heureuse de m’être pareillement investie dans ce travail de
recherche parce qu’il permet aujourd’hui à pas mal de
monde de se rendre compte qu’il existe un revers de la médaille ; il
permet aussi aux gens de réaliser qu’ils n’ont pas besoin de suivre
aveuglément la propagande, qu’ils peuvent lire, se
documenter, apprendre par eux-mêmes.
Journaliste : Est-ce que ce
sont tous vos efforts qui auraient finalement poussé l’UNICEF à publier ce rapport ?
Dr Sherri Tenpenny : Je
pense
que c’est en partie vrai. Les pro-vaccins commencent en fait à
s’inquiéter parce que nous ne voulons plus que nos enfants soient en
quelque sorte les réceptacles de leurs produits. Ils sont
inquiets par rapport au fait que de plus en plus de parents
n’hésitent plus à dire NON.
Je
sais depuis longtemps que les vaccins jouent un rôle-clé pour
l’industrie pharmaceutique. Parmi les enfants qui se feront
vacciner, un certain nombre présentera des problèmes de santé ; ils
feront de l’asthme, des allergies, de l’eczéma, ils souffriront de
déficit de l’attention, de problèmes d’apprentissage,
de crises d’épilepsie, de cancers, de diabète autant de problèmes
parfaitement décrits dans la littérature médicale officielle. Depuis
longtemps, je sais que les vaccinations favorisent les
ventes de médicaments ; je sais que certains pro-vaccins savent que
les vaccins favorisent des maladies comme le recours à des médicaments.
Journaliste : comment vos
collègues réagissent-ils ? Discutez-vous de la chose avec eux ?
Dr Sherri Tenpenny : j’en
ai
discuté avec quelques-uns qui pensent exactement la même chose que
moi. Ils pensent aussi que nous aidons les gens à ouvrir les yeux. De
plus en plus de gens veulent pouvoir choisir ; ils
veulent aussi savoir ce qu’on va injecter dans leur corps. De plus
en plus de parents savent qu’il y a beaucoup trop de vaccins, qu’ils
sont administrés beaucoup trop tôt et qu’ils peuvent causer
des dégâts.
Il y
a beaucoup d’enfants, des millions d’enfants qui ne sont pas vaccinés.
Sur ma page Facebook, des parents m’écrivent souvent
pour me dire que « nos enfants n’ont reçu aucun vaccin et ils se
portent à merveille », « ils n’attrapent même pas de rhume ». Certains
parents ajoutent : « je ne
m’occupe pas de ces maladies que les vaccins prétendent éviter parce
que je sais ce qu’il faut faire pour maintenir mes enfants en bonne
santé. »
Tout
ce que je poste au sujet des vaccinations sur Facebook, n’a rien à voir
avec une quelconque « opinion ». Toute
l’information provient d’articles médicaux revus par les pairs. Tout
un chacun à la possibilité de les consulter personnellement. Grâce
aux moyens modernes de communication, des gens du monde entier peuvent
avoir accès à l’information. Je sais que mes pages ont été lues par
environ 13 millions de
personnes de par le monde.
Journaliste : Que
pourriez-vous trouver de positif dans ce rapport de l’UNICEF ?
La chose la plus positive que j’ai pu retirer de ce rapport, c’est que j’ai pu me rendre compte des techniques que ces gens
utilisent pour susciter la
peur. Nous pourrions même les imiter en demandant aux gens de participer
à des forums pour pouvoir faire connaître à tous
l’autre face de la médaille. Cela pourrait aussi encourager tous
ceux qui veulent absolument faire toute la lumière sur ce grave
problème.
Il est clair que la vérité finira par l’emporter.
C’est
un fait que le thème des vaccins a fait débat depuis le début. Si vous
consultez des livres d’histoire, vous pourrez vous
rendre compte qu’il y a toujours eu des gens pour dénoncer les
méfaits des vaccins. Depuis 1860, des parents ont commencé à
s’apercevoir de ce qui se passait en fait, et n’hésitaient pas à
déclarer qu’ils ne voulaient pas de ces pratiques pour leurs
enfants. Ils savaient qu’il y avait d’autres moyens de se maintenir en
bonne santé : bonne alimentation, eau pure, amour de la
famille. La santé est un phénomène intérieur ; elle ne peut sortir
d’une aiguille !
Journaliste : qu’est-ce qui
vous a le plus surprise dans ce rapport ?
Je
n’ai rien trouvé de surprenant. Par contre, ce que j’y ai trouvé est
très troublant : de grandes organisations comme
l’UNICEF, le CDC, l’OMS continuent à publier des documents, à
scruter les médias pour trouver les moyens de contrer le mouvement
social actuel, car ils veulent enlever aux parents le droit de
pouvoir choisir, de déchiffrer l’information pour pouvoir, par
eux-mêmes, prendre les meilleures décisions.
Les parents veulent la santé pour leurs enfants.
Quand on vaccine, il est impossible de revenir en arrière, de retirer ce qui a été injecté dans le corps.
Je
pense que dans le futur, dans 50, dans 100 ans quand des anthropologues
se pencheront sur notre époque, sur nos pratiques
médicales, et quand ils se rendront compte de ce que nous avons
fait : injecter des métaux lourds, de l’ADN animal, de l’ADN humain, des
produits chimiques, des cellules de fœtus avortés à
de petits enfants pour soi-disant les maintenir en bonne santé, je
pense que ces anthropologues envisageront ces pratiques comme nous
envisageons aujourd’hui la saignée, le forage de trous dans
le crane pour en expulser le mal !
Je pense que ces anthropologues regarderont nos pratiques vaccinales comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité,
tout en faisant croire aux parents que la vaccination était nécessaire pour maintenir leurs enfants en bonne santé ?
VOIR la
vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=iy6hdrOvnX8
L’UNICEF surveille, diffame des sites consacrés à la santé et qui traitent
du problème des vaccins : http://www.initiativecitoyenne.be/article-l-unicef-petoche-et-surveille-le-sentiment-anti-vaccins-sur-les-sites-internet-et-dans-les-medias-119801779.htm
Une histoire de fric, vous croyez mes chers lecteurs ?
Mais, si, ce n'est qu'une histoire de fric pour les laboratoires pharmaceutiques ressentent le besoin de rajouter des saloperies d'adjuvants à leur vaccins ?
Ne serait-ce pas plutôt une histoire comme les chemtrails ?
On dit que c'est pour aider l'humanité et on s'arrange pour la pourrir un peu plus ?
Mais, passons à nouveau, parce qu'en France les banques sont des pauvres victimes.
(source : Marianne)
Foutage de gueule : les banques écrasées par le fisc
Jeudi 19 Septembre 2013 à 05:00 | Lu 17014 fois I 26 commentaire(s)
Plus c‘est gros plus cela passe. A quelques jours de l’examen de
la loi de finances pour 2014, les lobbies sont de sortie. Et celui des
banques, l’un des plus influents, vient de réussir un gros coup en
s’offrant la une du Monde Eco&Entreprise : « Le ras-le-bol fiscal des grandes banques françaises ».
Au centre de l’argumentaire, le rapport du Conseil des prélèvements obligatoire (CPO) de janvier dernier, intitulé « la pression fiscale dans le secteur financier » d’où sont extraits les fameux 8 milliards supplémentaires qui leur seraient demandés.
Au centre de l’argumentaire, le rapport du Conseil des prélèvements obligatoire (CPO) de janvier dernier, intitulé « la pression fiscale dans le secteur financier » d’où sont extraits les fameux 8 milliards supplémentaires qui leur seraient demandés.
Eric Dussoubs, directeur adjoint de la banque HSBC.
Mais ils pourraient carrément mal le prendre en apprenant que non
seulement ce chiffre de 8 milliards est faux mais surtout qu'Eric
Dussoubs l’auteur du rapport public a depuis été particulièrement
remercié puisqu’il a quitté la Cour des comptes pour prendre le poste de
directeur adjoint de la banque HSBC. Les ménages qui savent déjà que la
« pause fiscale » ne les concerne pas avant 2014, voir 2015 comme l’a
rectifié le Premier ministre apprécieront.
Lors de la sortie du rapport, Marianne avait relaté les bisbilles au sein du CPO sur le chiffrage délirant de 8 milliards d’euros de prélèvement supplémentaires pesant sur les banques « Pour mieux masquer la faiblesse des hausses de prélèvements ciblant les banques, le CPO met dans le même sac les banques et les assurances. Résultat : sur les 7,35 milliards d'augmentation qu’évoque le rapport, la moitié provient de la taxation sur les mutuelles de santé ! », avait tonné dans nos colonnes le chercheur à l’Office français des conjonctures économiques, Henri Sterdyniak, qui siège au CPO. Bref, si la finance paye, ce sont bien les mutuelles qui sont mises à contribution (donc nos futures cotisations) quand les banques elles payent peanuts.
L’homme avait failli s’étouffer de rage lors de la présentation du rapport : « C’est un mauvais travail. Il y a au mieux un biais théorique, au pire une partialité idéologique. » Le son de cloche est peu ou prou le même du côté de deux universitaires qui ont planché pour le compte du CPO, et dont le travail a été publié en annexe du fameux rapport. Jézabel Couppey Soubeyran et Gunther Capelle-Blancard ont eux calculé le taux d’imposition réel des banques françaises.
Et leur résultat est détonnant : entre 2002 et 2009 (dernière année pour avoir des comparaisons internationales), nos banques commerciales, c’est à dire BNP Paribas et la Société Générale se sont acquittées d'un impôt sur leurs bénéfices de… 8% ! Sur la même période, les établissements financiers allemands ont, eux, craché un impôt de plus de 50%, les américains et les anglais de plus de 30%, les danois et les italiens de plus de 25%. C’est bien simple : seule l’Autriche, qui taxe ses banques à 10%, a fait pire que nous dans l’OCDE... Là bas, la faible imposition de la finance est quasiment une tradition nationale puisqu'entre 1988-1994, elle n'était que de 13 %. Or, la France à cette même époque, avait un taux de 35 %. On voit que le ras-le-bol fiscal des banques est tout relatife."
Lors de la sortie du rapport, Marianne avait relaté les bisbilles au sein du CPO sur le chiffrage délirant de 8 milliards d’euros de prélèvement supplémentaires pesant sur les banques « Pour mieux masquer la faiblesse des hausses de prélèvements ciblant les banques, le CPO met dans le même sac les banques et les assurances. Résultat : sur les 7,35 milliards d'augmentation qu’évoque le rapport, la moitié provient de la taxation sur les mutuelles de santé ! », avait tonné dans nos colonnes le chercheur à l’Office français des conjonctures économiques, Henri Sterdyniak, qui siège au CPO. Bref, si la finance paye, ce sont bien les mutuelles qui sont mises à contribution (donc nos futures cotisations) quand les banques elles payent peanuts.
L’homme avait failli s’étouffer de rage lors de la présentation du rapport : « C’est un mauvais travail. Il y a au mieux un biais théorique, au pire une partialité idéologique. » Le son de cloche est peu ou prou le même du côté de deux universitaires qui ont planché pour le compte du CPO, et dont le travail a été publié en annexe du fameux rapport. Jézabel Couppey Soubeyran et Gunther Capelle-Blancard ont eux calculé le taux d’imposition réel des banques françaises.
Et leur résultat est détonnant : entre 2002 et 2009 (dernière année pour avoir des comparaisons internationales), nos banques commerciales, c’est à dire BNP Paribas et la Société Générale se sont acquittées d'un impôt sur leurs bénéfices de… 8% ! Sur la même période, les établissements financiers allemands ont, eux, craché un impôt de plus de 50%, les américains et les anglais de plus de 30%, les danois et les italiens de plus de 25%. C’est bien simple : seule l’Autriche, qui taxe ses banques à 10%, a fait pire que nous dans l’OCDE... Là bas, la faible imposition de la finance est quasiment une tradition nationale puisqu'entre 1988-1994, elle n'était que de 13 %. Or, la France à cette même époque, avait un taux de 35 %. On voit que le ras-le-bol fiscal des banques est tout relatife."
Alors, que devrait dire la classe moyenne français que les sociaux libéraux de Hollande continuent de laminer, continuant en cela le travail de sape commencé par Lionel Jospin et dominique strauss kahn, l'un premier ministre de Chirac et l'autre ministre de l'économie de l'époque.
Comme cela en France, comme cela se passe aux States, il ne restera plus que les pauvres et les riches.
Mais, passons encore et faites gaffe à vos enfants mes chers lecteurs.
(source :
Une étude révèle que vos enfants sont des pervers narcissiques manipulateurs
Vivre à leur contact peut
devenir un véritable enfer. La sociologue Diane Kraft, spécialiste du
comportement chez l’enfant publie une étude qui démontre les liens évidents entre nos chères têtes blondes et les pervers narcissiques et manipulateurs.
Un don pour la comédie et la séduction
Anne vit seule avec ses deux
enfants, Théo et Clara, âgés de huit et trois ans qui, selon elle,
excellent dans l’art du mensonge. « Souvent, je les appelle
affectueusement mes petits anges ou mes petits monstres, ils m’en font
voir de toutes les couleurs. C’est très dur de suivre leurs changements
d’humeur. Si je les contrarie, ils peuvent passer de la tristesse à la colère en quelques secondes, et redevenir très séducteurs dans la foulée pour mieux me tromper » raconte la jeune femme.
Outre cette tendance à la
manipulation mentale, Diane Kraft dresse une liste non exhaustive de
critères permettant de qualifier son enfant de pervers narcissique
manipulateur. « Si ses changements d’humeur vous maintiennent dans un état de stress permanent,
si vous ne vous sentez pas libre depuis qu’il est entré dans votre vie,
si vous ne pouvez vous empêcher de parler sans cesse de lui en son
absence, alors votre enfant est probablement un manipulateur ».
La spirale de l’attachement
A ces phases de séduction se
superposent plusieurs phases de culpabilisation qui visent à asseoir le
sentiment de toute puissance de l’enfant. « J’ai l’impression d’être la source de tous leurs maux » raconte Anne en tentant de calmer la petite Clara qui s’agite sur ses genoux. « Je ne comprends pas, je fais tout pour eux et je ne récolte que des reproches ».
Diane Kraft explique que nous
sommes devant un cas typique de perversion narcissique où la victime
devient complice involontaire de son bourreau. Selon la sociologue , il
n’y a qu’une seule alternative possible pour rompre cette spirale de l’attachement entre l’enfant et sa victime : « Nous
avons tous été pervers narcissiques dans notre enfance, le seul moyen
d’éviter de voir se reproduire ce schéma est de nous empêcher de céder
au désir irrationnel de faire des enfants ».
La Rédaction
Illustration: Istock / shironosov
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.
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