mardi 1 octobre 2013

(blog à finir et à corriger)

Mon Dieu, mon Dieu, ce monde est merveilleux !

(source : Finance 7 sur 7)

Le PDG de Cisco voit sa rémunération augmenter de 80%

SAUVEGARDER
Par: rédaction
1/10/13 - 00h36  Source: AFP
© afp.
Mi-août, le groupe avait annoncé la suppression de 4.000 emplois.
Le PDG de l'équipementier en télécoms américain Cisco, John Chambers, va voir sa rémunération annuelle bondir de 80%, selon un document boursier publié lundi. M. Chambers devrait toucher un peu plus de 21 millions de dollars pour l'exercice 2013 du groupe (clos fin juillet), contre 11,7 millions un an auparavant.

Son salaire fixe a notamment été presque triplé, passant de 375.000 à 1,1 million de dollars, et ses versements de stock-options ont plus que doublé, de 7,3 à 15,2 millions de dollars, détaille ce document, fourni aux actionnaires en prévision de leur assemblée générale et consultable sur le site internet du gendarme boursier américain (SEC). Le groupe souligne que cette rémunération "est davantage conforme à la pratique" des autres groupes du secteur.

Cisco avait annoncé mi-août une hausse de 24% de son bénéfice net, à 10 milliards de dollars, et la suppression de 4.000 emplois, justifiée par un environnement "difficile".
Et, ce monde est encore plus merveilleux. Moi, je vous le dis, ce sont les insectes qui vont nous survivre.

(source : Planète.fr)

La Chine victime d’une attaque de frelons géants tueurs

NON PUBLIÉ
Réagissez !
Le vespa mandarinia, aussi appelé frelon géant asiatique, puisqu’il peut mesurer jusqu’à 5 centimètres de long, attaque en ce moment la Chine centrale. C’est un véritable drame que subit la région: 28 personnes ont déjà succombé à leurs piqûres, des centaines d’autres sont blessées.
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La région du Shaanxi, au centre du pays, est la plus touchée par ces attaques de frelons géants. La ville d’Ankang enregistre à elle seule 583 personnes piquées depuis le 1er juillet. Les pompiers ont, quant à eux, déjà neutralisé 300 nids de frelons.
Une attaque pouvant atteindre 200 piqûres
Le frelon géant asiatique voyage en groupe. Les victimes sont souvent pourchassées et piquées par plusieurs frelons. Ces derniers sont attirés par le venin de leurs congénères. C’est pourquoi une même victime peut être piquée à plusieurs reprises. Les piqûres pouvant atteindre le nombre de 200. «J'ai couru et appelé à l'aide, mais les frelons m'ont pourchassé sur environ 200 mètres, et m'ont piqué pendant trois minutes.» raconte Chen Changlin, une des nombreuses victimes qui a pu être soignée à temps.
Une mise en garde des pompiers chinois
Face à cette invasion meurtrière, les pompiers conseillent aux victimes de se faire soigner dès que celles-ci ont été contaminées par le venin plus de dix fois. Quant aux personnes victimes de plus de trente piqûres, une hospitalisation est recommandée. Ces frelons possèdent l’un des plus puissants venins du monde. Sans traitement, une piqûre peut provoquer des arrêts respiratoires ou des insuffisances rénales entraînant pour certains la mort.

Et, en attendant aux Etats-Unis, le gaz de schiste marque le pas.

(source :  Le Monde blogs)

Gaz de schiste : premiers déclins aux Etats-Unis

C'est là que le boom des gaz de schiste a commencé. C'est là aussi que le déclin semble s'amorcer. Les champs de Barnett et de Haynesville, dans le Sud des Etat-Unis, ont franchi leur pic de production respectivement en novembre et décembre 2011.
Les puits de Barnett et Haynesville ont fourni jusqu'ici près de la moitié de la production américaine de gaz de schiste.
Le développement plus tardif du troisième principal champ nord-américain de gaz de schiste, celui de Marcellus dans les Appalaches, compense jusqu'ici le déclin de ses deux prédécesseurs. La poursuite du développement de Marcellus joue un rôle clé pour maintenir sur un plateau la production totale de gaz naturel aux Etats-Unis, stable depuis le début de l'année 2012.
Evolution de la production des 5 principaux champs de gaz de schiste aux Etats-Unis, constituant 80 % de la production totale de gaz de schiste. Source : J. David Hughes.
La production de gaz naturel du champ de Barnett, situé au beau milieu de la vaste zone urbaine de Dallas Fort-Worth, au Texas, s'est établie à 4,84 milliards de pieds cube en juin, en baisse de 16,5 % sur un an et de 20,5 % sur deux ans. La première ruée vers les gaz de schiste s'est produite ici, au coeur de l'industrie américaine des hydrocarbures, à la faveur de la flambée des prix de l'énergie amorcée au début des années 2000.
Le champ de gaz de schiste de Haynesville, à cheval sur le Texas et la Louisiane, a été le deuxième développé aux Etats-Unis, à partir de 2009. Ses extractions sont en repli de près d'un cinquième par rapport au pic de décembre 2011. La production des puits situés en Louisiane a encaissé un repli de pas moins de 28 % en seulement un an et demi, selon les données fournies par Washington.
Source : EIA.
Indispensable pour exploiter les gaz de schiste, la fracturation de la roche ne permet de libérer ces gaz que dans un périmètre restreint autour de la zone fracturée. Par conséquent, la production d'un puits d'hydrocarbures de schiste atteint en général sa production record dès son ouverture, et décline ensuite très rapidement, souvent dès les premiers mois d'exploitation. Pour maintenir une production élevée, il est nécessaire de forer sans cesse de nouveaux puits, de dix à cent fois plus que pour du pétrole conventionnel, d'après la direction du groupe Total.
Le principal producteur du champ de Barnett, la compagnie Devon Energy, y a recours à cinq installations de forage cette année, contre dix en 2012. "Notre production dans le Barnett reste stable avant tout parce que nous avons pris des mesures pour limiter les déclins dans la production existante", indiquait en août le porte-parole de Devon Energy. "Toutefois, à cause de notre activité de forage réduite, nous nous attendons à voir notre production chuter au cours du second semestre de cette année", a-t-il précisé.
La réduction du nombre de forages est la conséquence de la combinaison de deux facteurs, l'un économique, l'autre géologique : le repli des cours du gaz naturel depuis fin 2011 (lui-même provoqué par le boom des gaz de schiste) ; la tendance à devoir forer les nouveaux puits dans des zones moins fertiles en hydrocarbures.
Chesapeake, l'un des leaders des gaz de schiste aux Etats-Unis, a dû biffer de ses comptes l'an dernier pas moins de 4 600 milliards de pieds cube de réserves dites"prouvées". Ces réserves, principalement situées dans les champs de Barnett et de Haynesville, constituaient jusque-là pas moins du quart des réserves totales revendiquées par la compagnie.
Le cas de Chesapeake n'est pas isolé.
D'autres acteurs majeurs, tels que BP et BHP Billiton, ont également revu nettement à la baisse en 2012 le montant annoncé de leurs réserves de gaz de schiste. C'est maintenant le tour de la Shell, qui fait part de son souhait de vendre ses capitaux dans un autre important champ texan d'hydrocarbures de schiste, Eagle Ford, après avoir annoncé en juillet une forte réduction du montant de ses réserves de gaz non-conventionnel, relate aujourd'hui le Financial Times.
La tendance fait écho au cri d'alarme poussé l'an dernier par le patron d'Exxon, Rex Tillerson : "On ne fait pas d'argent, tout est dans le rouge. (...) Nous sommes en train de perdre notre chemise [dans le gaz naturel]."
Répartition des forages dans le champ texan de Barnett. Les puits les plus productifs, représentés par les points rouges, recouvrent les zones géologiques les plus fertiles, les "sweet spots". Source : J. David Hugues.
Vieille histoire naturelle : comme les autres espèces animales, les hommes ont tendance à cueillir d'abord les fruits les plus mûrs et à portée de main. La destinée humaine s'écoule selon la pente de plus faible résistance, parfois jusqu'à se perdre comme un oued.
Les "sweet spots", les zones les plus fertiles des champs de Barnett et de Haynesville ont d'ores et déjà été forées de manière intense. Les forages futurs risquent de tendre à être moins productifs et donc moins rentables ; il faudrait tout à la fois qu'ils soient plus nombreux pour remplacer les meilleurs fruits déjà cueillis.
Les extractions de gaz du champ de Haynesville ont commencé à décroître malgré l'augmentation du nombre de puits :
Poursuite du fort déclin amorcé, ou bien stabilisation ? L'avenir de Barnett et de Haynesville sera riche d'enseignements pour la suite à attendre du boom des gaz de schiste.
Les avis se partagent pour l'heure entre les experts qui considèrent que les meilleures heures de ces deux champs pionniers sont terminées, et ceux qui estiment qu'ils ont encore de beaux restes, insistant sur la "résilience" de l'industrie texane. Toutefois au cours des derniers mois dans la presse américaine, nul ne s'est risqué à avancer que le déclin des champs de Barnett et de Haynesville puisse être réversible.
En ouvrant la perspective, il semble pour l'heure envisageable qu'à l'échelle du globe, les meilleurs fruits à attendre du boom des gaz de schiste soient ceux qui sont déjà en train d'être cueillis aux Etats-Unis.
En Pologne, pays annoncé comme le plus prometteur en Europe, les géants nord-américains Exxon, Talisman et Marathon Oil ont rapidement jeté l'éponge, regrettait en juillet The Economist. L'hebdomadaire libéral anglais pointe la responsabilité de la bureaucratie polonaise, mais admet aussi que la géologie de la Pologne se révèle "plus difficile que prévu". Les ressources polonaises en gaz de schiste se trouvent être enfouies plus profondément que celles exploitées aux Etats-Unis. Une différence qui handicape sévèrement la rentabilité potentielle des forages.
En Chine, les importantes ressources potentielles sont également piégées à plus grande profondeur qu'aux Etats-Unis, ce qui paraît grever tout autant qu'en Pologne la faisabilité des projets envisagés, souligne aujourd'hui le New York Times. De plus, ces ressources sont éparpillées à travers le vaste territoire chinois, et se situent souvent dans des zones désolées difficiles d'accès pour les équipements lourds que nécessite l'exploitation des gaz de schiste, relève l'agence Reuters.
Taxis attendant pour faire le plein à Chongqing en 2009. Image Reuters.

A ceux qui s'étonneraient du récent ralentissement du rythme de publication sur ce blog : je viens de boucler la plus grande partie d'une histoire de "l'Homme-Pétrole", à paraître aux éditions de La Découverte.
La publication des articles va désormais reprendre à son rythme habituel (au moins deux par mois in cha' Allah, selon arrivage).
Je me permets aussi de signaler la parution de "L'état du Monde 2014", toujours à La Découverte, ouvrage très riche dans lequel j'ai rédigé un article.
Je suis journaliste indépendant, blogueur invité de la rédaction du Monde.
L'information n'est pas gratuite, si vous souhaitez soutenir mon travail, merci de cliquer ici :


Et, quand le gouvernement anglais continuent à traiter sa population comme de la "Merde". A moins que le premier ministre s'imaginent que les actifs sont tous des immigrés.

(source : Marianne)

Le couteau de Cameron sous la gorge des chômeurs anglais

Lundi 30 Septembre 2013 à 20:00 | Lu 5960 fois I 19 commentaire(s)

LUCILLE FONTENY

Les Conservateurs au pouvoir en Grande Bretagne annoncent une mesure qui force les chômeurs de plus de deux ans à effectuer 30 heures de travaux d’intérêt général, sous peine de se voir retirer leurs allocations.


David Cameron - REX/Steve Back/REX/SIPA
David Cameron - REX/Steve Back/REX/SIPA
C’est le dernier né du gouvernement Cameron pour lutter contre un assistanat clairement dénoncé et une économie qui peine à se relancer. Le ministre des Finances, George Osborne, a annoncé lundi en marge de la conférence annuelle du parti conservateur que les 200 000 bénéficiaires des allocations chômage, sans emploi depuis deux ans, seraient contraints à effectuer des travaux d’intérêt général. 

Les chômeurs de longue durée devront effectuer 30 heures de travaux d’intérêt général hebdomadaires (ramasser les poubelles dans les rues, cuisiner pour les personnes âgées, ou travailler dans une organisation caritative…), pour gagner leur indemnité ou se rendre tous les jours dans leur Agence pour l’emploi. Des stages supervisés par ces agences seront obligatoirement suivis par ceux qui souffrent de problèmes tels que l’alcoolisme ou l’analphabétisme. Baptisé « Help to work », ce dispositif coûtera à l’Etat 300 millions de livres, et devrait entrer en vigueur en avril prochain. La punition pour une première infraction est de quatre semaines d’indemnités en moins, et de trois mois pour la seconde infraction. 

Insistant sur un chemin de la croissance « loin d’être retrouvé », M. Osborne a affirmé que« personne ne recevrait quelque chose sans contrepartie»«Pour la première fois, tous les chômeurs de longue durée qui sont capables de travailler devront faire quelque chose en échange de leurs allocations et afin qu’on les aide à trouver un emploi», a-t-il dit. 

Rattraper les Travaillistes dans les sondages 

Selon le quotidien The Guardian, les sondages révèlent que la population britannique évolue en faveur d’une politique moins généreuse en ce qui concerne les aides octroyées par l’Etat. Cette radicalisation peut être interprétée comme une tentative du Parti Conservateur de réduire l’écart avec le Parti Travailliste en tête dans les sondages d’opinion, après un discours plutôt populiste de la part d’Ed Miliband, leader du principal parti de gauche. Lors d’une conférence la semaine dernière, il avait notamment proposé de geler le coût de l’électricité s’il était au pouvoir en 2015. "

De toute façon, partout, les gouvernements nous prend pour des cons, mais, au Canada, à mon avis, il ne doit pas aimer les québécois. 

(source : 

UN « VICE CACHÉ »
COÛTE DES MILLIONS
AUX QUÉBÉCOISDescription : nvoyerENVOYER 
·       
UNE ERREUR PÉNALISE LES QUÉBÉCOIS
FRANCIS VAILLESLA PRESSE
Depuis plusieurs années, une erreur du ministère des Finances du Canada a pour effet de surimposer les Québécois par rapport aux contribuables des autres provinces, a découvert un groupe de fiscalistes.
L’erreur priverait 650 000 Québécois d’une somme oscillant entre 150 et 200 millions par année depuis 2008. Elle concerne les Québécois qui reçoivent des dividendes de grandes entreprises (Bell Canada, Banque Royale, etc.) à titre d’actionnaires, de même que les entrepreneurs qui se versent des dividendes à même les profits de leur entreprise.
La problématique a été mise au jour par les fiscalistes Stéphane Thibault et Yves Chartrand, du Centre québécois de formation en fiscalité (CQFF). « Les résultats de nos analyses sont sans équivoque. Elles démontrent que les Québécois se font flouer », a révélé à La Presse Yves Chartrand, président du CQFF.
Ce centre de formation privée n’en est pas à son premier coup d’éclat fiscal. L’automne dernier, il avait constaté qu’une bévue de l’Agence du revenu du Canada privait injustement 30 000 familles monoparentales canadiennes de prestations fiscales pour enfants avoisinant les 50 millions. La ministre du Revenu d’alors, Gail Shea, avait dû admettre l’erreur, présenter ses excuses et procéder au remboursement.
Cette fois, la problématique concerne le calcul de l’impôt fédéral sur les dividendes. La distorsion fiscale a pour effet d’imposer davantage les Québécois que les Canadiens des autres provinces, gonflant leur taux d’imposition sur les dividendes de 1,4 à 3,4 points de pourcentage.
Deux autres fiscalistes joints par La Presse ont confirmé la distorsion fiscale mise au jour par le CQFF. « Effectivement, il est moins intéressant de gagner un revenu de dividende au Québec que dans le reste du Canada du point de vue de l’impôt fédéral », a dit Luc Godbout, professeur de fiscalité à l’Université de Sherbrooke.
« Leur démonstration est en béton », dit de son côté Claude Laferrière, professeur de fiscalité de l’UQAM à la retraite.
Pour comprendre, il faut savoir que le système fiscal est organisé pour que les dividendes versés aux actionnaires soient ultimement frappés d’un taux d’imposition équivalant à celui des salaires des employés, essentiellement. Les ministères des Finances ajustent leurs paramètres fiscaux pour respecter ce principe, notamment au moyen d’un crédit d’impôt pour dividendes (CID).
Une raison bien simple explique cet ajustement : les dividendes versés aux actionnaires proviennent de fonds qui ont déjà été imposés au sein de l’entreprise (impôt sur les bénéfices). Les salaires et autres revenus, au contraire, sont versés aux particuliers avant impôt. La mécanique fiscale a pour effet de ramener les deux sources de revenu au même taux d’imposition, au bout du compte. On appelle cette mécanique le principe d’intégration de l’impôt des entreprises et des particuliers.
Or, depuis au moins 2008, le principe est appliqué différemment au Québec et ailleurs. Cette anomalie a pour effet de gonfler indûment la facture fédérale des contribuables québécois.
Deux catégories de contribuables touchées
Essentiellement, deux grandes catégories de contribuables sont touchées : les particuliers qui touchent des dividendes de grandes entreprises en Bourse, d’une part, et les petits entrepreneurs qui se versent des dividendes à même les profits de leur entreprise, d’autre part.
Dans le premier cas, le rapport du CQFF estime que les Québécois concernés voient leurs dividendes surimposés au fédéral d’environ 3 à 3,4 points de pourcentage depuis 2006. Dans le second cas, ce sont les contribuables des autres provinces qui sont sous-imposés par une marge de 1,2 à 1,7 point de pourcentage depuis 2008. Dans un cas comme dans l’autre, les Québécois sont perdants.
Dans son dernier budget, le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, a annoncé son intention de corriger dès 2014 l’anomalie pour le second cas, soit la sous-imposition des dividendes dits ordinaires que se versent les entrepreneurs, entre autres. Cette sous-imposition aurait fait perdre au moins 2 milliards au fédéral depuis 2008.
Le hic, c’est qu’Ottawa implantera sa solution partout au Canada, même au Québec, où cette catégorie de dividendes est correctement imposée. Dans le cas de l’autre catégorie de dividendes (les entreprises en Bourse), aucun changement n’est à l’ordre du jour, même si les Québécois sont surimposés.
Le CQFF a épluché les statistiques de l’Agence du revenu du Canada pour constater qu’environ 650 000 Québécois seraient lésés par le phénomène. Si rien n’est fait, ces Québécois devront se priver de revenus qui pourraient atteindre 1 milliard sur cinq ans. « Ces fonds ne seront pas injectés dans l’économie québécoise aux fins de consommation, d’épargne ou d’investissement », dit Yves Chartrand, du CQFF.
Au moment de mettre sous presse, le ministère des Finances n’avait pas encore réagi.
Pour voir le document fiscal du CQFF.


Et, une pensée pour la santé de ces dames;

(source : Medisite)

Crèmes antirides : les plus efficaces ne sont pas les plus chères !

Réagissez !
Après avoir comparé l'efficacité de neuf crèmes antirides, le magazine 60 millions de consommateurs annonce que -contrairement à ce que l'on pourrait croire- les plus chères ne sont pas les plus efficaces.
© Africa Studio - Fotolia.com
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Acide hyaluronique, coenzyme Q10, vitamine E, rétinol A... Ces actifs "miracles" sont utilisés dans la plupart des crèmes antirides parce qu'ils ont la capacité de neutraliser les "radicaux libres" responsables du vieillissement cellulaire. Du moins, c'est ce que vantent les fabricants. Le magazine 60 millions de consommateurs a voulu vérifier leurs effets en comparant 9 produits : Eluage Emulsion anti-âge d'Avène  (73,30 e les 100ml), Cien crème de jour Lidl (6€ les 100ml), Nectar of Nature crème antirides Les cosmétiques Carrefour (14,65 €les 100ml), Revitalift Total Repair Jour L'Oréal Paris (27,90€ les 100ml), Rénergie Multi-lift Soin lifting Lancôme Paris (L'Oréal : 193,80€ les 100ml), Lift+Hydratant Diadermine (Henkel : 19,40€ les 100ml), Q10 plus Anti-rides Nivea (Beiersdorf : 23,95€ les 100ml), Multi-régénérante Jour crème lift anti-rides Clarins (147,80€ les 100ml), Cohérence Crème jour et nuit correction rides et fermeté Lierac (Ales : 114€ les 100ml). Ils ont retenu trois critères : les mesures par projection de franges, la cotation par un dermatologue et des volontaires.
Résultats :
- Aven et Cien sont les deux seuls crèmes à obtenir une diminution de la profondeur des rides et ridules, après 28 jours d'utilisation.
- Pour les dermatologues, les meilleures sont Aven, Cien et la crème Les Cosmétiques de Carrefour. Les moins bons résultats sont attribués à Nivea, Clarins et Lierac en dernier.
- Pour les volontaires, la meilleure crème antirides est Cien (la seule à bien se positionner sur les 3 critères). Viennent ensuite L'Oréal Paris, Lancôme, Clarins, Diadermine et Les Cosmétiques.
- La tolérance cutanée est relativement bonne sur l'ensemble des crèmes. Seul bémol : "Pour Lancôme, plusieurs panélistes ont relevé des sensations de léger échauffement au niveau de la zone d'application, sans pour autant considérer ces sensations comme désagréables" note le magazine. Par contre, pour Lierac, plusieurs volontaires se sont plaintes d'inconfort, de rougeurs et d'éruptions cutanées.
- La crème Les Cosmétiques est pénalisée par son odeur, sa texture et sa difficulté d'étalement. Elle est par contre celle qui contient le moins de composés indésirables.
- La plupart des crèmes contiennent des composants potentiellement irritants ou allergisants, des parabens et du phénoxyéthanol.


vv



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