Salut à tous ceux qui ne croient pas le président français lorsqu'il parle de la Syrie. Il nous ment !
Pour sûr, mes chers cinq lecteurs, contrairement, à ce que disais le général De Gaulle, les français ne sont pas des veaux. La preuve, ils se défendent.
(source : Aldeah)
Pour sûr, mes chers cinq lecteurs, contrairement, à ce que disais le général De Gaulle, les français ne sont pas des veaux. La preuve, ils se défendent.
(source : Aldeah)
ALERTE : Occupation de la plateforme pétrolière de Hess Oil à
Jouarre
dim,
22/09/2013 - 06:53 — (A)nonyme !
Occupation de la
plateforme pétrolière de Hess Oil à Jouarre
Des dindons prennent le
beffroi
Mises en jour de la
situation en continu (photos à venir) : http://www.aldeah.org/fr/stop-forages-schiste
21/09/2013.
Depuis 06h53 ce matin, 30 personnes du collectif des Dindons de la
farce occupent la plateforme pétrolière de la Petite Brosse à
Jouarre (Seine-et-Marne). Nous avons escaladé la tour de forage, nous y sommes
enchaînés, avons déployé des banderoles et entendons y rester. Par cette action
résolue, nous souhaitons attirer l’attention du public et des médias sur la
farce qui se déroule sous nos yeux et dont nous refusons d’être les dindons.
La plateforme
occupée est celle de la compagnie états-unienne HESS Oil, l’entreprise qui
cette dernière année a réalisé plusieurs forages préparatoires sur des permis
de recherche d’hydrocarbures officiellement déclarés comme portant sur l’huile
de schiste[1].
Il est de notoriété publique que l’huile de schiste est impossible à extraire
sans recourir à une fracturation et qu’aujourd’hui seule la technique de
fracturation hydraulique présente les conditions de rentabilité jugées
satisfaisantes par les pétroliers.
Pourquoi
HESS Oil avance dans ses travaux alors qu’une loi (Loi n° 2011-835 du 13
juillet 2011 ) lui interdit de passer à l’acte ? Pourquoi
cherche-t-elle des hydrocarbures qu’elle ne pourrait pas exploiter ?
Difficile d’imaginer qu’un industriel entreprenne ces opérations coûteuses (12
millions d’euros par forage, soit plusieurs dizaines de millions d’euros par
permis) sans attendre un possible retour sur investissement. Alors,
pourquoi ? Spéculation? Ou bien les dirigeants d’HESS Oil sont-ils
si sûrs que l’interdiction sera levée comme le laisse craindre la Question
Prioritaire de Constitutionnalité déposée par la compagnie texane Schuepbach
qui cherche à invalider la loi du 13 juillet (la décision du Conseil
Constitutionnel sera rendue début octobre) ? Espèrent-ils, aussi, qu’à
force de lobbying, un miracle ne rende les dangers de la fracturation
hydraulique « socialement acceptables » jusqu’à ce que les dégâts,
irréversibles, ne commencent à apparaître?
Les sites forés
sont prêts pour la suite des opérations. Après en avoir terminé avec Jouarre,
la foreuse HH300 de la COFOR (filiale de Vinci), utilisée par HESS Oil et
conçue pour forer dans les schistes, partira sur une autre plateforme,
probablement celle de Fonteney-de-Bossery (10 Aube), site qui offre une vue
plongeante sur la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, à moins de 110 km de
Paris, en bord de Seine.
Alors cette
foreuse, pour l’instant, nous la gardons. Pour mettre en lumière la farce en
cours. Pour rappeler au Président Hollande - qui déclarait qu’il n’y aurait pas
d’exploration d’hydrocarbures non conventionnels en France – de tenir sa
parole. Pour que la Conférence environnementale en cours ne soit pas un nouveau
catalogue d’intentions. Pour exiger la fin des forages exploratoires visant le
gaz et le pétrole de schiste, de houille et l’huile lourde, l’abrogation de
tous les permis de recherche portant sur ces hydrocarbures, le rejet de toutes
les demandes de permis en cours d’instruction, l’abandon de tous les projets
similaires et un ferme engagement pour une vraie transition énergétique et
écologique.
Parce que la
poursuite de ces travaux est une preuve flagrante des promesses non
tenues ; parce que les lobbies pétro-gaziers sont résolus à avancer dans
l’exploration et l’exploitation des sources d’énergie « extrêmes » en
France, dans le total mépris du refus de la population ; pour défendre
notre eau et notre air, notre santé, la beauté de nos paysages, les
alternatives écologiques et une vision du monde régi par d’autres rêves que le
profit : NON AUX HYDROCARBURES DE SCHISTE NI DE HOUILLE, NI
AUJOURD’HUI, NI DEMAIN, NI ICI, NI AILLEURS
Contacts
presse :
Collectif des Dindons de la Farce :
Estelle Tardy : 0652621368
Julien Renault : 0675605934
|
Collectifs locaux (non
parties prenantes dans l’action) :
Collectif du Pays fertois, Isabelle
Lévy : 0663040519
Permanence du Collectif
Ile-de-France : 0622447428
|
Suivre en direct : http://www.aldeah.org/fr/stop-forages-schiste
Et, la crise a couté combien aux espagnols ?
Sources : Express.be / GlobalEconomicAnalysis / Le JDS
Et, rappellons-nous que faire confiance aux laboratoires pharmaceutiques peut être dangereux pour la santé.
(source :
Les médicaments sont responsables d’au moins 18’000 décès par an, en France, c’est-à-dire deux fois plus que les accidents de la route, sans compter les 150 000 hospitalisations dues à leurs effets iatrogènes (provoquer par le médecin).
On prétend que le rapport bénéfice-risque penche vers le bénéfice, mais souvent il n'y a aucun bénéfice, excepté celui du laboratoire.
Principaux thèmes:
Mensonge n° 1 Les laboratoires ont un souci permanent de la sécurité des patients
Mensonge n° 2 Le risque de complication cardiovasculaire reste faible pour les drogues anti-inflammatoires comme le Vioxx® ou le Celebrex®
Mensonge n° 3 Nous sommes les plus prudents en matière de santé publique
Mensonge n° 4 Le Prozac® est le plus sûr des antidépresseurs, même pour les enfants.
Mensonge n° 5 Aucune donnée ne remet en cause la sécurité d'emploi du Viagra
Mensonge n° 6 Après la ménopause un traitement hormonal est nécessaire et sans danger.
Mensonge n° 7 Le Roaccutane®, utilisé depuis plus de vingt ans, est bien toléré
Mensonge n° 8 La Ritaline® est un médicament indispensable dans le traitement des troubles de comportement chez l'enfant
Mensonge n° 9 Les antibiotiques sont incontournables, malgré les mises en garde du gouvernement.
Mensonge n° 10 L'aspartame n'est finalement pas dangereux
Sylvie Simon est écrivain et journaliste. Elle a écrit de nombreux ouvrages sur les phénomènes dits " paranormaux " et l'ésotérisme. Depuis quelques années, elle combat les idées reçues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande partie de son activité à militer contre la désinformation en matière de santé et d'écologie, sujets de brûlante actualité. Elle a déjà publié plusieurs essais sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins, etc.), générés par la corruption de certains milieux dits scientifiques.
Et, pour finir, Obama devrait balayer devant sa porte avant de s'en prendre à la Syrie pour des bombardements chimiques qui pourraient bien être le fait des rebelles et d'officines américaines.
(source : Overblog)
Bien le bonjour chez vous.
René.
Et, la crise a couté combien aux espagnols ?
lundi 23 septembre 2013
En 2011, chaque Espagnol a donné 1.781€ pour sauver le secteur bancaire
94,4% des sommes débloquées par l'État espagnol au titre de l'aide d'urgence de 2011 ont été consacrées au secteur bancaire, selon un rapport publié par la Comisión Nacional de la Competencia (Commission nationale pour la compétitivité, CNC).« 84,20 milliards d'euros ont été utilisés pour couvrir la honte du système bancaire espagnol, soit 7,8% du PIB espagnol de la même année, ce qui signifie que chaque Espagnol a contribué en 2011 à hauteur de 1.781,33 euros pour sauver le secteur bancaire.Selon Mike "Mish" Shedlock, ce pourcentage peut facilement être étendu à d'autres pays, et en particulier aux Etats-Unis.
D'autre part, les principales victimes de la crise économique, les citoyens et les entreprises, n'ont perçu que 4,5 milliards d'euros pour atténuer les effets dévastateurs de la crise à venir, ce qui montre bien où sont les priorités dans ce pays ».
« Ce qui est surprenant, c'est l'admission implicite de vol du gouvernement, explicitement pour porter secours aux banques, au détriment des travailleurs et des autres classes », écrit Shedlock.Quelques aient été les conséquences d'une absence d'intervention pour sauver les banques, nous y aurions tous gagné si ces plans de secours n'avaient pas eu lieu, conclut-il.
Sources : Express.be / GlobalEconomicAnalysis / Le JDS
Et, rappellons-nous que faire confiance aux laboratoires pharmaceutiques peut être dangereux pour la santé.
(source :
Les 10 plus gros mensonges sur les médicaments
Par Sylvie Simon
Les mensonges sur les médicaments sont très nombreux, mais la
majorité d'entre nous persiste à croire que ces traitements sont la
panacée et n'ont pas d'effets délétères sur nos organismes, alors qu'en
vérité, les médicaments peuvent tuer, ce que l'on nous cache
soigneusement.
Les médicaments sont responsables d’au moins 18’000 décès par an, en France, c’est-à-dire deux fois plus que les accidents de la route, sans compter les 150 000 hospitalisations dues à leurs effets iatrogènes (provoquer par le médecin).
On prétend que le rapport bénéfice-risque penche vers le bénéfice, mais souvent il n'y a aucun bénéfice, excepté celui du laboratoire.
Mensonge n° 1 Les laboratoires ont un souci permanent de la sécurité des patients
Mensonge n° 2 Le risque de complication cardiovasculaire reste faible pour les drogues anti-inflammatoires comme le Vioxx® ou le Celebrex®
Mensonge n° 3 Nous sommes les plus prudents en matière de santé publique
Mensonge n° 4 Le Prozac® est le plus sûr des antidépresseurs, même pour les enfants.
Mensonge n° 5 Aucune donnée ne remet en cause la sécurité d'emploi du Viagra
Mensonge n° 6 Après la ménopause un traitement hormonal est nécessaire et sans danger.
Mensonge n° 7 Le Roaccutane®, utilisé depuis plus de vingt ans, est bien toléré
Mensonge n° 8 La Ritaline® est un médicament indispensable dans le traitement des troubles de comportement chez l'enfant
Mensonge n° 9 Les antibiotiques sont incontournables, malgré les mises en garde du gouvernement.
Mensonge n° 10 L'aspartame n'est finalement pas dangereux
Sylvie Simon est écrivain et journaliste. Elle a écrit de nombreux ouvrages sur les phénomènes dits " paranormaux " et l'ésotérisme. Depuis quelques années, elle combat les idées reçues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande partie de son activité à militer contre la désinformation en matière de santé et d'écologie, sujets de brûlante actualité. Elle a déjà publié plusieurs essais sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins, etc.), générés par la corruption de certains milieux dits scientifiques.
Format: 210 x 150 mm
Collection/éditeur: Dangles
Collection/éditeur: Dangles
Pour acheter ce livre :
Et, pour finir, Obama devrait balayer devant sa porte avant de s'en prendre à la Syrie pour des bombardements chimiques qui pourraient bien être le fait des rebelles et d'officines américaines.
(source : Overblog)
Le site d'Initiative Citoyenne
Bien le bonjour chez vous.
René.
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