Salut aux ivoiriens, quelque soit leur camp !
Aujourd'hui, je ne sais, si je pourrais achever ce blog une fois rentrer dans mes pénates, vu qu'hier, j'ai subi une dizaine de pannes d'électricité dans la soirée. Voilà, ce qu'il se passe lorsque vous décidez de partir vivre en France profonde. En hiver, vous, vous retrouvez bloquer par la neige et en été, la chaleur est tellement forte que les rails se dilatent, bloquant les trains.
Sauf que, sauf que je vais planter bio et avec des graines des anciennes espèces. Pas celles d'aujourd'hui trafiquées et stériles.
Mais, passons, car nos vins sont partis à la conquête de la Chine, ce qui devrait résorber la crise du secteur.
(source : le Quotidien du Peuple en ligne)
Le vin chinois souffre d'une double pression.
Les marques de vin chinois ne sont pas seulement en proie à des produits contrefaits de mauvaise qualité, mais souffrent aussi de la concurrence des marques étrangères. Hier lors d'une conférence sur les vins chinois, Qian Bin, fonctionnaire chargé de la règlementation des opérations sur le marché du Ministère du Commerce a révélé que de 2004 à 2009, la quantité de vin importée en Chine s'est accrue de 250 millions de dollars à 1,05 millard de dollars, soit une augmentation de 3,2 fois.
Et selon des données transmises par Zhu Sixu de l'Association de l'industrie des alcools du Guangdong, la situation semble plus inquiétante. Sur le marché du Guangdong, la consommation d'alcool, de vin et de boissons alcoolisées et celle de bière occupe chacune un tiers des parts. Mais à Shenzhen, on a dépensé en 2009 1,8 millard de yuans (environ 200 millions d'euros) en alcool, 2,8 millards (320 millions d'euros) de yuans en boissons alcoolisées importées et 800 millions de yuans (79 millions d'euros) en vins étrangers. La dépense en vins et boissons alcoolisées étrangers représente 2 fois la consommation d'alcools chinois.
La Chine est un grand producteur de vin dans le monde. En 2009, la production de vin chinois a été de 96 millions de tonnes et reste à la 8e place du monde, soit un peu moins que le 7e (100 millions de tonnes). Cette année, la production de vin de la Chine pourrait monter à la 7e place.
Face à l'invasion des vins étrangers en Chine, Wang Xinguo, président de l'Association de la circulation des alcools a expliqué que de plus en plus de « Post-80 » et « Post-90 » devenaient les principaux consommateurs, dont certains ont adopté le mode de vie occidental. Par rapport aux alcools ils préfèrent le café, le coca-cola et le vin.
Actuellement de nombreux vins étrangers sont vendus sur le marché chinois, dont les vins français sont les plus connus, plus variés et occupent la plus grande part du marché chinois. Tous les vins importés de France ne sont pas de haute qualité, mais ils sont vendus quand même à des prix élevés."
Ah, Ah, les négociants se font de l'argent sur les producteurs. Euh, finalement, la crise n'est peut-être pas terminée dans le secteur si les négociants ou les grandes boîtes de distribution comme Carrefour étranglent les producteurs sur leur marge.
Donc, sans doute, sur le terrain, rien n'a dû changé. Pourtant, vous venez de le lire, "Tous les vins ne sont pas de haute qualité, mais, ils sont vendus quant même à des prix élevés".
Et, là, c'est sûr, mes trois chers lecteurs, les producteurs ne touche pas un penny en plus. Espèrons que les coopératives vinicoles se sont lancées sur le marché chinois, autrement, cela voudrait dire que leurs responsables sont vraiment stupides.
Mais, passons.
Oui, hier, avant que l'électricité ne joue à saute mouton chez moi, je voulais vous dire un mot sur la Côte d'Ivoire.
Ce que ressentent les gens du sud, c'est comme ci, en France, les immigrés prenaient le pouvoir politique. A votre avis, comment réagiraient les français ?
Déjà, que comme les autres européens, ils ressentent l'immigration comme une agression, les ivoiriens du sud, c'est en pire qu'ils la ressentent.
Et, ce n'est pas tellement les ivoiriens du nord que l'immigration venue des pays limitrophes et de même ethnie.
Ils ont peur comme tout bon français qu'ils viennent leur tondre la laine sur leur dos. C'est-à-dire, "S'accaparer tout !" Les postes politiques qui contrôlent la manne financière et surtout les terres. Sans compter que la masse potentiellement immigrable du Burkina et du Mali peut les noyer démographiquement, leur enlevant, par le jeu de l'acquisition de la nationalité, tout avenir sur leur propre terre.
Qu'il y ait eu fraude dans le nord, c'est un fait.
Qu'il y en ait eu aussi dans le sud, est également un fait.
Par contre, il semblerait qu'elle fut plus importante dans le nord.
Ces élections, donc, des deux côtés étaient entachées de fraudes, elles n'auraient pas dû être validées.
La précipitation de l'instance internationale et française pour les valider est donc entachée d'un soupçon de complot. Un complot pour se débarrasser, même au prix d'une forfaiture, de Laurent Gbagbo.
Un recomptage des voix comme l'a proposé Jerry Rawlings, l'ancien président du Ghana aurait été la moindre des choses.
Car, le seul président à avoir le désir d'une réelle intervention militaire est le président du Burkinabé. Par contre, le Malin ne dispose déjà pas d'une force militaire capable de contrôler la zone touareg, ce n'est pas pour intervenir en Côte d'Ivoire.
Tout ce que peut provoquer l'intervention intempestive de l'ONU et de la France, c'est un basculement des alliances de la zone et une implosion de ladite zone impliquant le Libéria et le Ghana.
Personnellement, je n'ai aucune estime pour Gbagbo et de sa femme. Mais, sarkozy a bêtement mis le feu au poudre. Et, la poudre en Afrique, cela signifie des milliers de morts.
Parce qu'entre-nous, la France qui se met, en Afrique, à faire l'apologie de la démocratie, y'a de quoi doucement rigoler !
Que sarko s'en fasse le chantre, c'est mort de rire, si, ce n'était tragico-comique.
Il faut raison garder et en urgence !
Parce que tous les pays africains ne sont pas contre Gbagbo et pourraient intervenir militairement en sa faveur. Par exemple des pays qui ont des comptes à régler avec la France. Je parle de l'Angola. Donc, je ne pense pas que le président du Burkina soit prêt à affronter les troupes de Luanda.
Est-ce que notre président national qui connaît tout, à considérer toutes les paramètres en jeu ? Sûrement, pas, parce que l'Afrique, il n'y connait que Pouik !
Et, ses conseillers ont l'air de se croire encore à l'époque gaullienne.
Gbagbo ne partira pas.
Non seulement, la France va se déconsidérer complètement dans la région, mais, elle va pousser les pays de la francafrique à diversifier leurs alliances économiques et militaires.
Le temps de la France se termine en Afrique de l'ouest, grâce à notre président national. De toute façon, il avait commencé sa relation avec le continent noir par un discours insultant vis-à-vis des africains. Il termine son premier mandat en déconsidérant définitivement la France, c'est normal, il n'est pas à la hauteur.
En tout cas, la guerre civile se prépare. Et, les menaces internationales et françaises n'y feront rien. Si, effectivement, elles pouvaient être efficaces, le président du Zimbabwe ne seraient plus au pouvoir, l’Armée de résistance du Seigneur [ARS, Lord’s Resistance Army] ne continueraient pas à massacrer en Ouganda, au sud Soudan, dans l'ex Zaïre et en Centreafrique.
Alors, arrêtez de nous faire rire en essayant de leur faire peur.
Les gens du sud savent ce que valent les menaces de l'ONU, qu'elles soient rétorsions financières ou militaires. Y'a qu'à voir dans l'ex Zaïre, les habitants se sont fait massacrer joyeusement et les femmes violées, pratiquement sous les yeux des troupes de l'ONU.
La proposition de Jerry Rawlings était la meilleure. Sauf, que maintenant, ce n'est plus le recomptage qui est en jeu, c'est organiser une nouvelle élection. De toute façon, elle coûtera moins cher en vie humaine et financièrement que la guerre civile qui se prépare et qui risque d'impliquer beaucoup de pays de la sous région.
Et, dire que Ouattara a été premier ministre de Félix Houphouët-Boigny et sous directeur du FMI, pour moi, ce n'est pas une référence d'honnêteté et surtout de non pratique de clientélisme exacerbée. Gbagba pratique la même comme tout bon élu africain qui se respecte.
Pour le moment, toutes les parties concernées en sont au déclaratif. Méfiant nous que le déclaratif ne devienne acte parce que Abidjan ne doit pas devenir la Sierra Léone.
Alors, arrêtez les rodomontade et organisez de nouvelles élections. Tout, plutôt qu'une guerre civile. Parce que, que cela soit dans le sud ou dans le nord, tout le monde a peur.
Voilà, c'est tout pour aujourd'hui.
A Bientôt.
René.
vendredi 31 décembre 2010
jeudi 30 décembre 2010
(blog à finir)
Après, six ou sept ans de sécheresse extrême qui a vu le suicide de fermiers, les australiens connaissent une autre extrême, des pluies violentes suivies d'innondation.
En France, un froid extrême dans une période de grande chaleur dans le reste du monde.
Le Queensland sous les eaux
Pacifique - Australie
Mer 29 Déc 2010 |20:00
Des autoroutes coupées, des crocodiles en liberté et la pluie qui n’arrête pas de tomber... Les secours du Queensland sont débordés en ce début de semaine, alors que certains inconscients continuent de braver les inondations malgré les alertes.
Le gouvernement du Queensland a déclaré l’état de catastrophe naturelle pour trois villes de l’Etat suite aux inondations qui frappent la région. Une alerte aux crocodiles a aussi été lancée.
Plus de 230 millimètres de pluie sont tombés en 24 heures sur la ville de Springsure à l’ouest de Gadstone dans le Queensland et le gouvernement de l’Etat a déclaré hier l’état de catastrophe naturelle (1) pour les villes de Theodore, Dalby et Chinchilla. Trois cents personnes ont été évacuées par cinq avions affrétés pour l’occasion de la ville de Theodore à l’ouest de Bundaberg.
Les autorités ont demandé aux habitants de la ville d’Ingham, dans le nord du Queensland, d’être particulièrement attentifs, des crocodiles ayant pu dériver avec le courant jusque dans le centre-ville."
(en fait, j'ai écris sur la Côte d'Ivoire pour vous donner l'opinion des gens du sud. Mais, l'électricité a explosé au moins dix fois. Donc, je vous raconterais ça demain, parce que cela m'a soûlé).
A demain.
René.
Après, six ou sept ans de sécheresse extrême qui a vu le suicide de fermiers, les australiens connaissent une autre extrême, des pluies violentes suivies d'innondation.
En France, un froid extrême dans une période de grande chaleur dans le reste du monde.
Le Queensland sous les eaux
Pacifique - Australie
Mer 29 Déc 2010 |20:00
Des autoroutes coupées, des crocodiles en liberté et la pluie qui n’arrête pas de tomber... Les secours du Queensland sont débordés en ce début de semaine, alors que certains inconscients continuent de braver les inondations malgré les alertes.
Le gouvernement du Queensland a déclaré l’état de catastrophe naturelle pour trois villes de l’Etat suite aux inondations qui frappent la région. Une alerte aux crocodiles a aussi été lancée.
Plus de 230 millimètres de pluie sont tombés en 24 heures sur la ville de Springsure à l’ouest de Gadstone dans le Queensland et le gouvernement de l’Etat a déclaré hier l’état de catastrophe naturelle (1) pour les villes de Theodore, Dalby et Chinchilla. Trois cents personnes ont été évacuées par cinq avions affrétés pour l’occasion de la ville de Theodore à l’ouest de Bundaberg.
Les autorités ont demandé aux habitants de la ville d’Ingham, dans le nord du Queensland, d’être particulièrement attentifs, des crocodiles ayant pu dériver avec le courant jusque dans le centre-ville."
(en fait, j'ai écris sur la Côte d'Ivoire pour vous donner l'opinion des gens du sud. Mais, l'électricité a explosé au moins dix fois. Donc, je vous raconterais ça demain, parce que cela m'a soûlé).
A demain.
René.
mercredi 29 décembre 2010
"Le monde semble sombre quand on a les yeux fermés." Proverbe Indien.
Salut à mes souvenirs d'une époque où garçon de ferme, je ne mangeais que des produits naturels sans pesticides.
Bon, aujourd'hui, je vais arrêter dans la récriminations. J'ai montré mon mécontetement hier, c'est bon, je suis content.
Et, cela n'enrichit personne, ni moi, ni, mes chers trois lecteurs.
Donc, revenons-en à nos moutons. Pékin crève de pollution et pas que Pékin d'ailleurs. Comme, la capitale est dans une plaine un peu cuvette, la pollution, c'est un peu beaucoup Mexico.
Du coup, elle réduit le nombre d'immatriculations des voitures pour éviter ce qui ressemble à une saturation de l'espace par l'automobile.
Et, les constructeurs automobiles étrangers s'inquiètent de l'impact sur leur vente en Chine.
Eh, oui, mais, parmis les vingt villes les plus polluées du monde, seize sont chinoises. Au point que les autorités tentent de relancer la mode du vélo. Mais, les chinois sont affamés de consommation, vu qu'ils en ont été privés trop longtemps.
Et, cela ne risque pas de s'améliorer étant donné le nombre de paysans qui veulent descendre en ville pour obtenir un meilleur revenu.
Même le véritable esclavage auquel certains sont soumis ne les découragent pas.
Eh, oui, c'est cela aussi, le capitalisme triomphant à la chinoise. Mais, passons, car, la Chine effraie le monde industriel de la haute technologie avec "ses" terres rares. Mais, pourtant, partout, les scientifiques se penchent sur leur possible remplacement comme pour le magnésium de silicium de terre rare.
(source : Sciences et vie sur le net)
Les cellules solaires en plastique font un bon en avant
Par Pierre Grumberg • 10 décembre 2010 à 10:25 •
"Les panneaux sont fabriqués sous la forme d'un film en plastique souple
Avec 8,3 % d’énergie lumineuse transformée en énergie électrique, les panneaux plastique de la société américaine Konarka établissent une nouveau record de rendement pour les cellules à base de polymères. Les performances de ces panneaux, contrôlées par la National Energy Renewable Laboratory (NREL), sont spectaculaires : elles ont cru de près d’un tiers en trois années seulement. Le rendement du « Power Plastic » de Konarka atteint désormais la moitié de celui des cellules traditionnelles rigides à base de silicium, mais à un coût trois fois moins élevé et sur un support souple, grâce à des techniques de fabrication inspirées de l’imprimerie : les panneaux sortent sous forme de rouleaux de 152 cm de large, sur une longueur quasiment illimitée."
Pourtant, le silicium ne sera pas encore remplacé d'ici demain ainsi d'ailleurs que les autres terres rares. Mais, vu l'urgence, les financements pour la recherche vont sûrement être à la hauteur de l'angoisse de nos industriels.
De toute façon, la Chine en posséde, mais, en petite quantité. Alors, il faudra bien trouver un jour des substituts.
Pas comme le pétrole, même si, leur exploitation est aussi polluante. Pour le pétrole, on y travaille, mais, un peu le matin, pas trop vite le soir, car, il en reste encore suffisamment.
En attendant, les chinois garderont une position dominante. Ce qui risque d'entraîner les entreprises concernées à se délocaliser en Chine pour être au plus près de la ressource.
(source : pelletier.chez-alice.fr)
"Dans le cadre particulier de la micro-électronique, la course entreprise vers la haute intégration des composants à base de silicium a entraîné des études sur le choix de nouveaux composés pour la réalisation des contacts électriques. Les premiers contacts étudiés furent les siliciures de métaux nobles et les plus récents, les siliciures de terres rares (TR)."
Peut-être la chasse aux météorites, si, elles en contiennent. Et, si, elles en contiennent beaucoup, pourquoi pas un sytème d'aimants pour les amener à s'écraser dans les pays demandeurs pour nos industriels.
Un peu de science fiction n'a jamais fait de mal à personne par ses temps de pénurie drastique.
Et, si, cela provoque des victimes, on les passera en perte et profit. Nos industriels ont l'habitude, ils savent faire.
Parce qu'entre-nous, ils vont en avoir besoin, vu que le produit va manquer.
(source : le Quotidien du Peuple sur le net)
"La Chine instaure ses premiers quotas à l'exportation de terres rares pour 2011
La Chine a instauré ses premiers quotas de terres rares à l'exportation pour 2011. Les exportations de cette matière première seront donc limitées à 14 446 tonnes, selon une déclaration du ministère chinois du Commerce publiée sur son site Internet mardi.
Ce quota est en baisse de 11,4% en glissement annuel par rapport aux 16 304 tonnes de la première tranche de 2010, selon des déclarations préalables du ministère.
Au total 31 compagnies, qui comprennent des entreprises nationales et à capitaux étrangers, ont été autorisée à exporter des terres rares en 2011, selon la déclaration.
Les quotas de terres rares à l'exportation de Chine se sont élevés à 30 300 tonnes en 2010, soit un déclin de près de 40% par rapport à 2009. Cependant lors des trois premiers trimestres de 2010 la Chine avait déjà dépassé ses quotas, avec 32 200 tonnes de terres rares exportées.
Avec environ 30% des réserves mondiales de terres rares, la Chine fournit 90% de la demande globale."
Alors, un petit génie du concours Lépine va-t-il nous sortir une nouvelle invention ?
Parce qu'autrement, les voyages dans l'univers, c'est mort !
Et, si, c'est mort, les livres de Science fiction aussi.
Au risque de ne pas voir apparaître un nouveau L. Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie.
Quel dommage, pourtant le monde a besoin de nouveaux bouffons tellement, il est triste.
Mais, passons. Parlons plutôt que font les cultures de palmiers en Indonésie et notamment sur l'île de Bornéo. Cependant, il faut le dire, l'huile de palme, ce n'est pas seulement pour l'agro-carburant, vous en retrouvez partout dans les gâteaux secs que vous offrez à vos enfants comme les pépito. On la retrouve partout dans le culinaire sucré. Elle coûte moins cher évidemment.
Sauf, qu'à chaque fois que vous consommez ce genre de produit, vous participez à l'éradication de la forêt naturelle de Bornéo, de l'Amazonie et autre.
Bon appétit !
(source : Survival International)
"Les tribus de Bornéo menacées par l’huile de palme (20 Décembre).
Les compagnies d'huile de palme se sont déjà installées sur la terre des Penan.
Les chasseurs-cueilleurs penan et d’autres tribus de Bornéo sont menacés par de nouveaux projets d’expansion de plantations de palmiers à huile à grande échelle dans l’Etat malaisien du Sarawak.
Le gouvernement du Sarawak a annoncé son intention de doubler la superficie des plantations de palmiers à huile d’ici 2020 en exploitant les terres indigènes qui, prétend-il, sont ‘en majorité sous-utilisées et sans titres de propriété’.
Les compagnies d’exploitation forestière ont déjà détruit une grande partie de la forêt dont les Penan dépendent pour leur survie. Comme les tribus voisines, ils assistent à la liquidation de leurs terres au profit des plantations de palmiers à huile. Ils ont porté plus d’une centaine de recours devant les tribunaux pour faire valoir leurs droits territoriaux."
Eh, oui, mes chers trois lecteurs et sur l'avenir du peuple Penan, je vous laisse en vous souhaitant le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
Bon, aujourd'hui, je vais arrêter dans la récriminations. J'ai montré mon mécontetement hier, c'est bon, je suis content.
Et, cela n'enrichit personne, ni moi, ni, mes chers trois lecteurs.
Donc, revenons-en à nos moutons. Pékin crève de pollution et pas que Pékin d'ailleurs. Comme, la capitale est dans une plaine un peu cuvette, la pollution, c'est un peu beaucoup Mexico.
Du coup, elle réduit le nombre d'immatriculations des voitures pour éviter ce qui ressemble à une saturation de l'espace par l'automobile.
Et, les constructeurs automobiles étrangers s'inquiètent de l'impact sur leur vente en Chine.
Eh, oui, mais, parmis les vingt villes les plus polluées du monde, seize sont chinoises. Au point que les autorités tentent de relancer la mode du vélo. Mais, les chinois sont affamés de consommation, vu qu'ils en ont été privés trop longtemps.
Et, cela ne risque pas de s'améliorer étant donné le nombre de paysans qui veulent descendre en ville pour obtenir un meilleur revenu.
Même le véritable esclavage auquel certains sont soumis ne les découragent pas.
Eh, oui, c'est cela aussi, le capitalisme triomphant à la chinoise. Mais, passons, car, la Chine effraie le monde industriel de la haute technologie avec "ses" terres rares. Mais, pourtant, partout, les scientifiques se penchent sur leur possible remplacement comme pour le magnésium de silicium de terre rare.
(source : Sciences et vie sur le net)
Les cellules solaires en plastique font un bon en avant
Par Pierre Grumberg • 10 décembre 2010 à 10:25 •
"Les panneaux sont fabriqués sous la forme d'un film en plastique souple
Avec 8,3 % d’énergie lumineuse transformée en énergie électrique, les panneaux plastique de la société américaine Konarka établissent une nouveau record de rendement pour les cellules à base de polymères. Les performances de ces panneaux, contrôlées par la National Energy Renewable Laboratory (NREL), sont spectaculaires : elles ont cru de près d’un tiers en trois années seulement. Le rendement du « Power Plastic » de Konarka atteint désormais la moitié de celui des cellules traditionnelles rigides à base de silicium, mais à un coût trois fois moins élevé et sur un support souple, grâce à des techniques de fabrication inspirées de l’imprimerie : les panneaux sortent sous forme de rouleaux de 152 cm de large, sur une longueur quasiment illimitée."
Pourtant, le silicium ne sera pas encore remplacé d'ici demain ainsi d'ailleurs que les autres terres rares. Mais, vu l'urgence, les financements pour la recherche vont sûrement être à la hauteur de l'angoisse de nos industriels.
De toute façon, la Chine en posséde, mais, en petite quantité. Alors, il faudra bien trouver un jour des substituts.
Pas comme le pétrole, même si, leur exploitation est aussi polluante. Pour le pétrole, on y travaille, mais, un peu le matin, pas trop vite le soir, car, il en reste encore suffisamment.
En attendant, les chinois garderont une position dominante. Ce qui risque d'entraîner les entreprises concernées à se délocaliser en Chine pour être au plus près de la ressource.
(source : pelletier.chez-alice.fr)
"Dans le cadre particulier de la micro-électronique, la course entreprise vers la haute intégration des composants à base de silicium a entraîné des études sur le choix de nouveaux composés pour la réalisation des contacts électriques. Les premiers contacts étudiés furent les siliciures de métaux nobles et les plus récents, les siliciures de terres rares (TR)."
Peut-être la chasse aux météorites, si, elles en contiennent. Et, si, elles en contiennent beaucoup, pourquoi pas un sytème d'aimants pour les amener à s'écraser dans les pays demandeurs pour nos industriels.
Un peu de science fiction n'a jamais fait de mal à personne par ses temps de pénurie drastique.
Et, si, cela provoque des victimes, on les passera en perte et profit. Nos industriels ont l'habitude, ils savent faire.
Parce qu'entre-nous, ils vont en avoir besoin, vu que le produit va manquer.
(source : le Quotidien du Peuple sur le net)
"La Chine instaure ses premiers quotas à l'exportation de terres rares pour 2011
La Chine a instauré ses premiers quotas de terres rares à l'exportation pour 2011. Les exportations de cette matière première seront donc limitées à 14 446 tonnes, selon une déclaration du ministère chinois du Commerce publiée sur son site Internet mardi.
Ce quota est en baisse de 11,4% en glissement annuel par rapport aux 16 304 tonnes de la première tranche de 2010, selon des déclarations préalables du ministère.
Au total 31 compagnies, qui comprennent des entreprises nationales et à capitaux étrangers, ont été autorisée à exporter des terres rares en 2011, selon la déclaration.
Les quotas de terres rares à l'exportation de Chine se sont élevés à 30 300 tonnes en 2010, soit un déclin de près de 40% par rapport à 2009. Cependant lors des trois premiers trimestres de 2010 la Chine avait déjà dépassé ses quotas, avec 32 200 tonnes de terres rares exportées.
Avec environ 30% des réserves mondiales de terres rares, la Chine fournit 90% de la demande globale."
Alors, un petit génie du concours Lépine va-t-il nous sortir une nouvelle invention ?
Parce qu'autrement, les voyages dans l'univers, c'est mort !
Et, si, c'est mort, les livres de Science fiction aussi.
Au risque de ne pas voir apparaître un nouveau L. Ron Hubbard, fondateur de la Scientologie.
Quel dommage, pourtant le monde a besoin de nouveaux bouffons tellement, il est triste.
Mais, passons. Parlons plutôt que font les cultures de palmiers en Indonésie et notamment sur l'île de Bornéo. Cependant, il faut le dire, l'huile de palme, ce n'est pas seulement pour l'agro-carburant, vous en retrouvez partout dans les gâteaux secs que vous offrez à vos enfants comme les pépito. On la retrouve partout dans le culinaire sucré. Elle coûte moins cher évidemment.
Sauf, qu'à chaque fois que vous consommez ce genre de produit, vous participez à l'éradication de la forêt naturelle de Bornéo, de l'Amazonie et autre.
Bon appétit !
(source : Survival International)
"Les tribus de Bornéo menacées par l’huile de palme (20 Décembre).
Les compagnies d'huile de palme se sont déjà installées sur la terre des Penan.
Les chasseurs-cueilleurs penan et d’autres tribus de Bornéo sont menacés par de nouveaux projets d’expansion de plantations de palmiers à huile à grande échelle dans l’Etat malaisien du Sarawak.
Le gouvernement du Sarawak a annoncé son intention de doubler la superficie des plantations de palmiers à huile d’ici 2020 en exploitant les terres indigènes qui, prétend-il, sont ‘en majorité sous-utilisées et sans titres de propriété’.
Les compagnies d’exploitation forestière ont déjà détruit une grande partie de la forêt dont les Penan dépendent pour leur survie. Comme les tribus voisines, ils assistent à la liquidation de leurs terres au profit des plantations de palmiers à huile. Ils ont porté plus d’une centaine de recours devant les tribunaux pour faire valoir leurs droits territoriaux."
Eh, oui, mes chers trois lecteurs et sur l'avenir du peuple Penan, je vous laisse en vous souhaitant le bonjour chez vous.
A bientôt.
René.
lundi 27 décembre 2010
Aujourd'hui, un peu de mots.
Alors, quoi ! Les cancers, leucémies et autres saloperies sont en augmentation constante.
Bien, on est content de l'apprendre. On le savait, mais, on est quand même content de l'apprendre.
Et, dans tout ça, les industrie agro-alimentaire et chimique sont innocentes, évidemment.
Toutes les saloperies qu'ils nous font ingérer, qui s'accumulent et sont là comme des petits tchernobyls, prêts à nous faire basculer dans une maladie grave.
Dire que dans les années 1950, aucun pesticide ou autre n'était utilisé pour les cultures.
Il est inéductable que les maladies se multiplient et aussi, inéductable qu'elles apparaissent chez les plus jeunes. A force de manger de la bouffe empoisonnée, rien de plus normal. Nous ne sommes pas des supers men, après tout.
Après, qui va nous prendre en charge, si la sécurité sociale ne remboursent plus que quelques médicaments, les moins coûteux, naturlich ?
Les industriels s'en seront mis plein les poches et c'est encore nous qui sommes obligés de prendre en charge les effets collatéraux.
Et, comme sarko réduit de plus en plus les possibilités de prise en charge de la sécurité, ils n'auront plus qu'à crever, dans le silence, tous ces malades.
Le gouvernement sait que tous les produits qu'ils utilisent dans l'agriculture sont néfastes pour la santé public. Il devait d'ailleurs, dans le cadre du Grenelle de l'environnement, obliger les agriculteurs à réduire de 20% leur utilisation. Il a reculé !
C'est-à-dire que consciemment, il sacrifie la santé de milliers de français pour ne pas écorner les bénéfices de l'agro-alimentaire et de l'industrie chimique.
Après, quoi, il nous fait passer des messages comme quoi, il s'occupe des français.
(source :AFP - 28/12/2010 à 00:38)
"Un enfant sur 440 va développer un cancer avant l'âge de 15 ans, selon une étude
Un enfant sur 440 en France va développer un cancer avant l'âge de 15 ans, selon une étude conduite sur la période 2000-2004 qui fait apparaître une légère hausse du nombre des cas, due probablement à l'amélioration de l'enregistrement des données et des techniques de diagnostic.
Les chiffres, publiés mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l'Institut de veille sanitaire, ont été relevés par le registre pédiatrique national des hémopathies bénignes et celui des tumeurs solides. C'est la première fois que les estimations d'incidence sont basées sur des registres nationaux de cette qualité.
Sur la période 2000-2004, 8.473 nouveaux cas de cancers (leucémies, tumeurs du système nerveux central, lymphomes...) ont été enregistrés chez les quelque 11 millions d'enfants de moins de 15 ans. Soit un taux d'incidence de 156,6 cas par an et par million d'enfants, un peu plus élevé chez les garçons que chez les filles.
Les cancers des moins de 15 ans représentent 0,5% des nouveaux cas de cancers, et 0,2% des décès par cancer, soit la deuxième cause de mortalité chez les enfants après les accidents. 50% de ces cancers sont intervenus avant l'âge de 5 ans."
Il est vrai, "responsable, mais, pas coupable !"
C'est comme l'histoire du médiator. Maintenant, aucun responsable politique n'était au courant des avertissements sur sa dangerosité émis par des spécialistes.
(source : NouvelObs.com)
"Ces politiques qui n'ont jamais entendu parler du Mediator
Aubry, Kouchner, Bachelot, Hirsch, Bertrand... tous les politiques susceptibles d'avoir une responsabilité dans la mise sur le marché du médicament se dédouanent d'une quelconque responsabilité concernant ce scandale de santé publique."
Et, pour les pesticides, fongicides, pareils, ils sont tous au courants, mais, ils préférent laisser les industries chimiques, de l'agro-alimentaires et les agriculteurs, notamment, les céréaliers nous assasiner. Parce qu'il s'agit là d'assasinats "de masse".
A quoi sert le progrès tellement chanter, si, ce progrès au lieu de nous aider à prolonger notre vie dans de bonnes conditions, va, en final nous la raccourcir ?
Est-ce que les scientifiques sont dangereux ?
Est-ce une race à éradiquer ou à faire vivre comme les porcelets entassés dans des hangars avant de les éliminer ?
Et, si, nous mettions sur une balance les bienfaits du progrès pour l'être humain d'un côté et ses méfaits. Puis, selon, le résultats, si, nous éradiquions tous ces scientifiques fous ou alors, il nous faudra les glorifier ?
Car, pour des profits, ils nous sacrifient !
Ils sacrifient notre santé et celles de nos enfants !
Ils nous laminent notre pouvoir d'achat !
Ils sacrifient notre emploi !
Ils sacrifient leur solidarité envers nous !
Ils sacrifient notre avenir, celui de nos enfants, celui de nos proches !
Tout ça pour leur profit !
Nom de dieu, mais, justement que fait Dieu !
Tout, ça, me dégoutte trop, je crois que je vais arrêter d'écrire pour aujourd'hui !
De plus, ce qui me met plus les boules, c'est ces grandes sociétés de l'agroalimentaire qui vont faire des cultures à l'étranger, au Kenya par exemple, pour moins payer leurs employés et utiliser des produits interdits en Europe et en France et qui empoisonnent leurs salariés.
Après, achetez des légumes du kenya ou du Chili. Déjà, d'Espagne, ça continue à craindre. Alors, je vous dis pas, plus loin que l'Europe où il n'y a pas de contrôle !
Le vin que l'on boit est saturé de produits et issu de ceps modifiés pour pouvoir être arraché dans les dix ans. Toute notre alimentation est saturé de polluant. Tout cela, protégé par des réglementations en faveur des pollueurs-empoisonneurs.
Ce sont quand même bien nos élus qui les ont votés ou ont laissé faire, oui ou non ?
Qu'ils nous rendent notre santé et qu'ils en fassent la promesse lors de la prochaine élection présidentielle. Car, moins, on verra le docteur, plus, on fera d'économies. Moins, on ira à l'hôpital, plus l'état fera d'économies.
Et, c'est peut-être de ce côté qu'il devrait chercher ses fameuses économies.
sur ce, je vous quitte.
A bientôt.
René.
René.
Alors, quoi ! Les cancers, leucémies et autres saloperies sont en augmentation constante.
Bien, on est content de l'apprendre. On le savait, mais, on est quand même content de l'apprendre.
Et, dans tout ça, les industrie agro-alimentaire et chimique sont innocentes, évidemment.
Toutes les saloperies qu'ils nous font ingérer, qui s'accumulent et sont là comme des petits tchernobyls, prêts à nous faire basculer dans une maladie grave.
Dire que dans les années 1950, aucun pesticide ou autre n'était utilisé pour les cultures.
Il est inéductable que les maladies se multiplient et aussi, inéductable qu'elles apparaissent chez les plus jeunes. A force de manger de la bouffe empoisonnée, rien de plus normal. Nous ne sommes pas des supers men, après tout.
Après, qui va nous prendre en charge, si la sécurité sociale ne remboursent plus que quelques médicaments, les moins coûteux, naturlich ?
Les industriels s'en seront mis plein les poches et c'est encore nous qui sommes obligés de prendre en charge les effets collatéraux.
Et, comme sarko réduit de plus en plus les possibilités de prise en charge de la sécurité, ils n'auront plus qu'à crever, dans le silence, tous ces malades.
Le gouvernement sait que tous les produits qu'ils utilisent dans l'agriculture sont néfastes pour la santé public. Il devait d'ailleurs, dans le cadre du Grenelle de l'environnement, obliger les agriculteurs à réduire de 20% leur utilisation. Il a reculé !
C'est-à-dire que consciemment, il sacrifie la santé de milliers de français pour ne pas écorner les bénéfices de l'agro-alimentaire et de l'industrie chimique.
Après, quoi, il nous fait passer des messages comme quoi, il s'occupe des français.
(source :AFP - 28/12/2010 à 00:38)
"Un enfant sur 440 va développer un cancer avant l'âge de 15 ans, selon une étude
Un enfant sur 440 en France va développer un cancer avant l'âge de 15 ans, selon une étude conduite sur la période 2000-2004 qui fait apparaître une légère hausse du nombre des cas, due probablement à l'amélioration de l'enregistrement des données et des techniques de diagnostic.
Les chiffres, publiés mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire de l'Institut de veille sanitaire, ont été relevés par le registre pédiatrique national des hémopathies bénignes et celui des tumeurs solides. C'est la première fois que les estimations d'incidence sont basées sur des registres nationaux de cette qualité.
Sur la période 2000-2004, 8.473 nouveaux cas de cancers (leucémies, tumeurs du système nerveux central, lymphomes...) ont été enregistrés chez les quelque 11 millions d'enfants de moins de 15 ans. Soit un taux d'incidence de 156,6 cas par an et par million d'enfants, un peu plus élevé chez les garçons que chez les filles.
Les cancers des moins de 15 ans représentent 0,5% des nouveaux cas de cancers, et 0,2% des décès par cancer, soit la deuxième cause de mortalité chez les enfants après les accidents. 50% de ces cancers sont intervenus avant l'âge de 5 ans."
Il est vrai, "responsable, mais, pas coupable !"
C'est comme l'histoire du médiator. Maintenant, aucun responsable politique n'était au courant des avertissements sur sa dangerosité émis par des spécialistes.
(source : NouvelObs.com)
"Ces politiques qui n'ont jamais entendu parler du Mediator
Aubry, Kouchner, Bachelot, Hirsch, Bertrand... tous les politiques susceptibles d'avoir une responsabilité dans la mise sur le marché du médicament se dédouanent d'une quelconque responsabilité concernant ce scandale de santé publique."
Et, pour les pesticides, fongicides, pareils, ils sont tous au courants, mais, ils préférent laisser les industries chimiques, de l'agro-alimentaires et les agriculteurs, notamment, les céréaliers nous assasiner. Parce qu'il s'agit là d'assasinats "de masse".
A quoi sert le progrès tellement chanter, si, ce progrès au lieu de nous aider à prolonger notre vie dans de bonnes conditions, va, en final nous la raccourcir ?
Est-ce que les scientifiques sont dangereux ?
Est-ce une race à éradiquer ou à faire vivre comme les porcelets entassés dans des hangars avant de les éliminer ?
Et, si, nous mettions sur une balance les bienfaits du progrès pour l'être humain d'un côté et ses méfaits. Puis, selon, le résultats, si, nous éradiquions tous ces scientifiques fous ou alors, il nous faudra les glorifier ?
Car, pour des profits, ils nous sacrifient !
Ils sacrifient notre santé et celles de nos enfants !
Ils nous laminent notre pouvoir d'achat !
Ils sacrifient notre emploi !
Ils sacrifient leur solidarité envers nous !
Ils sacrifient notre avenir, celui de nos enfants, celui de nos proches !
Tout ça pour leur profit !
Nom de dieu, mais, justement que fait Dieu !
Tout, ça, me dégoutte trop, je crois que je vais arrêter d'écrire pour aujourd'hui !
De plus, ce qui me met plus les boules, c'est ces grandes sociétés de l'agroalimentaire qui vont faire des cultures à l'étranger, au Kenya par exemple, pour moins payer leurs employés et utiliser des produits interdits en Europe et en France et qui empoisonnent leurs salariés.
Après, achetez des légumes du kenya ou du Chili. Déjà, d'Espagne, ça continue à craindre. Alors, je vous dis pas, plus loin que l'Europe où il n'y a pas de contrôle !
Le vin que l'on boit est saturé de produits et issu de ceps modifiés pour pouvoir être arraché dans les dix ans. Toute notre alimentation est saturé de polluant. Tout cela, protégé par des réglementations en faveur des pollueurs-empoisonneurs.
Ce sont quand même bien nos élus qui les ont votés ou ont laissé faire, oui ou non ?
Qu'ils nous rendent notre santé et qu'ils en fassent la promesse lors de la prochaine élection présidentielle. Car, moins, on verra le docteur, plus, on fera d'économies. Moins, on ira à l'hôpital, plus l'état fera d'économies.
Et, c'est peut-être de ce côté qu'il devrait chercher ses fameuses économies.
sur ce, je vous quitte.
A bientôt.
René.
René.
dimanche 26 décembre 2010
"Eduque ton enfant quand il est jeune, il te réjouira à l'âge adulte". Proverbe Egyptien. Ca, en occident, on ne sait plus faire. Les psys ont remplacé les pères.
Salut à Mohammed Bouazizi qui s'est immolé par le feu parce que la police tunisienne lui avait saisi ses légumes et qu'il en avait marre de crever dans la misère.
Eh, oui, mes chers trois lecteurs, la déréglementation systématique de la Bush's familly dans tous les domaines pour privilégier l'industrie américaine et ses actionnaires, même, si cela doit se faire au détriment de l'intérêt des citoyens américains, trouve son expression la plus crue dans l'exploitation du charbon dans les Appalaches.
Dans une lettre précédente, je vous avais évoqué cette monstruosité.
Elle se poursuit, c'est bien pour ça qu'Obama va avoir du boulot pour détricoter ce que Bush junior a permis de faire.
Et, là, il a du boulot, parce que ce n'est que l'Iceberg qui cache la forêt.
Nous habitons une "Triste Planète" que nous nous efforçons de détruire pour les comptes en banque d'une minorité d'entre-nous.
(source : Libération)
"Le charbon décapite les montagnes américaines
Aux Etats-Unis, les Appalaches sont ravagées à l’explosif par des compagnies minières auxquelles l’administration d’Obama tente de s’opposer.
Par LORRAINE MILLOT Envoyée spéciale à Charleston (Virginie occidentale)
Cet après-midi, la montagne est en feu. De loin - les compagnies minières interdisent de s’approcher -, on peut voir des nuages de fumée grise s’échapper des buissons et débris d’arbres qui se consument. Avant d’être ainsi «nettoyée», la montagne, dans le comté de Boone, en Virginie Occidentale, a d’abord été rasée : les arbres les plus valables ont été abattus et expédiés vers les scieries. L’étape suivante sera le dynamitage : la montagne sera truffée d’explosifs pour fracasser ses structures rocheuses «inutiles» et faire apparaître le précieux charbon. Le massacre des Appalaches se poursuit. Lors de la conférence sur le climat à Cancún, au Mexique, le négociateur américain Jonathan Pershing s’est voulu, comme il se doit, «optimiste». Des«progrès» ont été réalisés avec la Chine sur une réduction des émissions de gaz à effet de serre, a-t-il assuré. Sur le terrain, au cœur même des Etats-Unis, la décapitation des Appalaches pour en extraire du charbon, le plus polluant des combustibles, invite pourtant à relativiser les «progrès» obtenus.
Lobbyistes. A bord de son gros 4 x 4, Maria Gunnoe, activiste de l’Ohio Valley Environmental Coalition, contemple ce jour-là la montagne en feu, près de Twilight, un village menacé de disparition pour faire place au charbon : «Vous imaginez le dégât pour le climat ? D’abord, on détruit les arbres qui retiennent les gaz à effet de serre, puis on brûle, et on exploite le charbon…» Depuis la fin des années 1960, «au moins 500 000 acres [plus de 2 000 km2, ndlr] de montagnes ont déjà été détruites dans les Appalaches, résume Maria Gunnoe. Et cela continue ! Plus de 2 millions de kilos d’explosifs sont utilisés chaque jour par les compagnies minières.»
Et, tout ça, au nom du "Capitalisme, ultra-libéral, et tout ça, au nom de la Croissance !
Si, je me souviens bien, il ne pousse rien sur la pierre, à part des mousses et des herbacées, ci et là.
Donc, les Appalaches vont devenir un désert de pierre. Et, toute la région au alentour va s'en ressentir. Fini les sources, fini, les rivières et les fleuves qui arrosent les terres agricoles aux semences OGM Mosanto.
Rendez-vous compte, à cause de l'industrie charbonnière prédatrice, une multinationale de l'agroalimentaire prédatrice va perdre des clients en aval.
Car la chaîne de montagnes des Appalaches concernent les états de New York, Pennsylvania, Maryland, Virginia, North Carolina, South Carolina, Georgia. Tous arrosés par les sources des Appalaches.
Sans compter que les rivières seront tellement polluées que l'eau sera impropre à l'agriculture et à la consommation humaine.
Est-ce que ça en vaut vraiment la chandelle ?
Et, lorsque, je constate les destructions réalisés pour l'exploitation du gaz non conventionnel en explosant le schiste pour en récupérer le gaz, je me dis que les américains sont fous. Qu'ils laissent "leurs capitalistes" détruire leur propre pays.
Est-ce cela le rêve américain ?
Tout ça pour assurer de meilleures dividendes à des actionnaires !
Triste planète vraiment !
Mais, il est vrai que les Etats-Unis reste un exemple pour le monde entier.
Les méthodes pour privilégier les industriels et les actionnaires au détriment des citoyens ont gagnées l'ensemble de la planète.
Et, ce package, en France et en Europe, par exemple, nous est servi sous le fallacieux prétexte d'un mieux être citoyen. N'est-ce pas, messieurs nos députés et sénateurs ?
Dans notre beau pays, sans doute pas pour longtemps, notre président se fait le chantre de la dérégulation à l'américaine.
Mais, il faut dire que du côté socialiste, ils veulent nous proposer le chantre de la dérégulation du FMI.
Avec ça, nous ne sommes pas gâtés !
Le Front National dont Marine Lepen lisse l'image pourra chanter, "Tous pourris, tous des salauds !" et engranger les frustrations citoyennes en nous proposant un nouveau contrat social plus respectueux des citoyens. Et, ce n'est pas le visage d'une écologie libérale qui pourra la contrer dans le coeur des exclus et des travailleurs pauvres.
C'est bien pour ça que je pense que le Front National va grimper et certainement beaucoup plus que les 16% attendus jusqu'à présent.
Car, après tout, tous les autres ont déjà gouverné et le résultat, c'est qu'ils continuent à nous prendre pour des imbéciles et à faire de nous des victimes de leurs politiques.
Voilà, ce que se disent déjà de nombreux français.
Et, pendant ce temps là, nos politiques continuent de tirer des plans sur la comète pour savoir comment, ils vont pouvoir prendre l'autre en défaut.
Et, pendant ce temps notre pouvoir d'achat qui nous permet de rester consommateur continue de dégringoler. En tout cas, le mien, je vous l'assure.
Peut-être, un jour serons-nous tous des Mohammed Bouazizi, ce jeune tunisien qui s'est immolé par le feu devant une mairie parce que les autorités refusaient de lui donner l'autorisation de vendre ses légumes et que la police lui avait saisi sa marchandise. Sans doute, n'avait-il pas pu verser le backchich réclamé.
(source : France24)
"La région de Sidi Bouzid est en proie à des troubles sociaux à la suite d'une tentative de suicide d’un Tunisien de 26 ans, diplômé de l'université.
Le 17 décembre, Mohammed Bouazizi, vendeur ambulant de fruits et légumes, s’est fait confisquer sa marchandise par la police municipale, n’ayant pas les autorisations nécessaires.
Désespéré, le jeune homme s'était aspergé d'essence pour s'immoler par le feu, selon la Ligue tunisienne de défense des droits de l'Homme (LTDH) et des témoins. Grièvement brûlé, il a été transféré dans un centre médical près de Tunis.
Ce premier incident a provoqué des protestations qui ont dégénéré en affrontements entre la police et des habitants : ceux-ci ont mis le feu à des pneumatiques et scandé des slogans pour réclamer le droit de travailler.
Le pouvoir avait affirmé que ces heurts n'étaient qu'un "incident isolé" et dénoncé leur exploitation à des fins politiques "malsaines" par l'opposition.
Le 22 décembre, un jeune Tunisien de Sidi Bouzid, s'était électrocuté au contact de câbles de haute tension après avoir escaladé un poteau électrique en criant qu'il ne voulait "plus de misère, plus de chômage", selon Ali Zari, un dirigeant syndicaliste."
Mais, que vaut la vie d'un jeune homme et que vaut une chaîne de montagne face à des systèmes où les lois sont amendées en faveur des prédateurs.
Nous sommes tous des Mohammed Bouazizi en puissance, de par notre impuissance à nous faire entendre. Et, comment le pourrait-on lorsque les médias sont confisqués par ces mêmes prédateurs avec la bénédiction des politiques.
Que nous reste-il pour nous défendre et nous faire entendre ?
Le suffrage universel ? Le boycott, cette arme puissante et efficace dont même les syndicats tentent de nous détourner ?
Le référendum populaire que l'on évite en France ?
Qui peut parfois privilégier le rejet de la différence comme en Suisse. Mais, au moins, il permettrait en dehors de sondage dont on peut interroger la pertinence, d'obtenir des corrections sur ce que nos élus magouillent avec le MEDEF.
Parce qu'ils nous disent croissance et en attendant, ils liquident les services publics. Est-ce pour la croissance ou pour s'en mettre plein les poches sur notre dos ?
La croissance, elle a bon dos. Mais, la croissance en fait pour qui et quelle type de croissance ?
Est-ce pour l'emploi ?
Certainement pas, et, ceux qui veulent nous le faire croire sont des menteurs !
Pourquoi ?
Parce que les industriels délocalisent, n'investissent pas dans l'Hexagone, planquent leurs capitaux dans les paradis fiscaux et évitent de payer des impôts qui servent à participer à l'effort national.
Croyez-moi, l'emploi, il en ont strictement rien à "Foutre" pour être poli.
Et, le Medef, le syndicat patronal, voudraient bien que ses membres n'aient pas à en payer et que seuls les salariés qu'ils emploient passent à la caisse. Sans compter que le surplus du trésor fiscal doit leur être dévolu en subventions diverses et variées.
C'est ça le capitalisme à la française ? Une pâle copie de l'américain.
A mon avis, le Medef devrait viser plus gros et déclarer que faire payer des taxes directes ou indirectes, c'est aller à l'encontre de la croissance.
Parce que la fameuses croissance est pourvoyeuse de chômage.
Ce qui signifie que la rentabilité de l'état est devenu la rentabilité des entreprises. Que le privé plonge ses mains dans la caisse du public. Ni plus, ni moins.
Alors, messieurs de la gauche ou plutôt sociaux libéraux, laissez Aubry se présenter. Elle a moins de casseroles que Strauss Kahn sur la rigueur qui tue les petites gens. A moins que Kouchner ne la rende responsable de la génèse de l'histoire du médiator, histoire de la couler.
Mais, passons et disons-nous au-revoir pour aujourd'hui, car, j'essaie de sortir ma voiture d'une gangue de glace.
A bientôt.
René.
Eh, oui, mes chers trois lecteurs, la déréglementation systématique de la Bush's familly dans tous les domaines pour privilégier l'industrie américaine et ses actionnaires, même, si cela doit se faire au détriment de l'intérêt des citoyens américains, trouve son expression la plus crue dans l'exploitation du charbon dans les Appalaches.
Dans une lettre précédente, je vous avais évoqué cette monstruosité.
Elle se poursuit, c'est bien pour ça qu'Obama va avoir du boulot pour détricoter ce que Bush junior a permis de faire.
Et, là, il a du boulot, parce que ce n'est que l'Iceberg qui cache la forêt.
Nous habitons une "Triste Planète" que nous nous efforçons de détruire pour les comptes en banque d'une minorité d'entre-nous.
(source : Libération)
"Le charbon décapite les montagnes américaines
Aux Etats-Unis, les Appalaches sont ravagées à l’explosif par des compagnies minières auxquelles l’administration d’Obama tente de s’opposer.
Par LORRAINE MILLOT Envoyée spéciale à Charleston (Virginie occidentale)
Cet après-midi, la montagne est en feu. De loin - les compagnies minières interdisent de s’approcher -, on peut voir des nuages de fumée grise s’échapper des buissons et débris d’arbres qui se consument. Avant d’être ainsi «nettoyée», la montagne, dans le comté de Boone, en Virginie Occidentale, a d’abord été rasée : les arbres les plus valables ont été abattus et expédiés vers les scieries. L’étape suivante sera le dynamitage : la montagne sera truffée d’explosifs pour fracasser ses structures rocheuses «inutiles» et faire apparaître le précieux charbon. Le massacre des Appalaches se poursuit. Lors de la conférence sur le climat à Cancún, au Mexique, le négociateur américain Jonathan Pershing s’est voulu, comme il se doit, «optimiste». Des«progrès» ont été réalisés avec la Chine sur une réduction des émissions de gaz à effet de serre, a-t-il assuré. Sur le terrain, au cœur même des Etats-Unis, la décapitation des Appalaches pour en extraire du charbon, le plus polluant des combustibles, invite pourtant à relativiser les «progrès» obtenus.
Lobbyistes. A bord de son gros 4 x 4, Maria Gunnoe, activiste de l’Ohio Valley Environmental Coalition, contemple ce jour-là la montagne en feu, près de Twilight, un village menacé de disparition pour faire place au charbon : «Vous imaginez le dégât pour le climat ? D’abord, on détruit les arbres qui retiennent les gaz à effet de serre, puis on brûle, et on exploite le charbon…» Depuis la fin des années 1960, «au moins 500 000 acres [plus de 2 000 km2, ndlr] de montagnes ont déjà été détruites dans les Appalaches, résume Maria Gunnoe. Et cela continue ! Plus de 2 millions de kilos d’explosifs sont utilisés chaque jour par les compagnies minières.»
Et, tout ça, au nom du "Capitalisme, ultra-libéral, et tout ça, au nom de la Croissance !
Si, je me souviens bien, il ne pousse rien sur la pierre, à part des mousses et des herbacées, ci et là.
Donc, les Appalaches vont devenir un désert de pierre. Et, toute la région au alentour va s'en ressentir. Fini les sources, fini, les rivières et les fleuves qui arrosent les terres agricoles aux semences OGM Mosanto.
Rendez-vous compte, à cause de l'industrie charbonnière prédatrice, une multinationale de l'agroalimentaire prédatrice va perdre des clients en aval.
Car la chaîne de montagnes des Appalaches concernent les états de New York, Pennsylvania, Maryland, Virginia, North Carolina, South Carolina, Georgia. Tous arrosés par les sources des Appalaches.
Sans compter que les rivières seront tellement polluées que l'eau sera impropre à l'agriculture et à la consommation humaine.
Est-ce que ça en vaut vraiment la chandelle ?
Et, lorsque, je constate les destructions réalisés pour l'exploitation du gaz non conventionnel en explosant le schiste pour en récupérer le gaz, je me dis que les américains sont fous. Qu'ils laissent "leurs capitalistes" détruire leur propre pays.
Est-ce cela le rêve américain ?
Tout ça pour assurer de meilleures dividendes à des actionnaires !
Triste planète vraiment !
Mais, il est vrai que les Etats-Unis reste un exemple pour le monde entier.
Les méthodes pour privilégier les industriels et les actionnaires au détriment des citoyens ont gagnées l'ensemble de la planète.
Et, ce package, en France et en Europe, par exemple, nous est servi sous le fallacieux prétexte d'un mieux être citoyen. N'est-ce pas, messieurs nos députés et sénateurs ?
Dans notre beau pays, sans doute pas pour longtemps, notre président se fait le chantre de la dérégulation à l'américaine.
Mais, il faut dire que du côté socialiste, ils veulent nous proposer le chantre de la dérégulation du FMI.
Avec ça, nous ne sommes pas gâtés !
Le Front National dont Marine Lepen lisse l'image pourra chanter, "Tous pourris, tous des salauds !" et engranger les frustrations citoyennes en nous proposant un nouveau contrat social plus respectueux des citoyens. Et, ce n'est pas le visage d'une écologie libérale qui pourra la contrer dans le coeur des exclus et des travailleurs pauvres.
C'est bien pour ça que je pense que le Front National va grimper et certainement beaucoup plus que les 16% attendus jusqu'à présent.
Car, après tout, tous les autres ont déjà gouverné et le résultat, c'est qu'ils continuent à nous prendre pour des imbéciles et à faire de nous des victimes de leurs politiques.
Voilà, ce que se disent déjà de nombreux français.
Et, pendant ce temps là, nos politiques continuent de tirer des plans sur la comète pour savoir comment, ils vont pouvoir prendre l'autre en défaut.
Et, pendant ce temps notre pouvoir d'achat qui nous permet de rester consommateur continue de dégringoler. En tout cas, le mien, je vous l'assure.
Peut-être, un jour serons-nous tous des Mohammed Bouazizi, ce jeune tunisien qui s'est immolé par le feu devant une mairie parce que les autorités refusaient de lui donner l'autorisation de vendre ses légumes et que la police lui avait saisi sa marchandise. Sans doute, n'avait-il pas pu verser le backchich réclamé.
(source : France24)
"La région de Sidi Bouzid est en proie à des troubles sociaux à la suite d'une tentative de suicide d’un Tunisien de 26 ans, diplômé de l'université.
Le 17 décembre, Mohammed Bouazizi, vendeur ambulant de fruits et légumes, s’est fait confisquer sa marchandise par la police municipale, n’ayant pas les autorisations nécessaires.
Désespéré, le jeune homme s'était aspergé d'essence pour s'immoler par le feu, selon la Ligue tunisienne de défense des droits de l'Homme (LTDH) et des témoins. Grièvement brûlé, il a été transféré dans un centre médical près de Tunis.
Ce premier incident a provoqué des protestations qui ont dégénéré en affrontements entre la police et des habitants : ceux-ci ont mis le feu à des pneumatiques et scandé des slogans pour réclamer le droit de travailler.
Le pouvoir avait affirmé que ces heurts n'étaient qu'un "incident isolé" et dénoncé leur exploitation à des fins politiques "malsaines" par l'opposition.
Le 22 décembre, un jeune Tunisien de Sidi Bouzid, s'était électrocuté au contact de câbles de haute tension après avoir escaladé un poteau électrique en criant qu'il ne voulait "plus de misère, plus de chômage", selon Ali Zari, un dirigeant syndicaliste."
Mais, que vaut la vie d'un jeune homme et que vaut une chaîne de montagne face à des systèmes où les lois sont amendées en faveur des prédateurs.
Nous sommes tous des Mohammed Bouazizi en puissance, de par notre impuissance à nous faire entendre. Et, comment le pourrait-on lorsque les médias sont confisqués par ces mêmes prédateurs avec la bénédiction des politiques.
Que nous reste-il pour nous défendre et nous faire entendre ?
Le suffrage universel ? Le boycott, cette arme puissante et efficace dont même les syndicats tentent de nous détourner ?
Le référendum populaire que l'on évite en France ?
Qui peut parfois privilégier le rejet de la différence comme en Suisse. Mais, au moins, il permettrait en dehors de sondage dont on peut interroger la pertinence, d'obtenir des corrections sur ce que nos élus magouillent avec le MEDEF.
Parce qu'ils nous disent croissance et en attendant, ils liquident les services publics. Est-ce pour la croissance ou pour s'en mettre plein les poches sur notre dos ?
La croissance, elle a bon dos. Mais, la croissance en fait pour qui et quelle type de croissance ?
Est-ce pour l'emploi ?
Certainement pas, et, ceux qui veulent nous le faire croire sont des menteurs !
Pourquoi ?
Parce que les industriels délocalisent, n'investissent pas dans l'Hexagone, planquent leurs capitaux dans les paradis fiscaux et évitent de payer des impôts qui servent à participer à l'effort national.
Croyez-moi, l'emploi, il en ont strictement rien à "Foutre" pour être poli.
Et, le Medef, le syndicat patronal, voudraient bien que ses membres n'aient pas à en payer et que seuls les salariés qu'ils emploient passent à la caisse. Sans compter que le surplus du trésor fiscal doit leur être dévolu en subventions diverses et variées.
C'est ça le capitalisme à la française ? Une pâle copie de l'américain.
A mon avis, le Medef devrait viser plus gros et déclarer que faire payer des taxes directes ou indirectes, c'est aller à l'encontre de la croissance.
Parce que la fameuses croissance est pourvoyeuse de chômage.
Ce qui signifie que la rentabilité de l'état est devenu la rentabilité des entreprises. Que le privé plonge ses mains dans la caisse du public. Ni plus, ni moins.
Alors, messieurs de la gauche ou plutôt sociaux libéraux, laissez Aubry se présenter. Elle a moins de casseroles que Strauss Kahn sur la rigueur qui tue les petites gens. A moins que Kouchner ne la rende responsable de la génèse de l'histoire du médiator, histoire de la couler.
Mais, passons et disons-nous au-revoir pour aujourd'hui, car, j'essaie de sortir ma voiture d'une gangue de glace.
A bientôt.
René.
Aujourd'hui, voyons, bloqué par la neige depuis trois jours, je contemple le blanc de la neige tout partout autour de moi. Pas de quoi, vous donnez envie de prendre la voiture avec le risque de rester bloquer sur une route où personne ne passe ou alors, si, des voitures passent, elles ne s'arrêtent pas de peur de rester bloquées à leur tour.
Mais, passons, ce fut la vie des paysans pendant des décennies.
Alors, parlons plutôt de l'état de nos démocraties.
Et, de fait, en exagérant quelque peu, je constate que tout ce qu'il nous en reste, c'est le suffrage universel.
Pour illustrer mon propos, je parlerais de, ce que je pensais normal, de notre droit naturel à planter et à vendre notre production.
Eh, bien, non !
En tout cas en France et en Europe d'ailleurs. Merci, les technocrates européens. Après, ça, vous ne direz pas que vous n'êtes pas inféodés à l'industrie agro-alimentaire.
L'agro-alimentaire et nos politiciens nous ont enlevé ce droit là.
N'est autorisé que la commercialisation de graines recensées dans un catalogue officiel.
Les autres issus de la bio-diversité sont interdites à la vente.
Pas moins que ça !
Et, nos gouvernements ou tout simplement nos politiciens, nous font des discours enflammés sur la préservation de la bio-diversité alors qu'ils nous livrent pieds et poings liés à l'industrie de l'agro-alimentaire ou pharmaceutique.
Mais, ça, ils n'en parlent pas.
Ils nous parlent de la crise, de la croissance, des paradis fiscaux et pendant ce temps, ils continuent de nous la faire à l'envers.
Je suis donc obligé d'acheter des graines issus de l'agro-alimentaire dont après production, je ne pourrais pas réutiliser les graines, car, stériles ou dégénéréscentes. Produisant des légumes non consommables pour faire court.
Alors, où est la bio-diversité ?
(source : answers.yahoo)
"En 2004, 13 variétés majeures de pommes sont cultivées en France, plus quelques autres mineures.
En revanche en 1900, il existait plus de 1000 variétés de pommes en France. Avec les notions de rendement et de rentabilité apparues dans le paysage agricole dans les années 60, bon nombre de variétés ont été abandonnées."
Abandonnées, mon oeil !
Abandonnées sous la pression de l'industrie agro-alimentaire qui a proposé des réglementations clé en main à nos politiques qui se sont empressés de leur faire plaisir.
Aujourd'hui, on mange quoi ? De la pomme golden qui subit plusieurs dizaines de traitements de pesticides avant d'arriver sur nos assiettes.
Après, étonnez-vous, si, vous chopez un cancer ou une autre saloperie du même genre !
Dites-moi, mes chers trois lecteurs, saviez-vous que même semer des graines pouvaient être interdits à partir du moment où l'agro-alimentaire a protégé la semence et que vous étiez passible d'amende.
Vous ne pensez pas qu'il soit temps de rentrer en résistance avant de nous faire crever avec la complicité de nos politiques, mes chers trois lecteurs ?
Il y a de quoi avoir les boules, vous ne croyez pas ?
Mais, où sont donc les verts politicards ? Il s'agit de notre santé après tout.
A se demander qui ils défendent, nous ou l'idée qu'ils se font d'une planète écolo.
(source : Réseau Semences Paysannes sur le net)
"Peut-on vendre des produits (légumes, farines, pains) issus de variétés non inscrites au catalogue officiel ?
Oui, en général. Là encore, seules les semences de ces variétés sont interdites de commercialisation. Un agriculteur a tout à fait le droit de produire pour lui-même, d'avoir en sa possession et d’utiliser de telles semences.
"A t-on le droit de ressemer sa récolte?
La question se pose uniquement pour les variétés qui sont protégées. Il faut ici faire la distinction entre les variétés protégées par une Protection Communautaire d'Obtention Végétale (PCOV) et par un COV français.
Règlementation européenne (règlement CE/2100/94): possibilité de ressemer à partir de variétés sous PCOV seulement pour 21 espèces : pois chiche, lupin jaune, luzerne, pois fourrager, trèfle d’alexandrie, trèfle de perse, féverole, vesce commune, avoine, orge, riz, alpiste des canaries, seigle, triticale, blé, blé dur, épeautre, pommes de terre, colza, navette, lin oléagineux et sous conditions réglementaires : quantité, rémunération de l’obtenteur.
Pour le reste, on ne peut pas ressemer, et c’est spécifié particulièrement pour les variétés hybrides et synthétiques (donc presque tous les mais et tournesols protégés).
Réglementation française : A l’heure actuelle, la pratique de la semence de ferme est interdite sauf pour le blé tendre pour lequel il faut verser un Cotisation Volontaire Obligatoire. Cette CVO est prélevée au moment de la vente de la récolte par les organismes collecteurs et remboursée sur présentation d’une facture d’achat de semences certifiées et aux agriculteurs prouvant qu’ils récoltent moins de 90 tonnes de blé (ce prélèvement est effectué quelle que soit la variété semée, protégée par une PCOV, un COV français, du domaine public ou non inscrite, ce qui permet de s’interroger sur sa légalité).
Ainsi de nombreuses variétés de pomme de terre sont protégées par des COV français, et les producteurs faisant leurs semences de ferme sont régulièrement poursuivis pour contrefaçon. Dans le futur, si la France adopte la réglementation communautaire sur les obtentions végétales, il est fort probable que des CVO s’appliquent à toutes les espèces pour lesquelles la pratique de la semence de ferme est accordée (la liste pourrait être légèrement différente de la liste européenne, mais le principe est le même)."
Tout ça me dégoute de savoir que nos politiques, non seulement, n'en ont rien à "foutre" de notre santé, mais, en plus, sont prêts à la vendre au plus offrant comme cela se voit pour le médicament médiator où socialistes et droite ont joué le jeu d'un laboratoire.
Sur ce, je vous salue bien.
A bientôt.
René.
Mais, passons, ce fut la vie des paysans pendant des décennies.
Alors, parlons plutôt de l'état de nos démocraties.
Et, de fait, en exagérant quelque peu, je constate que tout ce qu'il nous en reste, c'est le suffrage universel.
Pour illustrer mon propos, je parlerais de, ce que je pensais normal, de notre droit naturel à planter et à vendre notre production.
Eh, bien, non !
En tout cas en France et en Europe d'ailleurs. Merci, les technocrates européens. Après, ça, vous ne direz pas que vous n'êtes pas inféodés à l'industrie agro-alimentaire.
L'agro-alimentaire et nos politiciens nous ont enlevé ce droit là.
N'est autorisé que la commercialisation de graines recensées dans un catalogue officiel.
Les autres issus de la bio-diversité sont interdites à la vente.
Pas moins que ça !
Et, nos gouvernements ou tout simplement nos politiciens, nous font des discours enflammés sur la préservation de la bio-diversité alors qu'ils nous livrent pieds et poings liés à l'industrie de l'agro-alimentaire ou pharmaceutique.
Mais, ça, ils n'en parlent pas.
Ils nous parlent de la crise, de la croissance, des paradis fiscaux et pendant ce temps, ils continuent de nous la faire à l'envers.
Je suis donc obligé d'acheter des graines issus de l'agro-alimentaire dont après production, je ne pourrais pas réutiliser les graines, car, stériles ou dégénéréscentes. Produisant des légumes non consommables pour faire court.
Alors, où est la bio-diversité ?
(source : answers.yahoo)
"En 2004, 13 variétés majeures de pommes sont cultivées en France, plus quelques autres mineures.
En revanche en 1900, il existait plus de 1000 variétés de pommes en France. Avec les notions de rendement et de rentabilité apparues dans le paysage agricole dans les années 60, bon nombre de variétés ont été abandonnées."
Abandonnées, mon oeil !
Abandonnées sous la pression de l'industrie agro-alimentaire qui a proposé des réglementations clé en main à nos politiques qui se sont empressés de leur faire plaisir.
Aujourd'hui, on mange quoi ? De la pomme golden qui subit plusieurs dizaines de traitements de pesticides avant d'arriver sur nos assiettes.
Après, étonnez-vous, si, vous chopez un cancer ou une autre saloperie du même genre !
Dites-moi, mes chers trois lecteurs, saviez-vous que même semer des graines pouvaient être interdits à partir du moment où l'agro-alimentaire a protégé la semence et que vous étiez passible d'amende.
Vous ne pensez pas qu'il soit temps de rentrer en résistance avant de nous faire crever avec la complicité de nos politiques, mes chers trois lecteurs ?
Il y a de quoi avoir les boules, vous ne croyez pas ?
Mais, où sont donc les verts politicards ? Il s'agit de notre santé après tout.
A se demander qui ils défendent, nous ou l'idée qu'ils se font d'une planète écolo.
(source : Réseau Semences Paysannes sur le net)
"Peut-on vendre des produits (légumes, farines, pains) issus de variétés non inscrites au catalogue officiel ?
Oui, en général. Là encore, seules les semences de ces variétés sont interdites de commercialisation. Un agriculteur a tout à fait le droit de produire pour lui-même, d'avoir en sa possession et d’utiliser de telles semences.
"A t-on le droit de ressemer sa récolte?
La question se pose uniquement pour les variétés qui sont protégées. Il faut ici faire la distinction entre les variétés protégées par une Protection Communautaire d'Obtention Végétale (PCOV) et par un COV français.
Règlementation européenne (règlement CE/2100/94): possibilité de ressemer à partir de variétés sous PCOV seulement pour 21 espèces : pois chiche, lupin jaune, luzerne, pois fourrager, trèfle d’alexandrie, trèfle de perse, féverole, vesce commune, avoine, orge, riz, alpiste des canaries, seigle, triticale, blé, blé dur, épeautre, pommes de terre, colza, navette, lin oléagineux et sous conditions réglementaires : quantité, rémunération de l’obtenteur.
Pour le reste, on ne peut pas ressemer, et c’est spécifié particulièrement pour les variétés hybrides et synthétiques (donc presque tous les mais et tournesols protégés).
Réglementation française : A l’heure actuelle, la pratique de la semence de ferme est interdite sauf pour le blé tendre pour lequel il faut verser un Cotisation Volontaire Obligatoire. Cette CVO est prélevée au moment de la vente de la récolte par les organismes collecteurs et remboursée sur présentation d’une facture d’achat de semences certifiées et aux agriculteurs prouvant qu’ils récoltent moins de 90 tonnes de blé (ce prélèvement est effectué quelle que soit la variété semée, protégée par une PCOV, un COV français, du domaine public ou non inscrite, ce qui permet de s’interroger sur sa légalité).
Ainsi de nombreuses variétés de pomme de terre sont protégées par des COV français, et les producteurs faisant leurs semences de ferme sont régulièrement poursuivis pour contrefaçon. Dans le futur, si la France adopte la réglementation communautaire sur les obtentions végétales, il est fort probable que des CVO s’appliquent à toutes les espèces pour lesquelles la pratique de la semence de ferme est accordée (la liste pourrait être légèrement différente de la liste européenne, mais le principe est le même)."
Tout ça me dégoute de savoir que nos politiques, non seulement, n'en ont rien à "foutre" de notre santé, mais, en plus, sont prêts à la vendre au plus offrant comme cela se voit pour le médicament médiator où socialistes et droite ont joué le jeu d'un laboratoire.
Sur ce, je vous salue bien.
A bientôt.
René.
samedi 25 décembre 2010
Joyeux Noël i
Dire que les militants socialistes en France, espèrent que le directeur du FMI va les représenter pour l'élection présidentielle en 2012.
Ils ont pété les plombes ou quoi ?
Strauss Kahn est le chantre pour le FMI, des politiques de rigueur qui jettent des centaines de milliers de travailleurs à la rue.
C'est ce type là qu'ils désirent comme candidat.
A mon avis, ils feraient bien d'aller faire un tour en Grèce, au Portugal, en Irlande ou même en Angleterre.
(source : NouvelObs.com)
"La secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale (CSI), l'Australienne Sharan Burrow, estime que les Etats "ont capitulé" devant les marchés financiers et les banques qui "ont repris le gouvernail de l'économie".
"La colère et l'exaspération gonflent"
Selon elle, "sans marge de manoeuvre" à l'égard des marchés, les Etats "aggravent la crise et en obèrent la sortie". "Tailler dans le secteur public, c'est pousser, comme en Grande-Bretagne, 500.000 personnes au chômage. Une blague!"."
Mais, il est vrai que les socialos, une fois au gouvernement adoptent les mêmes pratiques que l'Ump. Alors, Strauss Kahn, lui, comme, c'est un clone de la droite, il a toujours pratiqué une politique en faveur du patronat. Sauf, qu'il serait à l'origine des trente cinq heures, dixit Cohn-Bendit
De toute façon, la surprise, ça ne sera pas lui, c'est Marine Lepen du Front National qui va nous la jouer.
La gauche a un problème avec le sécuritaire et pour traiter l'immigration. Sauf, qu'elle devrait réfléchir à cet adage, "Trop d'immigrés, tue l'immigration".
La droite a remis au goût du jour la double peine. "Tu fais une grosse saloperie, tu retournes dans ton pays". Bon, y' rien à dire, c'est une mesure socialiste de l'époque.
Je rajouterais, t'es un récidiviste, quelque que soit ton âge, tu subis une période d'éloignement du territoire français de un an et tu retournes dans ton pays. Que tes oncles s'occupent un peu de ton éducation. Au bout d'un an, tu reviens.
Tu recommences, éloignement de trois ans, puis de cinq, puis, définitif.
Alors, qu'est-ce que vous en pensez, ces messieurs les socialistes ou les autres d'ailleurs.
Le retour au pays comme levier pédagogique pour éviter que le jeune s'enfonce dans le cycle de la violence et du délit est déjà pratiqué par les africains.
Ils envoient eux mêmes leurs enfants au pays, pour ceux qui peuvent, avant de leur éviter les mauvaises fréquentations des écoles françaises et qu'ils grandissent dans le respect dû aux aînés.
Bon, ça sera tout pour aujourd'hui, j'ai pas trop envie d'écrire.
A bientôt.
René.
Dire que les militants socialistes en France, espèrent que le directeur du FMI va les représenter pour l'élection présidentielle en 2012.
Ils ont pété les plombes ou quoi ?
Strauss Kahn est le chantre pour le FMI, des politiques de rigueur qui jettent des centaines de milliers de travailleurs à la rue.
C'est ce type là qu'ils désirent comme candidat.
A mon avis, ils feraient bien d'aller faire un tour en Grèce, au Portugal, en Irlande ou même en Angleterre.
(source : NouvelObs.com)
"La secrétaire générale de la Confédération syndicale internationale (CSI), l'Australienne Sharan Burrow, estime que les Etats "ont capitulé" devant les marchés financiers et les banques qui "ont repris le gouvernail de l'économie".
"La colère et l'exaspération gonflent"
Selon elle, "sans marge de manoeuvre" à l'égard des marchés, les Etats "aggravent la crise et en obèrent la sortie". "Tailler dans le secteur public, c'est pousser, comme en Grande-Bretagne, 500.000 personnes au chômage. Une blague!"."
Mais, il est vrai que les socialos, une fois au gouvernement adoptent les mêmes pratiques que l'Ump. Alors, Strauss Kahn, lui, comme, c'est un clone de la droite, il a toujours pratiqué une politique en faveur du patronat. Sauf, qu'il serait à l'origine des trente cinq heures, dixit Cohn-Bendit
De toute façon, la surprise, ça ne sera pas lui, c'est Marine Lepen du Front National qui va nous la jouer.
La gauche a un problème avec le sécuritaire et pour traiter l'immigration. Sauf, qu'elle devrait réfléchir à cet adage, "Trop d'immigrés, tue l'immigration".
La droite a remis au goût du jour la double peine. "Tu fais une grosse saloperie, tu retournes dans ton pays". Bon, y' rien à dire, c'est une mesure socialiste de l'époque.
Je rajouterais, t'es un récidiviste, quelque que soit ton âge, tu subis une période d'éloignement du territoire français de un an et tu retournes dans ton pays. Que tes oncles s'occupent un peu de ton éducation. Au bout d'un an, tu reviens.
Tu recommences, éloignement de trois ans, puis de cinq, puis, définitif.
Alors, qu'est-ce que vous en pensez, ces messieurs les socialistes ou les autres d'ailleurs.
Le retour au pays comme levier pédagogique pour éviter que le jeune s'enfonce dans le cycle de la violence et du délit est déjà pratiqué par les africains.
Ils envoient eux mêmes leurs enfants au pays, pour ceux qui peuvent, avant de leur éviter les mauvaises fréquentations des écoles françaises et qu'ils grandissent dans le respect dû aux aînés.
Bon, ça sera tout pour aujourd'hui, j'ai pas trop envie d'écrire.
A bientôt.
René.
vendredi 24 décembre 2010
« Année neigeuse, année d'abondance. » Proverbe Gascon. Ce qui en bon françois se traduit par, "Après la crise, l'abondance".
Salut au père Noël, une petite fille de sept ans a dit à sa grand-mère que c'était un imposteur parce qu'il n'existait pas.
Je me pose une question sur notre ex-ministre des Affaires Etrangères, Bernard Kouchner et sa femme Cristine Ockrent, journaliste à la télé, actuellement soupçonnée d'avoir espionné sa direction.
Le personnage du French doctor me paraît de plus en plus ambigüe. Aujourd'hui, on parle de lui au sujet du médicament médiator des laboratoires servier qui aurait tué plus de 2000 personnes. A l'époque, secrétaire d'état à la santé, il était intervenu pour le maintien du taux de remboursement de ce médicament à hauteur de 65% par la sécurité sociale, alors que des rapports défavorables avaient été fait par des responsables sanitaires.
Mais, il serait également intervenu aussi pour neutraliser un rapport d'une équipe de l'Inserm en 1998 qui dénonçait l'utilisation de l'aluminium dans le traitement de l'eau. En effet, ce taux atteignait et peut-être atteint encore plus de 100 microgrammes par litre et majorait le risque de 50% de contracter la maladie d'Alzheimer.
Le 14 octobre 1998, France Soir publie en une un article de Roger Lenglet, basé sur le rapport de Jean-François Dartigues, neurologue responsable Inserm dénonçant l'utilisation de l'aluminium dans le traitement de l'eau. A la suite de cet article, Bernard Kouchner aurait sommé le responsable de l'Inserm d'aller à TF1 pour démentir avoir tenu ses propos devant le journaliste.
Les crédits de son laboratoire étant en jeu, il s'est exécuté.
Evidemment, vous pouvez vérifiez mes dires dans l'excellent reportage réalisé à l'époque :
Du poison dans l'eau :
L'aluminium
Un documentaire réalisé par Sophie Le Gall
Produit par Ligne de Mire, avec la participation de France Télévisions
Présenté par Marie Drucker.
La question est, "Pourquoi, le French Doctor s'est fendu d'une telle injonction vis-è-vis du responsable de l'Inserm ?"
Pour Véolia et autres multinationales françaises ?
Et, pour le Médiator ? Pour les laboratoires servier. A-t-il seulement prévenu Martine Aubry, sa ministre de tutelle ?
Et, lorsqu'il va enquêter en Birmanie pour voir si Total a utilisé des travailleurs esclaves et qu'il revient avec un rapport blanchissant totalement Total ?
Qui est-il vraiment ?
En tout cas, Ségolène Royal est prête à l'intégrer dans ses troupes. Cela, doit signifier sans doute, qu'il est ce qu'il tente de faire paraître, un mec sympa !
Eh, oui, mais, les mauvaises langues restent les mauvaises langues. Espérons qu'il ne va pas tenter de mouiller Martine Aubry et si, il a effectivement une responsabilité dans l'affaire du médiator savoir dire, "Oui, responsable, mais pas coupable".
(source : l'Express.fr, vendredi 24 décembre)
"Les responsables socialistes bottent en touche
En 1998, Martine Aubry était ministre de l'Emploi et de la Solidarité, et Bernard Kouchner son secrétaire d'Etat à la Santé. Tous les deux étaient en poste lorsque leur administration se montrait sourde à la mise en garde des trois médecins."
Parce que le médiator fait des vagues et les langues sortent de leurs poches.
AFP - 24/12/2010 à 06:41
Le Mediator aurait coûté 423 millions d'euros à la Sécu et aux complémentaires
ne note confidentielle de l'Unocam révèle que le Mediator, ce médicament utilisé comme coupe-faim qui a fait de 500 à 2.000 morts, a coûté 423 millions d'euros en dix ans à la Sécurité sociale et aux complémentaires santé, annonce Aujourd'hui en France.
L'Unocam réunit les fédérations d'assurances et mutuelles complémentaires santé et ses experts estiment que "l'assurance maladie a dépensé 324,89 millions d'euros au titre du remboursement de ce médicament", selon le quotidien.
L'addition réglée par les mutuelles et assurances se monterait, elle à 98,71 millions d'euros, selon la même source.
Les experts de l'Unocam s'étonnent de "l'octroi par les autorités d'un taux de remboursement de 65% en totale inadéquation avec le niveau de service médical rendu (SMR) qualifié d'+insuffisant+ par l'autorité de santé.
Commercialisé en France par les laboratoires Servier de 1976 à novembre 2009, le Mediator (benfluorex), destiné aux diabétiques en surpoids et largement détourné comme coupe-faim, a été utilisé par 5 millions de personnes, dont 2,9 millions pendant plus de 3 mois. Il a été retiré du marché en novembre 2009."
Enfin, passons parce que seuls les politiques comprennent la politique. Nous ne devons pas vivre sur la même planète. Et, dans l'affaire du médiator, ils sont tous mouillés, PS, Ump, même combat. A se demander, si, il y a une vraie différence entre eux ?
Mais, cette fois-ci, sarko ne pourra pas en profiter pour stigmatiser le PS, vu qu'il a personnellement décoré en janvier 2009 de la grand-croix de la Légion d'honneur Jacques Servier.
Sauf, que cela pourrait signifier une chose, les politiques protègent les industriels même au risque de nos vie. Et, ça, ça passe mal !
Alors, voyons plutôt comment notre mutinationale Carrefour, après, avoir étranglé les agriculteurs et l'industrie de l'alimentation en France, tente de faire la même en Chine.
Eh, oui, on est pas vautour pour rien.
Mais, est-ce que les chinois vont se laisser faire par les diables étrangers ?
(source : le Quotidien du Peuple)
"Selon les dernières données du Bureau national des statistiques, l'indice des prix à la consommation (IPC) a connu une croissance de 5,1 % en novembre par rapport au mois précédent, et de 1,1 % en glissement annuel. L'inflation dans les secteurs alimentaire et immobilier est perçue comme la raison majeure de la croissance de l'IPC.
Dans ce contexte, les deux géants se sont engagés dans une vive dispute depuis début novembre. KSF a suspendu son approvisionnement à Carrefour pour un différend sur le partage d'une nouvelle marge de profit potentielle issue d'un nouveau prix de vente suggéré par KSF.
« KSF a proposé un prix de vente final plus élevé à cause de la montée insupportable du coût de production, pour KSF et pour ses nombreux employés », indique Chen Gongru, responsable des relations publiques de la direction générale de la marque. « Carrefour a accepté notre suggestion, mais en maintenant le prix d'entrée. Autrement dit, Carrefour veut absorber toute la marge dégagée par la hausse des prix. Ceci nous semble déraisonnable.
Le premier cycle de négociations a échoué, révèle une source anonyme. KSF a demandé une augmentation du prix d'entrée de même proportion que celle du prix de vente final, soit 10 %. Carrefour a refusé.
L'interruption de l'approvisionnement est temporaire, a annoncé KSF, qui souhaite maintenir une bonne coopération avec Carrefour».
Tiens, donc, Carrefour veut absorber toute la marge, comme en France, pas plus, pas moins. Sauf, qu'en France, Carrefour est protégé par le gouvernement qui préfère laisser à cette multinationale de la distribution ses grosses marges pour rétribuer grassement ses actionnaire. A se demander si, certains membres n'en sont pas bénéficiaires.
Mais, non, qu'est-ce que je raconte, je suis encore mauvaise langue.
En tout cas, les producteurs, de lait, de viandes, de légumes sont étranglés alors que les prix de vente augmentent. Et, eux, ils apprécient pas du tout, mais, pas du tout, les méthodes de Carrefour.
A mon avis, ils n'ont qu'à s'organiser pour la commercialisation avec un dépôt par ville et une clientèle par internet à livrer en viande et en légumes.
Tout, ça, c'est à n'y rien comprendre, n'est-ce pas mes trois chers lecteurs.
Ah, au fait, je peux écrire parce que ma voiture est coincée dans la neige et que je ne peux me rendre au travail. J'attends un chasse neige...un jour.
Sauf, que je pense que le chasse neige va être la pelle que je vais récupérer. Et, j'y vais présentement. A plus.
Bon, je suis revenu, mes trois chers lecteurs. En fait, comme outil, j'avais une espèce de raclette à long manche et un râteau et les congères faisaient un mètre de haut.
Et, pour me dégager, il fallait que je dégage la route jusqu'à chez moi.
A peine, avais-je dégagé mes pneus, que, Oh, miracle, un 4/4 est apparu et le chauffeur m'a proposé de me sortir de ce mauvais pas.
Maintenant, je suis chez moi au chaud. Mais, comme les routes passantes sont loin. Je suis coincé pour la journée.
Aussi, je vous souhaite un joyeux noël.
A bientôt.
René.
Je me pose une question sur notre ex-ministre des Affaires Etrangères, Bernard Kouchner et sa femme Cristine Ockrent, journaliste à la télé, actuellement soupçonnée d'avoir espionné sa direction.
Le personnage du French doctor me paraît de plus en plus ambigüe. Aujourd'hui, on parle de lui au sujet du médicament médiator des laboratoires servier qui aurait tué plus de 2000 personnes. A l'époque, secrétaire d'état à la santé, il était intervenu pour le maintien du taux de remboursement de ce médicament à hauteur de 65% par la sécurité sociale, alors que des rapports défavorables avaient été fait par des responsables sanitaires.
Mais, il serait également intervenu aussi pour neutraliser un rapport d'une équipe de l'Inserm en 1998 qui dénonçait l'utilisation de l'aluminium dans le traitement de l'eau. En effet, ce taux atteignait et peut-être atteint encore plus de 100 microgrammes par litre et majorait le risque de 50% de contracter la maladie d'Alzheimer.
Le 14 octobre 1998, France Soir publie en une un article de Roger Lenglet, basé sur le rapport de Jean-François Dartigues, neurologue responsable Inserm dénonçant l'utilisation de l'aluminium dans le traitement de l'eau. A la suite de cet article, Bernard Kouchner aurait sommé le responsable de l'Inserm d'aller à TF1 pour démentir avoir tenu ses propos devant le journaliste.
Les crédits de son laboratoire étant en jeu, il s'est exécuté.
Evidemment, vous pouvez vérifiez mes dires dans l'excellent reportage réalisé à l'époque :
Du poison dans l'eau :
L'aluminium
Un documentaire réalisé par Sophie Le Gall
Produit par Ligne de Mire, avec la participation de France Télévisions
Présenté par Marie Drucker.
La question est, "Pourquoi, le French Doctor s'est fendu d'une telle injonction vis-è-vis du responsable de l'Inserm ?"
Pour Véolia et autres multinationales françaises ?
Et, pour le Médiator ? Pour les laboratoires servier. A-t-il seulement prévenu Martine Aubry, sa ministre de tutelle ?
Et, lorsqu'il va enquêter en Birmanie pour voir si Total a utilisé des travailleurs esclaves et qu'il revient avec un rapport blanchissant totalement Total ?
Qui est-il vraiment ?
En tout cas, Ségolène Royal est prête à l'intégrer dans ses troupes. Cela, doit signifier sans doute, qu'il est ce qu'il tente de faire paraître, un mec sympa !
Eh, oui, mais, les mauvaises langues restent les mauvaises langues. Espérons qu'il ne va pas tenter de mouiller Martine Aubry et si, il a effectivement une responsabilité dans l'affaire du médiator savoir dire, "Oui, responsable, mais pas coupable".
(source : l'Express.fr, vendredi 24 décembre)
"Les responsables socialistes bottent en touche
En 1998, Martine Aubry était ministre de l'Emploi et de la Solidarité, et Bernard Kouchner son secrétaire d'Etat à la Santé. Tous les deux étaient en poste lorsque leur administration se montrait sourde à la mise en garde des trois médecins."
Parce que le médiator fait des vagues et les langues sortent de leurs poches.
AFP - 24/12/2010 à 06:41
Le Mediator aurait coûté 423 millions d'euros à la Sécu et aux complémentaires
ne note confidentielle de l'Unocam révèle que le Mediator, ce médicament utilisé comme coupe-faim qui a fait de 500 à 2.000 morts, a coûté 423 millions d'euros en dix ans à la Sécurité sociale et aux complémentaires santé, annonce Aujourd'hui en France.
L'Unocam réunit les fédérations d'assurances et mutuelles complémentaires santé et ses experts estiment que "l'assurance maladie a dépensé 324,89 millions d'euros au titre du remboursement de ce médicament", selon le quotidien.
L'addition réglée par les mutuelles et assurances se monterait, elle à 98,71 millions d'euros, selon la même source.
Les experts de l'Unocam s'étonnent de "l'octroi par les autorités d'un taux de remboursement de 65% en totale inadéquation avec le niveau de service médical rendu (SMR) qualifié d'+insuffisant+ par l'autorité de santé.
Commercialisé en France par les laboratoires Servier de 1976 à novembre 2009, le Mediator (benfluorex), destiné aux diabétiques en surpoids et largement détourné comme coupe-faim, a été utilisé par 5 millions de personnes, dont 2,9 millions pendant plus de 3 mois. Il a été retiré du marché en novembre 2009."
Enfin, passons parce que seuls les politiques comprennent la politique. Nous ne devons pas vivre sur la même planète. Et, dans l'affaire du médiator, ils sont tous mouillés, PS, Ump, même combat. A se demander, si, il y a une vraie différence entre eux ?
Mais, cette fois-ci, sarko ne pourra pas en profiter pour stigmatiser le PS, vu qu'il a personnellement décoré en janvier 2009 de la grand-croix de la Légion d'honneur Jacques Servier.
Sauf, que cela pourrait signifier une chose, les politiques protègent les industriels même au risque de nos vie. Et, ça, ça passe mal !
Alors, voyons plutôt comment notre mutinationale Carrefour, après, avoir étranglé les agriculteurs et l'industrie de l'alimentation en France, tente de faire la même en Chine.
Eh, oui, on est pas vautour pour rien.
Mais, est-ce que les chinois vont se laisser faire par les diables étrangers ?
(source : le Quotidien du Peuple)
"Selon les dernières données du Bureau national des statistiques, l'indice des prix à la consommation (IPC) a connu une croissance de 5,1 % en novembre par rapport au mois précédent, et de 1,1 % en glissement annuel. L'inflation dans les secteurs alimentaire et immobilier est perçue comme la raison majeure de la croissance de l'IPC.
Dans ce contexte, les deux géants se sont engagés dans une vive dispute depuis début novembre. KSF a suspendu son approvisionnement à Carrefour pour un différend sur le partage d'une nouvelle marge de profit potentielle issue d'un nouveau prix de vente suggéré par KSF.
« KSF a proposé un prix de vente final plus élevé à cause de la montée insupportable du coût de production, pour KSF et pour ses nombreux employés », indique Chen Gongru, responsable des relations publiques de la direction générale de la marque. « Carrefour a accepté notre suggestion, mais en maintenant le prix d'entrée. Autrement dit, Carrefour veut absorber toute la marge dégagée par la hausse des prix. Ceci nous semble déraisonnable.
Le premier cycle de négociations a échoué, révèle une source anonyme. KSF a demandé une augmentation du prix d'entrée de même proportion que celle du prix de vente final, soit 10 %. Carrefour a refusé.
L'interruption de l'approvisionnement est temporaire, a annoncé KSF, qui souhaite maintenir une bonne coopération avec Carrefour».
Tiens, donc, Carrefour veut absorber toute la marge, comme en France, pas plus, pas moins. Sauf, qu'en France, Carrefour est protégé par le gouvernement qui préfère laisser à cette multinationale de la distribution ses grosses marges pour rétribuer grassement ses actionnaire. A se demander si, certains membres n'en sont pas bénéficiaires.
Mais, non, qu'est-ce que je raconte, je suis encore mauvaise langue.
En tout cas, les producteurs, de lait, de viandes, de légumes sont étranglés alors que les prix de vente augmentent. Et, eux, ils apprécient pas du tout, mais, pas du tout, les méthodes de Carrefour.
A mon avis, ils n'ont qu'à s'organiser pour la commercialisation avec un dépôt par ville et une clientèle par internet à livrer en viande et en légumes.
Tout, ça, c'est à n'y rien comprendre, n'est-ce pas mes trois chers lecteurs.
Ah, au fait, je peux écrire parce que ma voiture est coincée dans la neige et que je ne peux me rendre au travail. J'attends un chasse neige...un jour.
Sauf, que je pense que le chasse neige va être la pelle que je vais récupérer. Et, j'y vais présentement. A plus.
Bon, je suis revenu, mes trois chers lecteurs. En fait, comme outil, j'avais une espèce de raclette à long manche et un râteau et les congères faisaient un mètre de haut.
Et, pour me dégager, il fallait que je dégage la route jusqu'à chez moi.
A peine, avais-je dégagé mes pneus, que, Oh, miracle, un 4/4 est apparu et le chauffeur m'a proposé de me sortir de ce mauvais pas.
Maintenant, je suis chez moi au chaud. Mais, comme les routes passantes sont loin. Je suis coincé pour la journée.
Aussi, je vous souhaite un joyeux noël.
A bientôt.
René.
jeudi 23 décembre 2010
Désolé, mes trois chers lecteurs, aujourd'hui encore,je n'ai pas le temps d'écrire dans la journée, donc ce soir sans faute.
Aujourd'hui, j'ai écouté, un ivoirien discuter avec un sénégalais. Ce dernier lui disait, "Nous en Afrique, il y les mêmes familles, que ce soit en Côte d'Ivoire, au Sénégal, au Burkina, au Mali, les mêmes noms reviennent. Alors, pourquoi, se faire des histoires". L'Ivoirien lui rétorque, "Mais, les autres, c'est des mecs du nord". Et, il argumente. Le sénégalais se fâche et lui balance, "Mais, vous, vous êtes des sauvages même pas civilisés. C'est nous les sénégalais qui avons construits tous vos immeubles à Abidjan et c'est nous qui vous avons envoyé des instituteurs parce que vous n'étiez même pas éduqué !"
L'Ivoirien se défend, "Mais, tu ne connais pas Gbagbo, c'est pas lui commande, c'est sa femme. Elle veut tout et elle est méchante. Elle prend tous les terrains à Abidjan et toutes les affaires qui se traitent, c'est elle".
"Mais, non, c'est Gbagbo," lui répond l'autre, "c'est quoi un homme qui se laisse commander par sa femme !"
Voilà, c'est l'Afrique, le sénégalais commence par, "On est tous africains, tous frères" et finit par, "Vous les ivoiriens, vous êtes tous des sauvages pas civilisés".
Mais, passons.
Parce qu'en Australie, ils sont en passe de résoudre le problème des crapauds buffles qui investent le sud ouest de la France.
Deux citoyens de cet immense continent tannent la peau du crapauds buffle pour en faire des chaussures de luxe.
Alors, entrepreneurs en herbe et coordoniers du sud ouest au boulot !
Vous avez la matière première et les compétences, il vous reste à convaincre les banques. Adressez-vous plutôt au réseau de l'économie sociale et au micro-crédit, vous aurez plus de chance.
Parce qu'on peut pas dire, en France, que les banques soutiennent la création d'entreprises. Elles feraient plutôt le contraire.
(source : les Nouvelles Calédoniennes)
"Des baskets en peau de crapaud
Pacifique - Australie
Mar 21 Déc 2010 |20:00
Le crapaud-buffle, introduit en Australie dans les années 1930 et perçu désormais comme un animal nuisible, pourrait devenir le dernier accessoire à la mode, grâce à l’initiative d’une association d’aide aux démunis qui utilise la peau du gros batracien pour fabriquer des chaussures de luxe.
« Je dis souvent aux gens : “ quelqu’un les a embrassés et les a transformés en belles petites chaussures de sport” », déclare Rupert Noffs, qui crée, avec son frère Matt, des tennis haut de gamme en cuir de crapaud, vendues au profit des plus pauvres.
Introduits en Australie pour détruire les populations de coléoptères dans les champs de cannes à sucre du Queensland (Nord-Est), ces crapauds originaires d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud se sont reproduits de manière exponentielle et mettent en danger des espèces endémiques. Les Australiens cherchent à présent à réduire leur population.
Les tennis des frères Noffs sont en peau de kangourou et de crapauds- buffles.
« Les peaux sont teintes, elles existent en bleu, doré, rouge, rose, noir et sont vraiment magnifiques. Très solides également. Ce sont des animaux nuisibles, donc quoi de mieux que de les rendre utiles une fois qu’ils sont morts ? », dit Rupert, lors de l’ouverture du magasin Gideon Shoes, à Sydney."
Et, pour finir, à l'attention de tous les aventuriers de ce vaste monde, devenez riche avec le trafic de diamant.
(source : Irin News)
MOZAMBIQUE-ZIMBABWE: Une ville frontalière à l'heure du diamant
Un diamant brut provenant du Zimbabwe – la nouvelle richesse de ManicaMANICA, 7 janvier 2010 (IRIN) -
Sans un véhicule à quatre roues motrices, conduire sur les routes de terre pleines de nids de poule de Manica est un véritable défi. Cependant, un flux constant de diamants illicites en provenance du Zimbabwe voisin permet à de plus en plus d’habitants de cette ville pauvre de l’ouest du Mozambique de s’acheter un véhicule tout terrain.
Les rues de Manica grouillent d’activité et la nouvelle prospérité – qui se manifeste par la présence des derniers modèles de Hummer ou de Toyota haut de gamme, toujours équipés de vitres teintées – est bien visible le long de l’avenue Eduardo Mondlane, la seule artère importante de cette ville poussiéreuse située près de la frontière zimbabwéenne.
La frontière est redynamisée par le diamant : de nouveaux restaurants et de nouvelles boutiques ont ouvert leurs portes et offrent toutes sortes de produits – tous importés d’Afrique du Sud.
La région était autrefois reconnue pour ses niveaux élevés de pauvreté et de malnutrition. Aujourd’hui, des revendeurs de diamants – parmi lesquels de nombreux étrangers – regardent les véhicules de luxe parader depuis des terrasses blanchies à la chaud et des hôtels retapés à la hâte.
« Les diamants arrivent au Mozambique clandestinement et mystérieusement. À Manica, personne n’a le droit d’en [acheter ou d’en vendre] parce que nous n’avons pas de ce minerai », a dit à IRIN Jose Tefula, administrateur du district de Manica.
Les diamants proviendraient des vastes champs diamantifères de Chiadzwa, dans la province orientale de Manicaland. Le site de Chiadzwa se trouve à environ 90 kilomètres au sud-ouest de la ville de Mutare, à proximité de la frontière est du Zimbabwe. Les trafiquants ont recours aux services de « mules », qui ingèrent souvent les pierres pour les faire entrer clandestinement au Mozambique, a ajouté M. Tefula.
Selon Alberto Limeme, chef de la patrouille de gardes frontières de Machipanda, le principal point de passage entre le Mozambique et le Zimbabwe : « les diamants ne peuvent traverser la frontière sans être accompagnés des documents nécessaires, mais nous n’avons pas assez de personnel pour exercer un contrôle approprié ».
D’après certaines informations, des pierres valant plusieurs centaines de milliers de dollars entrent chaque mois clandestinement dans le pays. En décembre 2009, les autorités ont saisi plus de 500 grammes de diamants sur un seul contrebandier."
A bientôt.
René;
Aujourd'hui, j'ai écouté, un ivoirien discuter avec un sénégalais. Ce dernier lui disait, "Nous en Afrique, il y les mêmes familles, que ce soit en Côte d'Ivoire, au Sénégal, au Burkina, au Mali, les mêmes noms reviennent. Alors, pourquoi, se faire des histoires". L'Ivoirien lui rétorque, "Mais, les autres, c'est des mecs du nord". Et, il argumente. Le sénégalais se fâche et lui balance, "Mais, vous, vous êtes des sauvages même pas civilisés. C'est nous les sénégalais qui avons construits tous vos immeubles à Abidjan et c'est nous qui vous avons envoyé des instituteurs parce que vous n'étiez même pas éduqué !"
L'Ivoirien se défend, "Mais, tu ne connais pas Gbagbo, c'est pas lui commande, c'est sa femme. Elle veut tout et elle est méchante. Elle prend tous les terrains à Abidjan et toutes les affaires qui se traitent, c'est elle".
"Mais, non, c'est Gbagbo," lui répond l'autre, "c'est quoi un homme qui se laisse commander par sa femme !"
Voilà, c'est l'Afrique, le sénégalais commence par, "On est tous africains, tous frères" et finit par, "Vous les ivoiriens, vous êtes tous des sauvages pas civilisés".
Mais, passons.
Parce qu'en Australie, ils sont en passe de résoudre le problème des crapauds buffles qui investent le sud ouest de la France.
Deux citoyens de cet immense continent tannent la peau du crapauds buffle pour en faire des chaussures de luxe.
Alors, entrepreneurs en herbe et coordoniers du sud ouest au boulot !
Vous avez la matière première et les compétences, il vous reste à convaincre les banques. Adressez-vous plutôt au réseau de l'économie sociale et au micro-crédit, vous aurez plus de chance.
Parce qu'on peut pas dire, en France, que les banques soutiennent la création d'entreprises. Elles feraient plutôt le contraire.
(source : les Nouvelles Calédoniennes)
"Des baskets en peau de crapaud
Pacifique - Australie
Mar 21 Déc 2010 |20:00
Le crapaud-buffle, introduit en Australie dans les années 1930 et perçu désormais comme un animal nuisible, pourrait devenir le dernier accessoire à la mode, grâce à l’initiative d’une association d’aide aux démunis qui utilise la peau du gros batracien pour fabriquer des chaussures de luxe.
« Je dis souvent aux gens : “ quelqu’un les a embrassés et les a transformés en belles petites chaussures de sport” », déclare Rupert Noffs, qui crée, avec son frère Matt, des tennis haut de gamme en cuir de crapaud, vendues au profit des plus pauvres.
Introduits en Australie pour détruire les populations de coléoptères dans les champs de cannes à sucre du Queensland (Nord-Est), ces crapauds originaires d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud se sont reproduits de manière exponentielle et mettent en danger des espèces endémiques. Les Australiens cherchent à présent à réduire leur population.
Les tennis des frères Noffs sont en peau de kangourou et de crapauds- buffles.
« Les peaux sont teintes, elles existent en bleu, doré, rouge, rose, noir et sont vraiment magnifiques. Très solides également. Ce sont des animaux nuisibles, donc quoi de mieux que de les rendre utiles une fois qu’ils sont morts ? », dit Rupert, lors de l’ouverture du magasin Gideon Shoes, à Sydney."
Et, pour finir, à l'attention de tous les aventuriers de ce vaste monde, devenez riche avec le trafic de diamant.
(source : Irin News)
MOZAMBIQUE-ZIMBABWE: Une ville frontalière à l'heure du diamant
Un diamant brut provenant du Zimbabwe – la nouvelle richesse de ManicaMANICA, 7 janvier 2010 (IRIN) -
Sans un véhicule à quatre roues motrices, conduire sur les routes de terre pleines de nids de poule de Manica est un véritable défi. Cependant, un flux constant de diamants illicites en provenance du Zimbabwe voisin permet à de plus en plus d’habitants de cette ville pauvre de l’ouest du Mozambique de s’acheter un véhicule tout terrain.
Les rues de Manica grouillent d’activité et la nouvelle prospérité – qui se manifeste par la présence des derniers modèles de Hummer ou de Toyota haut de gamme, toujours équipés de vitres teintées – est bien visible le long de l’avenue Eduardo Mondlane, la seule artère importante de cette ville poussiéreuse située près de la frontière zimbabwéenne.
La frontière est redynamisée par le diamant : de nouveaux restaurants et de nouvelles boutiques ont ouvert leurs portes et offrent toutes sortes de produits – tous importés d’Afrique du Sud.
La région était autrefois reconnue pour ses niveaux élevés de pauvreté et de malnutrition. Aujourd’hui, des revendeurs de diamants – parmi lesquels de nombreux étrangers – regardent les véhicules de luxe parader depuis des terrasses blanchies à la chaud et des hôtels retapés à la hâte.
« Les diamants arrivent au Mozambique clandestinement et mystérieusement. À Manica, personne n’a le droit d’en [acheter ou d’en vendre] parce que nous n’avons pas de ce minerai », a dit à IRIN Jose Tefula, administrateur du district de Manica.
Les diamants proviendraient des vastes champs diamantifères de Chiadzwa, dans la province orientale de Manicaland. Le site de Chiadzwa se trouve à environ 90 kilomètres au sud-ouest de la ville de Mutare, à proximité de la frontière est du Zimbabwe. Les trafiquants ont recours aux services de « mules », qui ingèrent souvent les pierres pour les faire entrer clandestinement au Mozambique, a ajouté M. Tefula.
Selon Alberto Limeme, chef de la patrouille de gardes frontières de Machipanda, le principal point de passage entre le Mozambique et le Zimbabwe : « les diamants ne peuvent traverser la frontière sans être accompagnés des documents nécessaires, mais nous n’avons pas assez de personnel pour exercer un contrôle approprié ».
D’après certaines informations, des pierres valant plusieurs centaines de milliers de dollars entrent chaque mois clandestinement dans le pays. En décembre 2009, les autorités ont saisi plus de 500 grammes de diamants sur un seul contrebandier."
A bientôt.
René;
mercredi 22 décembre 2010
"Casser va plus vite que raccommoder." Proverbe Suisse. Dédié au peuple de la Côte d'Ivoire.
Salut aux peuples d'Afrique ! Les frontières que les états coloniaux vous ont légué, ont construit vos conflits d'hier et d'aujourd'hui. Pas mal comme cadeau !
Bon, mes chers trois lecteurs, hier, des aléas m'ont amené à ne pas pouvoir écrire. Aujourd'hui, pas trop le temps, mais, j'ai récupéré ma voiture, donc, sûr de sûr, ce soir, j'écris.
Donc, parlons un peu de la Côte d'Ivoire et des entreprises françaises qui quittent le pays et qui laissent la place à d'autres prêtes à assumer l'opprobe des nations.
De toute façon, comme les sanctions internationales sont graduées, elles auront largement le temps de faire des affaires avant d'être mises à l'index par les Etats-Unis. Et, imaginons que les chinois occupent l'espace, je ne vois quelles sanctions pourraient être prises à l'encontre de la Chine. Même, les gars du nord de la Côte d'Ivoire seraient intéressés à développer des relations avec ce grand, cet immense pays.
Donc, j'encourage les entreprises chinoises à se positionner. Parce qu'entre-nous Gbagbo n'est pas parti.
N'oublions pas que la Chine est très bien positionnée au Soudan malgré les diatribes internationales et la condamnation de son président par le tribunal international.
Parce qu'entre-nous, que va-t-il se passer ?
Une division de fait ?
C'est déjà fait ! Nous avons deux territoires et logiquement, deux présidents.
Maintenant, à savoir sur quel territoire, l'un et l'autre se positionne.
Gbagbo est prêt à lâcher le nord musulman, plus prolifiques au niveau de la natalité et dont les familles se rattachent de par l'histoire au Burkina Faso et au Mali.
Ensuite, dans ce nord, y'a pas trop de richesse. Un peu comme le Mali ou le Burkina.
Donc, à priori, Gbagbo et ses partisans ont plus d'intérêt à replier la Côte d'Ivoire sur le Sud, producteur de cacao, de caoutchouc, de bois et dont la zone maritime enfante des convoitises industrielles.
Jusqu'à présent le rôle du président du Burkinabé dans la crise ivoirienne reste flou, lui, qui est intervenu dans les conflits régionaux pour son bénéfice personnel, dit-on dans les chaumières de la Francafrique.
Que peuvent faire les troupes françaises ou onusiennes ?
Rien, à part compter les points.
Que peuvent faire les forces "rebelles" ?
Rien !
A part se réorganiser dans le nord, car, toute aventure dans le sud, non préparée les conduirait à des pertes importantes et provoquerait des massacres dans la population.
Alors, que va-t-il se passer, si, les forces onusiennes n'interviennent pas en s'attaquant directement à Gbagbo ? Ce que militairement, elles ne peuvent faire.
Négocier pour que Ouattara puisse quitter Abidjan, la capitale, c'est tout.
En ce qui concerne les français, le camp Gbagbo n'a pas intérêt à ce qu'ils subissent des pertes. Ou même s'attaquer directement à la force Licorne.
Pour s'en sortir, il a besoin de soutien internationaux, qu'il trouvera.
Mais, les français partiront, la force Licorne et les forces onusiennes aussi.
Des armes et des mercenaires pour piloter des hélicoptère de combat, il trouvera.
Sa meilleure chance s'est d'avoir le champ libre, non pas pour reconquérir le nord, mais, pour stabiliser son territoire.
Et, si, Ouattara installe son gouvernement dans le nord, il sera obligé de prendre le contrôle des forces rebelles un peu disparates. Et, rien que ça lui prendra du temps. Il ne pourra mener de front et la construction du nord et une offensive sur le sud.
Que Gbagbo laisse Ouattara partir. Il n'a que peu de cartes en main.
En tout cas, la Côte d'Ivoire, quoiqu'elle devienne, car, les anciennes frontières coloniales ne sont pas intangibles, est repartie pour des années d'insécurité.
Et, sur ces sombres ou paroles d'espoir, cela dépend de quel côté de l'échiquier ivoirien, vous vous trouvez, je vous salue.
A bientôt.
René.
Bon, mes chers trois lecteurs, hier, des aléas m'ont amené à ne pas pouvoir écrire. Aujourd'hui, pas trop le temps, mais, j'ai récupéré ma voiture, donc, sûr de sûr, ce soir, j'écris.
Donc, parlons un peu de la Côte d'Ivoire et des entreprises françaises qui quittent le pays et qui laissent la place à d'autres prêtes à assumer l'opprobe des nations.
De toute façon, comme les sanctions internationales sont graduées, elles auront largement le temps de faire des affaires avant d'être mises à l'index par les Etats-Unis. Et, imaginons que les chinois occupent l'espace, je ne vois quelles sanctions pourraient être prises à l'encontre de la Chine. Même, les gars du nord de la Côte d'Ivoire seraient intéressés à développer des relations avec ce grand, cet immense pays.
Donc, j'encourage les entreprises chinoises à se positionner. Parce qu'entre-nous Gbagbo n'est pas parti.
N'oublions pas que la Chine est très bien positionnée au Soudan malgré les diatribes internationales et la condamnation de son président par le tribunal international.
Parce qu'entre-nous, que va-t-il se passer ?
Une division de fait ?
C'est déjà fait ! Nous avons deux territoires et logiquement, deux présidents.
Maintenant, à savoir sur quel territoire, l'un et l'autre se positionne.
Gbagbo est prêt à lâcher le nord musulman, plus prolifiques au niveau de la natalité et dont les familles se rattachent de par l'histoire au Burkina Faso et au Mali.
Ensuite, dans ce nord, y'a pas trop de richesse. Un peu comme le Mali ou le Burkina.
Donc, à priori, Gbagbo et ses partisans ont plus d'intérêt à replier la Côte d'Ivoire sur le Sud, producteur de cacao, de caoutchouc, de bois et dont la zone maritime enfante des convoitises industrielles.
Jusqu'à présent le rôle du président du Burkinabé dans la crise ivoirienne reste flou, lui, qui est intervenu dans les conflits régionaux pour son bénéfice personnel, dit-on dans les chaumières de la Francafrique.
Que peuvent faire les troupes françaises ou onusiennes ?
Rien, à part compter les points.
Que peuvent faire les forces "rebelles" ?
Rien !
A part se réorganiser dans le nord, car, toute aventure dans le sud, non préparée les conduirait à des pertes importantes et provoquerait des massacres dans la population.
Alors, que va-t-il se passer, si, les forces onusiennes n'interviennent pas en s'attaquant directement à Gbagbo ? Ce que militairement, elles ne peuvent faire.
Négocier pour que Ouattara puisse quitter Abidjan, la capitale, c'est tout.
En ce qui concerne les français, le camp Gbagbo n'a pas intérêt à ce qu'ils subissent des pertes. Ou même s'attaquer directement à la force Licorne.
Pour s'en sortir, il a besoin de soutien internationaux, qu'il trouvera.
Mais, les français partiront, la force Licorne et les forces onusiennes aussi.
Des armes et des mercenaires pour piloter des hélicoptère de combat, il trouvera.
Sa meilleure chance s'est d'avoir le champ libre, non pas pour reconquérir le nord, mais, pour stabiliser son territoire.
Et, si, Ouattara installe son gouvernement dans le nord, il sera obligé de prendre le contrôle des forces rebelles un peu disparates. Et, rien que ça lui prendra du temps. Il ne pourra mener de front et la construction du nord et une offensive sur le sud.
Que Gbagbo laisse Ouattara partir. Il n'a que peu de cartes en main.
En tout cas, la Côte d'Ivoire, quoiqu'elle devienne, car, les anciennes frontières coloniales ne sont pas intangibles, est repartie pour des années d'insécurité.
Et, sur ces sombres ou paroles d'espoir, cela dépend de quel côté de l'échiquier ivoirien, vous vous trouvez, je vous salue.
A bientôt.
René.
mardi 21 décembre 2010
Aujourd'hui pas le temps d'écrire dans la journée. Ce soir, sûr !
Eh, bien, mes trois chers lecteurs, j'ai menti, ce n'est pas sûr !
Et, pourquoi ?
Tout simplement, parce que je viens juste de rentrer à la maison et comme aujourd'hui, je n'avais pas de voiture pour y parvenir, je me suis tapé sept kilomètres à pied avec ma femme chérie.
Sept kilomètres sur une petite route de campagne à sept du soir, donc en pleine nuit, sur une petite route de campagne où aucune voiture ne passe la nuit tombée.
Et, comme il a neigé pendant trois jours, dans un désert blanc.
Deux heures de marche, après une journée de travail sur Paris.
Donc, grosse fatigue et surtout grosse envie de bâcler le repas et aller au dodo avant le réveil demain à cinq heures et demie.
Voilà, c'est ça ma vie, mes chers trois lecteurs, marcher dans la neige la nuit pour retourner chez moi.
A bientôt.
René.
Eh, bien, mes trois chers lecteurs, j'ai menti, ce n'est pas sûr !
Et, pourquoi ?
Tout simplement, parce que je viens juste de rentrer à la maison et comme aujourd'hui, je n'avais pas de voiture pour y parvenir, je me suis tapé sept kilomètres à pied avec ma femme chérie.
Sept kilomètres sur une petite route de campagne à sept du soir, donc en pleine nuit, sur une petite route de campagne où aucune voiture ne passe la nuit tombée.
Et, comme il a neigé pendant trois jours, dans un désert blanc.
Deux heures de marche, après une journée de travail sur Paris.
Donc, grosse fatigue et surtout grosse envie de bâcler le repas et aller au dodo avant le réveil demain à cinq heures et demie.
Voilà, c'est ça ma vie, mes chers trois lecteurs, marcher dans la neige la nuit pour retourner chez moi.
A bientôt.
René.
lundi 20 décembre 2010
"La tente ne se construit pas avec le mensonge." Proverbe Touareg. Et, si, au lieu de tente, je mets "nation", à quel président, cela vous fait penser ?
Salut aux multinationales qui ont, un peu partout, confisqué les régimes démocratiques.
Il était temps !
Areva évacue ses salariés français de ses sites nigériens. Il était temps.
Pour une fois, une grosse entreprise considère la sécurité de ses employés, même, si, elle aurait dû les évacuer plut tôt, vu que des menaces précises avaient été émises par les "rebelles" contre cette société.
Peut-être que si Areva avait eu plus de considération pour les populations en aidant localement et en négociant avec le gouvernement nigérien pour que les touaregs puissent toucher une forme de royalties. La situation se serait présentée différemment.
Maintenant, qu'Aqmi a enlevé ses salariés, elle devrait réfléchir sur la manière de mettre la population de son côté. A moins, qu'elle n'embauche une armée privée, ce qui risque de lui coûter beaucoup plus cher.
(source : El Watan)
"AQMI fait son entrée dans le «djihad global»
"(...) Devant la grave dégradation de la situation sécuritaire au Sahel, les entreprises françaises, particulièrement ciblées par les responsables d’AQMI, ont décidé d’évacuer tous leurs salariés expatriés. Outre le personnel d’Areva présent à Arlit et sur le site d’Imouraren, future mine géante d’uranium, cette décision s’applique également aux Français établis au Mali, en Mauritanie et au Burkina Faso où une activité terroriste a été récemment signalée. Des spécialistes des mouvements terroristes estiment qu’en renvoyant Paris à Oussama ben Laden pour négocier le sort des otages du Sahel, le chef d’AQMI parachève l’entrée des éléments dans le «djihad global». La tournure prise par les événements serait, selon eux, mauvais signe pour ses captifs (5 Français, 1 Togolais et 1 Malgache). La raison ? Les mêmes experts soutiennent en effet que les conditions posées (négociations directes avec Ben Laden pour le sort des otages et retrait de l’armée française d’Afghanistan) sont tellement exorbitantes qu’elles laissent présager d’une longue détention dans le désert pour les personnes kidnappées en septembre au Niger."
Et, pendant, ce temps, en Côte d'Ivoire, la crise s'installe.
Cela s'annonce mal et ce ne sont pas les déclarations va-t-en guerre de la France qui risque de calmer le jeu. Pour l'instant, c'est l'impasse.
Ouattara est dans la nasse. Et, tout ce que pourront faire les militaires de l'ONU, c'est essayer de l'évacuer d'Abidjan.
Mais, Gbagbo le laissera-t-il partir ?
Pour ses militants, et j'en connais, l'élection a été entachée de fraudes massives dans le nord.
Ils répètent à l'envie que ses élections ne sont pas légales et qu'il s'agit d'un complot de l'ONU et, non pas de la France, mais, du seul sarko.
Ils ne reconnaissent pas la légitimité de Ouattara pour lequel, ils n'expriment que de la Haine.
En tout cas, ce n'est pas avec la Côte d'Ivoire que notre président va imposer une stature internationale. Il démontre plutôt le contraire.
(source : Libération)
"Alors que Laurent Gbagbo est sous pression, un de ses ministres dénonce l’ingérence française.
Le ton monte entre Paris et Laurent Gbagbo. Le président sortant refuse toujours de quitter ses fonctions à la tête de la Côte d’Ivoire et de laisser la place à son rival Alassane Ouattara. Un nouvel avertissement par l’intermédiaire de Michèle Alliot-Marie a été lancé dimanche. La ministre estime que Gbagbo doit retenir ses troupes s’il ne veut pas avoir des morts sur la conscience."
(source : radio Europe 1)
Sarkozy "n'a aucun ordre à donner"
Mais le président sortant remobilise ses troupes. Et pour l’aider, le ministre de la Jeunesse, le très populaire Charles Blé Goudé, arpente les quartiers pour "chauffer la jeunesse". "Il faut que Nicolas Sarkozy ouvre les yeux. La Côte-d’Ivoire n’est pas une sous-préfecture de la France et le président ivoirien n’est pas un sous-préfet", a prévenu Charles Blé Goudé, sur Europe 1, lundi matin. "Il n'a aucun ordre à donner à la Côte d'Ivoire, il peut demander à aider la Côte d'Ivoire à sortir de cette crise", a-t-il ajouté.
Au cours des trois derniers jours, les violences en Côte d'Ivoire ont fait plus de 50 morts et plus de 200 blessés, selon un dernier bilan annoncé par la Haut commissaire aux droits de l'homme de l'ONU qui a aussi fait état de "violations massives des droits de l'homme".
Et, Laurent Gbagbo veut le départ des troupes onusiennes et françaises. Sauf, qu'évacuer, c'est lui reconnaître une autorité que seul le président élu et reconnu par la majorité des instances internationales détient.
Evacuer, c'est entériner la division de la Côte d'Ivoire et abandonner Ouatarra en l'obigeant à quitter Abidjan parce que moralement, i'ONU et la France ne peuvent le laisser dans les griffes de son ennemi.
Par contre, concernant, les sanctions internationales annoncées par la ministre, on attend encore la preuve de leur efficacité concernant le président du Soudan, qui est à l'origine de centaines de milliers de morts, lui !. Alors, Gbagbo, 200 ou même 300 morts, à côté, c'est de l'enfantillage.
source : le Point.fr)
"Concernant les sanctions, Michèle Alliot-Marie a parlé d'interdictions de voyage, de gel des avoirs ou encore d'un retrait de la signature sur les comptes du pays."
En tout cas, moi, si, j'étais français, je ferais partir mes gamins et ma femme le plus tôt possible, même par Ghana. Et, j'exigerais que l'armée française commence à évacuer les femmes et les enfants.
Mais, pour l'instant sarko n'envisage rien de tel.
Ce qui est bien avec lui, c'est qu'il prend des risques avec la vie des autres.
Dans une vie antérieure, il a certainement dû être poète. On vie à l'instant et on ne se soucie pas de l'avenir.
C'est peut-être pour ça que la France est dans la mouise. Parce qu'il n'a aucune vision d'un avenir pour elle. Pour ses potes, c'est une autre question, il les chouchoute.
Bon, et cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
Il était temps !
Areva évacue ses salariés français de ses sites nigériens. Il était temps.
Pour une fois, une grosse entreprise considère la sécurité de ses employés, même, si, elle aurait dû les évacuer plut tôt, vu que des menaces précises avaient été émises par les "rebelles" contre cette société.
Peut-être que si Areva avait eu plus de considération pour les populations en aidant localement et en négociant avec le gouvernement nigérien pour que les touaregs puissent toucher une forme de royalties. La situation se serait présentée différemment.
Maintenant, qu'Aqmi a enlevé ses salariés, elle devrait réfléchir sur la manière de mettre la population de son côté. A moins, qu'elle n'embauche une armée privée, ce qui risque de lui coûter beaucoup plus cher.
(source : El Watan)
"AQMI fait son entrée dans le «djihad global»
"(...) Devant la grave dégradation de la situation sécuritaire au Sahel, les entreprises françaises, particulièrement ciblées par les responsables d’AQMI, ont décidé d’évacuer tous leurs salariés expatriés. Outre le personnel d’Areva présent à Arlit et sur le site d’Imouraren, future mine géante d’uranium, cette décision s’applique également aux Français établis au Mali, en Mauritanie et au Burkina Faso où une activité terroriste a été récemment signalée. Des spécialistes des mouvements terroristes estiment qu’en renvoyant Paris à Oussama ben Laden pour négocier le sort des otages du Sahel, le chef d’AQMI parachève l’entrée des éléments dans le «djihad global». La tournure prise par les événements serait, selon eux, mauvais signe pour ses captifs (5 Français, 1 Togolais et 1 Malgache). La raison ? Les mêmes experts soutiennent en effet que les conditions posées (négociations directes avec Ben Laden pour le sort des otages et retrait de l’armée française d’Afghanistan) sont tellement exorbitantes qu’elles laissent présager d’une longue détention dans le désert pour les personnes kidnappées en septembre au Niger."
Et, pendant, ce temps, en Côte d'Ivoire, la crise s'installe.
Cela s'annonce mal et ce ne sont pas les déclarations va-t-en guerre de la France qui risque de calmer le jeu. Pour l'instant, c'est l'impasse.
Ouattara est dans la nasse. Et, tout ce que pourront faire les militaires de l'ONU, c'est essayer de l'évacuer d'Abidjan.
Mais, Gbagbo le laissera-t-il partir ?
Pour ses militants, et j'en connais, l'élection a été entachée de fraudes massives dans le nord.
Ils répètent à l'envie que ses élections ne sont pas légales et qu'il s'agit d'un complot de l'ONU et, non pas de la France, mais, du seul sarko.
Ils ne reconnaissent pas la légitimité de Ouattara pour lequel, ils n'expriment que de la Haine.
En tout cas, ce n'est pas avec la Côte d'Ivoire que notre président va imposer une stature internationale. Il démontre plutôt le contraire.
(source : Libération)
"Alors que Laurent Gbagbo est sous pression, un de ses ministres dénonce l’ingérence française.
Le ton monte entre Paris et Laurent Gbagbo. Le président sortant refuse toujours de quitter ses fonctions à la tête de la Côte d’Ivoire et de laisser la place à son rival Alassane Ouattara. Un nouvel avertissement par l’intermédiaire de Michèle Alliot-Marie a été lancé dimanche. La ministre estime que Gbagbo doit retenir ses troupes s’il ne veut pas avoir des morts sur la conscience."
(source : radio Europe 1)
Sarkozy "n'a aucun ordre à donner"
Mais le président sortant remobilise ses troupes. Et pour l’aider, le ministre de la Jeunesse, le très populaire Charles Blé Goudé, arpente les quartiers pour "chauffer la jeunesse". "Il faut que Nicolas Sarkozy ouvre les yeux. La Côte-d’Ivoire n’est pas une sous-préfecture de la France et le président ivoirien n’est pas un sous-préfet", a prévenu Charles Blé Goudé, sur Europe 1, lundi matin. "Il n'a aucun ordre à donner à la Côte d'Ivoire, il peut demander à aider la Côte d'Ivoire à sortir de cette crise", a-t-il ajouté.
Au cours des trois derniers jours, les violences en Côte d'Ivoire ont fait plus de 50 morts et plus de 200 blessés, selon un dernier bilan annoncé par la Haut commissaire aux droits de l'homme de l'ONU qui a aussi fait état de "violations massives des droits de l'homme".
Et, Laurent Gbagbo veut le départ des troupes onusiennes et françaises. Sauf, qu'évacuer, c'est lui reconnaître une autorité que seul le président élu et reconnu par la majorité des instances internationales détient.
Evacuer, c'est entériner la division de la Côte d'Ivoire et abandonner Ouatarra en l'obigeant à quitter Abidjan parce que moralement, i'ONU et la France ne peuvent le laisser dans les griffes de son ennemi.
Par contre, concernant, les sanctions internationales annoncées par la ministre, on attend encore la preuve de leur efficacité concernant le président du Soudan, qui est à l'origine de centaines de milliers de morts, lui !. Alors, Gbagbo, 200 ou même 300 morts, à côté, c'est de l'enfantillage.
source : le Point.fr)
"Concernant les sanctions, Michèle Alliot-Marie a parlé d'interdictions de voyage, de gel des avoirs ou encore d'un retrait de la signature sur les comptes du pays."
En tout cas, moi, si, j'étais français, je ferais partir mes gamins et ma femme le plus tôt possible, même par Ghana. Et, j'exigerais que l'armée française commence à évacuer les femmes et les enfants.
Mais, pour l'instant sarko n'envisage rien de tel.
Ce qui est bien avec lui, c'est qu'il prend des risques avec la vie des autres.
Dans une vie antérieure, il a certainement dû être poète. On vie à l'instant et on ne se soucie pas de l'avenir.
C'est peut-être pour ça que la France est dans la mouise. Parce qu'il n'a aucune vision d'un avenir pour elle. Pour ses potes, c'est une autre question, il les chouchoute.
Bon, et cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.
dimanche 19 décembre 2010
"Un ami dans le besoin reste un ami." Proverbe Albanais. Euh, alors, vite dit !
Salut à toutes les victimes. Ce qui est regrettable, c'est que chez les catholiques, les bourreaux ne sont pas exclus du paradis. Ni, chez les musulmans ou les juifs d'ailleurs. C'est bien pour ça que ces religions ont un creuset commun.
Alors, quoi, les iraniens s'imaginaient qu'ils échapperaient à l'augmentation du coût de la vie. Et, puis, quoi encore !
Même, nous, en France, y'a tout qui augmente. L'électricité par exemple, soi disant, pour compenser le coût d'achat de l'électricité produite par les éoliennes du secteur privé.
Parce qu'en France, on est bien con, l'argent de nos impôts sert à créer de nouveaux patrons qui exploitent leurs salariés. Sans compter que comme le prix du gaz à l'international a chuté, on se demande pourquoi EDF nous augmente le coût au compteur.
Mais, allez comprendre, en France, on est plus intelligent que partout ailleurs pour entuber le consommateur. Et, j'ai bien dit "ENTUBER", ce qui veut dire, "VOLER !"
Ca y est, je m'égare, revenons-en plutôt aux iraniens.
C'est vrai, quoi, les sanctions internationales n'ont aucun effet sur l'économie iraniennes, dixit Mahmoud Ahmadinejad.
Déjà, qu'il n'a pas développé l'industrie de raffinage et qu'il faille acheter l'essence à l'étranger. Ca fait désordre quand même pour un grand penseur politique, économique, religieux et j'en passe et des meilleurs.
Religieux, un peu comme notre président national quand il va boire le thé avec Benoit XVI en s'imaginant récupérer les votes des catholiques.
Mais, non, je plaisante. Ils sont tous les deux agités, mais, pas du même acabit.
Donc, je disais, Ouh, là, là, le porte monnaie, déjà relativement vide des iraniens, va encore connaître un tsunami.
Et, même le pain ! Encore qu'ils ont de la chance, en Algérie, même le sucre a augmenté.
(source : :e MONDE 19/12/2010 À 10H48)
Le prix de l’essence flambe en Iran, le gouvernement supprime des subventions
Dans le cadre d'un plan de suppression des subventions directes pour assainir les finances de l'Etat, le prix de l'électricité, du gaz, du kérosène, mais aussi de l'eau et du pain augmentent aussi de manière progressive.
Mahmoud Ahmadinejad le 10 novembre à Qazvin, au nord de l'Iran (© AFP)
Le gouvernement iranien a décidé d'augmenter fortement, à partir de ce dimanche, le prix de l'essence et du gazole, dans le cadre d'un vaste plan qui vise à supprimer progressivement les subventions directes.
Selon le communiqué officiel, le prix du quota de 60 litres d'essence par mois accordé à chaque automobiliste passe de 0,10 dollar le litre à 0,4 dollar. Au-delà de ce quota, les automobilistes devront payer le litre à 0,70 dollar au lieu de 0,40 dollar précédemment.
Ainsi, le prix de l'essence subventionné est multiplié par 4, alors que le prix de l'essence non subventionné augmente de 75%. Le prix du gazole est de son côté multiplié par 9, passant de 0,0165 dollar à 0,150 dollar.
Dans le cadre de ce plan, le prix de l'électricité, du gaz, du kérosène, mais aussi de l'eau et du pain augmentent également mais de manière progressive."
A, ces gouvernements, toujours les premiers à ne pas avouer la situation réelle. En sachant que celle qu'ils décrivent n'est pas souvent la vraie.
Ainsi, on retrouve souvent ces situations avec l'industrie pharmaceutique qui invente des produits qui risquent de "tuer" des gens.
Sauf que, la recherche implique une masse d'argent irrécupérable si le medoc en question n'est pas commercialisé. Dans l'agro-alimentaire, c'est la même.
Alors, le risque que prend les usagers, on s'en fout un peu. Il suffit de faire une bonne campagne de lobbying en comptant sur les personnes qui ont travaillé dans le secteur et qui se sont faufilés au sein du gouvernement et des agences sanitaires, sans compter les élus amis.
Après, à dieu ne plaise, c'est le profit qui importe.
Bon, pour le moment grâce au Médiator, 1000 morts sont recensés. Attendons les autres qui ne l'ont pas été ou à venir.
Et, attendons, la réponse du dernier ministre qui l'a autorisé, Xavier Bertrand.
A l'époque du sang contaminé, une ministre socialiste, s'est défendue avec le fameux, "Responsable, mais, pas coupable". Peut-être va-t-il nous faire la même.
Mais, ne lui jetons pas la première pierre parce qu'un ministre socialiste à l'époque a fait la même avec ce médoc alors que déjà des rapports défavorables étaient pondus par des organismes reconnus. Là, déjà, le lobbying a joué. Alors, si, l'on doit condamner Xavier Bertrand, il faut condamner cet ancien ministre socialiste aussi. Parce que lui, si, il l'avait interdit, beaucoup de morts auraient été évités.
(source : NoubelObs.com)
"La nouvelle estimation des décès provoqués par le médicament renforce la suspicion sur le rôle des autorités de santé.
Quand l'assurance maladie chiffrait à 500 le nombre de décès dus au Mediator, la laboratoire Servier demandait : « Où sont tous ces morts ? » Maintenant que les experts parlent de 1 000 à 2 000, la firme est de plus en plus perplexe. « On ne sait rien de rien, on ne sait rien sur rien », soupire un de ses représentants.
Une fuite du Figaro ce samedi révèle que l'Agence du médicament avait été alertée dès 1998 des mésusages du Mediator, utilisé à tort comme coupe-faim (la lettre au format PDF). Une alerte intervenue onze ans avant le retrait effectif du médicament initialement destiné aux diabétiques !
Mais l'autre information révélée par le quotidien risque d'interpeller encore plus le grand public : le chiffre de 500 morts avancé en novembre dernier était une estimation très basse. Une étude inédite, menée par deux chercheurs de l'Inserm, évalue le bilan réel entre 1000 et 2000."
Des noms, des noms, exigent les familles des victimes. Et, bizarre, il n'y a plus personne pour assumer l'infamie du laboratoire servier. Peut-être servier lui-même, qu'en pensez-vous, mes trois chers lecteurs ?
Mais, il n'y a pas longtemps, il a reçu la légion d'honneur pour service rendu à la France. Alors, qu'on savait déjà. Classique ou pas classique ?
Bof, après tout, cela n'ira pas jusqu'au nombre de morts attendus en Côte d'Ivoire.
Perso, j'ai trouvé un peu inconvenant que Alassane Ouattara se présente à l'élection présidentielle. Après tout, sa dernière candidature à cette élection avait été à l'origine du début de la guerre civile. En tout cas, si, ce n'est lui, c'est tout ce qu'il représentait pour les habitants du sud.
Laurent Gbagbo n'abandonnera pas le pouvoir. Et, ce ne sont pas les gesticulations sarkoziennes qui le feront changer d'avis. Comme d'habitude, sarko qui s'y ait collé pour les autres, a seulement réussi à accroître la chienlit.
Please, dites lui de se taire !
Parce que pour le moment, tout ce qui se dessine, c'est une division de fait du pays. Et, un basculement de la Côte d'Ivoire ou de ce qu'il en restera hors de la Francafrique.
Bravo, notre président national !
Il faut dire que son manque de culture de l'histoire africaine et son manque de culture en général n'est pas un bon point pour lui. Il devrait savoir que les guerres civiles, notamment africaines, n'ont cure des injonctions internationales.
Maintenant, que va-t-il faire des soldats français qui se trouvent dans la nasse ?
Parce que à mon avis, lorsque ça va commencer à tirer de partout, ils vont faire les frais de la déclaration fracassante de leur président.
En tout cas, la force Licorne n'est qu'un force d'appoint. Alors, à mon avis, il faut mieux qu'elle s'en aille le plus vite possible.
En tout cas, Sarko en ramenant sa, excusez-moi pour la grossièreté, "grande gueule" a bien foutu la "merde".
La diplomatie qui est mère de prudence ?
Connait pas !
Sans compter que les français de Côte d'Ivoire ont dû grandement apprécier les déclarations va-t-en guerre de sarko, eux qui sont en première ligne.
Mais, grâce à notre président, ils pourront dire que les morts qui risquent de se compter parmi leurs rangs, l'ont été au nom de la France.
Et, la force Licorne ne pourra rien faire conte des snipers, à part tirer contre la population, derrière laquelle ils se cacheront.
Ce qui est marrant dans cette histoire, si, l'on peut parler comme ça, c'est que c'est sarko tout seul qui a décidé d'aller au charbon pendant que tous les autres se planquaient derrière des instances internationales. A part Obama, sauf que lui, il est président des States.
En tout cas, tout ça est mal parti et sarko n'a fait qu'attiser le feu.
Et, sur ces tristes constations, je vous quitte.
A bientôt.
René.
Alors, quoi, les iraniens s'imaginaient qu'ils échapperaient à l'augmentation du coût de la vie. Et, puis, quoi encore !
Même, nous, en France, y'a tout qui augmente. L'électricité par exemple, soi disant, pour compenser le coût d'achat de l'électricité produite par les éoliennes du secteur privé.
Parce qu'en France, on est bien con, l'argent de nos impôts sert à créer de nouveaux patrons qui exploitent leurs salariés. Sans compter que comme le prix du gaz à l'international a chuté, on se demande pourquoi EDF nous augmente le coût au compteur.
Mais, allez comprendre, en France, on est plus intelligent que partout ailleurs pour entuber le consommateur. Et, j'ai bien dit "ENTUBER", ce qui veut dire, "VOLER !"
Ca y est, je m'égare, revenons-en plutôt aux iraniens.
C'est vrai, quoi, les sanctions internationales n'ont aucun effet sur l'économie iraniennes, dixit Mahmoud Ahmadinejad.
Déjà, qu'il n'a pas développé l'industrie de raffinage et qu'il faille acheter l'essence à l'étranger. Ca fait désordre quand même pour un grand penseur politique, économique, religieux et j'en passe et des meilleurs.
Religieux, un peu comme notre président national quand il va boire le thé avec Benoit XVI en s'imaginant récupérer les votes des catholiques.
Mais, non, je plaisante. Ils sont tous les deux agités, mais, pas du même acabit.
Donc, je disais, Ouh, là, là, le porte monnaie, déjà relativement vide des iraniens, va encore connaître un tsunami.
Et, même le pain ! Encore qu'ils ont de la chance, en Algérie, même le sucre a augmenté.
(source : :e MONDE 19/12/2010 À 10H48)
Le prix de l’essence flambe en Iran, le gouvernement supprime des subventions
Dans le cadre d'un plan de suppression des subventions directes pour assainir les finances de l'Etat, le prix de l'électricité, du gaz, du kérosène, mais aussi de l'eau et du pain augmentent aussi de manière progressive.
Mahmoud Ahmadinejad le 10 novembre à Qazvin, au nord de l'Iran (© AFP)
Le gouvernement iranien a décidé d'augmenter fortement, à partir de ce dimanche, le prix de l'essence et du gazole, dans le cadre d'un vaste plan qui vise à supprimer progressivement les subventions directes.
Selon le communiqué officiel, le prix du quota de 60 litres d'essence par mois accordé à chaque automobiliste passe de 0,10 dollar le litre à 0,4 dollar. Au-delà de ce quota, les automobilistes devront payer le litre à 0,70 dollar au lieu de 0,40 dollar précédemment.
Ainsi, le prix de l'essence subventionné est multiplié par 4, alors que le prix de l'essence non subventionné augmente de 75%. Le prix du gazole est de son côté multiplié par 9, passant de 0,0165 dollar à 0,150 dollar.
Dans le cadre de ce plan, le prix de l'électricité, du gaz, du kérosène, mais aussi de l'eau et du pain augmentent également mais de manière progressive."
A, ces gouvernements, toujours les premiers à ne pas avouer la situation réelle. En sachant que celle qu'ils décrivent n'est pas souvent la vraie.
Ainsi, on retrouve souvent ces situations avec l'industrie pharmaceutique qui invente des produits qui risquent de "tuer" des gens.
Sauf que, la recherche implique une masse d'argent irrécupérable si le medoc en question n'est pas commercialisé. Dans l'agro-alimentaire, c'est la même.
Alors, le risque que prend les usagers, on s'en fout un peu. Il suffit de faire une bonne campagne de lobbying en comptant sur les personnes qui ont travaillé dans le secteur et qui se sont faufilés au sein du gouvernement et des agences sanitaires, sans compter les élus amis.
Après, à dieu ne plaise, c'est le profit qui importe.
Bon, pour le moment grâce au Médiator, 1000 morts sont recensés. Attendons les autres qui ne l'ont pas été ou à venir.
Et, attendons, la réponse du dernier ministre qui l'a autorisé, Xavier Bertrand.
A l'époque du sang contaminé, une ministre socialiste, s'est défendue avec le fameux, "Responsable, mais, pas coupable". Peut-être va-t-il nous faire la même.
Mais, ne lui jetons pas la première pierre parce qu'un ministre socialiste à l'époque a fait la même avec ce médoc alors que déjà des rapports défavorables étaient pondus par des organismes reconnus. Là, déjà, le lobbying a joué. Alors, si, l'on doit condamner Xavier Bertrand, il faut condamner cet ancien ministre socialiste aussi. Parce que lui, si, il l'avait interdit, beaucoup de morts auraient été évités.
(source : NoubelObs.com)
"La nouvelle estimation des décès provoqués par le médicament renforce la suspicion sur le rôle des autorités de santé.
Quand l'assurance maladie chiffrait à 500 le nombre de décès dus au Mediator, la laboratoire Servier demandait : « Où sont tous ces morts ? » Maintenant que les experts parlent de 1 000 à 2 000, la firme est de plus en plus perplexe. « On ne sait rien de rien, on ne sait rien sur rien », soupire un de ses représentants.
Une fuite du Figaro ce samedi révèle que l'Agence du médicament avait été alertée dès 1998 des mésusages du Mediator, utilisé à tort comme coupe-faim (la lettre au format PDF). Une alerte intervenue onze ans avant le retrait effectif du médicament initialement destiné aux diabétiques !
Mais l'autre information révélée par le quotidien risque d'interpeller encore plus le grand public : le chiffre de 500 morts avancé en novembre dernier était une estimation très basse. Une étude inédite, menée par deux chercheurs de l'Inserm, évalue le bilan réel entre 1000 et 2000."
Des noms, des noms, exigent les familles des victimes. Et, bizarre, il n'y a plus personne pour assumer l'infamie du laboratoire servier. Peut-être servier lui-même, qu'en pensez-vous, mes trois chers lecteurs ?
Mais, il n'y a pas longtemps, il a reçu la légion d'honneur pour service rendu à la France. Alors, qu'on savait déjà. Classique ou pas classique ?
Bof, après tout, cela n'ira pas jusqu'au nombre de morts attendus en Côte d'Ivoire.
Perso, j'ai trouvé un peu inconvenant que Alassane Ouattara se présente à l'élection présidentielle. Après tout, sa dernière candidature à cette élection avait été à l'origine du début de la guerre civile. En tout cas, si, ce n'est lui, c'est tout ce qu'il représentait pour les habitants du sud.
Laurent Gbagbo n'abandonnera pas le pouvoir. Et, ce ne sont pas les gesticulations sarkoziennes qui le feront changer d'avis. Comme d'habitude, sarko qui s'y ait collé pour les autres, a seulement réussi à accroître la chienlit.
Please, dites lui de se taire !
Parce que pour le moment, tout ce qui se dessine, c'est une division de fait du pays. Et, un basculement de la Côte d'Ivoire ou de ce qu'il en restera hors de la Francafrique.
Bravo, notre président national !
Il faut dire que son manque de culture de l'histoire africaine et son manque de culture en général n'est pas un bon point pour lui. Il devrait savoir que les guerres civiles, notamment africaines, n'ont cure des injonctions internationales.
Maintenant, que va-t-il faire des soldats français qui se trouvent dans la nasse ?
Parce que à mon avis, lorsque ça va commencer à tirer de partout, ils vont faire les frais de la déclaration fracassante de leur président.
En tout cas, la force Licorne n'est qu'un force d'appoint. Alors, à mon avis, il faut mieux qu'elle s'en aille le plus vite possible.
En tout cas, Sarko en ramenant sa, excusez-moi pour la grossièreté, "grande gueule" a bien foutu la "merde".
La diplomatie qui est mère de prudence ?
Connait pas !
Sans compter que les français de Côte d'Ivoire ont dû grandement apprécier les déclarations va-t-en guerre de sarko, eux qui sont en première ligne.
Mais, grâce à notre président, ils pourront dire que les morts qui risquent de se compter parmi leurs rangs, l'ont été au nom de la France.
Et, la force Licorne ne pourra rien faire conte des snipers, à part tirer contre la population, derrière laquelle ils se cacheront.
Ce qui est marrant dans cette histoire, si, l'on peut parler comme ça, c'est que c'est sarko tout seul qui a décidé d'aller au charbon pendant que tous les autres se planquaient derrière des instances internationales. A part Obama, sauf que lui, il est président des States.
En tout cas, tout ça est mal parti et sarko n'a fait qu'attiser le feu.
Et, sur ces tristes constations, je vous quitte.
A bientôt.
René.
samedi 18 décembre 2010
Salut aux poètes. Le monde a encore besoin de vous.
Aujourd'hui,je fais un déménagement, donc, je ne sais si j'aurais le temps d'écrire.
Pourtant, j'essais. Peut-être, allons-nous parler que de la Chine.
Donc, pourquoi, le gouvernement chinois dévaluerait le yuan alors qu'il l'a déjà été depuis 1994.
(source : le Quotidien du Peuple)
Le renminbi a été réévalué de 56% depuis 16 ans
Selon les chiffres publiés par la Banque des Règlements internationaux (BRI) le 16 décembre, le taux de change nominal et le taux de change effectif réel du renminbi ont cessé de baisser pour remonter tous les deux au mois de novembre. Ils ont augmenté respectivement de 0,72% et de 0,47%, par rapport au mois d'octobre, avec une réévaluation respective de 32,8% et de 56,6% depuis 1994.
En novembre, le rebond du dollar a provoqué une baisse du yen, de l'euro et d'autres monnaies que le dollar. Le taux de change du yuan et d'autres monnaies que le dollar ont tous connu une augmentation importante, contrairement à la situation du mois d'octobre, a dit un employé d'une banque à capitaux étrangers.
Parallèlement à l'augmentation du taux de change nominal, le taux de change effectif réel du renminbi a aussi augmenté. Mais l'indice des prix à la consommation de la Chine a monté de 5,1% en novembre. Du fait d'une telle hausse de l'indice, l'augmentation du taux de change effectif réel est moins importante que celle du taux de change nominal. Mais ceci a complètement mis fin à une baisse de 1,24% en octobre.
Malgré de grandes variations mensuelles, les taux de change nominal et effectif réel du yuan ont augmenté cumulativement de 32,8% et de 56,6% entre 1994 et le mois de novembre 2010, selon les chiffres publiés par la BRI. En termes d'augmentation du taux de change effectif réel, le renminbi a été classé par la BRI aux 10 premiers rangs des monnaies de 58 économies mondiales."
Et, en attendant, loin des contrats fabuleux tant chantés par notre président national, sarko, l'Autriche creuse sa route dans ses échanges avec la Chine.
Les entreprises autrichiennes parviennent à faire ce que les entrepreneurs français ne sont pas capables de faire.
Pourtant, l'Autriche démontre que cela est possible. Alors, que fait le MEDEF, syndicat patronal français, qui pousse à le gouvernement à liquider les 35 heures et les acquis sociaux, sans compter la liquidation en sa faveur des services publics ?
Oui, que fait le MEDEF pour imposer les entreprises françaises en Chine. De fait, rien. Parce que son objectif n'est pas de créer de l'emploi ou de la valeur ajouté en vendant sur l'extérieur, c'est simplement profiter des aides de l'état.
Même pas le MEDEF n'est capable de soutenir les PME sur le territoire. A part, travailler pour les grosses sociétés et profiter de l'état, je ne vois pas ce que fait sa présidente.
A mon avis, c'est, elle, qui est un boulet pour l'économie.
En tout cas, les industriels européens ont intérêt à se positionner rapidement sur les marchés émergents. Parce que, si, ils ne se bougent pas, la Chine arrive et après, les carottes sont cuites.
Alors, qu'est-ce qu'elle va faire la présidente du MEDEF qui n'a pas l'air d'avoir trop d'idées à part pour sauver son poste.
A mon humble avis, au MEDEF, ils devraient la virer. Elle a largement fait son temps. Comme notre ministre de l'économie d'ailleurs. Et, le père sarko dans l'élan, c'est bien pour cela qu'il a supprimé les primaires dans son parti, l'ump, pour ne pas risquer de se faire blackbouler par ses "potes".
(source : idem)
Les exportateurs incités à se tourner vers les marchés émergents
La Chine, qui est désormais la deuxième plus grande nation de commerce du monde, va encourager plus encore l'exportation de machines et de produits électriques vers les marchés émergents l'année prochaine afin de construire un réseau de ventes diversifié et saisir des opportunités d'affaires dans le monde, a annoncé jeudi le Ministère du Commerce.
« Les exportateurs de machines et de produits mécaniques devraient renforcer leurs activités dans les économies émergentes l'année prochaine, et réorienter leur structure de marché des pays développés vers un profil plus mondial tout en consolidant leurs exportations vers les Etats-Unis et l'Europe », a dit Jiang Yaoping, Vice-ministre du Commerce."
(source :idem)
Les exportations autrichiennes vers la Chine augmentent rapidement.
M. Reinhold Mitterlehner, ministère fédéral de l'Economie autrichien a déclaré que les exportations vers la Chine ont augmenté considérablement grâce au développement économique de la Chine.
Il a fait ces remarques lors d'une conférence de presse du Ministère le 16 décembre. L'organisation de l'Expo de Shanghai 2010 a fait élever le niveau mondial de l'Autriche. Le monde a commencé à comprendre que le pays dispose non seulement d'une réputation dans la musique et la culture, mais aussi des technologies avancées dans l'énergie et la protection de l'environnement.
Il a prévu que la proportion des exportations autrichiennes vers la Chine augmentera de 2% à 4% en 2014. Ses exportations doivent réduire progressivement la dépendance excessive du marché européen. Il a assuré que la Chine montre de l'intérêt pour les technologies autrichiennes dans le traitement des eaux, le recyclage de l'énergie et les énergies renouvelables.
Le commerce entre les deux pays grandit rapidement, a dit M. Christoph Leitl, président d'EUROCHAMBRES. La Chine est devenu le plus important partenaire commercial de l'Autriche hors de l'Europe, dépassant les Etats-Unis. La Chine constitue aussi une base importante pour les entreprises autrichiennes.
Selon les statistiques officielles autrichiennes, les exportations vers la Chine ont augmenté de 47,6% pour atteindre 210 millions d'euros au cours les trois premiers trimestres de 2010."
A bientôt.
René.
Aujourd'hui,je fais un déménagement, donc, je ne sais si j'aurais le temps d'écrire.
Pourtant, j'essais. Peut-être, allons-nous parler que de la Chine.
Donc, pourquoi, le gouvernement chinois dévaluerait le yuan alors qu'il l'a déjà été depuis 1994.
(source : le Quotidien du Peuple)
Le renminbi a été réévalué de 56% depuis 16 ans
Selon les chiffres publiés par la Banque des Règlements internationaux (BRI) le 16 décembre, le taux de change nominal et le taux de change effectif réel du renminbi ont cessé de baisser pour remonter tous les deux au mois de novembre. Ils ont augmenté respectivement de 0,72% et de 0,47%, par rapport au mois d'octobre, avec une réévaluation respective de 32,8% et de 56,6% depuis 1994.
En novembre, le rebond du dollar a provoqué une baisse du yen, de l'euro et d'autres monnaies que le dollar. Le taux de change du yuan et d'autres monnaies que le dollar ont tous connu une augmentation importante, contrairement à la situation du mois d'octobre, a dit un employé d'une banque à capitaux étrangers.
Parallèlement à l'augmentation du taux de change nominal, le taux de change effectif réel du renminbi a aussi augmenté. Mais l'indice des prix à la consommation de la Chine a monté de 5,1% en novembre. Du fait d'une telle hausse de l'indice, l'augmentation du taux de change effectif réel est moins importante que celle du taux de change nominal. Mais ceci a complètement mis fin à une baisse de 1,24% en octobre.
Malgré de grandes variations mensuelles, les taux de change nominal et effectif réel du yuan ont augmenté cumulativement de 32,8% et de 56,6% entre 1994 et le mois de novembre 2010, selon les chiffres publiés par la BRI. En termes d'augmentation du taux de change effectif réel, le renminbi a été classé par la BRI aux 10 premiers rangs des monnaies de 58 économies mondiales."
Et, en attendant, loin des contrats fabuleux tant chantés par notre président national, sarko, l'Autriche creuse sa route dans ses échanges avec la Chine.
Les entreprises autrichiennes parviennent à faire ce que les entrepreneurs français ne sont pas capables de faire.
Pourtant, l'Autriche démontre que cela est possible. Alors, que fait le MEDEF, syndicat patronal français, qui pousse à le gouvernement à liquider les 35 heures et les acquis sociaux, sans compter la liquidation en sa faveur des services publics ?
Oui, que fait le MEDEF pour imposer les entreprises françaises en Chine. De fait, rien. Parce que son objectif n'est pas de créer de l'emploi ou de la valeur ajouté en vendant sur l'extérieur, c'est simplement profiter des aides de l'état.
Même pas le MEDEF n'est capable de soutenir les PME sur le territoire. A part, travailler pour les grosses sociétés et profiter de l'état, je ne vois pas ce que fait sa présidente.
A mon avis, c'est, elle, qui est un boulet pour l'économie.
En tout cas, les industriels européens ont intérêt à se positionner rapidement sur les marchés émergents. Parce que, si, ils ne se bougent pas, la Chine arrive et après, les carottes sont cuites.
Alors, qu'est-ce qu'elle va faire la présidente du MEDEF qui n'a pas l'air d'avoir trop d'idées à part pour sauver son poste.
A mon humble avis, au MEDEF, ils devraient la virer. Elle a largement fait son temps. Comme notre ministre de l'économie d'ailleurs. Et, le père sarko dans l'élan, c'est bien pour cela qu'il a supprimé les primaires dans son parti, l'ump, pour ne pas risquer de se faire blackbouler par ses "potes".
(source : idem)
Les exportateurs incités à se tourner vers les marchés émergents
La Chine, qui est désormais la deuxième plus grande nation de commerce du monde, va encourager plus encore l'exportation de machines et de produits électriques vers les marchés émergents l'année prochaine afin de construire un réseau de ventes diversifié et saisir des opportunités d'affaires dans le monde, a annoncé jeudi le Ministère du Commerce.
« Les exportateurs de machines et de produits mécaniques devraient renforcer leurs activités dans les économies émergentes l'année prochaine, et réorienter leur structure de marché des pays développés vers un profil plus mondial tout en consolidant leurs exportations vers les Etats-Unis et l'Europe », a dit Jiang Yaoping, Vice-ministre du Commerce."
(source :idem)
Les exportations autrichiennes vers la Chine augmentent rapidement.
M. Reinhold Mitterlehner, ministère fédéral de l'Economie autrichien a déclaré que les exportations vers la Chine ont augmenté considérablement grâce au développement économique de la Chine.
Il a fait ces remarques lors d'une conférence de presse du Ministère le 16 décembre. L'organisation de l'Expo de Shanghai 2010 a fait élever le niveau mondial de l'Autriche. Le monde a commencé à comprendre que le pays dispose non seulement d'une réputation dans la musique et la culture, mais aussi des technologies avancées dans l'énergie et la protection de l'environnement.
Il a prévu que la proportion des exportations autrichiennes vers la Chine augmentera de 2% à 4% en 2014. Ses exportations doivent réduire progressivement la dépendance excessive du marché européen. Il a assuré que la Chine montre de l'intérêt pour les technologies autrichiennes dans le traitement des eaux, le recyclage de l'énergie et les énergies renouvelables.
Le commerce entre les deux pays grandit rapidement, a dit M. Christoph Leitl, président d'EUROCHAMBRES. La Chine est devenu le plus important partenaire commercial de l'Autriche hors de l'Europe, dépassant les Etats-Unis. La Chine constitue aussi une base importante pour les entreprises autrichiennes.
Selon les statistiques officielles autrichiennes, les exportations vers la Chine ont augmenté de 47,6% pour atteindre 210 millions d'euros au cours les trois premiers trimestres de 2010."
A bientôt.
René.
vendredi 17 décembre 2010
"Il n'y a pas plus malin que le renard et pourtant les marchés regorgent de sa peau." Proverbe Kurde. A méditer par tous ces multinationales qui nous prennent pour de la "merde" ! Même si, pour l'instant, c'est nous qui y sommes.
Aujourd'hui, pas trop le temps d'écrire. Quelques mots cependant.
Décidément, le président brésilien Lula s'en va et les élus brésiliens reprennent leurs vieilles habitudes. Ils viennent de s'accorder avec les sénateurs une augmentation de 60%.
Alors que dans nos pays développés, la France et l'Allemagne par exemple, nos élus sont loin du compte. Il y a du rattrapage à faire, messieurs nos élus. Mais, non, je plaisante. Faut surtout pas me prendre au sérieux.
Tout cela augure mal pour le Brésil de l'arrivée de la nouvelle présidente élue.
A moins que les députés aient profité d'un entre-deux, un créneau entre le passage de témoin entre Lula et sa remplaçante.
(source : RFI international)
"Article publié le : jeudi 16 décembre 2010 -
Les parlementaires brésiliens augmentent leur salaire de 60%.
Chambre des députés et Sénat à Brasilia.
Les parlementaires brésiliens se sont offert un joli cadeau de Noël. Dans un pays où le salaire minimum est d’à peine 250 euros, les députés et sénateurs ont voté mercredi 15 décembre une augmentation de 60% de leur salaire. Ils toucheront désormais plus de 12 000 euros par mois. Une mesure qui évidemment fait grincer des dents au Brésil."
Par contre nos braves députés français sont loin du compte.
(source : le monde en bio)
"Depuis octobre 2008, un député français perçoit (ben, non, voyons, ces gens-là ne "gagnent" pas d'argent) très exactement 5 219,17 € net par mois."
Les élus allemands commencent à s'en rapprocher tout doucement.
(source : Allemagne-et-plus)
"Cinq mois plus tard, les députés à Berlin s’auto-accordent une augmentation de 9,4 % de leurs revenus sur deux ans. Première augmentation de 330 euros en janvier 2008, qui fait passer leur revenu de 7009 à 7339 euros. En début 2009 se rajouteront 329 euros, ce qui leur fera 7668 euros de revenus et une augmentation totale de 659 euros."
Faut dire que le Brésil a percuté le mur du son depuis l'élection de Lula en performant économiquement et socialement. Il a quand même largement réduit la misère populaire et permit à de nouveaux millionaires d'apparaître en nombre.
Sans doute que les députés, fatigués après tant d'effort, ont estimè pouvoir s'accorder une prime.
Quoi de plus naturel !
Sauf que là, on peut dire qu'ils ont très largement exagéré. Sans compter qu'ils risquent de créer un phénomène de contagion chez les élus d'autres pays. Par exemple, chez nous en France, où les députés sont obligés de travailler dans le privé en même temps que leur mandat d'élus pour arriver à joindre les deux bouts. De droite comme de gauche, cela s'entend.
Au moins au Brésil, ils n'auront pas à tendre leur besace au moindre représentant d'un lobby qui les ferait travailler contre l'intérêt de leurs concitoyens.
Mais, si, jamais, ils le faisaient, maintenant, ça mériterait le pénal !
Mais, passons sur les turpitudes brésiliennes pour évoquer la position américaine dans le conflit israélo-palestinien.
L'Amérique abandonne la condition posée d'un gel de la colonisation dans les territoires occupés.
Parce que le président Obama a d'autres chats à fouetter face aux représentants républicains au Congrès, il sacrifie la négociation. Ca, c'est un beau coup de jarnac pour ses partenaires européens et autres.
Et, avec qui, il veut négocier Obama, au fait ? Avec des chaises vides ?
Les Etats-Unis viennent de donner raison aux djihadhistes. Il n'y a rien à attendre des américains, alliés jusqu'à la mort du gouvernement israélien.
Quel traitre arabe voudra négocier avec Israël, désormais ?
Le président iranien, finalement, lui aussi avait raison.
Voilà, ce que la rue arabe va se dire, et pas que la rue arabe.
Sans compter que cette position va renforcer la conviction de l'extrême droite israélienne que le grand Israël peut et doit exister.
Sauf que le grand Israël inclut les territoires occupés.
Tsahal, et, nous aurons l'occasion d'en reparler est de plus en plus composé de soldats religieux. Dans l'armée régulière et les commandos d'élite, ils forment la moitié, sinon, la majorité des soldats.
Pour le moment, l'encadrement n'est relativement pas touché. Mais, ils avancent et ils comptent bien un jour détenir le commandement.
Alors, si, en plus les Etats-Unis leur donne raison !
Et, on ne peux pas dire que les soldats religieux ont une vision sympa des palestiniens. Pour eux, ce n'est que de la chair à canon.
Mais, si, Obama pense que la solution, c'est que les extrèmistes se bouffent entre eux. Grand bien lui fasse.
Sauf, qu'il manque d'un courage que ses discours nous ont fait croire qu'il possédait. On a presque l'impression qu'il se débat dans une nasse et qu'il ne sait pas comment en sortir. Là, je parle de son programme en général.
Mais, avec les présidents des States, on ne sait jamais sur quel jambe, ils dansent. Bush, junior a laissé Lehman Brothers faire faillite alors que nombre de ses conseillers étaient issus de la banque Goldman Sachs.
On peut dire qu'un concurrent a été éliminé et aussi, se poser la question, si, les conseillers de Bush avaient été issus de lehman brothers, qui aurait fait faillite ?
Voilà, je n'ai plus le temps d'écrire.
A bientôt.
René.
Décidément, le président brésilien Lula s'en va et les élus brésiliens reprennent leurs vieilles habitudes. Ils viennent de s'accorder avec les sénateurs une augmentation de 60%.
Alors que dans nos pays développés, la France et l'Allemagne par exemple, nos élus sont loin du compte. Il y a du rattrapage à faire, messieurs nos élus. Mais, non, je plaisante. Faut surtout pas me prendre au sérieux.
Tout cela augure mal pour le Brésil de l'arrivée de la nouvelle présidente élue.
A moins que les députés aient profité d'un entre-deux, un créneau entre le passage de témoin entre Lula et sa remplaçante.
(source : RFI international)
"Article publié le : jeudi 16 décembre 2010 -
Les parlementaires brésiliens augmentent leur salaire de 60%.
Chambre des députés et Sénat à Brasilia.
Les parlementaires brésiliens se sont offert un joli cadeau de Noël. Dans un pays où le salaire minimum est d’à peine 250 euros, les députés et sénateurs ont voté mercredi 15 décembre une augmentation de 60% de leur salaire. Ils toucheront désormais plus de 12 000 euros par mois. Une mesure qui évidemment fait grincer des dents au Brésil."
Par contre nos braves députés français sont loin du compte.
(source : le monde en bio)
"Depuis octobre 2008, un député français perçoit (ben, non, voyons, ces gens-là ne "gagnent" pas d'argent) très exactement 5 219,17 € net par mois."
Les élus allemands commencent à s'en rapprocher tout doucement.
(source : Allemagne-et-plus)
"Cinq mois plus tard, les députés à Berlin s’auto-accordent une augmentation de 9,4 % de leurs revenus sur deux ans. Première augmentation de 330 euros en janvier 2008, qui fait passer leur revenu de 7009 à 7339 euros. En début 2009 se rajouteront 329 euros, ce qui leur fera 7668 euros de revenus et une augmentation totale de 659 euros."
Faut dire que le Brésil a percuté le mur du son depuis l'élection de Lula en performant économiquement et socialement. Il a quand même largement réduit la misère populaire et permit à de nouveaux millionaires d'apparaître en nombre.
Sans doute que les députés, fatigués après tant d'effort, ont estimè pouvoir s'accorder une prime.
Quoi de plus naturel !
Sauf que là, on peut dire qu'ils ont très largement exagéré. Sans compter qu'ils risquent de créer un phénomène de contagion chez les élus d'autres pays. Par exemple, chez nous en France, où les députés sont obligés de travailler dans le privé en même temps que leur mandat d'élus pour arriver à joindre les deux bouts. De droite comme de gauche, cela s'entend.
Au moins au Brésil, ils n'auront pas à tendre leur besace au moindre représentant d'un lobby qui les ferait travailler contre l'intérêt de leurs concitoyens.
Mais, si, jamais, ils le faisaient, maintenant, ça mériterait le pénal !
Mais, passons sur les turpitudes brésiliennes pour évoquer la position américaine dans le conflit israélo-palestinien.
L'Amérique abandonne la condition posée d'un gel de la colonisation dans les territoires occupés.
Parce que le président Obama a d'autres chats à fouetter face aux représentants républicains au Congrès, il sacrifie la négociation. Ca, c'est un beau coup de jarnac pour ses partenaires européens et autres.
Et, avec qui, il veut négocier Obama, au fait ? Avec des chaises vides ?
Les Etats-Unis viennent de donner raison aux djihadhistes. Il n'y a rien à attendre des américains, alliés jusqu'à la mort du gouvernement israélien.
Quel traitre arabe voudra négocier avec Israël, désormais ?
Le président iranien, finalement, lui aussi avait raison.
Voilà, ce que la rue arabe va se dire, et pas que la rue arabe.
Sans compter que cette position va renforcer la conviction de l'extrême droite israélienne que le grand Israël peut et doit exister.
Sauf que le grand Israël inclut les territoires occupés.
Tsahal, et, nous aurons l'occasion d'en reparler est de plus en plus composé de soldats religieux. Dans l'armée régulière et les commandos d'élite, ils forment la moitié, sinon, la majorité des soldats.
Pour le moment, l'encadrement n'est relativement pas touché. Mais, ils avancent et ils comptent bien un jour détenir le commandement.
Alors, si, en plus les Etats-Unis leur donne raison !
Et, on ne peux pas dire que les soldats religieux ont une vision sympa des palestiniens. Pour eux, ce n'est que de la chair à canon.
Mais, si, Obama pense que la solution, c'est que les extrèmistes se bouffent entre eux. Grand bien lui fasse.
Sauf, qu'il manque d'un courage que ses discours nous ont fait croire qu'il possédait. On a presque l'impression qu'il se débat dans une nasse et qu'il ne sait pas comment en sortir. Là, je parle de son programme en général.
Mais, avec les présidents des States, on ne sait jamais sur quel jambe, ils dansent. Bush, junior a laissé Lehman Brothers faire faillite alors que nombre de ses conseillers étaient issus de la banque Goldman Sachs.
On peut dire qu'un concurrent a été éliminé et aussi, se poser la question, si, les conseillers de Bush avaient été issus de lehman brothers, qui aurait fait faillite ?
Voilà, je n'ai plus le temps d'écrire.
A bientôt.
René.
jeudi 16 décembre 2010
"Le mensonge est comme le premier riz : il arrive à point, mais ne suffit pas pour l'année." Proverbe Malgache. On verra ça en 2012 pour les éclections présientielles en France.
Salut, au renard qui a mangé mes deux poules pondeuses. Vous fêtez noël avant l'heure.
Voilà, voilà, mes chers amis, la différence fera toujours que les grandes utopies d'un village mondial ne sera qu'un rêve d'intello idéaliste, certainement suréaliste. Souvenez-vous de cette langue l'espéranto inventée de toute pièce. Ce langage, qui selon les utopistes aurait dû unir les hommes.
Finalement, il n'a concerné que peu d'hommes et son évocation a d'ailleurs disparu du vocabulaire.
La différence, cette fameuse différence, mes chers trois lecteurs, qui fait un chiite différent d'un sunnite, un noir différent d'un autre noir et un rom différent de tous les autres.
Cette différence qu'utilise tout politique lorsqu'il veut bander les yeux des électeurs en criant, "Harro, Harro, ils mangent notre pain !"
Et, ce n'est pas les africains qui se haïssent entre ethnie qui peuvent nous donner la leçon, même, s'ils se posent comme éternelles victimes de la méchanceté des blancs.
(source : Survival International)
"Déchaînement raciste du président botswanais contre les Bushmen du Kalahari 13 DécembreActualités & Médias
Le président Khama a accusé les Bushmen de vivre 'une vie d'attardés'.
S’exprimant sur le site de la plus importante mine de diamant du pays, le président du Botswana a qualifié dans une brusque envolée les Bushmen du Kalahari d’êtres ‘archaïques’, ‘primitifs’ et ’arriérés’.
Le président Khama a accusé les Bushmen de vivre ‘une vie d’attardés’, ‘une vie primitive faite de privations en coexistence avec la faune sauvage’, selon ‘le mode archaïque d’un âge révolu où régnaient indigence et indignité’."
Ben, mon petit bonhomme, cela me rappelle les termes utilisés par les maîtres colonisateurs pour qualifier ceux qu'ils soumettaient. Le même mépris, tout pareil !
D'ici, que le président du Botswana décide de les éradiquer carrément, y'a pas loin. Après, le génocide est propre à toute nation sur la planète bleue.
Mais, passons et saluant l'arrivée d'un magazine, "BOOKS", d'un intérêt certain à recommandé vivement. Donc, il s'agit du N°15, p34, art, "Ces investisseurs qui ont joué la crise".
"La crise financière mondiale de 2008 qui pourrait provoquer au total plusieurs milliers de milliards de dollars de pertes selon les économistes, et qui a déjà coûté des milliards de dollars aux contribuables américains en plsns de sauvetage sur fonds publics, n'a pas été déclenchée par la guerre, mais, par une machine crée par l'homme, fondée sur des modèles mathématique erronés que la plupart des cadres de la finance ne comprenait pas eux-mêmes. Sans autre souci que le profit immédiat, les grandes compagnies de Wall Street ont transformé les crédits hypothécaires à risque (subprime mortgages)car accordés à des ménages à faible revenu ou avec un passif d'endettement et d'insolvabilité, en produit financiers toxiques, sur lesquels elles ont fait fortune en les recyclant et en les revendant, le tout avec la complicité des agences de notation chargées précisement de contrôler les risques."
Tiens, on reparle de ces fameuses agences de notation qui tiennent la dragée haute aux économies européennes.
Personnellement, je suis pour leur suppression, d'autant plus qu'à l'époque,elles ont trompé l'ensemble de la planète financière. Sans d'ailleurs ne subir en aucune façon, les foudres de la loi.
Alors, pourquoi les conserver et qui a intérêt à ce statut quo ?
Pour le moins, ça sent l'embrouille à plein nez. Une embrouille à venir dans quelques temps qui va finir de vider le peu qui reste dans les caisses des états en faveur d'une catégorie minoritaire de la planète finance.
Et, selon moi, avec la complicité de certains gouvernants au sommet des états.
"Pourquoi, demande-t-il (Michael Lewiw, "Le casse du Siècle"), Moody's et Standard&Poor's ont-elles accepté d'accorder le "triple A" dont bénéficient par ailleurs les créances du Trésor américain à 80% d'un bloc de créances hypothécaires à risque ?"
Tout simplement, suggère-t-il, parce que les firmes de Wall Street savaient comment tromper le système;elles savaient faire en sorte que les agences de notation (qui empochent au passage de juteuses commissions) donnent une note absolument inappropriée à des titres dangereux."
Ah, bon, Ah, bon, les agence de notation reçoivent de juteuses commissions. Bien, on est content de le savoir. Alors, elles ne sont pas si honnêtes que ça, ces agences, issues du système, pour contrôler le système.
Et, notre président national sarko et sa ministre de l'économie osent nous signifier que leur effort incessants pour liquider les services publics et les acquis sociaux sont récompensés du fait que ses agences les ont à la bonne. Et, que, du fait, qu'elles les ont à la bonne, il faille encore détruire encore plus nos services publics.
C'est donc ça leur dernière référence pour couvrir leurs "saloperies !"
Et, évidemment, nos syndicats se couchent.
Et, évidemment, nos partis politiques n'ont pas trop d'idées.
Et, évidemment, leurs médias nous bassinent qu'ils ont raison, les médias publics notamment, désormais à leur botte avec des journalistes béni-oui-oui.
Il est vrai que les chacals hurlent avec les chacals et que le système qu'ils ont mis des années à mettre en place avec la complicité de tous les pouvoirs, même socialiste, est actuellement à son top niveau.
Top niveau pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes afin que nous nous laissions dépouiller sans nous révolter.
Il faut le dire, ils ont réussi. Et, je dis merci à Strauss Kahn qui y a participé joyeusement en tant que ministre de l'économie de Jospin, à l'époque.
Mais, passons et restons en là pour le moment.
Finalement, mon choix d'électeur, pour la présidentielle, se situera entre Mélanchon du parti de gauche et Bayrou du Modem, histoire d'emmerder tout le monde.
A bientôt.
René.
PS : voici, l'adresse d'une blogueuse taiwanaise, Cathy Kalunga,http://b2322858.blogspot.com/. Vous y trouverez plein de vidéo sur la nature, l'eau du robinet, la viande que l'on mange...etc. A voir.
Voilà, voilà, mes chers amis, la différence fera toujours que les grandes utopies d'un village mondial ne sera qu'un rêve d'intello idéaliste, certainement suréaliste. Souvenez-vous de cette langue l'espéranto inventée de toute pièce. Ce langage, qui selon les utopistes aurait dû unir les hommes.
Finalement, il n'a concerné que peu d'hommes et son évocation a d'ailleurs disparu du vocabulaire.
La différence, cette fameuse différence, mes chers trois lecteurs, qui fait un chiite différent d'un sunnite, un noir différent d'un autre noir et un rom différent de tous les autres.
Cette différence qu'utilise tout politique lorsqu'il veut bander les yeux des électeurs en criant, "Harro, Harro, ils mangent notre pain !"
Et, ce n'est pas les africains qui se haïssent entre ethnie qui peuvent nous donner la leçon, même, s'ils se posent comme éternelles victimes de la méchanceté des blancs.
(source : Survival International)
"Déchaînement raciste du président botswanais contre les Bushmen du Kalahari 13 DécembreActualités & Médias
Le président Khama a accusé les Bushmen de vivre 'une vie d'attardés'.
S’exprimant sur le site de la plus importante mine de diamant du pays, le président du Botswana a qualifié dans une brusque envolée les Bushmen du Kalahari d’êtres ‘archaïques’, ‘primitifs’ et ’arriérés’.
Le président Khama a accusé les Bushmen de vivre ‘une vie d’attardés’, ‘une vie primitive faite de privations en coexistence avec la faune sauvage’, selon ‘le mode archaïque d’un âge révolu où régnaient indigence et indignité’."
Ben, mon petit bonhomme, cela me rappelle les termes utilisés par les maîtres colonisateurs pour qualifier ceux qu'ils soumettaient. Le même mépris, tout pareil !
D'ici, que le président du Botswana décide de les éradiquer carrément, y'a pas loin. Après, le génocide est propre à toute nation sur la planète bleue.
Mais, passons et saluant l'arrivée d'un magazine, "BOOKS", d'un intérêt certain à recommandé vivement. Donc, il s'agit du N°15, p34, art, "Ces investisseurs qui ont joué la crise".
"La crise financière mondiale de 2008 qui pourrait provoquer au total plusieurs milliers de milliards de dollars de pertes selon les économistes, et qui a déjà coûté des milliards de dollars aux contribuables américains en plsns de sauvetage sur fonds publics, n'a pas été déclenchée par la guerre, mais, par une machine crée par l'homme, fondée sur des modèles mathématique erronés que la plupart des cadres de la finance ne comprenait pas eux-mêmes. Sans autre souci que le profit immédiat, les grandes compagnies de Wall Street ont transformé les crédits hypothécaires à risque (subprime mortgages)car accordés à des ménages à faible revenu ou avec un passif d'endettement et d'insolvabilité, en produit financiers toxiques, sur lesquels elles ont fait fortune en les recyclant et en les revendant, le tout avec la complicité des agences de notation chargées précisement de contrôler les risques."
Tiens, on reparle de ces fameuses agences de notation qui tiennent la dragée haute aux économies européennes.
Personnellement, je suis pour leur suppression, d'autant plus qu'à l'époque,elles ont trompé l'ensemble de la planète financière. Sans d'ailleurs ne subir en aucune façon, les foudres de la loi.
Alors, pourquoi les conserver et qui a intérêt à ce statut quo ?
Pour le moins, ça sent l'embrouille à plein nez. Une embrouille à venir dans quelques temps qui va finir de vider le peu qui reste dans les caisses des états en faveur d'une catégorie minoritaire de la planète finance.
Et, selon moi, avec la complicité de certains gouvernants au sommet des états.
"Pourquoi, demande-t-il (Michael Lewiw, "Le casse du Siècle"), Moody's et Standard&Poor's ont-elles accepté d'accorder le "triple A" dont bénéficient par ailleurs les créances du Trésor américain à 80% d'un bloc de créances hypothécaires à risque ?"
Tout simplement, suggère-t-il, parce que les firmes de Wall Street savaient comment tromper le système;elles savaient faire en sorte que les agences de notation (qui empochent au passage de juteuses commissions) donnent une note absolument inappropriée à des titres dangereux."
Ah, bon, Ah, bon, les agence de notation reçoivent de juteuses commissions. Bien, on est content de le savoir. Alors, elles ne sont pas si honnêtes que ça, ces agences, issues du système, pour contrôler le système.
Et, notre président national sarko et sa ministre de l'économie osent nous signifier que leur effort incessants pour liquider les services publics et les acquis sociaux sont récompensés du fait que ses agences les ont à la bonne. Et, que, du fait, qu'elles les ont à la bonne, il faille encore détruire encore plus nos services publics.
C'est donc ça leur dernière référence pour couvrir leurs "saloperies !"
Et, évidemment, nos syndicats se couchent.
Et, évidemment, nos partis politiques n'ont pas trop d'idées.
Et, évidemment, leurs médias nous bassinent qu'ils ont raison, les médias publics notamment, désormais à leur botte avec des journalistes béni-oui-oui.
Il est vrai que les chacals hurlent avec les chacals et que le système qu'ils ont mis des années à mettre en place avec la complicité de tous les pouvoirs, même socialiste, est actuellement à son top niveau.
Top niveau pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes afin que nous nous laissions dépouiller sans nous révolter.
Il faut le dire, ils ont réussi. Et, je dis merci à Strauss Kahn qui y a participé joyeusement en tant que ministre de l'économie de Jospin, à l'époque.
Mais, passons et restons en là pour le moment.
Finalement, mon choix d'électeur, pour la présidentielle, se situera entre Mélanchon du parti de gauche et Bayrou du Modem, histoire d'emmerder tout le monde.
A bientôt.
René.
PS : voici, l'adresse d'une blogueuse taiwanaise, Cathy Kalunga,http://b2322858.blogspot.com/. Vous y trouverez plein de vidéo sur la nature, l'eau du robinet, la viande que l'on mange...etc. A voir.
mercredi 15 décembre 2010
Pas eu le temps d'écrire, j'ai rencontré un pote qui revient de Birmanie. Peut-être ce soir.
René.
Bon, le soir étant venu, pas vraiment envie d'écrire. Peut-être cette nouvelle concernant la voie ouverte par le gouvernement de la commercialisation d'OGM, histoire d'habitué le consommateur à s'en nourrir sans être prévenu par l'industrie agro-alimentaire. Une brèche sans doute avant l'autorisation de culture.
Décidément, Mosanto a un pouvoir en France que les citoyens n'ont plus.
(Les jardins de Priape)
"38 variétés de maïs OGM discrètement autorisées par la France
C’est Greenpeace et la Confédération paysanne qui donnent l’alerte : le ministère de l’agriculture a inscrit le mois dernier au catalogue officiel des semences 38 variétés de maïs transgéniques. Une décision prise au milieu de l’été, alors même que les cultures génétiquement modifiées sont suspendues dans le pays depuis 2 ans.
Le décret est paru au Journal Officiel le 25 juillet dernier. Le ministère de l’Agriculture inscrit au catalogue officiel des semences les différentes variétés du MON810 de Monsanto et du T25. Le ministère se défend d’avoir profité du creux de l’été pour agir en toute sérénité, assurant qu’il s’agit d’une demande du Conseil d’Etat, saisi par les entreprises commercialisantes.
"Ce n’est qu’une autorisation de commercialisation pour dix ans, pas de culture. En aucun cas cette variété ne pourra être cultivée en France" insiste par ailleurs un porte-parole du ministère. La France a en effet déclenché en janvier 2008 auprès de Bruxelles la "clause de sauvegarde" qui permet à tout Etat membre de l’Union européenne de suspendre la culture d’un organisme génétiquement modifié. Ces variétés seront donc commercialisées par des entreprises françaises à l’étranger, mais pas sur le sol français."
Bien, sauf que, mes trois lecteurs, il se fait tard et je suis fatigué. Aussi, je me contenterais de vous conter ce qu'il vient de m'arriver.
Habitant à la campagne, près d'un bois, j'ai fait l'acquisition quelques mois avant de deux poules pondeuses.
Pour leur plaisir, je leur ai aménagé un nid douillet dans un vieux bâtiment, calfeutré évidemment, vu le froid régnant par ces temps humides et froids.
Un temps, elles se sont contentés de picorer dans la cour.
Le soir, elles s'installaient sur le rebord d'une fenêtre attendant que je vienne les prendre dans mes bras pour les déposer chez elles.
Je dois dire que je ne leur avais pas coupé les plumes pour les laisser voleter à leur aise. Jusqu'au jour où je les ai retrouvé à l'extérieur picorant dans un champ annexe, non loin d'un bois.
Dans la région, le renard guette et depuis que les agriculteurs sont devenus céréaliers, ils n'ont plus vu de poules depuis belle lurette.
J'avoue que je leur ai mis une raclée aux pou-poules pour leur faire comprendre qu'il était fortement déconseillé de se promener en dehors de la limite car le danger rodait.
Une semaine, elles restèrent tranquilles avant de voler au dessus de la barrière pour aller picorer non loin du bois où sans doute le renard avait creusé son terrier.
Il fait froid et il doit trouver à manger pour ses petits.
En désespoir de cause, je leur ai, aux poules, raconté l'histoire de la chèvre de monsieur Seguin d'Alphonse Daudet.
Il disait à sa chèvre de ne pas aller vagabonder après avoir briser son licol. Mais, la chèvre ne l'écoutait pas. Tard, elle restait dans la montagne à brouter et à contempler les collines et les vallons.
"Le loup, le loup !", répétait monsieur Seguin sans être écoutée par sa chèvre.
Un jour, où elle se laissa surprendre par la nuit, le loup survint et la dévora.
Voilà, ce que je racontais à mes poules sans qu'elles ne m'écoutent.
Hier, je me suis aperçu de leur disparition. Dans leur nid douillet, il y avait un oeuf comme un adieu.
Le vide s'est fait dans la cour et leurs caquètements me manquent.
Maintenant, rien ne vient briser le silence qui plane sur la campagne. Même, le regret qu'elle ne m'aient pas écouté.
L'une était rebelle, elle ne pondait pas d'oeuf, ou alors, un par mois, histoire de nous prouver qu'elle n'en faisait qu'à sa tête.
L'autre, nous pondait deux oeufs par jour.
La rebelle entraînait l'autre à l'extérieur.
Et, les deux ont fait le dîner du renard.
A bientôt.
René.
René.
Bon, le soir étant venu, pas vraiment envie d'écrire. Peut-être cette nouvelle concernant la voie ouverte par le gouvernement de la commercialisation d'OGM, histoire d'habitué le consommateur à s'en nourrir sans être prévenu par l'industrie agro-alimentaire. Une brèche sans doute avant l'autorisation de culture.
Décidément, Mosanto a un pouvoir en France que les citoyens n'ont plus.
(Les jardins de Priape)
"38 variétés de maïs OGM discrètement autorisées par la France
C’est Greenpeace et la Confédération paysanne qui donnent l’alerte : le ministère de l’agriculture a inscrit le mois dernier au catalogue officiel des semences 38 variétés de maïs transgéniques. Une décision prise au milieu de l’été, alors même que les cultures génétiquement modifiées sont suspendues dans le pays depuis 2 ans.
Le décret est paru au Journal Officiel le 25 juillet dernier. Le ministère de l’Agriculture inscrit au catalogue officiel des semences les différentes variétés du MON810 de Monsanto et du T25. Le ministère se défend d’avoir profité du creux de l’été pour agir en toute sérénité, assurant qu’il s’agit d’une demande du Conseil d’Etat, saisi par les entreprises commercialisantes.
"Ce n’est qu’une autorisation de commercialisation pour dix ans, pas de culture. En aucun cas cette variété ne pourra être cultivée en France" insiste par ailleurs un porte-parole du ministère. La France a en effet déclenché en janvier 2008 auprès de Bruxelles la "clause de sauvegarde" qui permet à tout Etat membre de l’Union européenne de suspendre la culture d’un organisme génétiquement modifié. Ces variétés seront donc commercialisées par des entreprises françaises à l’étranger, mais pas sur le sol français."
Bien, sauf que, mes trois lecteurs, il se fait tard et je suis fatigué. Aussi, je me contenterais de vous conter ce qu'il vient de m'arriver.
Habitant à la campagne, près d'un bois, j'ai fait l'acquisition quelques mois avant de deux poules pondeuses.
Pour leur plaisir, je leur ai aménagé un nid douillet dans un vieux bâtiment, calfeutré évidemment, vu le froid régnant par ces temps humides et froids.
Un temps, elles se sont contentés de picorer dans la cour.
Le soir, elles s'installaient sur le rebord d'une fenêtre attendant que je vienne les prendre dans mes bras pour les déposer chez elles.
Je dois dire que je ne leur avais pas coupé les plumes pour les laisser voleter à leur aise. Jusqu'au jour où je les ai retrouvé à l'extérieur picorant dans un champ annexe, non loin d'un bois.
Dans la région, le renard guette et depuis que les agriculteurs sont devenus céréaliers, ils n'ont plus vu de poules depuis belle lurette.
J'avoue que je leur ai mis une raclée aux pou-poules pour leur faire comprendre qu'il était fortement déconseillé de se promener en dehors de la limite car le danger rodait.
Une semaine, elles restèrent tranquilles avant de voler au dessus de la barrière pour aller picorer non loin du bois où sans doute le renard avait creusé son terrier.
Il fait froid et il doit trouver à manger pour ses petits.
En désespoir de cause, je leur ai, aux poules, raconté l'histoire de la chèvre de monsieur Seguin d'Alphonse Daudet.
Il disait à sa chèvre de ne pas aller vagabonder après avoir briser son licol. Mais, la chèvre ne l'écoutait pas. Tard, elle restait dans la montagne à brouter et à contempler les collines et les vallons.
"Le loup, le loup !", répétait monsieur Seguin sans être écoutée par sa chèvre.
Un jour, où elle se laissa surprendre par la nuit, le loup survint et la dévora.
Voilà, ce que je racontais à mes poules sans qu'elles ne m'écoutent.
Hier, je me suis aperçu de leur disparition. Dans leur nid douillet, il y avait un oeuf comme un adieu.
Le vide s'est fait dans la cour et leurs caquètements me manquent.
Maintenant, rien ne vient briser le silence qui plane sur la campagne. Même, le regret qu'elle ne m'aient pas écouté.
L'une était rebelle, elle ne pondait pas d'oeuf, ou alors, un par mois, histoire de nous prouver qu'elle n'en faisait qu'à sa tête.
L'autre, nous pondait deux oeufs par jour.
La rebelle entraînait l'autre à l'extérieur.
Et, les deux ont fait le dîner du renard.
A bientôt.
René.
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