Salut à tous ceux qui résistent à la propagande des journalistes inféodés au système qui leur offre des tas d'avantages. Informez-vous, informez-vous et faîtes le savoir !
Résistance ! Résistance !
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, si, nous, chacun de nous veut survivre à peu près en bonne santé, il faut s'opposer à ceux qui cherchent à nous contrôler par l'alimentaire. Pour ne pas qui dire qui nous empoisonnent à petit feu.
(source : Scooped by Damoclès)
Résistance ! Résistance !
Lorsque les publicités cherchent à vous faire croire qu'il faille manger cinq légumes ou fruits par jour, ils mentent. Comment faisaient-ils avant ?
Parce que manger cinq légumes ou cinq fruits imbibés de pesticides, c'est accéléré l'accumulation de petits Tchernobyl dans votre corps qui un jour entreront en inter-action
Et, ce jour là, vous serez obligé de prendre des petites pilules de toutes les couleurs provenant de l'industrie pharmaceutique pour vous soulager, qui, elles provoqueront des effets secondaires indésirables qui nécessiteront d'autres traitement.
Sur votre fin de vie, vous serez alors devenu le client idéal pour l'industrie pharmaceutique.....à vie !
Comme vous en doutez, l'industrie de l'agro-alimentaires et pharmaceutique (chimique) ont les mêmes actionnaires.
Mais, rassurez-vous, mes cinq chers lecteurs, ils continuent à chercher à chercher, à trouver d'autres voies pour nous voies pour nous faire ingurgiter encore plus de poisons.
En réponse à une demande d’autorisation déposée par Ecolab, l’utilisation du dodécylbenzène sulfonate de sodium (SDBS) est désormais autorisée dans les eaux de lavage des fruits et légumes, à une dose maximale de 111 mg/kg et sans obligation de rinçage à l’eau claire, afin de réduire la présence de microorganismes.
Le SDBS était déjà autorisé comme solution de nettoyage ou aide à l’épluchage chimique des fruits et légumes.
Alors, je ne vous dis pas mes chers lecteurs, dans quel état physiologiques vont être nos enfants à l'âge de trente ou même plus jeunes puisque ces chères têtes blondes ou autres déclarent des maladies graves beaucoup plus jeune.
Pourtant, des méthodes simples s'avèrent efficaces pour ne pas avoir à s'inscrire dans les prescriptions médicales "complices" de l'industrie pharmaceutique.
(source : les Moutons Enragés)
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
PS : (source : InfoOGM)
Rappel des faits : en 2005, un apiculteur allemand, M. Karl Heinz Bablok, découvrait des traces de pollen de maïs génétiquement modifié dans son miel. Considérant que cette présence rendait ses produits apicoles impropres à la commercialisation et à la consommation, il a alors décidé de porter plainte devant le tribunal administratif de Bavière contre ce Land qui avait expérimenté du maïs Mon810 dans des champs situés à 500 mètres de ses ruches [2].
Cette affaire a soulevé plusieurs questions d’interprétation du droit européen. Pour rappel, le tribunal allemand, par le biais du mécanisme des questions préjudicielles [3], demandait : si un OGM, pour être considéré comme tel, doit forcément contenir du matériel apte à la reproduction (le pollen peut-il être considéré comme un OGM ?) ; si le pollen ne rentre pas dans la définition d’un OGM, s’il pouvait être considéré comme étant « produit à partir d’OGM » ; enfin, il demandait si « la présence de pollen de maïs GM dans ces produits apicoles [constituait] une “altération substantielle” de ces derniers, en ce sens que leur mise sur le marché devrait être soumise à autorisation ».
La Cour a en tout point suivi les conclusions de l’Avocat général. Elle considère tout d’abord« qu’une substance telle que du pollen issu d’une variété de maïs génétiquement modifié, qui a perdu sa capacité de reproduction et qui est dépourvue de toute capacité de transférer du matériel génétique qu’elle contient, ne relève plus de [la notion d’OGM] ». La Cour constate aussi « que lorsqu’une substance telle que du pollen contenant de l’ADN et des protéines génétiquement modifiées n’est pas susceptible d’être considérée comme un OGM, des produits comme du miel et des compléments alimentaires contenant une telle substance constituent [...] “des denrées alimentaires […] contenant [des ingrédients produits à partir d’OGM]”. Si le pollen ne peut être considéré comme un OGM, il peut en revanche être “produit à partir d’OGM” ».
En ce qui concerne le miel, la Cour souligne que le pollen n’est pas un corps étranger ni une impureté, mais une composante normale de ce produit, de sorte qu’il doit effectivement être qualifié d’« ingrédient ». En conséquence, la Cour conclut que du miel constitué en partie de pollen de maïs génétiquement modifié « relève du champ d’application du règlement et doit être soumis au régime d’autorisation prévu par celui-ci avant sa mise sur le marché ». Le miel contenant ce pollen doit donc disposer d’une autorisation spécifique de mise sur le marché, et cela comme le précise la CJUE, indépendamment de la quantité d’OGM contenue dans le produit litigieux.
En effet, le maïs Mon810 est autorisé à l’alimentation humaine, selon la procédure 258/97 (procédure abrogée et remplacée par le règlement1829/2003), uniquement pour la farine, le gluten, la semoule, l’amidon, le glucose et l’huile de maïs. Le pollen de maïs Mon810 n’était donc pas couvert par l’autorisation. Monsanto a demandé le renouvellement de cette autorisation, selon le règlement 1829/2003 pour l’ensemble des utilisations possibles du maïs Mon810 (y compris donc le pollen), mais ce renouvellement n’a toujours pas été accepté. En attendant, c’est l’ancienne procédure d’autorisation qui est en vigueur, et donc ce sont ses modalités qui s’appliquent. La CJUE conclut donc que le miel contenant ce pollen ne peut être commercialisé en l’absence d’une autorisation spécifique.
Rappelons que la CJUE donne une interprétation du droit européen et ne tranche pas le litige national. Il convient maintenant à la juridiction allemande d’appliquer cette interprétation à l’affaire. Désormais toute affaire qui met en jeu une situation similaire dans un État membre devra appliquer cette même interprétation du droit.
L’affaire Bablok n’est donc pas terminée... Cette interprétation ne préjuge pas de l’indemnisation effective, ni de son montant, de l’apiculteur dans sa plainte contre le Land bavarois. Mais quelle que soit la décision de la justice allemande, les apiculteurs ont maintenant un nouvel outil juridique pour se défendre contre les contaminations, mais seulement par des plantes GM visitées par des abeilles dont l’autorisation n’a pas été demandée pour le pollen en tant que tel. La portée de ce jugement semble donc limitée pour le futur, puisqu’on se doute que les entreprises auront soin d’obtenir les autorisations y compris pour le pollen. Interrogé par Inf’OGM, Olivier Belval, président de l’Union nationale de l’apiculture française (UNAF), considère cependant que cette décision a, à l’heure actuelle et dans le contexte actuel, des conséquences énormes, notamment pour les apiculteurs espagnols, entourés de champs de maïs Mon810, qui pourront faire valoir leur droit à réparation pour interdiction de vente du miel contaminé par des OGM... Il attend avec impatience le verdict de la CJUE sur la clause de sauvegarde française sur le maïs Mon810 (8 septembre) et espère, en cas de jugement défavorable à cette clause, « que, fort du jugement d’aujourd’hui, le gouvernement français va tout faire pour déposer une nouvelle clause de sauvegarde, en bonne et due forme ».
PS 2 : Les savant fous ont encore frappé !
(source : Actuwiki)
Résistance ! Résistance !
Eh, oui, mes chers cinq lecteurs, si, nous, chacun de nous veut survivre à peu près en bonne santé, il faut s'opposer à ceux qui cherchent à nous contrôler par l'alimentaire. Pour ne pas qui dire qui nous empoisonnent à petit feu.
(source : Scooped by Damoclès)
Résistance ! Résistance !
Lorsque les publicités cherchent à vous faire croire qu'il faille manger cinq légumes ou fruits par jour, ils mentent. Comment faisaient-ils avant ?
Parce que manger cinq légumes ou cinq fruits imbibés de pesticides, c'est accéléré l'accumulation de petits Tchernobyl dans votre corps qui un jour entreront en inter-action
Et, ce jour là, vous serez obligé de prendre des petites pilules de toutes les couleurs provenant de l'industrie pharmaceutique pour vous soulager, qui, elles provoqueront des effets secondaires indésirables qui nécessiteront d'autres traitement.
Sur votre fin de vie, vous serez alors devenu le client idéal pour l'industrie pharmaceutique.....à vie !
Comme vous en doutez, l'industrie de l'agro-alimentaires et pharmaceutique (chimique) ont les mêmes actionnaires.
Mais, rassurez-vous, mes cinq chers lecteurs, ils continuent à chercher à chercher, à trouver d'autres voies pour nous voies pour nous faire ingurgiter encore plus de poisons.
USA: un nouvel additif pour la désinfection des fruits et légumes
L’Autorité américaine de sécurité des aliments (FDA) a approuvé un amendement à la réglementation sur les additifs alimentaires autorisant l’usage d’un nouvel agent antimicrobien pour la désinfection de l’eau de lavage des fruits et légumes.
En réponse à une demande d’autorisation déposée par Ecolab, l’utilisation du dodécylbenzène sulfonate de sodium (SDBS) est désormais autorisée dans les eaux de lavage des fruits et légumes, à une dose maximale de 111 mg/kg et sans obligation de rinçage à l’eau claire, afin de réduire la présence de microorganismes.
Le SDBS était déjà autorisé comme solution de nettoyage ou aide à l’épluchage chimique des fruits et légumes.
source vigial copyright vigial
Alors, je ne vous dis pas mes chers lecteurs, dans quel état physiologiques vont être nos enfants à l'âge de trente ou même plus jeunes puisque ces chères têtes blondes ou autres déclarent des maladies graves beaucoup plus jeune.
Pourtant, des méthodes simples s'avèrent efficaces pour ne pas avoir à s'inscrire dans les prescriptions médicales "complices" de l'industrie pharmaceutique.
(source : les Moutons Enragés)
Deux importantes maladies d’enfance réduites de 50% par un acte tout simple
Et, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
PS : (source : InfoOGM)
UE : LE MIEL CONTAMINÉ PAR DES OGM NE PEUT ÊTRE MIS SUR LE MARCHÉ SANS AUTORISATION SPÉCIFIQUE par , , septembre 2011 | Imprimer cette page |
Le 6 septembre 2011, la Cour de Justice de l’Union européenne a rendu sa décision en réponse aux trois questions préjudicielles posées par le tribunal administratif de Bavière (sud de l’Allemagne). Elle considère que « du miel et des compléments alimentaires contenant du pollen issu d’un OGM sont des denrées alimentaires produites à partir d’OGM qui ne peuvent être commercialisées sans autorisation préalable », suivant en cela l’avis de l’Avocat général, présenté en février 2011 [1]. |
Rappel des faits : en 2005, un apiculteur allemand, M. Karl Heinz Bablok, découvrait des traces de pollen de maïs génétiquement modifié dans son miel. Considérant que cette présence rendait ses produits apicoles impropres à la commercialisation et à la consommation, il a alors décidé de porter plainte devant le tribunal administratif de Bavière contre ce Land qui avait expérimenté du maïs Mon810 dans des champs situés à 500 mètres de ses ruches [2].
Cette affaire a soulevé plusieurs questions d’interprétation du droit européen. Pour rappel, le tribunal allemand, par le biais du mécanisme des questions préjudicielles [3], demandait : si un OGM, pour être considéré comme tel, doit forcément contenir du matériel apte à la reproduction (le pollen peut-il être considéré comme un OGM ?) ; si le pollen ne rentre pas dans la définition d’un OGM, s’il pouvait être considéré comme étant « produit à partir d’OGM » ; enfin, il demandait si « la présence de pollen de maïs GM dans ces produits apicoles [constituait] une “altération substantielle” de ces derniers, en ce sens que leur mise sur le marché devrait être soumise à autorisation ».
La Cour a en tout point suivi les conclusions de l’Avocat général. Elle considère tout d’abord« qu’une substance telle que du pollen issu d’une variété de maïs génétiquement modifié, qui a perdu sa capacité de reproduction et qui est dépourvue de toute capacité de transférer du matériel génétique qu’elle contient, ne relève plus de [la notion d’OGM] ». La Cour constate aussi « que lorsqu’une substance telle que du pollen contenant de l’ADN et des protéines génétiquement modifiées n’est pas susceptible d’être considérée comme un OGM, des produits comme du miel et des compléments alimentaires contenant une telle substance constituent [...] “des denrées alimentaires […] contenant [des ingrédients produits à partir d’OGM]”. Si le pollen ne peut être considéré comme un OGM, il peut en revanche être “produit à partir d’OGM” ».
En ce qui concerne le miel, la Cour souligne que le pollen n’est pas un corps étranger ni une impureté, mais une composante normale de ce produit, de sorte qu’il doit effectivement être qualifié d’« ingrédient ». En conséquence, la Cour conclut que du miel constitué en partie de pollen de maïs génétiquement modifié « relève du champ d’application du règlement et doit être soumis au régime d’autorisation prévu par celui-ci avant sa mise sur le marché ». Le miel contenant ce pollen doit donc disposer d’une autorisation spécifique de mise sur le marché, et cela comme le précise la CJUE, indépendamment de la quantité d’OGM contenue dans le produit litigieux.
En effet, le maïs Mon810 est autorisé à l’alimentation humaine, selon la procédure 258/97 (procédure abrogée et remplacée par le règlement1829/2003), uniquement pour la farine, le gluten, la semoule, l’amidon, le glucose et l’huile de maïs. Le pollen de maïs Mon810 n’était donc pas couvert par l’autorisation. Monsanto a demandé le renouvellement de cette autorisation, selon le règlement 1829/2003 pour l’ensemble des utilisations possibles du maïs Mon810 (y compris donc le pollen), mais ce renouvellement n’a toujours pas été accepté. En attendant, c’est l’ancienne procédure d’autorisation qui est en vigueur, et donc ce sont ses modalités qui s’appliquent. La CJUE conclut donc que le miel contenant ce pollen ne peut être commercialisé en l’absence d’une autorisation spécifique.
Rappelons que la CJUE donne une interprétation du droit européen et ne tranche pas le litige national. Il convient maintenant à la juridiction allemande d’appliquer cette interprétation à l’affaire. Désormais toute affaire qui met en jeu une situation similaire dans un État membre devra appliquer cette même interprétation du droit.
L’affaire Bablok n’est donc pas terminée... Cette interprétation ne préjuge pas de l’indemnisation effective, ni de son montant, de l’apiculteur dans sa plainte contre le Land bavarois. Mais quelle que soit la décision de la justice allemande, les apiculteurs ont maintenant un nouvel outil juridique pour se défendre contre les contaminations, mais seulement par des plantes GM visitées par des abeilles dont l’autorisation n’a pas été demandée pour le pollen en tant que tel. La portée de ce jugement semble donc limitée pour le futur, puisqu’on se doute que les entreprises auront soin d’obtenir les autorisations y compris pour le pollen. Interrogé par Inf’OGM, Olivier Belval, président de l’Union nationale de l’apiculture française (UNAF), considère cependant que cette décision a, à l’heure actuelle et dans le contexte actuel, des conséquences énormes, notamment pour les apiculteurs espagnols, entourés de champs de maïs Mon810, qui pourront faire valoir leur droit à réparation pour interdiction de vente du miel contaminé par des OGM... Il attend avec impatience le verdict de la CJUE sur la clause de sauvegarde française sur le maïs Mon810 (8 septembre) et espère, en cas de jugement défavorable à cette clause, « que, fort du jugement d’aujourd’hui, le gouvernement français va tout faire pour déposer une nouvelle clause de sauvegarde, en bonne et due forme ».
PS 2 : Les savant fous ont encore frappé !
(source : Actuwiki)
Du riz OGM avec des gènes de foie humain
Nouvelle incroyable qui nous fait sortir de notre retraite hivernale tant elle est effarante et scandaleuse. On se rapproche sournoisement du fameux film de science-fiction (d’anticipation selon Wikipédia, c’est tout dire) Soleil Vert, dans lequel les êtres humains qui n’ont pas les moyens d’acheter des aliments naturels à cause de leurs prix exorbitants, mangent un aliment de synthèse, produit par une multinationale, qui s’avérera être fabriqué à partir de cadavres humains.
Selon le site américain WorldTruht TV, de réputation sérieux, la Société Ventria cultive dans le Kansas, du riz OGM contenant des gènes de foie humain dans le but d’en extraire les protéines artificielles et fabriquer des produits pharmaceutiques.
Pratique scandaleuse au regard de la morale humaine universelle et des risques pour l’Humanité dont plus de la moitié dépend pour sa survie du riz quand on sait la capacité de propagation des graines OGM.
Le Monde serait-il irrémédiablement devenu fou?
« A moins que vous achetiez du riz « certifié biologique », vous pourriez peut-être manger du riz contaminé avec de véritables gènes humains.
Il s’agit d’un riz OGM réalisé par la société de biotechnologie Ventria Bioscience qui est actuellement cultivé sur 3.200 hectares à Junction City, Kansas – et peut-être ailleurs – et la plupart des gens n’ont aucune information à ce sujet.
Depuis environ 2006, Ventria procède discrètement à la culture d’un riz OGM contenant des gènes de foie humain dans le but d’extraire les protéines artificielles produites par ce « Frankenrice » (contraction de « Frankenstein et « rice », riz en anglais- ndrl) afin de les utiliser dans des produits pharmaceutiques. Avec l’approbation de l’US Department of Agriculture (USDA), Ventria a utilisé l’une des céréales les plus largement cultivées au Monde aujourd’hui, et l’a transformée en un catalyseur pour produire de nouveaux médicaments.
A l’origine, la culture de ce riz OGM, qui se décline en trois variétés approuvées (http://www.aphis.usda.gov/brs/biotech_ea_permits.html ), a été limitée à l’environnement de laboratoire. Mais en 2007, Ventria a décidé d’exporter le riz à l’extérieur. L’entreprise a d’abord essayé de planter les cultures dans le Missouri, mais a rencontré une résistance de Anheuser-Busch et d’autres, qui ont menacé de boycotter tout le riz de l’Etat dans le cas où Ventria commence à planter son riz à l’intérieur des frontières de l’Etat ( http://todayyesterdayandtomorrow.wordpress . com ).
Ventria s’est finalement rabattue sur le Kansas, où elle a développé sa culture du riz OGMdans le but de fabriquer des médicaments sur 3.200 hectares à Junction City. Et alors que ce riz OGM à base de gènes humains n’a jamais été approuvé pour la consommation humaine, il est maintenant cultivé dans des champs ouverts où le risque de contamination et la propagation effrénée de se gènes indésirables est pratiquement acquis.
»Ce n’est pas un produit que tout le monde veut consommer», a déclaré Jane Rissler de l’ Union of Concerned Scientists (UCS) au Washington Post en 2007. »Il n’est pas sage de produire des médicaments en dehors des plantes. »Bien que des dizaines de milliers de réactions hostiles ont eu lieu et que beaucoup s’inquiètent à juste titre la propagation des gènes OGM, l’USDA a approuvé la culture ouverte du riz Ventria alors que la Food and Drug Administration (FDA) avait refusé l’approbation du riz OGM de Ventria en 2003.(http://www.kansasruralcenter.org/publications/PharmaRice.pdf ).Le riz «pharmaceutique» OGM pourrait causer davantage de maladies, indique le rapport
Outre la menace de contamination et de propagation sauvage, ce riz OGM, qui est soi-disant cultivé pour aider les enfants du tiers monde à surmonter la diarrhée chronique, peut provoquer à l’inverse d’autres maladies chroniques.
«Ces médicaments issus du génie génétique pourraient exacerber certaines infections, ou provoquer des réactions dangereuses du système immunitaire ou allergiques», a déclaré Bill Freese, analyste de la politique scientifique au Centre for Food Safety (CFS), qui a publié un rapport en 2007 sur les dangers du riz OGM de Ventria.
Vous pouvez consulter ce rapport ici: http://www.centerforfoodsafety.org
Les sources de cet article:
Source: WordlTruth.TV (en américain, traduction Eldon)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire