vendredi 25 janvier 2013

Salut aux citoyens européens. Si, vous, vous laissez faire, vos dirigeants vous imposeront une société à l'américaine avec une fausse démocratie, mais, une vraie misère.

Tiens donc, mes chers cinq lecteurs, les psychotropes réapparaissent. Et, l'on en parle aux States concernant les individus qui massacrent à tout va.
Heureusement, que les médocs les isolent dans leur bulle individuelle en souffrance et qu'il n'existe pas encore de pilule qui autorisent un délire meurtriers en groupe.
Mais, faisons confiance à l'industrie pharmaceutique américaine, elle y parviendra.

(source : les Moutons Enragés)

Les psychotropes derrière les massacres scolaires aux Etats-Unis…


Revoilà Big Pharma.
Au cours d’un récent entretien, le Docteur David Healy, professeur de psychiatrie à l’université de Cardiff au Royaume-Uni, a dénoncé les compagnies pharmaceutiques qui se font des milliards de dollars en commercialisant des inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine, appelés ISRS (Prozac, Paxil, Zoloft, Celexa,…) qui ont selon lui une responsabilité majeure dans les massacres scolaires survenus aux Etats-Unis.  
Selon Healy, les médecins scolaires sont enclins à prescrire des médicaments ISRS sans examen sérieux. «Les compagnies pharmaceutiques fabriquent ces médicaments avec l’idée de se faire de l’argent»[...]«Il y a un large éventail de problèmes à envisager avant de prescrire ces médicaments aux enfants. Très peu d’enfants ont des problèmes graves qui justifient un traitement avec des médicaments aussi risqués les médicaments ISRS. »
« Les médicaments peuvent rendre les enfants agressifs et hostiles. Les enfants qui prennent des médicaments ISRS sont plus susceptibles de blesser ou de blesser d’autres enfants à l’école»,
Healey note qu’il existe une très forte corrélation entre les fusillades de masse et de l’utilisation des médicaments.
«Environ neuf fusillades sur 10 de ces fusillades dans les écoles et les fusillades de masse impliquent ces médicaments et on peut envisager alors qu’au moins une proportion significative de ces cas ont été causés par les médicaments »
Le problème ne risque certainement pas de s’arranger puisque le président Obama, dans une série de 23 notes et de proclamations présidentielles signées la semaine dernière, a appelé les Centers for Disease Control and Prévention (les Centres pour le Contrôle et le Dépistage des Maladies sont chargés de la santé publique) , d’entreprendre des recherches pour examiner la violence armée et explorer des nouveaux moyens médicaux pour contrôler le problème.
Au cours des 10 dernières années, principalement aux États-Unis mais également dans le reste du Monde, le nombre d’enfants et d’adolescents diagnostiqués hyperactifs, maniaco-dépressifs ou bipolaires a augmenté de plus de 4000%. Ainsi, la prescription de psychotropes a elle aussi augmenté de 250% depuis une décennie, touchant en grande partie les enfants en bas âge.
La Ritaline est un exemple emblématique de cet empoisonnement légal des enfants.
Les multinationales pharmaceutiques ont encore de beaux jours devant eux, entre maladies inventées et médicaments inutiles, le champ des possibles est immense.
Auteur : Rédaction blogapares.com
Source : www.blogapares.com
Article relayé par : jacques

J'espère que vous avez noté, mes chers lecteurs que le président Obama permet à l'industrie pharmaceutique de resserrer son emprise sur le milieu scolaire.
De toute façon, il est cul et chemise avec les lobbies.
Pauvre Amérique !
Et, après, il veut nous faire croire qu'il va protéger les plus pauvres alors qu'il n'a rien fait pour empêcher les expulsions illégales et carrément frauduleuses dans son pays.
Un jour, on saura ce qu'il a fait derrière le dos du peuple américain, comme on commence à l'apprendre au sujet du gouvernement grec.
N'oublions pas que le gouvernement grec, en pleine crise, a acheté pour 1 milliards de matériel militaire utile en cas de guérilla urbaine et a financé pour 28 millions d'euros la construction d'un circuit pour voiture de course.

(source : idem)

La Grèce aurait gonflé son déficit public sous l’oeil de Bruxelles pour justifier l’austérité

Copyright Reuters
Copyright Reuters
Le patron et deux autres cadres de l’office des statistiques grecs ont fait l’objet mardi de l’ouverture d’une enquête judiciaire pour avoir gonflé artificiellement le déficit public de la Grèce pour l’année 2009. L’objectif: justifier auprès de l’opinion la cure d’austérité imposée par Bruxelles et le FMI en échange de l’aide pour faire face à la crise de la dette. L’Union européenne, via l’institut des statistiques Eurostat, pourrait être impliquée.
Sur le même sujet.
La Grèce, son port du Pirée, ses îles… et ses scandales politico-financiers. En tête mardi, l’ouverture de poursuites par la justice grecque contre trois cadres de l’office national des statistiques (Elstat) de la péninsule. Les trois sont soupçonnés d’avoir manipulé le déficit public du pays pour l’année 2009. Ni plus ni moins.
Manipuler les chiffres pour vendre l’austérité
Les faits reprochés sont graves. A l’origine du scandale, une ancienne cadre démissionnaire d’Elstat avait accusé l’office d’avoir artificiellement gonflé le déficit public de l’État grec en 2011 afin d’en faire un record en zone euro. La supercherie, si elle est avérée, aurait eu pour but de choquer l’opinion afin qu’elle accepte mieux la cure d’austérité imposée par l’Union européenne et le Fonds monétaire international en échange de leur aide financière.
Dans le viseur de Zoe Georganta, qui porte ces accusations, son patron à Elstat et ancien statisticien au FMI, Andréas Georgious, qu’elle accuse d’avoir insisté pour faire entrer dans le déficit public de l’État les dettes des entreprises publiques de la péninsule hellénique. Une pratique à laquelle elle s’était opposée. Selon elle, sans cette manipulation, le déficit public pour l’année 2009 ne dépassait pas 12,5%, au lieu des 15,4% annoncés, et aurait pu être aisément ramené en dessous des 10% à l’aide de mesures immédiates.
Le gouvernement savait selon l’accusatrice
Suite à ces accusations, Grigoris Peponis, le procureur d’Athènes, avait réclamé la mise en place d’une commission parlementaire chargée d’étudier le niveau réel du déficit public en 2009. La Vouli, le parlement grec, a finalement accédé à cette demande en février dernier, mais l’enquête n’a pas abouti.
Devant cette commission, Zoe Georganta s’était montrée peu diserte sur la question de savoir si le gouvernement de l’époque, celui du socialiste Georges Papandréou, pouvait être derrière cet acte de tromperie présumé. Tout juste s’était elle contentée d’avancer une hypothèse selon laquelle le gouvernement pouvait avoir fait preuve “d’inexpérience ou de maladresse”, concédant à peine que certains de ses membres pouvaient “peut-être en avoir profité”.
Interrogée mardi sur une radio athénienne, Zoe Georganta s’est cette fois montrée plus catégorique, affirmant que Georges Papandréou et le ministre des Finances de l’époque, Georges Papaconstantinou, avaient approuvé le maquillage, sans pour autant être capable de dire qu’ils y avaient participé.
Soupçons à l’échelle européenne
A cette question de l’implication du gouvernement, réfutée par ailleurs par Andréas Georgiou, s’ajoute celle de l’Union européenne. Les comptes publics de la Grèce avaient à l’époque été validés sans le moindre signe de soupçon par Eurostat, que Zoe Georganta accuse d’avoir couvert l’affaire. A Luxembourg, l’institut européen des statistiques s’était à l’époque empressé d’attester de la régularité absolue des comptes grecs présenté par Elstat. Et le patron de cette dernière avait garanti que son calcul du déficit public avait été effectué en toute indépendance vis-à-vis du gouvernement de l’époque.
Il est vrai qu’Elstat avait été fondée en août 2010 sur le modèle des autres instituts de statistiques européens avec pour objectif principal de la rendre indépendante du pouvoir politique. A l’époque, le New York Times venait de révéler que la banque Goldman Sachs avait aidé le gouvernement grec à truquer ses comptes publics pour faire croire à son respect des critères requis pour l’adoption de l’Euro.
Article complet: Latribune.fr
Mais, heureusement pour les grecs, le peuple chinois vient à son secours, alors que les autres peuples européens qui devraient se montrer solidaire, évitent même d'y passer leur vacance.

(source : le Quotidien du Peuple)

La Grèce élue meilleure destination pour partir en lune de miel

Source: le Quotidien du Peuple en ligne   25.01.2013 à 16h04


La Grèce élue meilleure destination pour partir en lune de miel
La Grèce a été élue par les Chinois, meilleure destination 2012 pour partir en lune de miel, a annoncé le Consulat général de Grèce à Shanghai le 23 janvier.

Un jury composé de vingt experts chinois, comprenant notamment le directeur de l'Institut de recherche sur le tourisme enChine, Dai Bin. Plusieurs prix ont été décernés tels que la meilleure destination pour une lune de miel, le voyage le plus pur (éco-tourisme), la ville la plus attractive, la destination des loisirs. La Grèce a été désignée le lieu le plus propice pour un voyage de noces.

L'Institut de recherche sur le tourisme en Chine, qui faisait partie du jury a été établi en 2008 et est une organisation d'autorité qui étude le marché touristique chinois et mondiale géré par l'Office du tourisme chinois.

Selon plusieurs sources, en plus de ces prix, les dix meilleures destinations de l'année hors de la partie continentale ont aussi été sélectionnées par 1,2 millions d'internautes. Le classement : Les Maldives, Hongkong, Hawaii, l'île de Bali, Paris, l'île de Phuket, Vénise, Dubaï, Lucerne et Taipei.

Le nombre de touristes chinois à l'étranger en 2012 a atteint 82 millions de personnes qui ont dépensé plus de 75 milliards d'euros.+
A bientôt.
René.

Aucun commentaire: