Salut aux indiens guarani du paraguay qui meurent des pesticides de la société Mosanto. La vie humaine, décidément ne vaut rien, face àla puissance de cette multinationale.
Bon, mes trois chers lecteurs, il semblerait que le gouvernement sarko continue à cibler les niches fiscales utiles pour le plus grand nombre en évitant de toucher à celles qui privilégient les plus riches.
Et, cela provoque des remous au sein même de l'UMP.
D'ailleurs, je me demande quand les leaders de ce parti comprendront que désormais sarko est une machine à perdre et tenteront autre approche pour sauver ce qu'il reste des meubles.
(source : NouvelObs.com)
""Budget 2011 : Raffarin fustige "les petites économies"
Le sénateur de la Vienne dénonce la suppression de l'abattement sur les services à la personne, que le gouvernement a imposé au Sénat, lors du vote sur le projet de budget. La suppression de l'abattement sur les services à la personne. "C'est complètement absurde, inacceptable", et cela revient à "détricoter le plan de cohésion sociale de Jacques Chirac"."
Et, en attendant et pour parler d'autre chose, l'Algérie a vraiment du mourron à se faire dans sa recherche de nouveaux clients suite à l'exploitation aux Etats-Unis du gaz non conventionnel. La Chine cherche à en devenir acquéreur et....acteur en Australie.
(source : le Quotidien du Peuple)
"La CNOOC va acheter 50% de parts dans l'exploration de gisements de gaz à l'entreprise australienne Exoma.
La China National Offshore Oil Corporation (CNOOC) a déclaré jeudi qu'elle avait accepté de payer 50 millions de dollars australiens (48,99 millions de dollars américains) pour l'acquisition de 50% de parts dans l'exploration de gisements de gaz de l'entreprise Exoma Energy Ltd, basée en Australie.
Cela permettra à la CNOOC de participer à l'exploration de cinq blocs que détient l'Exoma dans le Bassin de Galilée de l'Etat du Queensland, contribuant ainsi à assurer l'approvisionnement en gaz naturel pour la Chine, a indiqué Fu Chengyu, directeur de la CNOOC.
Les gisements d'exploration de l'Exoma possèdent d'abondantes réserves en gaz de houille et de schiste, estimées à 2830 milliards de m3.
C'est le premier investissement de la CNOOC destiné à exploiter des gaz non conventionnels à l'étranger, a-t-il ajouté.
Cette transaction est soumise à l'approbation des gouvernements chinois et australien.
Le président de l'Exoma, Brian Barker, a annoncé que cet accord avec la CNOOC allait accélérer l'exploration des réserves de gaz dans le bassin de Galilée.
Il est convaincu que les ressources en gaz des cinq blocs pourront répondre aux demandes chinoises et australiennes.
Les actions de la CNOOC ont grimpé de 0,45%, atteignant les 18 dollars à 10H00 à la bourse de Hong Kong."
Et, pendant que les chinois s'installent durablement en Australie, une société australienne prospecte l'ex Zaire pour exploiter un gisement de fer.
(source :Managerfrican sur le net)
08/12/2010
"Une société australienne, Waratah Gold, a acheté une licence devant lui permettre de mener à partir janvier prochain des activités de recherche du fer dans la zone de Youkou, dans le Nord du Congo, a annoncé mercredi à Brazzaville le ministère congolais des Mines et de la Géologie, le général Pierre Oba.
Selon la convention, signée à Brazzaville, la société australienne travaillera sous le nom de Afriresources.
"Nous avons accéléré le processus de ce dossier pour donner à nos partenaires la possibilité de poursuivre ce travail dans la phase de recherche afin de nous permettre de nous faire des réserves et de nous fixer sur la teneur exacte du fer", a déclaré le général Oba.
Le programme de recherche permet une prévision budgétaire de 25 millions de dollars américains.
La société australienne s'engage à créer des emplois et à développer les infrastructures de la zone d’exploitation."
Pourtant, je croyais qu'il y avait beaucoup de fer en Australie. Toutes les concessions seraient-elles acquises ?
Mais, passons, parce au Proche Orient, les chrétiens sont en voie de disparition pendant que nous en Europe, on reçoit de plus en plus de populations d'origine musulmane. Au point même que l'on intégre à travers un statut de département une île peuplée uniquement de musulmans, Mayotte.
A travers le monde musulman, les minorités ethniques sont carrément en voie d'extermination ou de disparition. Je ne parle pas seulement des chrétiens parce que pour les autres minorités, c'est pire.
Alors, je me pose la question sur le silence assourdissant du pape Benoit XVI qui me frappe les oreilles.
Pourquoi, personne ne dit rien ? Y'a-t-il un problème à dénoncer l'extrémisme islamique de certains imams ou mollahs ?
Parce que ce n'est pas la position de tout les musulmans, loin s'en faut. Pourtant, elle risque de se retourner contre tous les musulmans. Car, cet argument servira un jour à l'extrême droite et aucune réponse ne pourra contrebalancer cette vérité, "en Islam, il n'y a pas de place pour une religion, sinon au cimettière".
Alors, si, c'est là l'avenir que nous réserve l'Islam, autant soutenir Israël et l'encourager à exterminer les radicaux islamistes, même à la limite en s'engageant dans Tsahal.
Alors, je lance cet appel, que Tsahal forme une légion d'étrangers si, vraiment comme le veut Al Quaïda, nous allons vers une confrontation chrétienté-islam.
Mais, non, je blague
(source : El Watan)
""Montée d’un islamisme encouragé par l’état
La crainte des coptes en Egypte
le 05.12.10 | 03h00 1 réaction
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La communauté copte d’Egypte craint d’être de plus en plus marginalisée par un islamisme qu’elle dit être encouragé par l’Etat, bien que l’opposition islamiste ait été balayée lors des législatives, dont le second tour se tient dimanche.
«La discrimination à l’égard des coptes est systématique et étendue en Egypte. On la trouve dans la bureaucratie gouvernementale, les tribunaux, la police et les universités», affirme Emad Gad, du Centre Al-Ahram pour les études politiques et stratégiques. «La discrimination ne vient pas seulement du gouvernement», mais «le gouvernement a réussi à islamiser la société (...) «Ils utilisent la religion pour obtenir le soutien des gens», ajoute-t-il, parlant d’«un système bureaucratique fanatique». «Rien que pour réparer le vitrail d’une église, vous devez obtenir la permission du gouvernement. Si vous voulez construire une mosquée, vous pouvez l’obtenir en un rien de temps», dit-il.
Il évoque notamment un système d’enseignement entièrement islamisé, la difficulté pour les chrétiens d’accéder à des postes au gouvernement et le fait que des pamphlets anti-coptes soient publiés impunément. Tout en affirmant que les chrétiens ont de bonnes raisons de se sentir marginalisés. Le politologue, Mustapha Kamel al-Sayyed, estime que cette islamisation ne vient pas du gouvernement, comme le prouve la répression contre les Frères musulmans. «Je pense que c’est l’expression d’une tendance qui affecte plusieurs pays musulmans. C’est une menace pas seulement pour les coptes, mais pour ceux qui ne partagent pas les idées des islamistes», juge-t-il.
Dans un rapport publié en novembre, le département d’Etat américain s’est plaint de l’état des libertés religieuses en Egypte, évoquant des minorités comme les chrétiens qui «subissent des discriminations collectives et personnelles»."
Bon, pour ne pas finir dans la colère, et dire des choses qui dépassent la ccohérence de ma pensée, passons au changement climatique et sa traduction dans le réel, notamment au Zimbabwe, pays martyr, à la main d'un fou furieux de président.
(source : Irin News)
"ZIMBABWE: Quand donc faut-il planter ?
HARARE, 19 novembre 2010
Le maïs, la principale culture du Zimbabwe, est menacéHARARE, 19 novembre 2010 (IRIN) - Quand une pluie légère est tombée pendant deux jours de suite à la fin du mois d’octobre 2010, Gabriel Musonza, un agriculteur de 65 ans d’un village situé à environ 70 kilomètres au nord-est de la capitale zimbabwéenne Harare, a pensé que c’était le début de la grande saison agricole.
Avec l’aide de ses trois petits-enfants adolescents, il a commencé à cultiver son champ de 12 hectares. Mais, deux semaines plus tard, la pluie avait cessé et les semences qu’ils avaient plantées n’avaient pas germé. Les températures ont alors commencé à monter en flèche.
« Avant, nous savions que la mi-septembre représentait le début des activités agricoles intenses, mais maintenant, il est extrêmement difficile de dire quand il faut commencer à planter », a dit M. Musonza à IRIN.
Ses récoltes des trois dernières années ont été faibles et le manque d’engrais, ainsi que les périodes de sécheresse prolongées, n’ont pas aidé.
En 2009, les pluies ont commencé début novembre dans cette région et elles se sont arrêtées vers la mi-décembre pour reprendre la deuxième semaine de janvier 2010, mais elles ne se sont pas transformées en averses régulières.
M. Musonza est loin d’être le seul fermier à avoir du mal à anticiper, en raison de ces pluies imprévisibles, la grande saison agricole, qui commence généralement en septembre et se termine à l’époque des récoltes, en mars.
La plupart des petits agriculteurs zimbabwéens comptent sur une pluviosité régulière. C’est également le cas des agriculteurs commerciaux, car leur matériel d’irrigation a été en bonne partie saccagé ou volé au moment du programme de redistribution des terres, en l’an 2000.
« Il n’est plus possible de prévoir avec exactitude quand il faudra commencer à planter et, dans la plupart des cas, les agriculteurs finissent par devoir replanter », a dit à IRIN Denford Chimbwanda, président de l’Association des producteurs de semences et de céréales (Grain and Cereal Producers Association, GCPA)."
Bon, ce sera tout pour aujourd'hui. Bien le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
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