jeudi 15 septembre 2011

Salut à l'illusion, elle sert au magicien à faire porter l'attention des spectateurs, là, où, elle ne leur permet pas de comprendre. Sur leurs jolies collaboratrices, par exemple. La crise, c'est la même, ils nous la font pareille.

Et, voilà, nous y sommes. Un jour, nous saurons qui sont les responsables qui tirent les ficelles loin, très loin des caméras. Ce sont eux qui sont dangereux, eux qui veulent confisquer la démocratie, pour ne pas être obliger de se découvrir en la liquidant dans la violence.
Peut-être qu'enfin les journalistes vont faire leur boulot, remonter les filières, dénoncer les actions et les dénoncer pour que les démocraties puissent les neutraliser avant qu'ils ne les neutralisent.

(source : le Monde)

"Londres, Correspondant -
"Le grand danger qui nous guette, ce sont les banquiers de l'ombre, une soupe de structures, d'entités et d'intermédiaires hors des circuits traditionnels." Alors que les nuages de la tourmente financière des subprimes s'accumulent, en août 2007, Paul McCulley, à l'époque économiste en chef de Pimco, le premier fonds obligataire au monde, affirme que les "non banques", en raison de leur taille, alimentent les bulles et aggravent les crises.
A l'écouter, hedge funds, firmes de capital-investissement, banques d'affaires, agences de notation, spéculateurs sur les matières premières, chambres de compensation ou sociétés hors bilan créent un risque systémique en raison de la faiblesse de la surveillance.
Le concept de "shadow banking" (finance de l'ombre) est né mais personne alors n'y prête attention. Qui peut imaginer que ces circuits parallèles joueront un rôle de premier plan en 2008 dans la crise financière tout comme aujourd'hui dans la crise de l'euro, des dettes souveraines et des banques ? Tel n'est pas le moindre paradoxe, les protagonistes du tsunami actuel appartiennent à la fois au pôle réglementé et à la sphère invisible échappant à tout contrôle dénoncée par M. McCulley."

Car, le grand show continue. Et, nos gouvernants n'ont toujours pas compris qu'ils font face à une guerre qui ne dit pas son nom et que si, ils refusent d'identifier l'adversaire, ou plutôt, l'ennemi, "Nous sommes tous foutus !"

(source : le Quotidien du Peuple en ligne)

"La menace de dégradation de la note de la Chine par Fitch ne devrait guère avoir d'effets

La menace de Fitch Ratings Inc de dégrader la note de la Chine dans les deux prochaines années, du fait des risques du système bancaire du pays, ne devrait avoir qu'un impact très limité sur la stabilité financière générale du pays, d'après les experts.
Andrew Colquhoun, Directeur de la notation souveraine Asie-Pacifique chez Fitch, a été cité par Reuters, disant que la notation de dette en monnaie locale de la Chine pourrait être dégradée dans les 12 à 24 mois prochains, en cas de « détérioration matérielle de la qualité des actifs bancaires ».
Mais Xu Hongcai, Directeur adjoint du Département information au Centre Chinois pour les Echanges Economiques Internationaux, un groupe de réflexion gouvernemental, a dit pour sa part qu'une dégradation ne conduirait pas à un effondrement similaire à ce que la dégradation de la note américaine par Standard & Poor's (S&P's) a provoqué aux Etats-Unis."

Sauf, que là, ils ont l'air de plus en plus pressé de soumettre les gouvernements, au point que sans doute la machine s'emballe et qu'ils perdent le contrôle.
Et, au point que tout cela devient ridiculement "de plus en plus visible".
Alors, s'agit-il, d'un complot de "grossium" ou plus simplement d'un effet où la possession devient une obsession maladive de tout posséder, ce qui signifie contrôler.
Avec, derrière une tellement immense masse d'argent à jouer qu'aucun état ne pourrait s'y opposer puisqu'il permettrait de mettre dans les gouvernements des gens ayant la même mentalité. Ou, bien, même directement les industriels prêts à sacrifier la santé des citoyens pour encore plus de profits et donc, à même de neutraliser les lois qui les génent.
Ce fut la période, aux States Reagan et la famille Bush.
On ne peut pas dire, eux et leurs acolytes en ont bien profité.
Et, comme, je suis fatigué, cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.

PS : Dommage, pour sarko, il est arrivé trop tard pour faire la même. Par contre, en Israël et dans les dictatures arabes, ils ont pu reproduire la même domination des riches, trop, trop riches. Le plus marrant, c'est que ce sont les corrompus occidentaux qui les dénonçaient.

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