(blog à finir et à corriger)
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, partout dans le monde occidentale, les agences de sécurité alimentaire, environnementales et autres sont constituées de membres dépendant, ayant travaillé ou comptant travailler de multinationales prédatrices.
Ces gens qui devraient être traduits devant des tribunaux sacrifient notre santé, notre environnement, nos enfants au nom de leur profit en échange d'avantages, tels des voyages, des interventions dans des colloques plus que bien payées, ecxt.
(source : les Moutons Enragés)
Evidemment, le gouvernement américain n'est pas concerné.
Ils détruisent "LA VIE" aux States et le gouvernement n'est pas concerné.
Alors, pourquoi, madame Obama a-t-elle fait un jardin bio à la Maison Blanche pour nourrir sa famille et les membres du personnel ?
Pour regarder les petits oiseaux picorer ?
Et, n'oublions pas le "PROFIT"est tellement important qu'il ne lâcheront pas leuru os.
Que seront-ils prêts à tenter pour le conserver ?
Renverser le gouvernement américain ?
Et, s'y préparent-ils ?
(source : Basta !)"
[2] Lire notre article : Pesticide cruiser : les étranges évaluations des autorités sanitaires
ccc
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, partout dans le monde occidentale, les agences de sécurité alimentaire, environnementales et autres sont constituées de membres dépendant, ayant travaillé ou comptant travailler de multinationales prédatrices.
Ces gens qui devraient être traduits devant des tribunaux sacrifient notre santé, notre environnement, nos enfants au nom de leur profit en échange d'avantages, tels des voyages, des interventions dans des colloques plus que bien payées, ecxt.
(source : les Moutons Enragés)
Gaz de schiste : un rapport censuré aux Etats-Unis sous la pression de l’industrie
22 janvier 2013 | Posté par Benji sous Écologie, environnement et animaux, Manipulation |
L’Agence américaine de protection de l’environnement est sous le feu des critiques, accusée d’avoir censuré un rapport sur les dangers de la fracturation hydraulique. Cette technique, nécessaire à l’extraction des gaz et pétrole de schiste, constituerait bien une menace directe dans l’approvisionnement en eau potable. Les organisations écologistes reprochent à l’Agence américaine d’avoir plié sous la pression de l’industrie.
L’Agence de Protection Environnementale des Etats-Unis (EPA) a t-elle censuré un rapport mettant en cause la fracturation hydraulique, sous la pression de l’industrie gazière et pétrolière ? C’est ce qu’assure l’agence Associated Press qui s’est procuré le rapport de l’EPA révélant que la fracturation hydraulique, technique nécessaire à l’extraction des gaz et pétrole de schiste, constitue une menace directe dans l’approvisionnement en eau potable.
Des bulles dans l’eau, « comme du champagne »
L’affaire débute en 2010 à Weatherfod au Texas. La famille Lipsky constate que l’eau « potable » de la maison commence à « faire des bulles comme du champagne ». « Au début, l’EPA a estimé la situation si grave qu’elle a émis une ordonnance d’urgence fin 2010 établissant qu’au moins deux propriétaires étaient en danger immédiat du fait d’un puits saturé de méthane inflammable », écrit l’Associated Press (AP). La compagnie Range Resources, propriétaire de plusieurs puits de gaz au Texas, dont l’un situé à moins de deux kilomètres de la maison des Lipsky, est pointée du doigt.
L’agence environnementale ordonne à la société de prendre des mesures pour nettoyer leurs puits et fournir de l’eau sûre aux propriétaires affectés. Range Resources menace alors de ne pas prendre part à une étude menée par l’EPA concernant le lien entre la fracturation hydraulique et la contamination de l’eau, ni d’autoriser les scientifiques du gouvernement à accéder à ses sites de forage. Sans explication officielle, l’EPA opère en mars 2012 un revirement en retirant son ordonnance d’urgence et en décidant de mettre fin à la bataille judiciaire.
Preuves dissimulées ?
L’Agence états-unienne ne rend pas non plus public le rapport commandé quelques mois plus tôt à un scientifique indépendant, Geoffrey Thine. Après avoir fait analyser les échantillons d’eau prélevés dans 32 puits, le chercheur conclut que le gaz présent dans l’eau potable de la famille Lipsky pourrait bien provenir de l’opération de fracturation hydraulique. « Je ne peux pas croire qu’un organisme qui connait la vérité sur quelque chose comme ça, ou dispose de telles preuves, ne les utiliserait pas », a déclaré Lipsky auprès de l’AP. Cet habitant est désormais contraint de payer 1 000 $ par mois pour avoir de l’eau potable acheminée jusqu’à sa maison. Les autorités de l’État ayant déclaré que Range Resources n’était pas responsable, la compagnie a cessé ses opérations de nettoyage des puits.
« Il est inadmissible que l’EPA, qui est en charge de la protection des ressources vitales de notre pays, se replie sous la pression de l’industrie gazière et pétrolière, s’insurge la coalition Americans Against Fracking. Cette affaire montre que la fracturation hydraulique ne peut être réglementée de manière sûre quand l’industrie du pétrole et du gaz peut user de son influence considérable pour contourner les règles en sa faveur. » La coalition demande l’interdiction de la fracturation hydraulique. En 2012, 200 mesures locales visant à interdire la fracturation ont été prises à travers les États-Unis.
Source: Bastamag
Evidemment, le gouvernement américain n'est pas concerné.
Ils détruisent "LA VIE" aux States et le gouvernement n'est pas concerné.
Alors, pourquoi, madame Obama a-t-elle fait un jardin bio à la Maison Blanche pour nourrir sa famille et les membres du personnel ?
Pour regarder les petits oiseaux picorer ?
Et, n'oublions pas le "PROFIT"est tellement important qu'il ne lâcheront pas leuru os.
Que seront-ils prêts à tenter pour le conserver ?
Renverser le gouvernement américain ?
Et, s'y préparent-ils ?
(source : Basta !)"
Les firmes défendent leurs insecticides tueurs d’abeilles
Par (18 janvier 2013)
C’est peut-être un
tournant majeur qui s’amorce dans la bataille pour sauver les abeilles.
L’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a rendu, le 16
janvier, un avis scientifique
sévère concernant les effets sur les abeilles de trois matières actives
présentes dans des insecticides, de la famille des néonicotinoïdes [1]. Ces molécules entrent dans la composition de produits tels que le Gaucho ou le Régent, interdits en France.
Le principe actif de ces nouvelles générations d’insecticides, qui se présentent sous forme de granules ou en enrobage de semences, pénètre de façon systémique dans la plante, laquelle sécrète ensuite le toxique tout au long de sa croissance. Les experts de l’Efsa ont identifié des risques en relation avec trois principales voies d’exposition des insectes : par le pollen et le nectar des cultures traitées avec ces produits ; par les poussières produites lors du semis ; et par les gouttelettes d’eau imprégnées de pesticides auquel s’abreuvent parfois les abeilles.
Contre-attaque des industriels de la chimie
Le groupe allemand Bayer, producteur de pesticides comportant les néonicotinoïdes incriminés, s’est immédiatement fendu d’un communiqué. Convaincu que ses produits ne présentent « aucun risque inacceptable », le groupe met en garde contre « une interprétation abusive du principe de précaution » et pointe d’autres facteurs responsables du déclin de la population des abeilles comme un acarien parasite de l’espèce Varroa.
Quelques jours plus tôt, Bayer avait rendu public un rapport avec la firme Syngenta, chiffrant les bénéfices des néonicotinoïdes à 4,5 milliards d’euros par an pour l’économie européenne et estimant que leur abandon coûterait 50 000 emplois agricoles. C’est oublier que l’abeille est à l’origine de la pollinisation d’un grand nombre des aliments que nous mangeons aujourd’hui. « Sans abeilles, nous n’aurions plus de kiwis, plus de melons, plus de salades, plus de courgettes… » confiait Olivier Belval de l’Union nationale de l’apiculture française (Unaf) en 2010 à Basta !.
Les dirigeants de l’Union européenne doivent se réunir le 31 janvier pour arrêter une position commune à chaque État membre sur ces insecticides systémiques. Pour le moment, chaque pays applique sa propre règlementation. La France, par exemple, a retiré l’autorisation de mise sur le marché du Cruiser OSR (un des pesticides incriminés) pour le colza le 29 juillet dernier, mais pas pour le maïs [2]. De leur côté, l’Italie et l’Allemagne l’interdisent seulement pour le maïs, tandis que les Pays-Bas l’autorisent, sauf pour les plantes qui attirent les abeilles. On peut s’attendre à une âpre bataille des lobbies chimiques dans les couloirs de Bruxelles.
Le principe actif de ces nouvelles générations d’insecticides, qui se présentent sous forme de granules ou en enrobage de semences, pénètre de façon systémique dans la plante, laquelle sécrète ensuite le toxique tout au long de sa croissance. Les experts de l’Efsa ont identifié des risques en relation avec trois principales voies d’exposition des insectes : par le pollen et le nectar des cultures traitées avec ces produits ; par les poussières produites lors du semis ; et par les gouttelettes d’eau imprégnées de pesticides auquel s’abreuvent parfois les abeilles.
Contre-attaque des industriels de la chimie
Le groupe allemand Bayer, producteur de pesticides comportant les néonicotinoïdes incriminés, s’est immédiatement fendu d’un communiqué. Convaincu que ses produits ne présentent « aucun risque inacceptable », le groupe met en garde contre « une interprétation abusive du principe de précaution » et pointe d’autres facteurs responsables du déclin de la population des abeilles comme un acarien parasite de l’espèce Varroa.
Quelques jours plus tôt, Bayer avait rendu public un rapport avec la firme Syngenta, chiffrant les bénéfices des néonicotinoïdes à 4,5 milliards d’euros par an pour l’économie européenne et estimant que leur abandon coûterait 50 000 emplois agricoles. C’est oublier que l’abeille est à l’origine de la pollinisation d’un grand nombre des aliments que nous mangeons aujourd’hui. « Sans abeilles, nous n’aurions plus de kiwis, plus de melons, plus de salades, plus de courgettes… » confiait Olivier Belval de l’Union nationale de l’apiculture française (Unaf) en 2010 à Basta !.
Les dirigeants de l’Union européenne doivent se réunir le 31 janvier pour arrêter une position commune à chaque État membre sur ces insecticides systémiques. Pour le moment, chaque pays applique sa propre règlementation. La France, par exemple, a retiré l’autorisation de mise sur le marché du Cruiser OSR (un des pesticides incriminés) pour le colza le 29 juillet dernier, mais pas pour le maïs [2]. De leur côté, l’Italie et l’Allemagne l’interdisent seulement pour le maïs, tandis que les Pays-Bas l’autorisent, sauf pour les plantes qui attirent les abeilles. On peut s’attendre à une âpre bataille des lobbies chimiques dans les couloirs de Bruxelles.
Notes
[1] Clothianidine, imidaclopride et thiamethoxam.[2] Lire notre article : Pesticide cruiser : les étranges évaluations des autorités sanitaires
ccc
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