(blog à finir et à corriger)
Dites-moi, mes quatre chers lecteurs, pourquoi, ils se généraient puisque leur Europe n'a pas été construite pour nous malgré ce qu'ils ont tenté de nous faire accroire.
C'est vrai, quoi, pourquoi demander l'avis des simples citoyens européens puisque de toute façon, on va leur sortir un baratin pour qu'ils s'imaginent que la réglementation est mise en place pour leur bien être.
Allons-y, puisque le lobby pharmaceutique nous suggère de le faire pour engranger des bénéfices. Il suffit de dire à ces abrutis d'européens que c'est pour leur santé.
Un jour, peut-être, les laboratoires pharmaceutiques inventeront un vaccin contre la connerie. Et, ils nous diront que c'est bon pour la santé.
En fait, la seule question que je me pose, c'est, quels sont les avantages en argent, voyages touristiques ou autres qui ont été généreusement accordé aux abrutis d'experts européens qui ont pondu cette directive.
C'est bien la raison pour laquelle, je dis, élus, experts, technocrates européens, "TOUS POURRIS !"
A quand, une équipe d'incorruptibles pour nettoyer les écuries d'Auchias.
(source : Initiative citoyenne, Dimanche 15 janvier 2012 )
"La Commission Européenne propose l'expérimentation humaine sans consentement!
Une pétition publiée début novembre dernier par le Comité pour la Médecine préventive et le soin des patients, appelle les citoyens à stopper les propositions de la Commission Européenne destinées à permettre, dans des situations d'urgences, l'expérimentation humaine sans consentement.
La Commission Européenne a en effet, selon ce texte comme projet, de modifier la Directive 2001/20/EC sur les bonnes pratiques cliniques et donc d'abolir le droit des patients de décider des produits qu'on peut leur administrer en cas d'urgence (par exemple en cas d'attaques ou d'autres accidents graves).
Il s'agit donc d'une pétition fondamentalement logique et dont les signatures seront envoyées au Parlement européen, au premier semestre 2012, lorsque ces propositions seront débattues.
Mais prenons surtout bien conscience qu'une telle proposition pourrait tout à fait être élargie à la vaccination au cours d'un "état d'urgence décrété", ce qui est tout à fait cohérent avec les récentes informations de l'AFP selon lesquelles le Commissaire européen à la Santé John Dalli a récemment formulé des propositions suite à la crise du H1N1 dont celle de "permettre à la Commission Européenne de déclarer une situation d'urgence sanitaire au niveau européen."
De là, on voit qu'une étape de plus est en passe d'être franchie puisqu'après les propos-chocs de Mme Testori (DG Santé & Consommateurs, CE.) du 5 octobre 2010 qui appelait à une vaccination humaine à la façon d'un troupeau de bétail, on voit qu'on est ici ni plus ni moins en train de préparer le terrain pour le recours forcé à des produits expérimentaux dont les vaccins pandémiques font bien sûr partie comme en témoigne d'ailleurs le contenu des contrats que les fabricants ont conclu avec les Etats."
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