(C'est tellement plus facile surtout lorsque les revenus de l'état sont captés par une minorité qui n'a pas envie de modérer sa prédation. Donc, c'est au pauvre con de citoyen de payer la facture et si il est pas content, on lui envoie les forces de l'ordre. Et, cela se passe dans tous les pays occidentaux pour nous faire penser que c'est dans l'ordre des choses alors qu'il ne s'agit que d'un capitalisme de connivence. Les prédateurs occidentaux, je parle des principaux, se retrouvent tous dans les mêmes conseils d'administration ce qui leur permet d'articuler leur stratégie notre dépossession de nos états. A part cela, ils deviennent toujours de plus en plus riches grâce à l'argent magique des banques centrales puisque dans la réalité, ils ne produisent pas plus et qu'au contraire en occident la production industrielle s'effondre. Donc, il faut bien que l'argent de leur super-profits viennent de quelque part. note de rené)
Pour la banque d’Angleterre « les Anglais doivent accepter d’être plus pauvres » !
C’est un article surréaliste de Courrier International qui reprend les propos choquants tenus par un responsable de la Banque d’Angleterre, “les Britanniques doivent accepter d’être plus pauvres”.
« Huw Pill, chef économiste de l’institution a en effet dit :
“À un moment donné, au Royaume-Uni, il va falloir que les gens acceptent qu’ils sont plus pauvres, qu’ils cessent de chercher à préserver leur pouvoir d’achat réel en surenchérissant sur les prix, que ce soit en augmentant les salaires ou en répercutant les coûts de l’énergie sur leurs clients. Et ce à quoi nous sommes confrontés aujourd’hui, c’est à ce refus d’admettre que, oui, c’est plus difficile pour nous tous, et que nous devons tous faire notre part.”
Autant vous dire que cette sortie fait hurler outre manche.
On pourrait être tenté de se moquer des Anglais en disant que c’est bien fait qu’ils n’avaient pas qu’à faire leur Brexit, sauf, que cela serait une analyse tentante mais erronée.
Nous n’avons pas fait de Brexit et toute l’Europe souffre d’une inflation très forte et d’un appauvrissement généralisée.
Le problème ici c’est que ce qu’a dit ce responsable anglais, tous les mamamouchis européens le pensent également et ils ne verraient aucun problème à vous rendre toujours plus pauvres.
D’ailleurs c’est exactement ce qu’ils font.
Mais, ils ne le disent pas.
Charles SANNAT
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