TIC TOX : TRAITEMENT CONTRE LA MALADIE DE LYME INTERDIT !
source : Maladie-Lyme-traitement.com
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Une décision controversée
Les soins alternatifs utilisés pour guérir la maladie de Lyme sont sujets à de nombreuses controverses. Soit, ils sont combinés avec la médecine moderne, soit ils sont sollicités lorsque celle-ci est en échec. Le TIC TOX est parmi les plus efficaces d’entre eux. Malheureusement, il a été interdit à la fabrication, à la commercialisation et à l’usage en France, un pays où les thérapies holistiques traitant de la Borréliose n’ont pas leurs places.
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Le TIC TOX, qu’est-ce que c’est ?
Un traitement alternatif de la Borrélia en phyto-aromathérapie
Le TIC TOX a été fabriqué à l’origine pour prévenir la transmission de la Borréliose de Lyme. Destiné à l’usage externe de par sa faculté à traverser la barrière cutanée, on l’utilisait pour tuer la tique et pour éviter d’éventuelles transmissions de la Borrélia Burgdorferi. Plus tard, des thérapeutes et des vétérinaires l’ont testé sur des chevaux et ont découvert que le TIC TOX pouvait détruire cette bactérie, de l’intérieur même de l’organisme. C’est alors que Bernard Christophe, diplômé d’Etat en pharmacie et spécialisé en phyto-aromathérapie depuis près de quarante ans, a mis au point un protocole de traitement de la maladie de Lyme basé sur ce produit. Il y préconise 5 gouttes de TIC TOX dans un grand verre d’eau que l’on doit prendre 3 à 4 fois par jour, pendant 3 à 4 mois. En cas de nécessité, cette cure peut être reprise quelques mois plus tard. Il s’agit d’un mélange d’huiles essentielles à haut pouvoir bactéricide à base de sarriette, de sauge officinale, de camomille sauvage, de girofle, d’origan compact, de cannelle et de niaouli. Il est à savoir que Bernard Christophe a acquis, depuis plus de 15 ans, des connaissances approfondies sur cette pandémie.
La sauge officinale, une médecine millénaire
La sauge officinale, ou de son nom latin « Salvare », est connue depuis l’Antiquité pour ses multiples propriétés curatives. Elle est premièrement un puissant antiseptique et astringent, utilisé pour soigner les plaies, les douleurs, les démangeaisons et peut aussi être utilisé en tant qu’infusion et gargarismes. Pouvant aider au traitement des aphtes, son huile essentielle réduit également les sécrétions bronchiques. Pour traiter l’asthme, on prescrivait l’inhalation de la fumée de ses feuilles séchées. La sauge officinale permet aussi de stimuler l’appétit et de faciliter la digestion, tout en proposant une propriété antispasmodique, pour lutter contre les crampes d’estomac et les douleurs intestinales. Elle aide également à la régulation du taux hormonal chez la femme. En tant que tranquillisant, cette plante médicinale est également utilisée en tant qu’infusion pour calmer les crises de la maladie d’Alzheimer. Et en dernier lieu, elle est aussi utilisée en cosmétique, comme fixateur de parfum et soin capillaire.
Pourquoi le TIC TOX est-il interdit en France ?
Un déni systématique pour la Borréliose
Bien que le TIC TOX soit efficace contre la maladie de Lyme, ni l’agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), ni les autorités sanitaires françaises ne veulent pas soutenir sa vulgarisation. Selon Bernard Christophe, cela est dû surtout à des intérêts financiers. C’est pour cela que la fabrication, la vente, la prescription et l’utilisation de ce produit sont formellement interdites dans l’Hexagone. Son laboratoire, NUTRIVITAL, a ainsi été contraint à la fermeture en même temps que le laboratoire SCHALLER. L’une des deux raisons avancées par les autorités pour justifier l’interdiction du TIC TOX est qu’il ne bénéficie pas de l’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) qui doit être délivrée par l’AFSSAPS. La raison de cette prohibition repose sur le présumé surdosage d’une huile essentielle. Selon l’AFSSAPS, une fois transformée en huile essentielle, la sauge officine contient des molécules de thuyone, dont une trop forte concentration dans l’organisme peut engendrer des convulsions neurotoxiques et abortives. Le dosage officiellement acceptable de cette molécule est de 4,8 mg. Selon Bernard Christophe, les analyses de l’AFSSAPS ont indiqué, par erreur ou volontairement, une concentration supérieure à cette limite.
Résultat, les victimes françaises de la Borrélia sont obligées d’acquérir le TIC TOX dans un pays étranger, comme l’Allemagne et l’Autriche, s’ils veulent en faire usage « illicite » pour recouvrer la santé.
Cette prohibition du TIC TOX est-elle justifiée ?
Selon le professeur Christian Perronne, cette décision officielle baigne dans un contexte de malversation, qui cible des objectifs en contradiction avec la Santé Publique. Ce spécialiste de la maladie de Lyme, et à la fois Chef du Département des Maladies Infectieuses de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, affirme avoir constaté une amélioration auprès des malades qui ont pris du TIC TOX. Pour lui, le problème repose sur le fait qu’il n’y a pas eu d’études scientifiques homologuées qui puissent légitimer la phytothérapie et que les principes actifs naturels utilisés ne sont pas brevetables.
D’après Bernard Christophe, la neurotoxicité de certains composants du TIC TOX n’est pas avérée puisqu’elle est largement en dessous du seuil exigé par les normes. Le flacon de 15 ml du produit contient 0.3 ml d’huile essentielle de sauge officinale, donc 0,135 g de thuyone. Aussi, dans les 15 gouttes maximales de traitement journalier de TIC TOX, il y aurait seulement 4,5 mg de thuyone, une dose inférieure aux 4,8 mg préconisée par l’AFSSAPS (http://www.nutrivital.eu/). De plus, durant les 15 années de sa commercialisation, aucun cas d’intoxication n’a été signalé. Au contraire, elle a constitué un excellent traitement complémentaire au protocole de soins conventionnel de la Borréliose de Lyme. Selon ce spécialiste phytothérapeute et dirigeant de NUTRIVITAL, l’AFSSAPS n’a pas vérifié les effets bénéfiques de la prise de TIC TOX. Cet organisme n’a même pas pris en considération les vertus antiseptiques, bactéricides, immunostimulants, décongestionnants… de ce produit. Pour démontrer sa bonne foi, son respect pour la Loi et la santé publique, NUTRIVITAL avait réduit sa formule, en n’intégrant plus dans le TIC TOX que 0,2 ml d’huile essentielle de sauge officinale. Mais cela n’a pas empêché sa prohibition.
Absence de l’AMM pour la commercialisation du TIC TOX ?
La première erreur de Bernard Christophe était de penser que le TIC TOX était seulement un produit naturel, dont la vente ne nécessite pas une Autorisation de Mise sur le Marché. La vision de l’AFSSAPS diffère sur ce sujet, car il estime qu’un produit contenant de l’huile essentielle de sauge officine est toxique pour l’organisme. C’est pour cela que ce produit traitant de la maladie de Lyme, aurait dû faire l’objet d’une demande d’autorisation.
Selon la loi en vigueur, pour qu’un produit thérapeutique puisse obtenir une mise en conformité délivrée par l’AFSSAPS, il doit être homologué par des experts en infectiologie ou en bactériologie, dans le cadre d’une étude en vue d’une AMM. Or, cette procédure est trop coûteuse pour une petite entreprise telle que le laboratoire Nutrivial, chargé de la production du TIC TOX. De plus, elle nécessite l’appui d’au moins un laboratoire pharmaceutique agréé. Bernard Christophe était alors, devant une terrible impasse. Pour cause, son produit n’a jamais été « mis en conformité ». En guise de solution alternative, il a ainsi mis à la disposition des patients, un mode d’emploi quant à l’utilisation du TIC TOX. Ce mode d’emploi qui est réservé aux produits pharmaceutiques a été le « Cheval de Troie » qui a causé la fermeture dudit laboratoire.
Position de l’OMS vis-à-vis des remèdes alternatifs et de leurs homologations ?
D’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), l’autorité de réglementation des produits médicaux dispose de diverses options. Elle a tout à fait le droit de procéder à une évaluation quant à l’innocuité, la qualité et l’efficacité d’un produit, à partir des informations présentées par le demandeur. Cela lui permettrait de prouver sa vraie valeur. Ce ne fut pas le cas pour l’affaire TIC TOX. Les autorités sanitaires ont laissé cette tâche à un laboratoire spécialisé qui opte pour la rentabilité, les coûts et les investissements, plutôt que de penser aux souffrances causées par le Borrélia Burgdorferi.
L’OMS encourage les pays à fournir des approches et des remèdes traditionnels sûrs et efficaces au sein de leurs systèmes de santé publics et privés. Pour le moment, l’Hexagone est en retard sur ce sujet. Surtout, quand il s’agit de trouver une solution pour diagnostiquer et vaincre lamaladie de Lyme qu’il considère encore de « maladie rare ». Pour prouver cela, les autorités n’hésitent pas à trainer en justice ceux qui tentent de retourner la situation.
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