Une réflexion sur l'origine du changement climatique que l'on cherche à nous imposer.
Le GIEC, parlons-en, qui nous impose la version d'un changement climatique qui doit nous sembler effrayant afin de imposer des comportements de soumissions face à des solutions extrêmes imposées par un secteur de la société, la puissance d'argent.
Il faut arrêter de suivre ou de vénérer des gens que la complaisance humaine a hissé à la hauteur de maître à penser.
Est-ce que Freud a soigné les maladies mentales ? NON !
Elles demeurrent et les maux qui les maux qui les génèrent restent sujet à interprétation. Tout ce que la science fait est de les mettre sous cloche à l'aide de camisole chimique, preuve de l'inanité de la psychiatrie.
Est-ce que les vaccins de Pasteur ont éradiqués les virus ? NON !
Ils continuent à proliférer et s'adaptent en créant des réponses aux médicaments qu'on leur oppose. Sans compter que maintenant, c'est la science qui s'ingénie à les développer.
Est-ce que l'humanité trouve son origine en Afrique ? La question reste posée.
Trouver de vieux os à un endroit donné ne permet pas de localiser l'origine d'une espèce. D'autres, encore plus vieux, au fur à mesure de l'avancée de la technologie sont trouvés ailleurs.
La bio-diversité nous démontre que les espèces n'ont pas fini leur évolution et que leur origine peut être locale.
D'autres espèces humaine sont apparues dans des environnements différents, mais qu'une seule s'est montrée assez prolifique pour dominer les autres tout en se métissant afin de mieux s'adapter aux environnements rencontrés. Ce métissage a différencié physiquement l'espèce homo sapiens à travers les continents. Ce qui nous suggère un chaînon manquant, l'espèce qui a déterminé le physique des populations indiennes de meso-amérique.
Si l'on ne peut donc pas dire qu'une recherche ou une question est figée dans le marbre à partir d'un moment T, l'arrivée d'un soi-disant homme providentiel tel que Freud, Darwin, Pasteur, alors nous ne pouvons nous laisser imposer une vérité parce qu'elle est véhiculée par ceux qui se targuent du mérite de penser pour nous.
Le changement climatique provoqué par la pression humaine sur la surface de notre planète doit être re-questionné simplement du fait que les dérèglements climatiques naturels prolongés ou même réduits dans le temps ont toujours existé depuis, non l'existence de l'espèce humaine, mais depuis l'existence de la planète Terre, elle même.
rené
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