samedi 11 février 2012

(blog à finir et à corriger)

Ainsi, donc, mes chers quatre lecteurs, j'étais à Tahiti pour enterrer ma petite maman. Elle n'a pas été enterré dans son pays, en Nouvelle Calédonie parce que aucun de ses fils ou petits fils n'y résident pour le moment.
Elle repose à Tahiti où son mari réside et son fils aîné s'y est marié. Un jour, nous la ramènerons dans son pays, si, mon père accepte qu'ils reposent là-bas non loin de là où réside sa mère adoptive que dans ces derniers jours, elle réclamais sans cesse.
Bon, 30° à Tahiti, arriver à Paris, - 8.
La maison, froide comme un glaçon, depuis que j'y suis, O° dans la maison.
Evidemment, je suis allé couper du bois sec dans le bois et la cheminée ronfle. Je suis arrivé à 14 heures, maintenant, il est 19h40 et il fait 5°.
Youpii !
Le matin ici, il fait -13°, demain, je serais congelé.
Youpii.
Mais, non, je plaisante, cela ne peut pas être pire que la femme que j'ai vu dans le 14ème arrondissement de Paris et qui s'est fait sa maison sous un pont du RER.
Pourtant, notre président avait promis que plus personne ne serait obligé de dormir dehors. Eh, oui, la faute à la crise.
Pétard, je viens de regarder le thermomètre, c'est monté à 6°.
Quand, je souffle, de la buée me sort de la bouche.
Mais, passons, l'ordi marche, j'ai réussi à faire marcher trois chauffages à gaz. J'ai le feu dans la cheminée, j'espère dormir à 1O ou à 15°.
Dommage, j'ai pas de couette, que de vieilles couvertures.
En tout cas, je remercie mon frère aîné qui m'a accueilli dans sa maison pour cette période de deuil et je remercie les tahitiens qui ont chanté dans le temple accompagné du Hukulélé.
Paix à ton âme, ma petite maman.
Bon, mes chers quatre lecteurs, je ne vous ai pas dit stricto sensu où j'étais parce que parfois, j'aime à garder mon jardin secret.
Bon, peut-être que je ne vais pas écrire longtemps parce que mes doigts s'engourdissent lorsque je les sorts mes mains de mes poches.
Donc, là, tout de suite, je fais une pause.

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