(Il y a là un souci d'éviter que l'union européenne ne se sente obliger de s'engager directement militairement en Ukraine en s'imaginant que les States suivront. Comme la Pologne s'imagine obliger l'Otan à s'engager directement. Ils font beaucoup dans l'imaginaire côté occidental en tentant de tordre la réalité pour qu'elle y colle. Et cela à tous les niveaux économique, sociétale, technologique, scientifique, philosophique, mystique (rapport au divin), ils projettent un monde fantasmagorique sur la réalité qui pourtant reste ce qu'elle est : La réalité. D'où ce sentiment de dystopie que nous ressentons, si, on veut bien y réfléchir, car beaucoup d'entre-nous ne ressentent rien et s'en fichent. Pour revenir sur l'Ukraine, je ne vois pas de quoi on va discuter à partir du moment où la présidente de la commission européenne, ursula von der leyen, répète comme une litanie vouloir se battre jusqu'au dernier ukrainien. note de rené)
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par Zuerst
Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Galouzine, a déclaré dans un entretien accordé à l’agence de presse publique russe TASS que les conditions d’un éventuel processus de paix dans la guerre en Ukraine avaient été actualisées et que Moscou avait pris de nouvelles orientations.
Pour un «règlement du conflit», l’Ukraine doit cesser les combats et les pays occidentaux ne doivent plus livrer d’armes, explique clairement Galouzine. Pour parvenir à une paix «durable et juste», Kiev doit en outre revenir à son statut de neutralité et de non-alignement d’antan et reconnaître comme territoire russe les «nouvelles conditions territoriales», c’est-à-dire l’occupation des territoires ukrainiens conquis, qui ont également été officiellement rattachés à la Fédération de Russie en septembre 2022.
Le ministre a ajouté que la protection des droits des citoyens russophones et des minorités nationales était également un élément central pour parvenir à la paix. La langue russe doit être reconnue comme langue officielle. Les droits de l’homme fondamentaux doivent également être garantis en Ukraine, y compris le droit à la liberté de religion, a-t-il ajouté. Du point de vue russe, ce dernier point n’est plus d’actualité depuis 2014 dans les régions de l’est de l’Ukraine, majoritairement peuplées de Russes.
Il est frappant de constater que les principales exigences formulées à l’origine par Moscou – la démilitarisation et la «dénazification» de l’Ukraine – ne sont plus mentionnées dans les déclarations de Galouzine.
source : Zuerst via Euro-Synergies
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