Bonjour, mes chers cinq lecteurs.
Un mot sur le brexit, le départ, divorce, séparation de l'Angleterre et de l'Union Européenne.
Je dis aux anglais, "Allez-y, n'ayez aucune crainte, la grandeur de l'Angleterre s'est toujours construite hors de l'Europe ou contre elle".
Sa puissance, elle l'a bâtie en partant à la conquête du monde.
Elle peut continuer à le faire, en respect de ses états partenaires.
Les menaces financières de l'UE à l'encontre de la city me font rire à m'n déployer la gorge, vu, que ce serait plutôt la City qui pourrait couler l'UE.
La puissance de frappe financière de l'Angleterre est telle que l'UE ne peut non seulement s'en passer, ni se la mettre à dos.
Bien sûr, l'intérêt de la city serait de rester dans l'UE, elle pourrait donc jouer contre ce qui semble être son camp pour effrayer la population ou la punir en cas de victoire du brexit, mais, cela ne saurait durer longtemps, les affaires après tout, n'ont pas d'état d'âme.
Et, après tout, le business, le vrai, passe désormais pas l'économie virtuelle, alors,qu'importe où l'on se situe, à l'intérieur ou l'extérieur de l'UE.
Pour les accords commerciaux, l'Angleterre les a déjà tous signé, il n'y aurait donc rien de nouveau sous le printemps.
A part ça, concernant les petites et moyennes entreprises qui sont les plus pourvoyeuses d'emplois, une séparation leur sera favorable, car, le constat est que l'UE n'est au final qu'un rouleau compresseur pour les écraser et anéantir la classe moyenne.
Alors, je dis aux anglais, "Chiche ce n'est qu'un au revoir, à bientôt dans une organisation constituée de pays hors de l'UE et riche de leurs diversités !
Bien le bonjour chez vous, rené.
Un mot sur le brexit, le départ, divorce, séparation de l'Angleterre et de l'Union Européenne.
Je dis aux anglais, "Allez-y, n'ayez aucune crainte, la grandeur de l'Angleterre s'est toujours construite hors de l'Europe ou contre elle".
Sa puissance, elle l'a bâtie en partant à la conquête du monde.
Elle peut continuer à le faire, en respect de ses états partenaires.
Les menaces financières de l'UE à l'encontre de la city me font rire à m'n déployer la gorge, vu, que ce serait plutôt la City qui pourrait couler l'UE.
La puissance de frappe financière de l'Angleterre est telle que l'UE ne peut non seulement s'en passer, ni se la mettre à dos.
Bien sûr, l'intérêt de la city serait de rester dans l'UE, elle pourrait donc jouer contre ce qui semble être son camp pour effrayer la population ou la punir en cas de victoire du brexit, mais, cela ne saurait durer longtemps, les affaires après tout, n'ont pas d'état d'âme.
Et, après tout, le business, le vrai, passe désormais pas l'économie virtuelle, alors,qu'importe où l'on se situe, à l'intérieur ou l'extérieur de l'UE.
Pour les accords commerciaux, l'Angleterre les a déjà tous signé, il n'y aurait donc rien de nouveau sous le printemps.
A part ça, concernant les petites et moyennes entreprises qui sont les plus pourvoyeuses d'emplois, une séparation leur sera favorable, car, le constat est que l'UE n'est au final qu'un rouleau compresseur pour les écraser et anéantir la classe moyenne.
Alors, je dis aux anglais, "Chiche ce n'est qu'un au revoir, à bientôt dans une organisation constituée de pays hors de l'UE et riche de leurs diversités !
Bien le bonjour chez vous, rené.
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