Salut à tous les peuples du monde, à mon avis, nous devrions nous unir avant que la mondialisation ne s'attaque méchant à la biodiversité humaine !
Eh, oui, mesdames, messieurs, bientôt, il ne restera que des bidonvilles épars deci, delà. Et, les yeux des enfants pour pleurer.
Tout ça n'est pas très sentimentique et poétale, me direz-vous.
Mais, c'est la vie, vous répondrais-je.
Eh, oui, la vie, c'est ça désormais, c'est, crever !
C'est bien pour ça que je vous ai soumis cette idée de boycott qui vous remets en situation de pouvoir lutter en n'allant plus par exemple chez Carrefour jusqu'à ce que les conditions des salariés soient améliorées.
De ne plus acheter les produits des entreprises qui ferment pour se délocaliser en Asie ou en Roumanie pour exploiter là-bas la force de travail, tel Nokia.
Je rappelle qu'il ne s'agit pas là de mettre en danger la pérennité de l'entreprise, mais agir sur son chiffre d'affaire.
En effet, si la plus value que l'entreprise compte retirer d'une délocalisation est neutralisée par une baisse de son chiffre d'affaire dans le pays d'origine, dites-moi quel sera l'avantage pour l'entreprise.
Il sera nul et si le boycott est largement suivi, l'entreprise enregistrera une baisse encore plus importante du C.A, ce qui dévalorisera l'idée même de délocalisation.
Chacun d'entre nous peut décider d'adopter une telle attitude citoyenne. Mais, si, chacun le fait dans son coin, l'efficacité même de ce nouveau comportement citoyen s'annihile.
Pour qu'il soit efficace, il faut que le message soit clair et que l'action s'inscrive dans l'efficacité. C'est pour ça qu'il faut cibler l'action et dans un premier temps s'y tenir.
Le succès dépend malgré tout d'une discipline.
On commence par Carrefour, Michelin ou Nokia ou d'autres car plusieurs boycott peuvent se jouer en même temps, mais, il faut savoir pourquoi, on le fait et dans quel but.
Nous pouvons le faire et nous pouvons nous réapproprier notre rôle d'acteur dans la cité.
Nous sommes une force, chacun d'entre nous et dans un ensemble. Nous pouvons le faire sans nous inféoder à une quelconque structure parce que la perte de pouvoir d'achat agit sur tous les français quelque soit leur couleur politique.
Vous pouvez lancer des propositions de boycott sur internet en expliquant le pourquoi. En tout cas, si l'intention est d'obligé les distributeurs, les grandes surfaces à baisser leurs prix et à améliorer le sort de leurs salariés, vous pouvez être sûr que je suis là avec vous.
Si, vous êtes d'accord, il suffit d'envoyer ce texte et celui d'hier à vos amis et qu'eux fassent la même chose. En peu de temps, je vous assure, nous pourrions couvrir la France et donner un exemple à d'autres consommateurs, dans d'autres pays dans le monde.
Arrêtons de nous laisser prendre pour des abrutis. Montrons qu'unis nous pouvons agir, sans leader et sans s'inféoder à un quelconque mouvement.
Car, si nous attendons, ils finiront même par nous bouffer notre libre arbitre. Parce que c'est ça, qu'ils finiront par annihiler chez nous : notre libre arbitre.
Et, après, nous ne serons plus que des esclaves qui se courberont sous le poids de la pensée unique. Et qui finirons par se déchirer entre eux pour obtenir quelques misérables avantages pour assurer la survie.
Et, là, nous pouvons dire merci aux intégristes de la mondialisation. Qui au nom de leur liberté et pas de la nôtre nous promettent un monde meilleur ! En tout cas, réfléchissez parce que l'espace où nous pouvons agir en tant que citoyen se réduit comme peau de chagrin.
Le boycott est l'occasion de récupérer un espace d'expression et si nous la ratons, alors vous lirez la tristesse dans les yeux de vos enfants.
Et, sur ces bonnes paroles, je vous salue bien.
Bien le bonjour chez vous.
René.
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