blog à finir)
Vraiment, nos politiciens européens sont des "gros cons !"
Maintenant, ils commencent à faire susurrer dans les couloirs que la Grèce pourrait sortir de la zone euro.
Mais, mes pauvres messieurs, il est trop tard !
C'est au début qu'il fallait le faire au lieu de dépenser l'argent de vos citoyens bêtement. Il fallait écouter l'Allemagne, qui était droit dans ses bottes, mais, qui avait raison.
Maintenant, l'Europe, avec sarko qui voulait absolument envoyer des messages aux marchés, on se demande pourquoi, est entrée dans la spirale.
Tout ce que cela pourrait faire, c'est améliorer la situation de la Grèce, mais, pour l'Europe, c'est mort.
Moi, perso, j'en ai rien "à foutre", parce que cette europe là, n'est pas la mienne. Elle est, justement, celle des marchés.
Eh, bien, messieurs, les marchés vous l'ont mis "bien profond", pour parler vulgairement.
A qui cela va profiter, là, je vous laisse chercher. Les banques européennes, peut-être pas, mais, soyez sûrs que cela va profiter à quelques uns, dont lesquels, à mon avis, vous pouvez compter certaines multinationales et pourquoi pas, certaines nationales.
(source : l'Express.fr)
"La sortie de la Grèce de la zone euro est-elle vraiment sur la table?
Par Laura Raim - publié le 31/05/2011
Alors qu'Athènes tente désespérément de rassurer ses créanciers sur sa capacité à redresser ses finances publiques, l'éventualité d'une sortie temporaire de la zone euro a été évoquée au plus haut niveau européen. Info ou intox?
Tandis que les manifestants crient leur refus de subir plus sacrifices, l'UE et du FMI menacent la Grèce de ne pas débloquer la cinquième tranche d'aide tant que le gouvernement n'aura pas mis en place plus de mesures de rigueur. Pendant ce temps, les doutes sur la capacité du pays à revenir dans les clous se font de plus en plus forts. Non seulement il pourrait finir par restructurer sa dette, mais l'éventualité d'une sortie de la zone euro commence à faire surface. "Le scénario d'un éloignement de la Grèce de l'euro est désormais sur la table" a ainsi déclaré mercredi dernier la commissaire européenne grecque Maria Damanak."
Et, si, l'Europe, mes trois chers lecteurs, est dans la mouise grave, c'est en grande partie du à la grande intelligence de notre président national. Il continue d'ailleurs actuellement, en tenant absolument à sauver ses amis banquiers qui, eux, n'en ont rien à foutre des citoyens.
Mais, passons, parce qu'une nouvelle, oh, combien importante a failli nous échapper, Pernod Ricard s'installe en Afrique subsaharienne, soit disant parce, celle-ci serait en plein développement, ce que dément par ailleurs un rapport du Cnuced.
(source : le Quotidien du Peuple en ligne)
Le groupe de spiritueux français Pernod Ricard cherche à se développer en Afrique subsaharienne
Le directeur général du groupe des spiritueux français Pernod Ricard, Pierre Pringuet, a confirmé jeudi à Paris que son groupe cherche à se développer en Afrique subsaharienne, une région en plein développement.
Créer une division subsaharienne s'inscrit dans le cadre du projet Agility, projet qui vise une réorganisation de ses filiales et de ses marques destinée à renforcer son internationalisation, a déclaré M. Pringuet, répondant à une question lors d'une conférence de presse à Paris.
En juillet 2010, Pernod Ricard avait annoncé la création d'une nouvelle région couvrant la zone Afrique sub-saharienne, Pernod Ricard Sub-Saharan Africa, rattachée à Pernod Ricard Europe.
Pourtant, l'Afrique ne parait pas si dynamique que cela selon un rapport du Cnuced. Alors, qu'est-ce qui peut justifier que Pernod Ricard aille vendre de l'alcool dans des pays musulmans ?
Le trafic de drogue ?
Mais, non, je rigole !
En tout cas, le Cnuced, lui ne rigole pas.
(source : SlateAfrique)
mise à jour 15/07/2011,
L'industrie africaine ne pèse pas lourd.
L’industrie est un des moteurs du développement économique. Mais à en croire le rapport de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) qui vient de sortir, celui-ci est grippé en Afrique.
Citant l'étude, Sénégal Business souligne que la place de l’industrie dans le PIB du continent dépassait à peine les 10% en 2008. Pire, ce pourcentage est en recul par rapport à l’année 2000, où il s’élevait à 12,8% du PIB. Et ce trou concerne toutes les sous-régions du continent, y compris le Maghreb et l’Afrique australe."
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