Salut à tous ceux qui veulent un changement. Organisons une économie parallèle et passons-nous d'eux. Peut-être que dans la prochaine lettre, je commencerais à vous donner des indications....si, je n'oublie pas.
Mais que fait le gouvernement polonais, mes chers cinq lecteurs ?
Mais, que fait-il,au nom de Dieu !
Eh, bien, c'est simple, il va adopter l'euro incessamment sous peu.
En pleine crise de la monnaie européenne, ça, c'est une riche idée.
Avec une convertibilité désavantageuse, ça, c'est une idée plus que riche, mais, qui risque de plonger l'économie polonaise dans un marasme économique déplaisant et provoquera un mini tsunami de licenciements.
A mon avis, la Pologne gagnerait à attendre, au moins cinq ans. Déjà, pour voir quels pays auront survécu. De toute façon, on ne s'intègre pas à un système en crise ou alors, on est "CON !"
Cela, c'est la simple logique.
Naturellement,si, vous écoutez les experts de l'un ou l'autre côté, européen ou polonais, ils vous diront, "Il faut y aller !"
Mais, y aller où ? Dans le mur ?
Cinq ans, je donne encore cinq ans pour savoir si l'euro tiendra ou disparaîtra.
Pour l'instant, on fait de l'intervention de secours, mais, on n'intervient pas sur le fond.
Simple exemple, les banques n'ont pas été bridées, malgré les promesses, d'un certain Hollande, notamment, qui a voulu faire croire le contraire, et qui par un effet de fric frac réglementaire leur a permis d'augmenter leur effet de levier spéculatif.
Autre exemple, la dette qui ne pourra être contenue sans un abandon des souverainetés aux grands trusts financiers américains.
Et, que l'on me dise pas que je mens parce que Goldman Sachs dirige par personne interposée la communauté financière européenne. Puisque le président de la Banque Centrale Européenne est un ancien de Goldman Sachs. Et, ce n'est pas le seul à un haut niveau bancaire en Europe.
(source : Newsring)
En tout cas, Goldman Sachs dicte sa loi à l'Europe.
(source : les Moutons Enragés)
La Banque centrale européenne (BCE), dont le président Mario Draghi est un ancien de Goldman Sachs,
a été autorisée par la Cour Européenne de Justice (CEJ) à conserver
secrets des documents expliquant comment la Grèce a savamment camouflé
sa dette. Avec l’aide (très) active de… Goldman Sachs. Tout va bien…
Au nom du droit à l’information, selon lequel « tout citoyen de l’Union a un droit d’accès aux documents de la BCE« , l’agence de presse Bloomberg a demandé, en aout 2010, la divulgation de deux documents internes de la banque centrale. Il s’agissait de savoir si des membres de la BCE étaient informés de (voire impliqués dans) ces malversations, qui ont coûté des dizaines de milliards d’euros aux citoyens européens. La demande a été retoquée du tac au tac. Bloomberg a donc fait appel à la justice. Mauvaise pioche : le tribunal de première instance de la CEJ vient de lui répondre… sous forme de boutade :
« La divulgation de ces documents aurait porté atteinte à la protection de l’intérêt public, puisqu’ils concernaient les politiques économiques de l’Union européenne et de la Grèce« . Un telle publication « aurait pu avoir des conséquences négatives sur l’accès, notamment de la Grèce, aux marchés financiers, et aurait pu affecter la conduite effective de la politique économique de la Grèce et de l’Union« , affirme l’arrêt.
Mais, pourquoi, un tel secret ?
Pour dissimuler la responsabilité des gens que la banque américaine place un peu partout dans le monde ?
(source : actualités françaises.com, biographie de mario draghi)
"De 2002 à 2005, Mario Draghi se verra au poste vice-président de la branche européenne de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs. On lui reprochera à ce titre, d’avoir caché le déficit public de la Grèce.
Il aurait utilisé des pratiques illégales contre une rémunération pour tronquer les écritures comptables. Mario Draghi n’a jamais reconnu les faits qui lui sont reprochés."
Et, me direz-vous, mes cinq chers lecteurs pourquoi cette différence ce date en l'entrée de la Gr§ce en 1981 et le poste de Mario Draghi en 2002, eh, ben, c'est la récompense.
Alors, la question, est-ce que tous les dirigeants européens étaient au courants, et, si, ils étaient au courants, pourquoi, ils l'ont nommé comme président de la BCE.
Alors, est-ce que les élus européens sont tous pourris ?
Et, là, je mets les écologistes dans le même sac.
Bien sûr, vous me direz, quel rapport avec la Grèce ?
Simple, ce n'est plus le FMI ou la communauté européenne qui nous commande, c'est Goldman Sachs et les dix familles qui s'imaginent qu'ils sont les maîtres du monde.
Oui, les maîtres du monde par rapport aux peuples chrétiens, bientôt russe, bientôt chinois ?
A mon avis, les russes ne vont pas apprécier, ni, les chinois d'ailleurs.
Pour l'instant, ils dirigent les States et l'Europe, l'Afrique, mais, pas encore le monde entier.
Réfléchissez-y, mes chers cinq lecteurs.
Et, à mon avis, les polonais devraient ne pas s'emmerder avec une zone euro qui n'est pas sûre. Parce que leur perte de niveau de vie va plonger grave, comme, elle a plongée pour nous.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Mais que fait le gouvernement polonais, mes chers cinq lecteurs ?
Mais, que fait-il,au nom de Dieu !
Eh, bien, c'est simple, il va adopter l'euro incessamment sous peu.
En pleine crise de la monnaie européenne, ça, c'est une riche idée.
Avec une convertibilité désavantageuse, ça, c'est une idée plus que riche, mais, qui risque de plonger l'économie polonaise dans un marasme économique déplaisant et provoquera un mini tsunami de licenciements.
A mon avis, la Pologne gagnerait à attendre, au moins cinq ans. Déjà, pour voir quels pays auront survécu. De toute façon, on ne s'intègre pas à un système en crise ou alors, on est "CON !"
Cela, c'est la simple logique.
Naturellement,si, vous écoutez les experts de l'un ou l'autre côté, européen ou polonais, ils vous diront, "Il faut y aller !"
Mais, y aller où ? Dans le mur ?
Cinq ans, je donne encore cinq ans pour savoir si l'euro tiendra ou disparaîtra.
Pour l'instant, on fait de l'intervention de secours, mais, on n'intervient pas sur le fond.
Simple exemple, les banques n'ont pas été bridées, malgré les promesses, d'un certain Hollande, notamment, qui a voulu faire croire le contraire, et qui par un effet de fric frac réglementaire leur a permis d'augmenter leur effet de levier spéculatif.
Autre exemple, la dette qui ne pourra être contenue sans un abandon des souverainetés aux grands trusts financiers américains.
Et, que l'on me dise pas que je mens parce que Goldman Sachs dirige par personne interposée la communauté financière européenne. Puisque le président de la Banque Centrale Européenne est un ancien de Goldman Sachs. Et, ce n'est pas le seul à un haut niveau bancaire en Europe.
(source : Newsring)
Un ancien de Goldman Sachs prend la tête de la Banque d’Angleterre
Georges Osborne, le chancelier de l’Échiquier britannique, a annoncé lundi 26 novembre la nomination du Canadien Mark Carney, 47 ans et ex-banquier chez Goldman Sachs, au poste de gouverneur de la prestigieuse Bank of England (BoE). (...)"En tout cas, Goldman Sachs dicte sa loi à l'Europe.
(source : les Moutons Enragés)
CEJ : Le secret qui couvre Goldman Sachs et la BCE
4 décembre 2012 | Posté par benji sous Argent et politique, Manipulation |
Au nom du droit à l’information, selon lequel « tout citoyen de l’Union a un droit d’accès aux documents de la BCE« , l’agence de presse Bloomberg a demandé, en aout 2010, la divulgation de deux documents internes de la banque centrale. Il s’agissait de savoir si des membres de la BCE étaient informés de (voire impliqués dans) ces malversations, qui ont coûté des dizaines de milliards d’euros aux citoyens européens. La demande a été retoquée du tac au tac. Bloomberg a donc fait appel à la justice. Mauvaise pioche : le tribunal de première instance de la CEJ vient de lui répondre… sous forme de boutade :
« La divulgation de ces documents aurait porté atteinte à la protection de l’intérêt public, puisqu’ils concernaient les politiques économiques de l’Union européenne et de la Grèce« . Un telle publication « aurait pu avoir des conséquences négatives sur l’accès, notamment de la Grèce, aux marchés financiers, et aurait pu affecter la conduite effective de la politique économique de la Grèce et de l’Union« , affirme l’arrêt.
Mais, pourquoi, un tel secret ?
Pour dissimuler la responsabilité des gens que la banque américaine place un peu partout dans le monde ?
(source : actualités françaises.com, biographie de mario draghi)
"De 2002 à 2005, Mario Draghi se verra au poste vice-président de la branche européenne de la banque d'affaires américaine Goldman Sachs. On lui reprochera à ce titre, d’avoir caché le déficit public de la Grèce.
Il aurait utilisé des pratiques illégales contre une rémunération pour tronquer les écritures comptables. Mario Draghi n’a jamais reconnu les faits qui lui sont reprochés."
Et, me direz-vous, mes cinq chers lecteurs pourquoi cette différence ce date en l'entrée de la Gr§ce en 1981 et le poste de Mario Draghi en 2002, eh, ben, c'est la récompense.
Alors, la question, est-ce que tous les dirigeants européens étaient au courants, et, si, ils étaient au courants, pourquoi, ils l'ont nommé comme président de la BCE.
Alors, est-ce que les élus européens sont tous pourris ?
Et, là, je mets les écologistes dans le même sac.
Bien sûr, vous me direz, quel rapport avec la Grèce ?
Simple, ce n'est plus le FMI ou la communauté européenne qui nous commande, c'est Goldman Sachs et les dix familles qui s'imaginent qu'ils sont les maîtres du monde.
Oui, les maîtres du monde par rapport aux peuples chrétiens, bientôt russe, bientôt chinois ?
A mon avis, les russes ne vont pas apprécier, ni, les chinois d'ailleurs.
Pour l'instant, ils dirigent les States et l'Europe, l'Afrique, mais, pas encore le monde entier.
Réfléchissez-y, mes chers cinq lecteurs.
Et, à mon avis, les polonais devraient ne pas s'emmerder avec une zone euro qui n'est pas sûre. Parce que leur perte de niveau de vie va plonger grave, comme, elle a plongée pour nous.
Bien le bonjour chez vous.
René.
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