blog à finir et à coriger
(source : Wikisttike)
Au Japon, la peste radioactive tue par centaines
Nous y voilà, les signaux arrivent de partout sur internet de plus en plus de personnes sont malades au Japon. Fukushima ce n’est pas Tchernobyl, cet accident est arrivé dans le pays qui comporte la plus forte densité de population au monde. Souvenez-vous des conférences de presse de l’ IRSN qui nous disait au début de l’accident qu’il faudrait boire des litres de thé contaminé pour être malade. A l’époque de Tchernobyl, les méthodes de communication étaient les mêmes….
Alors que pendant ce temps-là le Dr Kodama et quelques autres médecins et scientifiques Japonais nous indiquaient que son pays était dans un état de déni de la réalité sanitaire suite à l’accident, et que la catastrophe de Fukushima avait dégagé une trentaine de fois la radioactivité engendrée à la suite des explosions atomiques de Hiroshima-Nagasaki et environ une vingtaine de fois plus de composés Transuraniens ce qui est également à mettre au crédit du Dr Kodama. Ces déclarations n’ont, à ma connaissance, jamais été retranscrites dans les mainstream ni la presse occidentale.
Olivier Cabanel écrivait dernièrement « On se souvient de la flagornerie d’Otsuka Norikazu, ce célèbre animateur de télévision japonais qui, cédant à la provocation facile, avait en direct mangé des produits agricoles japonais pollués par la centrale nucléaire, encourageant ses compatriotes à suivre son exemple, convaincu de l’innocuité des produits consommés, avec le désir patriotique de sauver la production agricole de son pays. Mal lui en a pris, on apprend qu’il a été hospitalisé le 7 novembre atteint d’une leucémie aiguë et Tepco aura des difficultés cette fois à affirmer que la catastrophe nucléaire de Fukushima n’y est pour rien .Les avis médicaux lui donnent 70% de « chances » de mourir d’ici 5 ans ce qui a été confirmé par des experts allemands » ou encore « La santé de nos enfants est maintenant en danger.
Nous constatons des symptômes tels que thyroïdes enflées, saignements de nez, diarrhées, toux, asthme… » L’ IRSN , l’ AIEA ,et l’ OMS ont bien pris garde de ne parler que des niveaux d’irradiation au Japon sans aborder dans le détail les problèmes de la contamination, et pour cause : la contamination est le fait de faire pénétrer dans un organisme vivant un « concentré » de radioactivité dans un volume très faible ; la particule radioactive présente en effet la particularité d’être approximativement de la taille d’une cellule humaine et cette similitude d’échelle explique en partie pourquoi la particule « contaminante » peut, vue du point de vue de la cellule humaine à proximité, être tout sauf une « faible dose ».
D’un point de vue scientifique, il semble tout à fait invraisemblable de comparer, à dose équivalente, une exposition uniforme de l’ensemble d’une entité humaine (corps entier) à la même dose confinée à quelques cellules seulement de ce même corps ; l’échelle n’est simplement pas la même et les effets sont notoirement différents. C’est pourtant la comparaison qui est fréquemment utilisée par certains pour défendre l’idée que la radioactivité est « partout ».
Peut-être, mais encore une fois, ce n’est pas l’avis de la cellule qui se trouvera placée à proximité d’une masse globalement équivalente à elle et qui la « bombardera à vue » pendant un certain temps. En outre, si la particule radioactive présente une taille inférieure à 10 microns (10 millionièmes de mètre soit 0.01 mm) elle présentera en outre la particularité de se fixer dans les sacs alvéolaires pulmonaires d’où 25% d’entre elles seront difficiles, voire impossible à déloger.
Au début de l’accident les Américains avaient demandé que leurs citoyens vivant dans un rayon de 80 km autour de la centrale nucléaire de Fukushima évacuent la zone, ou se mettent à l’abri si une évacuation n’est pas possible en toute sécurité » . L’ambassade avait souligné dans un communiqué, que « de nombreux facteurs », dont la météo, pouvaient influer sur la dissémination des particules radioactives, et avait mentionné la possibilité que celles-ci accomplissent des distances supérieures à 80 km…, La présence constaté de nombreux points chauds contaminés à Tokyo leur a donné raison .
La peste nucléaire a commencé son travail, et l’on commence à compter les morts par centaines, comme l’écrit Yoichi Shimatsu dans son article très documenté en anglais paru le 3 janvier 2013. Les particules radioactives vont continuer de tuer elles ont le temps devant elles !
Etienne Servant
Source: Realinfos
Et, en Australie.......
(source : Scoop.it)
bbb
(source : Wikisttike)
Au Japon, la peste radioactive tue par centaines
Nous y voilà, les signaux arrivent de partout sur internet de plus en plus de personnes sont malades au Japon. Fukushima ce n’est pas Tchernobyl, cet accident est arrivé dans le pays qui comporte la plus forte densité de population au monde. Souvenez-vous des conférences de presse de l’ IRSN qui nous disait au début de l’accident qu’il faudrait boire des litres de thé contaminé pour être malade. A l’époque de Tchernobyl, les méthodes de communication étaient les mêmes….
Alors que pendant ce temps-là le Dr Kodama et quelques autres médecins et scientifiques Japonais nous indiquaient que son pays était dans un état de déni de la réalité sanitaire suite à l’accident, et que la catastrophe de Fukushima avait dégagé une trentaine de fois la radioactivité engendrée à la suite des explosions atomiques de Hiroshima-Nagasaki et environ une vingtaine de fois plus de composés Transuraniens ce qui est également à mettre au crédit du Dr Kodama. Ces déclarations n’ont, à ma connaissance, jamais été retranscrites dans les mainstream ni la presse occidentale.
Olivier Cabanel écrivait dernièrement « On se souvient de la flagornerie d’Otsuka Norikazu, ce célèbre animateur de télévision japonais qui, cédant à la provocation facile, avait en direct mangé des produits agricoles japonais pollués par la centrale nucléaire, encourageant ses compatriotes à suivre son exemple, convaincu de l’innocuité des produits consommés, avec le désir patriotique de sauver la production agricole de son pays. Mal lui en a pris, on apprend qu’il a été hospitalisé le 7 novembre atteint d’une leucémie aiguë et Tepco aura des difficultés cette fois à affirmer que la catastrophe nucléaire de Fukushima n’y est pour rien .Les avis médicaux lui donnent 70% de « chances » de mourir d’ici 5 ans ce qui a été confirmé par des experts allemands » ou encore « La santé de nos enfants est maintenant en danger.
Nous constatons des symptômes tels que thyroïdes enflées, saignements de nez, diarrhées, toux, asthme… » L’ IRSN , l’ AIEA ,et l’ OMS ont bien pris garde de ne parler que des niveaux d’irradiation au Japon sans aborder dans le détail les problèmes de la contamination, et pour cause : la contamination est le fait de faire pénétrer dans un organisme vivant un « concentré » de radioactivité dans un volume très faible ; la particule radioactive présente en effet la particularité d’être approximativement de la taille d’une cellule humaine et cette similitude d’échelle explique en partie pourquoi la particule « contaminante » peut, vue du point de vue de la cellule humaine à proximité, être tout sauf une « faible dose ».
D’un point de vue scientifique, il semble tout à fait invraisemblable de comparer, à dose équivalente, une exposition uniforme de l’ensemble d’une entité humaine (corps entier) à la même dose confinée à quelques cellules seulement de ce même corps ; l’échelle n’est simplement pas la même et les effets sont notoirement différents. C’est pourtant la comparaison qui est fréquemment utilisée par certains pour défendre l’idée que la radioactivité est « partout ».
Peut-être, mais encore une fois, ce n’est pas l’avis de la cellule qui se trouvera placée à proximité d’une masse globalement équivalente à elle et qui la « bombardera à vue » pendant un certain temps. En outre, si la particule radioactive présente une taille inférieure à 10 microns (10 millionièmes de mètre soit 0.01 mm) elle présentera en outre la particularité de se fixer dans les sacs alvéolaires pulmonaires d’où 25% d’entre elles seront difficiles, voire impossible à déloger.
Au début de l’accident les Américains avaient demandé que leurs citoyens vivant dans un rayon de 80 km autour de la centrale nucléaire de Fukushima évacuent la zone, ou se mettent à l’abri si une évacuation n’est pas possible en toute sécurité » . L’ambassade avait souligné dans un communiqué, que « de nombreux facteurs », dont la météo, pouvaient influer sur la dissémination des particules radioactives, et avait mentionné la possibilité que celles-ci accomplissent des distances supérieures à 80 km…, La présence constaté de nombreux points chauds contaminés à Tokyo leur a donné raison .
La peste nucléaire a commencé son travail, et l’on commence à compter les morts par centaines, comme l’écrit Yoichi Shimatsu dans son article très documenté en anglais paru le 3 janvier 2013. Les particules radioactives vont continuer de tuer elles ont le temps devant elles !
Etienne Servant
Source: Realinfos
Et, en Australie.......
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bbb
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