(blog à finir et à corriger)
Tiens donc, mes chers cinq lecteurs, il y a des interventions des multinationales qui veulent continuer à "exploiter" la planète à fond sans que personne ne les ennuie, qui distribué des sous pour que des scientifiques affirment que le changement climatique, c'est de la daube.
(source : ActuWiki)
Des journalistes et des chercheurs ont révélé l’existence d’une fondation secrète par laquelle 400 millions de dollars ont été versés depuis 1999 à divers groupes américains de droite, dont une bonne partie est vouée à défendre l’idée que le réchauffement climatique est un canular.
Selon l’Agence Science-Presse, qui cite The Center for Public
Integrity, en 2010, 12 de ces groupes ont reçu entre 30 et 70% de leur
financement de ce fonds, Donors Trust. Parmi ces groupes, on trouve
Heartland Institute et Competitive Enterprise Institute, des «groupes de
réflexion» reconnus comme des noyaux du réseau de désinformation: ils
organisent des conférences, écrivent des lettres aux journaux et
publient des recommandations qui sont repris par des blogueurs et des
chroniqueurs complaisants.
Le Center for Public Integrity révèle que le Donors Trust, qui a le statut d’un organisme de charité et, de ce fait, n’est pas tenu de révéler ses donateurs, a versé 400 millions de dollars à plus d’un millier de groupes de droite, depuis 1999. Une autre enquête, celle du Guardian, de Londres, a permis de préciser que 120 de ces millions ont servi spécifiquement à alimenter 102 organismes, groupes ou blogues opposés à la thèse du réchauffement climatique, entre 2002 et 2010.
Ce flot d’argent est six fois plus important que celui des opposants plus visibles à une action contre le climat, comme l’industrie pétrolière. Faisant état de ces découvertes la semaine dernière, le magazine Mother Jones a surnommé Donors Trust «le guichet automatique de la droite».
Un des 102 groupes identifiés comme climatosceptiques porte le nom innocent de Franklin Center for Government and Public Integrity. Il est apparu en 2009 et est rapidement devenu un chef de file de l’opposition aux investissements dans le solaire et l’éolien.
La dernière année couverte par les recherches du Guardian , soit 2010, correspond à celle où l’opposition des politiciens américains a fait mourir au feuilleton un projet de loi sur le climat, en préparation depuis quelques années.
Source : Center for Public Integrity, Donors use charity to push free-market policies in states (rapport, 14 février 2013).
relayé par les affaires
Et, qui en France risquerait d'aller à l'encontre de tant d'intérêts financiers, certainement pas le président français, Hollande qui est bien encadré par la finance française.
(source : Médiapart"
Lu dans Fakir n°53, p.13.
Matignon: Qui conseille le 1er ministre?
Les mêmes membres du "Cercle des économistes"[voir article au-dessus "Les médias: Qui est invité partout?") occupent le Conseil d'analyse économique. Christian de Boissieu (banque Neuflize OBC), Jean-Hervé Lorenzi (Rotschild), Patrick Arthus (Natixis), Jean-Paul Betbèze (Crédit agricole). Et pour apporter un peu de diversité: Daniel Cohen (banque Lazard), Augustin Landier (qui dirige son propre hedge fund), Olivier Garnier (Société générale), Mathilde Lemoine (HSBC-France).
Qui conseille François Hollande?
Jean-Hervé Lorenzi (banque Rotschild) et Emmanuel Macron (Rotschild aussi). Pour assurer le pluralisme, Martine Aubry est conseillée par Daniel Cohen (banque Lazard - qui porte chance: lui guidait également Georges Papandréou, l'ex-Premier ministre grec).
Et, pour changer, il n'y a pas qu'en France, l'industrie alimentaire trafique les aliments. Les sociétés comme Sodexho qui livrent les cantines, en Egypte font de même.
(source : El Watan)
Et, bientôt, Mosanto va faire un procès à l'Italie.
(source : Nature to Share)
vvvv
Tiens donc, mes chers cinq lecteurs, il y a des interventions des multinationales qui veulent continuer à "exploiter" la planète à fond sans que personne ne les ennuie, qui distribué des sous pour que des scientifiques affirment que le changement climatique, c'est de la daube.
(source : ActuWiki)
400 millions de dollars pour nier le réchauffement climatique
Des journalistes et des chercheurs ont révélé l’existence d’une fondation secrète par laquelle 400 millions de dollars ont été versés depuis 1999 à divers groupes américains de droite, dont une bonne partie est vouée à défendre l’idée que le réchauffement climatique est un canular.
Le Center for Public Integrity révèle que le Donors Trust, qui a le statut d’un organisme de charité et, de ce fait, n’est pas tenu de révéler ses donateurs, a versé 400 millions de dollars à plus d’un millier de groupes de droite, depuis 1999. Une autre enquête, celle du Guardian, de Londres, a permis de préciser que 120 de ces millions ont servi spécifiquement à alimenter 102 organismes, groupes ou blogues opposés à la thèse du réchauffement climatique, entre 2002 et 2010.
Ce flot d’argent est six fois plus important que celui des opposants plus visibles à une action contre le climat, comme l’industrie pétrolière. Faisant état de ces découvertes la semaine dernière, le magazine Mother Jones a surnommé Donors Trust «le guichet automatique de la droite».
Un des 102 groupes identifiés comme climatosceptiques porte le nom innocent de Franklin Center for Government and Public Integrity. Il est apparu en 2009 et est rapidement devenu un chef de file de l’opposition aux investissements dans le solaire et l’éolien.
La dernière année couverte par les recherches du Guardian , soit 2010, correspond à celle où l’opposition des politiciens américains a fait mourir au feuilleton un projet de loi sur le climat, en préparation depuis quelques années.
Source : Center for Public Integrity, Donors use charity to push free-market policies in states (rapport, 14 février 2013).
relayé par les affaires
Et, qui en France risquerait d'aller à l'encontre de tant d'intérêts financiers, certainement pas le président français, Hollande qui est bien encadré par la finance française.
(source : Médiapart"
Qui conseille François Hollande?
12 décembre 2011
Par Solal Chomi
Matignon: Qui conseille le 1er ministre?
Les mêmes membres du "Cercle des économistes"[voir article au-dessus "Les médias: Qui est invité partout?") occupent le Conseil d'analyse économique. Christian de Boissieu (banque Neuflize OBC), Jean-Hervé Lorenzi (Rotschild), Patrick Arthus (Natixis), Jean-Paul Betbèze (Crédit agricole). Et pour apporter un peu de diversité: Daniel Cohen (banque Lazard), Augustin Landier (qui dirige son propre hedge fund), Olivier Garnier (Société générale), Mathilde Lemoine (HSBC-France).
Qui conseille François Hollande?
Jean-Hervé Lorenzi (banque Rotschild) et Emmanuel Macron (Rotschild aussi). Pour assurer le pluralisme, Martine Aubry est conseillée par Daniel Cohen (banque Lazard - qui porte chance: lui guidait également Georges Papandréou, l'ex-Premier ministre grec).
Et, pour changer, il n'y a pas qu'en France, l'industrie alimentaire trafique les aliments. Les sociétés comme Sodexho qui livrent les cantines, en Egypte font de même.
(source : El Watan)
Intoxication à l’université d’Al-Azhar
le 03.04.13 | 10h00
1 réaction
Plus de 500 étudiants de la célèbre université islamique d’Al-Azhar, au Caire, ont été hospitalisés en raison d’une intoxication alimentaire, ont indiqué mardi les autorités égyptiennes.
Des étudiants ont manifesté dans la journée devant les bâtiments de la direction pour demander la démission du président de l’université, au moment où le président islamiste, Mohamed Morsi, rendait visite à plusieurs des 561 personnes hospitalisées. Le parquet a ordonné une enquête à la suite de cette intoxication survenue lundi soir, pour laquelle la nourriture servie à la cantine d’une résidence universitaire est mise en cause. Al-Azhar, qui est à la fois un grand centre théologique sunnite et une université, forme chaque année des milliers d’étudiants dans de nombreuses disciplines —droit, médecine, commerce, etc.— et forme aussi de nombreux imams venus du monde entierEt, bientôt, Mosanto va faire un procès à l'Italie.
(source : Nature to Share)
Le
gouvernement italien a demandé à la Commission européenne de ne pas
renouveler l'autorisation de culture demandée par le groupe Monsanto
pour son maïs OGM MON 810, dans un courrier dont l'AFP a obtenu une
copie jeudi.
Deux OGM seulement ont été autorisés à la culture dans l'UE: la pomme de terre Amflora, développée par le groupe allemand BASF, qui s'est avérée un échec commercial, et le maïs OGM MON 810 de la multinationale Monsanto.
La culture du MON 810 a été autorisée en 1998 pour 10 ans. Monsanto a demandé le renouvellement de ce permis en 2007, mais le processus d'autorisation est gelé en raison de l'hostilité de plusieurs Etats.
Huit pays --France, Allemagne, Luxembourg, Autriche, Hongrie, Grèce, Bulgarie et Pologne-- ont même adopté des clauses de sauvegarde pour interdire sur leurs territoires la culture des OGM autorisés.
La demande du gouvernement italien vient donc renforcer le bloc des pays hostiles à la culture du MON 810.
Le courrier adressé à la Commission européenne par le ministre italien de la Santé, Renato Balduzzi, demande de suspendre l'autorisation de mise en culture des semences de maïs MON 810 dans tous les pays de l'UE en raison des risques pour l'environnement. La requête est appuyée par un dossier.
L'autorisation de culture a été accordée sur la base d'un avis de l'Autorité européenne pour la sécurité des aliments (EFSA) fondé sur une étude de risques pour la santé humaine et animale. Mais les risques pour l'environnement n'ont pas été étudiés.
Le MON 810 était cultivé fin 2011 sur 115.000 hectares dans six pays: Espagne, Portugal, République tchèque, Pologne, Slovaquie et Roumanie. La Pologne a depuis mis fin à ces cultures.
Le processus d'évaluation pour les demandes d'autorisation de culture et de commercialisation d'OGM se déroule en quatre temps: consultation de l'EFSA sur les risques pour la santé, demande d'autorisation aux Etats sur la base d'un avis favorable de l'EFSA, procédure d'appel si aucune majorité qualifiée ne se dégage entre les Etats. Enfin, si cette situation perdure, la décision finale revient à la Commission européenne.
A ce jour, l'EFSA n'a jamais rendu un avis négatif et aucune majorité qualifiée n'a jamais été trouvée entre les Etats pour interdire ou autoriser un OGM.
Selon les règles en vigueur, le MON 810 pourra continuer à être cultivé dans les Etats qui le souhaitent jusqu'à ce que l'UE prenne une décision.
Deux OGM seulement ont été autorisés à la culture dans l'UE: la pomme de terre Amflora, développée par le groupe allemand BASF, qui s'est avérée un échec commercial, et le maïs OGM MON 810 de la multinationale Monsanto.
La culture du MON 810 a été autorisée en 1998 pour 10 ans. Monsanto a demandé le renouvellement de ce permis en 2007, mais le processus d'autorisation est gelé en raison de l'hostilité de plusieurs Etats.
Huit pays --France, Allemagne, Luxembourg, Autriche, Hongrie, Grèce, Bulgarie et Pologne-- ont même adopté des clauses de sauvegarde pour interdire sur leurs territoires la culture des OGM autorisés.
La demande du gouvernement italien vient donc renforcer le bloc des pays hostiles à la culture du MON 810.
Le courrier adressé à la Commission européenne par le ministre italien de la Santé, Renato Balduzzi, demande de suspendre l'autorisation de mise en culture des semences de maïs MON 810 dans tous les pays de l'UE en raison des risques pour l'environnement. La requête est appuyée par un dossier.
L'autorisation de culture a été accordée sur la base d'un avis de l'Autorité européenne pour la sécurité des aliments (EFSA) fondé sur une étude de risques pour la santé humaine et animale. Mais les risques pour l'environnement n'ont pas été étudiés.
Le MON 810 était cultivé fin 2011 sur 115.000 hectares dans six pays: Espagne, Portugal, République tchèque, Pologne, Slovaquie et Roumanie. La Pologne a depuis mis fin à ces cultures.
Le processus d'évaluation pour les demandes d'autorisation de culture et de commercialisation d'OGM se déroule en quatre temps: consultation de l'EFSA sur les risques pour la santé, demande d'autorisation aux Etats sur la base d'un avis favorable de l'EFSA, procédure d'appel si aucune majorité qualifiée ne se dégage entre les Etats. Enfin, si cette situation perdure, la décision finale revient à la Commission européenne.
A ce jour, l'EFSA n'a jamais rendu un avis négatif et aucune majorité qualifiée n'a jamais été trouvée entre les Etats pour interdire ou autoriser un OGM.
Selon les règles en vigueur, le MON 810 pourra continuer à être cultivé dans les Etats qui le souhaitent jusqu'à ce que l'UE prenne une décision.
vvvv
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire