Salut aux trouffions qui sont en Afghanistan. Ils ont défendu un régime pourri !
Ce blog déconne, nous sommes le Mardi 9 août, aujourd'hui.
Bon, alors, quoi, mes trois chers lecteurs, y aurait-il panique à bord après l'abaissement de la note américaine.
Les boursicoteurs craignent le naufrage alors qu'il ne s'agit que d'un geste de justice. Après, tout, pourquoi, seuls les pays européens devraient-ils subir les affres dues aux mauvaises notes décernées.
La dette de l'Amérique et sa prévision de croissance sont tels qu'il aurait été paradoxal qu'elle passe à travers les mailles du filet.
Evidemment, problème, un service de la dette qui la placerait dans l'impossibilité de réduire sa dette, tout, en lui permettant que de nourrir son service.
Une situation que connaisse très bien les paysans indiens qui d'ailleurs finissent par se suicider.
Mais, les Etats-Unis ne vont pas se suicider, comme le dit Obama, ils vont combattre et toujours, selon lui, ont les moyens et les perspectives pour le faire.
Je veux bien le croire, sauf, si, qu'une seule catégorie sociale met la main à la poche, la classe moyenne oblitérant le devoir des riches et des très riches à participer à cet effort national.
Qu'il me semble, ces gens-là, ne représentent qu'une minime partie du peuple américain, mais, possèdent une très large partie de la richesse nationale.
Obama a raison, ce combat pour les obliger à participer est fondateur du contrat de la nation et aussi de fait, fondateur de sa future réélection.
Car, pour les américains précarisés, il participe aussi de la justice sociale. Ils lui pardonneront des coupes budgétaires, si, les riches et les très riches mettent la main au portefeuille.
Cependant, il faudra les assurer que le temps de ces sacrifices, qu'ils subiront de plein fouet, ne sera que limité dans le temps et même en fixer la date limite.
Car, il faut arrêter dans les pays occidentaux de privilégier les riches su détriment du peuple.
Car, nous ne sommes pas dans les pays émergents, nous ne pouvons regretter ce que nous n'avons pas connu, mais, rechercher plutôt à reconquérir ce qu'on nous a enlevé.
Et, tudieu, mes trois chers lecteurs, ils nous ont enlevé un max, déjà en détruisant les services publiques pour nourrir le secteur privé.
Un domaine où se vautre notre président national.
Sauf que de la posture de sauveur du monde, il est passé à celle de pompiers, éteignant éternellement, comme Sisyphe de la mythologie grecque, les incendies financiers.
Eh, oui, n'est pas sauveur du monde qui veut.
Quoique là, au final, ce n'est plus l'euro qui est en jeu, mais, leur Europe, à lui et aux socialiste. Et, lorsque l'on sait comment à finit Europe, donnée par Zeus au roi de Crête. Finalement, l'histoire de l'Europe commence par la Grèce et finit par la Grèce.
Alléluia !
Mais, passons, parce qu'en Somalie, les shebab se sont retirés de Mogadiscio, simplement, parce qu'ils sont incapables de nourrir la population et l'aide alimentaire leur permettra aussi de survivre.
Et, c'est tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.
PS : Soyons clair, dans tout ce mic-mac financier, ce qui est visé, c'est l'Europe. Même, si, pourtant, ils ont voulu faire plaisir aux marchés financiers. Seulement, la raison pour laquelle, la finance ne coulera pas, c'est que l'objectif n'est pas celui que l'on croit.
Et, c'est, pour ça, que dès le départ, l'Allemagne avait raison !
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