(blog à finir et à corriger)
Une nouvelle sur le front de l'exploitation du gaz de schiste.
(source : les Moutons Enragés)
D’abord on fait les conneries, par ignorance, ou naïveté
des dirigeants si ce n’est pire… ensuite on s’inquiète des conséquences
et là, les raisons seront toujours du côté des puissants. C’est pour
notre bien puisque nous sommes demandeurs de toujours plus.
Mais, ne partez pas mes chers cinq lecteurs, je ne vous avais pas parlé du miel bleu, avais-je ?
Et, oui, posons-nous la question, mes chers cinq lecteurs, "Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ?"
Parce que la plupart d'entre-vous ne veulent pas réfléchir à ce qu'il se passe, trop anesthésies dans le confort qu'ils lui permettent de conserver. Oui, ils ont peur, perdre de tout perdre ou ce qu'il leur reste.
Sauf, qu'ils n'ont pas encore compris qu'au bout du compte, il le perdront de toute façon le confort qu'il leur reste.
Et, si, pour une partie d'entre-eux, ils s'imaginent que c'est de la faute de la gauche (par exemple en France ou des démocrates aux States),. alors, ils servent sans le comprendre les intérêts de ces grandes compagnies, rockfeller, rothschild, goldman sachs et compagnie qui vont leur enlever même leur slip en s'arrangeant pour qu'ils soient physiquement diminué afin que leurs protestations leur reste dans la gorge et n'aille pas jusqu'à les menacer.
Et, si, nous ne sommes pas contents que les socialistes se soient mis à leur service, nous avons raison. Parce que cela signifie que la gauche va achever la classe moyenne française tout en soutenant qu'elle travaille pour le bien de tous.
Le président Hollande est un menteur que nous devons combattre, notamment pour les élections municipales à venir où le choix, soit Hollande, soit sarkozy ne se posera plus.
Une nouvelle sur le front de l'exploitation du gaz de schiste.
(source : les Moutons Enragés)
La malédiction du gaz de schiste », nouveau documentaire choc sur ARTE..
11 janvier 2013 | Posté par voltigeur sous Écologie, environnement et animaux, Réflexion |
En Pologne, un village se mobilise contre le gaz de schiste jusqu’à faire vaciller sur son socle un géant américain de l’énergie. Le réalisateur Lech Kowalski revient sur son documentaire qui fait entendre la voix des petits agriculteurs, premières victimes.
Pourquoi vous intéressez-vous au gaz de schiste ?
Lech Kowalski : « Depuis deux ans, je m’intéresse aux problèmes rencontrés par les petits agriculteurs, notamment dans la partie orientale de la Pologne, à la frontière avec l’Ukraine. Dans cette zone envahie par l’agriculture intensive, ces petits fermiers pratiquent une agriculture traditionnelle. Ce ne sont pas pour autant des paysans d’un autre temps. Ils sont très bien éduqués, certains sont allés à l’université. Pendant que je les filmais, nous avons découvert que des opérations d’exploration de gaz de schiste allaient commencer dans leurs champs, sous l’égide du géant américain Chevron. Pour les petits fermiers l’impact est énorme. J’ai souhaité faire entendre leur point de vue. »
Quels sont les premiers dangers que fait courir l’extraction du gaz de schiste pour les agriculteurs ?
« En Pennsylvanie, où j’ai tourné, l’eau des puits est empoisonnée depuis le début des forages en 2007. Pour un agriculteur, l’eau est une ressource essentielle. Le lien entre l’eau souillée et les maladies dont souffrent les habitants, notamment cancers du foie ou de la rate, diarrhées, etc., est difficile à prouver. Mais dans dix ou quinze ans, le lien entre les maladies et l’extraction du gaz de schiste sera probablement avéré. »
Qu’avez-vous plus particulièrement appris en réalisant ce film ?
« Tout d’abord que quand les gens croient vraiment à un idéal, ils trouvent les moyens de lutter. Ces fermiers polonais croient vraiment en leur terre, en leur mode de vie. Ils refusent que tout cela soit détruit. Ils ont cette foi incroyable pour continuer à se battre même si les politiques et les médias sont du côté de Chevron. J’ai aussi été surpris par le degré apocalyptique des destructions engendrées par les compagnies gazières en Pennsylvanie. Elles agissent en masse et le plus vite possible. Selon moi, il s’agit d’une nouvelle forme de guerre menée contre les citoyens. Une guerre civile où les compagnies ont davantage de pouvoir que les gouvernements. Elles ont les lois pour elles. L’objectif est de faire un maximum de profits. Les citoyens ne sont plus que de simples consommateurs. Voilà la nouvelle réalité dans laquelle nous vivons. C’est le contraire de la civilisation. Les fermiers qui sont en premier affectés par ce problème ont plus de connaissances sur le sujet que bien des petits bourgeois intellectuels dans les grandes villes. Eux sont en première ligne et agissent. »
Ils gagnent même des batailles…
« Tout à fait. Chevron a décidé de se retirer de la petite commune de Zurawlow où les habitants se sont mobilisés. Les raisons n’en sont pas très claires. Les responsables de Chevron ont toujours refusé de nous rencontrer, moi ou les agriculteurs, et m’ont toujours empêché de filmer sur leurs sites. Mais à coup sûr, ils ont eu peur de la mauvaise publicité. Ces agriculteurs polonais, une trentaine de familles, sont les premiers au monde à avoir lutté contre le gaz de schiste. Et ils ont gagné. Peut-être ont-ils été chanceux… Mais le fait est qu’on peut gagner. Cela n’empêche pas Chevron de construire des puits de forage dans d’autres villages. Chaque jour un peu plus, ces compagnies détruisent les communautés, que ce soit aux États-Unis, en Pologne ou ailleurs. Seuls les plus forts continueront à se battre. »
Néanmoins, êtes-vous optimiste pour l’avenir ?
« Je pense qu’aux États-Unis, le mal est fait. Du moins en Pennsylvanie. Il faut savoir qu’en Amérique, à l’inverse de l’Europe, quand un agriculteur vend sa terre, il en vend aussi le sous-sol, qui n’appartient pas à l’État. Il touche ensuite un pourcentage sur les profits gaziers. L’Europe a sans doute plus d’opportunités d’arrêter ces compagnies et cela est dû à la manière même dont elle est structurée. Mais il faut que les législateurs soient fermes sur leur position et luttent contre les lobbies. Aux États-Unis, l’extraction du gaz de schiste ne fait que commencer et le pays se balkanise. Dans certains États, les forages seront autorisés et dans d’autres ils ne le seront pas, comme dans l’État de New York où les citoyens ne désarment pas. »
Propos recueillis et traduits de l’anglais par Laure Naimski, publiés par enerzine.com et relayés par kannie d’ SOS-planete
Mardi 29 janvier 2013 : la malédiction du gaz de schiste (documentaire)
suivi à 22.05 d’un débat animé par Emilie Aubry, avec la participation notamment de José Bové (ARTE)
Mais, ne partez pas mes chers cinq lecteurs, je ne vous avais pas parlé du miel bleu, avais-je ?
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Et, oui, posons-nous la question, mes chers cinq lecteurs, "Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ?"
Parce que la plupart d'entre-vous ne veulent pas réfléchir à ce qu'il se passe, trop anesthésies dans le confort qu'ils lui permettent de conserver. Oui, ils ont peur, perdre de tout perdre ou ce qu'il leur reste.
Sauf, qu'ils n'ont pas encore compris qu'au bout du compte, il le perdront de toute façon le confort qu'il leur reste.
Et, si, pour une partie d'entre-eux, ils s'imaginent que c'est de la faute de la gauche (par exemple en France ou des démocrates aux States),. alors, ils servent sans le comprendre les intérêts de ces grandes compagnies, rockfeller, rothschild, goldman sachs et compagnie qui vont leur enlever même leur slip en s'arrangeant pour qu'ils soient physiquement diminué afin que leurs protestations leur reste dans la gorge et n'aille pas jusqu'à les menacer.
Et, si, nous ne sommes pas contents que les socialistes se soient mis à leur service, nous avons raison. Parce que cela signifie que la gauche va achever la classe moyenne française tout en soutenant qu'elle travaille pour le bien de tous.
Le président Hollande est un menteur que nous devons combattre, notamment pour les élections municipales à venir où le choix, soit Hollande, soit sarkozy ne se posera plus.
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