Salut à mes souvenirs d'une époque où garçon de ferme, je ne mangeais que des produits naturels sans pesticides.
Bon, aujourd'hui, je vais arrêter dans la récriminations. J'ai montré mon mécontetement hier, c'est bon, je suis content.
Et, cela n'enrichit personne, ni moi, ni, mes chers trois lecteurs.
Donc, revenons-en à nos moutons. Pékin crève de pollution et pas que Pékin d'ailleurs. Comme, la capitale est dans une plaine un peu cuvette, la pollution, c'est un peu beaucoup Mexico.
Du coup, elle réduit le nombre d'immatriculations des voitures pour éviter ce qui ressemble à une saturation de l'espace par l'automobile.
Et, les constructeurs automobiles étrangers s'inquiètent de l'impact sur leur vente en Chine.
Eh, oui, mais, parmis les vingt villes les plus polluées du monde, seize sont chinoises. Au point que les autorités tentent de relancer la mode du vélo. Mais, les chinois sont affamés de consommation, vu qu'ils en ont été privés trop longtemps.
Et, cela ne risque pas de s'améliorer étant donné le nombre de paysans qui veulent descendre en ville pour obtenir un meilleur revenu.
Même le véritable esclavage auquel certains sont soumis ne les découragent pas.
Eh, oui, c'est cela aussi, le capitalisme triomphant à la chinoise. Mais, passons, car, la Chine effraie le monde industriel de la haute technologie avec "ses" terres rares. Mais, pourtant, partout, les scientifiques se penchent sur leur possible remplacement comme pour le magnésium de silicium de terre rare.
(source : Sciences et vie sur le net)
Les cellules solaires en plastique font un bon en avant
Par Pierre Grumberg • 10 décembre 2010 à 10:25 •
"Les panneaux sont fabriqués sous la forme d'un film en plastique souple
Avec 8,3 % d’énergie lumineuse transformée en énergie électrique, les panneaux plastique de la société américaine Konarka établissent une nouveau record de rendement pour les cellules à base de polymères. Les performances de ces panneaux, contrôlées par la National Energy Renewable Laboratory (NREL), sont spectaculaires : elles ont cru de près d’un tiers en trois années seulement. Le rendement du « Power Plastic » de Konarka atteint désormais la moitié de celui des cellules traditionnelles rigides à base de silicium, mais à un coût trois fois moins élevé et sur un support souple, grâce à des techniques de fabrication inspirées de l’imprimerie : les panneaux sortent sous forme de rouleaux de 152 cm de large, sur une longueur quasiment illimitée."
Pourtant, le silicium ne sera pas encore remplacé d'ici demain ainsi d'ailleurs que les autres terres rares. Mais, vu l'urgence, les financements pour la recherche vont sûrement être à la hauteur de l'angoisse de nos industriels.
De toute façon, la Chine en posséde, mais, en petite quantité. Alors, il faudra bien trouver un jour des substituts.
Pas comme le pétrole, même si, leur exploitation est aussi polluante. Pour le pétrole, on y travaille, mais, un peu le matin, pas trop vite le soir, car, il en reste encore suffisamment.
En attendant, les chinois garderont une position dominante. Ce qui risque d'entraîner les entreprises concernées à se délocaliser en Chine pour être au plus près de la ressource.
(source : pelletier.chez-alice.fr)
"Dans le cadre particulier de la micro-électronique, la course entreprise vers la haute intégration des composants à base de silicium a entraîné des études sur le choix de nouveaux composés pour la réalisation des contacts électriques. Les premiers contacts étudiés furent les siliciures de métaux nobles et les plus récents, les siliciures de terres rares (TR)."
Peut-être la chasse aux météorites, si, elles en contiennent. Et, si, elles en contiennent beaucoup, pourquoi pas un sytème d'aimants pour les amener à s'écraser dans les pays demandeurs pour nos industriels.
Un peu de science fiction n'a jamais fait de mal à personne par ses temps de pénurie drastique.
Et, si, cela provoque des victimes, on les passera en perte et profit. Nos industriels ont l'habitude, ils savent faire.
Parce qu'entre-nous, ils vont en avoir besoin, vu que le produit va manquer.
(source : le Quotidien du Peuple sur le net)
"La Chine instaure ses premiers quotas à l'exportation de terres rares pour 2011
La Chine a instauré ses premiers quotas de terres rares à l'exportation pour 2011. Les exportations de cette matière première seront donc limitées à 14 446 tonnes, selon une déclaration du ministère chinois du Commerce publiée sur son site Internet mardi.
Ce quota est en baisse de 11,4% en glissement annuel par rapport aux 16 304 tonnes de la première tranche de 2010, selon des déclarations préalables du ministère.
Au total 31 compagnies, qui comprennent des entreprises nationales et à capitaux étrangers, ont été autorisée à exporter des terres rares en 2011, selon la déclaration.
Les quotas de terres rares à l'exportation de Chine se sont élevés à 30 300 tonnes en 2010, soit un déclin de près de 40% par rapport à 2009. Cependant lors des trois premiers trimestres de 2010 la Chine avait déjà dépassé ses quotas, avec 32 200 tonnes de terres rares exportées.
Avec environ 30% des réserves mondiales de terres rares, la Chine fournit 90% de la demande globale."
Alors, un petit génie du concours Lépine va-t-il nous sortir une nouvelle invention ?
Parce qu'autrement, les voyages dans l'univers, c'est mort !
Et, si, c'est mort, les livres de Science fiction aussi.
Au risque de ne pas voir apparaître un nouveau L. Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie.
Quel dommage, pourtant le monde a besoin de nouveaux bouffons tellement, il est triste.
Mais, passons. Parlons plutôt que font les cultures de palmiers en Indonésie et notamment sur l'île de Bornéo. Cependant, il faut le dire, l'huile de palme, ce n'est pas seulement pour l'agro-carburant, vous en retrouvez partout dans les gâteaux secs que vous offrez à vos enfants comme les pépito. On la retrouve partout dans le culinaire sucré. Elle coûte moins cher évidemment.
Sauf, qu'à chaque fois que vous consommez ce genre de produit, vous participez à l'éradication de la forêt naturelle de Bornéo, de l'Amazonie et autre.
Bon appétit !
(source : Survival International)
"Les tribus de Bornéo menacées par l’huile de palme (20 Décembre).
Les compagnies d'huile de palme se sont déjà installées sur la terre des Penan.
Les chasseurs-cueilleurs penan et d’autres tribus de Bornéo sont menacés par de nouveaux projets d’expansion de plantations de palmiers à huile à grande échelle dans l’Etat malaisien du Sarawak.
Le gouvernement du Sarawak a annoncé son intention de doubler la superficie des plantations de palmiers à huile d’ici 2020 en exploitant les terres indigènes qui, prétend-il, sont ‘en majorité sous-utilisées et sans titres de propriété’.
Les compagnies d’exploitation forestière ont déjà détruit une grande partie de la forêt dont les Penan dépendent pour leur survie. Comme les tribus voisines, ils assistent à la liquidation de leurs terres au profit des plantations de palmiers à huile. Ils ont porté plus d’une centaine de recours devant les tribunaux pour faire valoir leurs droits territoriaux."
Eh, oui, mes chers trois lecteurs et sur l'avenir du peuple Penan, je vous laisse en vous souhaitant le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
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