Salut aux militants socialistes. Soutenez Arnaud Montebourg pour que quelque chose change !
Voilà, mes trois chers lecteurs, je vais tenter d'expliquer la crise financière aux bretons.
Pour eux, c'est simple, la finance prédatrice, c'est comme les éleveurs de cochons et les agriculteurs, une minorité agissante. Elle est prête à détruire tout le pays et la vie de centaine de milliers de bretons au nom de leur seul profit.
Et, lorsque la Bretagne sera un désert humain, ils partiront détruire une autre région.
Et, comme la loi et le gouvernement les protègent, vous, bretons et votre belle région, la Bretagne, vous êtes foutus !
A moins d'aller contre la loi. Mais, cela, vous l'avez déjà fait à une époque lointaine, il serait peut-être temps de vous en souvenir.
Bon, ceci dit, dans un objectif pédagogique du style, "La France parle aux français".
Et, un qui a parlé aux français sur TF1, c'es le strauss kahn. Il nous a fait le coup du complot.
Mort de rire.
Sauf, que, il va être un boulet à traîner pour les socialistes puisque "monsieur" compte ou espère revenir sur le devant de la scène.
C'est bien pour cela que j'espère que Jean-Luc Mélanchon sera celui qui defendra les couleurs, non de la gauche, mais, du peuple français au deuxième tour.
Parce que revoir, strauss kahn revenir dans un gouvernement socialiste alors que tout ce qu'il a fait au FMI, c'est appliquer les recettes classiques de l'institution en nous enfonçant tous dans une crise qui menace et l'euro et l'Europe, tout en réduisant des millions de grecs à la misère, chapeau bas, messieurs.
Et, c'est cette personne là, que les socialistes veulent réintégrer !
Alors, laissons-les jouer dans leur cour, mais, sans nous.
Bon, ceci dit parce que maintenant, le même strauss kahn, maintenant qu'il n'est plus au FMI parle d'organiser le défaut de paiement de la dette.
Les experts sont de plus en nombreux à considérer cette hypothèse en maintenant la Grèce dans la zone euro.
Seulement, la maintenir dans la zone euro, même, si la dette est restructuer et en partie effacer, cela ne relancera pas la dynamique du secteur industriel qui ne pourra être effectif qu'en dehors du carcan de l'euro.
Donc, cela sera rebelote.
La plus grande partie de la dette sera effacée, donc également l'effet axphyxie du service de la dette, mais, cela restera insuffisant pour donner un coup de fouet à l'industrie.
Décidement, nos politiques européens ne sont pas comme Napoléon, il ne savent pas prendre de décision à chaud. Il leur faut réfléchir au moins trois millions d'années.
Evidemment, après, c'est trop tard.
En attendant, Israël continue à titiller la Turquie.
Décidément, le gouvernement cherche sérieusement à emmerdre les turcs.
Cette fois-ci, cela se passe à Chypre.
(source : El Watan)
"Energie: La Turquie montre les dents, ripostera aux explorations à Chypre
le 19.09.11 | 12h58
La Turquie a vivement réagi lundi aux projets de Chypre, membre de l'Union européenne, de chercher en coordination avec Israël du gaz et du pétrole au large de l'île divisée, menaçant de lancer immédiatement ses propres travaux sous protection militaire.
ImprimerPDF Envoyer à un ami Partager La Turquie a vivement réagi lundi aux projets de Chypre, membre de l'Union européenne, de chercher en coordination avec Israël du gaz et du pétrole au large de l'île divisée, menaçant de lancer immédiatement ses propres travaux sous protection militaire.
L'UE a aussitôt appelé Ankara à s'"abstenir de toute sorte de menace" qui pourrait affecter ses liens avec Chypre."
Si, Israêl continue son petit jeu en tentant de mettre la dégradation des relations sur le seul compte de la Turquie, cela va mal finir.
Et, pour finir, toujours de El Watan, ce questionnement sur les subventions agricoles allouées pour la relance de ce secteur, qui, au final finiraient dans la poche de la criminalité et.....du terrorisme.
"Financement agricole : Quand le terrorisme s’en mêle
Depuis le lancement du fameux plan national de développement agricole (PNDA), le financement de l’agriculture ne cesse pas de faire l’objet de débat mais sans que le sujet ne soit exploré dans toutes ses dimensions.
Après les dizaines de milliards de dinars absorbés entre 2001 et 2006 dans le cadre du PNDRA (développement rural et agricole), il y a eu la politique de renouveau rural et agricole mise en branle depuis 2008 avec des financements, tellement faramineux, qu’ils ont aiguisé les appétits et la gourmandise de courants habitués à la convoitise des deniers publics.
L’année dernière, un nouveau plan quinquennal pour l’agriculture (2010-2014) a été mis en œuvre dans le cadre du programme présidentiel avec un budget de 1 000 milliards de dinars, soit 200 milliards DA par année.
Ce qu’il y a lieu de relever dans toutes ces tentatives de relancer le secteur agricole, c’est qu’à aucun moment le bilan du programme précédent n’a été fait.
Mieux encore, les subventions agricoles n’ont jamais été soumises à un contrôle adéquat qui aurait permis de prévenir toute forme de détournement ou à des études efficientes qui auraient permis de faire le diagnostic juste et effectif des faiblesses et atouts de chaque filière
(...) Blanchiment d’argent et financement du terrorisme.
Ce laxisme a poussé des courants aux desseins pernicieux jusqu’à verser dans l’utilisation des fonds engagés pour le développement agricole dans la grande criminalité.
L’affaire de l’utilisation de l’argent du soutien agricole dans la culture de cannabis et d’opium révélée en 2009 dans la région d’Adrar en est la parfaite illustration.
Les dérapages risquent de s’avérer encore plus graves si les pouvoirs publics ne revoient pas leur démarche en matière de contrôle de l’argent des subventions.
Hier, sur les colonnes d’El Watan, notre collègue de Boumerdès a mis le doigt sur un fléau dont les conséquences sont à prendre au sérieux: Il s’agit des groupes terroristes qui s’impliquent dans le financement de l’agriculture ou rackettent les exploitants agricoles dans cette région du pays.
Avec le caractère informel qui prédomine le financement du secteur, l’investissement agricole risque de devenir le terrain idéal pour le blanchiment d’argent ou le financement de la criminalité sous toutes ses formes."
Dites-moi, mes chers trois lecteurs, cela ne vous rappelle pas l'Afganistan ?
On y parle d'opium, de criminalité et de terrorisme.
Tout ça, à côté de notre beau pays.
A bientôt.
René.
PS : A mon avis, les millionnaires rappers américain devraient faire un appel à Obama pour qu'il les taxe plus. Pour l'instant, silence radio !
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