jeudi 23 novembre 2017

Folie : Flulaval, le vaccin de GSK qui ne sert à rien !

source : Le Libre Penseur
flulaval-vaccin-GSK-inefficace

Le débat sur la question vaccinale dépasse vraiment l’entendement, n’ayant plus rien de raisonnable, ni strictement  rien à voir avec la logique ; il est juste question de croyance, de propagande et de formatage cérébral. La situation est tellement absurde, ayant atteint un tel degré de folie, que les laboratoires de Big Pharma écrivent même sur la notice – ici GSK – qu’aucune preuve n’a été faite ni publiée concernant l’efficacité de leur Flulaval !!! Pour les passionnés, vous pouvez trouver la notice du vaccin en langue anglaise ici.

Dans cette période de discussion autour des vaccins, où on peut entendre tout et son contraire, certains vaccins servent clairement plus le profit de certains laboratoires qu’autre chose. C’est le cas du vaccin anti-grippal Flulaval. Le laboratoire lui-même a signalé dans la notice du vaccin, qu’il n’y a aucune preuve de l’efficacité du vaccin, aucune! Alors pourquoi se faire vacciner ?
Même sur le descriptif du produit qu’il n’y a pas de preuve qui démontre l’efficacité de son propre vaccin !
Sur le descriptif du vaccin FLULAVAL (influenza), fabriqué par GlaxoSmithKline, on peut lire : « Il n’y a pas eu d’étude contrôlée démontrant adéquatement une diminution de la maladie de la grippe après la vaccination avec FLULAVAL. »
Le mieux étant de vérifier par soi-même, et en français si possible la véracité d’un tel document, il fallait pousser la recherche un peu plus loin. Hallucinant de voir que le produit vendu n’est pas reconnu réellement efficace par ceux qui le commercialise… Et vu qu’il vaut mieux s’adresser à Dieu qu’à ses saint, c’est sur le site de GSK directement que la vérification fut faite.
Pour l’entreprise, c’est la composition non-médicale du vaccin : « Protéines d’œuf, désoxycholate de sodium, éthanol, formaldéhyde, sucrose, hydrogénosuccinate du-tocophérol, polysorbate 80, thimérosal »
  • Le formaldéhyde est utilisé comme désinfectant, comme fixateur et conservateur de cadavres, dans l’extraction du gaz de schiste, pour produire des polymères et des produits chimiques, dans la fabrication de la colle, etc… On le connait mieux sous le nom de formol. Il est reconnu comme étant cancérigène.
  • Le thimérosal est composé de mercure, jusqu’à 49%. Il est utilisé pour allonger leur durée de conservation en évitant que ne s’y développent certains microbes ou champignons. Le gros souci est que le mercure est toxique et écotoxique sous toutes ses formes organiques et pour tous ses états chimiques.
  • Traitement indiqué pour l’immunisation active chez les adultes et les enfants âgés de 6 mois et plus, pour la prévention de la grippe causée par les virus de types A et B contenus dans le vaccin. Mais voilà, la notice du vaccin explique bien que sur les enfants âgés de 06 à 36 mois : « l’efficacité du vaccin dans ce groupe d’âge n’a pas été établie » . Alors à quoi bon vacciner ces enfants s’il n’y a aucune preuve de l’efficacité du vaccin?Il est également expliqué que le vaccin « n’est pas efficace contre toutes les souches possibles du virus de la grippe. La protection se limite aux souches du virus à partir desquelles le vaccin a été préparé, ainsi qu’aux souches qui leur sont étroitement apparentées« . La vaccination s’apparente donc à la roulette russe, il faut le bon vaccin pour la bonne souche, sachant qu’un virus mute, évolue, et que vous avez de grandes chances de passer à côté des bénéfices du-dit vaccin…Si vous souhaitez comparer les deux notices, en anglais, vous pourrez le faire à loisir et constater les différences entre les présentations des information. En fouillant un peu, l’on peut découvrir nombre d’informations inquiétantes:La question à laquelle il faut absolument répondre est celle-ci : le vaccin contre la grippe est-il sûr pour tout le monde ? Quand quelqu’un se fait vacciner contre la grippe est-il averti des effets secondaires que d’autres ont rapporté ? Ces effets secondaires sont repris dans la notice du vaccin :
    Les effets indésirables suivants ont été spontanément rapportés lors de l’utilisation post-approbation du FLULAVAL. Du fait que ces effets secondaires sont rapportés volontairement par une population dont l’importance n’est pas connue, il n’est pas toujours possible d’estimer de manière fiable leur taux d’incidence ou d’établir une relation causale avec le vaccin.
    Les effets secondaires qui sont repris ci-dessous le sont parce que :
    ils correspondent à des réactions qui sont connues et qui surviennent tant après la vaccination contre la grippe qu’après d’autres vaccinations ; ces réactions sont potentiellement graves, ou sont fréquemment rapportées.
    Affections hématologiques et du système lymphatique : lymphadénopathie
    Troubles oculaires : douleurs oculaires photophobie
    Troubles gastro-intestinaux : dysphagie, vomissements
    Troubles généraux spécialement au site d’administration : douleurs thoraciques, inflammation au site d’injection, asthénie, éruptions au site d’injection, symptômes pseudo-grippaux, démarche anormale, ecchymoses au site d’injection, abcès stérile au site d’injection.
    Troubles du système immunitaire : réactions allergiques incluant anaphylaxie, œdème de Quincke.
    Infections, infestation : rhinite, laryngite, cellulite
    Troubles neuro-squelettiques et du tissu conjonctif : faiblesse musculaire, arthrite.
    Troubles du système nerveux : étourdissements, paresthésie hypoesthésie, hypokinésie, tremblements, somnolence, syncope, syndrome de Guillain-Barré, convulsions/ crises d’épilepsie, paralysie des nerfs crâniens ou faciaux, encéphalopathie, paralysie des membres.
    Troubles psychiatriques : insomnie
    Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux : dyspnée, disphonie, bronchospasme, serrement de la gorge.
    Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés : urticaire, éruptions cutanées locales ou généralisées, prurit, sueurs.
    Troubles vasculaires : bouffées vasomotrices, pâleur.

    Source : Notice du vaccin Flulaval.

    Notez que la liste des troubles du système nerveux est la plus longue. Cela ne correspond pas aux sommes versées par le gouvernement américain en dédommagement aux victimes de vaccins, où le syndrome de Guillain-Barré (qui provoque des paralysies similaires à celles de la polio) représente la plainte # 1 pour les dommages attribués au vaccin contre la grippe.
    Et cela ne concerne que ce seul vaccin. Pensez-vous réellement que l’ensemble des autres se démarquent exceptionnellement par leur efficacité? Et si vous êtes encore tentés par la vaccination, n’oubliez pas que les vaccins contre la grippe se sont montrés particulièrement peu efficaces cette année, même si les médias se veulent rassurants et nous explique que cela reste la meilleure méthode pour se protéger de la maladie…

    Le pic est franchi. Cette année, la grippe a déjà touché 2,5 millions de personnes et va encore en toucher autant. Le vaccin contre la grippe n’est efficace, pour l’instant, qu’à 23%. Mais il reste le meilleur moyen de se protéger contre cette maladie infectieuse.

    Se faire vacciner contre la grippe saisonnière n’empêche pas forcément d’attraper le virus. Et cette année encore plus que les autres. Aux États-Unis, le Center for Disease Control and Prevention (CDC) fait état d’une efficacité vaccinale de seulement 23%. La raison : « une mutation du virus entre la fabrication du vaccin et le début de l’épidémie », explique à metronews Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations du Haut Conseil de la santé publique (HCSP). Mais, même si vous avez eu la grippe cet hiver après avoir été vacciné, ce n’est pas une raison pour faire l’impasse sur la vaccination l’année prochaine.

    Déjà, le vaccin protège contre trois souches du virus : A(H1N1), A(H3N2) et B. La mutation ne concerne que le type A(H3N2), qui représente aujourd’hui, selon le réseau de surveillance de la grippe Sentinelles, 63% des virus en circulation. « Mais rien ne dit qu’il n’y aura pas une deuxième vague de virus de grippe B, qui sera parfaitement couverte par le vaccin », nuance Daniel Floret.

    La meilleure protection ? Peut-être pour les laboratoires, mais il en existe une trop souvent négligée qui a fait ses preuves, l’argent colloïdal, sans agents cancérigènes, sans produits toxiques, sans effets secondaires contraignants…

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