vendredi 8 février 2008

"Si votre coeur est une rose, votre bouche dira des mots parfumés". Proverbe russe que j'aurais plutôt cru persan.

Salut aux camarades du front de l'ouest. Les brigades internationales arrivent. Courage !

Bon, pour une fois, je vais être explicite. Les verts et tous ceux qui défendent la cause de la nature sont hasbeen !
Ouh-là, j'entends déjà vos protestations s'élever jusqu'aux cieux pollués. Je vous rassure, il ne s'agit pas de dénigrer tous ces bons prêcheurs d'une juste cause. Cependant, il me semble qu'une autre réalité s'impose, qui s'exprime ainsi, "Ce qui est en jeux actuellement, c'est la survie de l'espèce humaine".
Pourquoi ?
Simple, à cause de toutes les saloperies que notre corps non seulement ingère et en plus capitalise.
Nous avons parler des POP (polluants organiques persistants) qui se balladent dans l'air de la planète et qui se fixent sur les graisses animales et humaines et circulent également dans l'eau que nous buvons.
Nous avons parlé des fongicides, pesticides, ticicides ou toutes les autres saloperies, autorisés ou pas, que nous ingèrons par la nourriture que nous fournissent les agriculteurs empoisonneurs.
Pour le moment, toutes ces saloperies circulent d'une manière indépendante dans notre corps. Mais, néanmoins, ont des conséquences sur notre santé. Demandez-vous pourquoi il y a tant de maladies déclarées identiques partout dans le monde ? (Mais, non, je blague)
Et, croyez-moi, ce n'est pas forcément parce que les services d'alerte sont plus performants.
Alors, imaginez le jour où tous ces petits Tchernobyl qui se balladent dans notre corps feront une jonction et nous concocteront une petite fusion moléculaire qui aboutira à l'apparition de nouveaux virus ou autre ?
Ce jour-là, nous serons mal de mal !
Vous avez sans doute compris à travers mes écrits que si l'on détruit le milieu où certains virus se pavanent, ils finissent par s'adapter pour survivre à d'autres porteurs. Porteurs dont l'homme.
Mais, imaginez à nouveau, que ce que nous portons en nous se mettent à se transformer, vous voyez l'horreur ?
Ne connaissant pas ces nouveaux vecteurs que feront nos scientifiques ?Parce qu'eux leur tendance est de repérer en dehors du corps humains les dangers potentiels pour la santé.
Avant qu'ils comprennent que c'est à l'intérieur que se passe le brain storming de la noumba des virus, il sera peut-être trop tard.
Donc, si nous le posons en ces termes, il ne s'agit plus de diminuer la pollution. Il s'agit de l'arrêter, là, tout de suite.
Je vous le dis, je vous le dis, il faut arrêter maintenant les fumées d'usine !
Bon, je constate encore que vous ne captez toujours pas.
Alors, nous allons le reprendre différemment.
Messieurs, si vous ne réagissez pas, les Pop et toutes les autres saloperies que vous enmagasinez dans votre corps va avoir une influence sur vos activités sexuelles. La conséquence la plus évidente à part le cancer sous ses différentes formes, sera que vous ne banderez plus. Je répéte, VOUS NE BANDEREZ PLUS !
Et, tac, prenez ça dans vos dents !
Donc, plus de bandage, donc, plus d'enfants, donc, plus d'espèce humaine.
Et, retac, prenez encore ça dans vos dents !
Ouh-là-là, qu'est-ce que je me marre. Je suis en train de vous foutre votre week-end en l'air.
Mais, plus sérieusement, il y a des gens qui s'imaginent qu'en s'enterrant dans des villes troglodytes, ils vont se sauver.
Mes pauvres amis, l'air que vous allez respirer, il viendra bien de quelque part, de la surface par exemple. Et, à la surface, l'air sera toujours saturé de Pop !
Alors, à quoi servira de s'enterrer, à part à chasser les taupes ?
Mieux vaut dire, selon moi, "Vive les Pop, vive les OGM, vive les pesticides et surtout vive la connerie !"
Ouaouh ! Parce que c'est ce que nous partageons le mieux au monde.
Et, "Vive tous les Ben Laden, Vive tous les cons d'intégristes qui veulent nous renvoyer l'enfer comme justification à notre enfermement !"
Putain, je fais fort aujourd'hui.
Des fois, je m'étonne. Je sais, je sais, mes trois chers et demeurés lecteurs, zéro + zéro = la tête à toto.
Sauf, que même si je navigue dans les pas du vent, proche intellectuellement du zéro absolu, comme dit le proverbe, "Médisez, médisez, il en restera toujours quelque chose".
Mais, si vous voulez que je change, mes trois chers lecteurs, alors, aidez-moi à trouver la femme de ma vie. Celle pour laquelle, au lieu de dire des conneries, j'écrirais le plus beau des poèmes !
Alors, mes chers lecteurs, "A la chasse !"
Et, retrouvons-nous, une prochaine au bord de la marne dans une ginguette à pousser la chansonette à l'occasion du mariage que vous m'aurez concocté. Et, je vous jure, moi, qui ne suis pas encore pollué, je lui ferais des millions d'enfants qui seront comme des roses multicolores au milieu d'un champ.
Bien le bonjour chez vous.
René.

PS : La correstion d'orthographe ne marche toujours pas. Le père Noël, peut-être ?

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