Salut aux derniers pygmées de race noire des des îles Andaman en Inde. Vous êtes une espèce en voie de disparition de la faute et avec la complicité du gouvernement indien.
Bon, mes quatre chers lecteurs, hier une flemme mélodramatique m'a saisi dès potron minet me faisant ignorer superbement l'ordinateur. Tout ça pour dire, que venant des îles du Pacifique, il soit normal que parfois, je sois fiu comme disent les tahitiens.
De toute façon, contempler toute cette agitation, de sarko qui pond des discours en surveillant la courbe des sondages, à la Grèce menacée d'action en justice par les spéculateurs internationaux en particulier certains Heds Funds, me laisse, je l'avoue, pantois.
Ce sarko, quand même, qui drague l'électorat d'origine arménienne turque et qui pond une loi criminalisant la négation du génocide, qui envoie ses ministre tonner dans les entreprises sinistrés que "Ils se battront avec les salariés jusqu'au bout", tout cela parce que le bout pour eux approche avec les élections législatives.
Que notre sarko national avance "l'évacuation" des troupes combattantes en Afghanistan d'un an, tout en y laissant les troupes d'encadrement,de formation, donc, cibles potentielles, euh, c'est trop fort d'intelligence.
Et, tout cela parce que nous sommes à trois mois de l'élection présidentielle et qu'il ne sait pas quoi faire pour remonter la pente des sondages.
Parce que même, si, je me méfie des modes sondagières dont a beaucoup usé et abusé notre président national, lorsque tous vous situe dans une fourchette perdante. Là, on peut dire qu'il ne passera même pas le premier tour.
Lui même dit qu'il ne fera plus de politique, si, il n'est pas réélu.
Evidemment qu'il ne fera plus de politique puisque c'est la prison qui l'attend.
Et, je dis cela sans méchanceté.
Simplement, il doit payer, si, il est reconnu coupable pour les affaires connues et celles que ses petits camarades révéleront pour être sûr de ne plus jamais l'avoir dans les pattes.
Tout cela me laisse narquois, cette manière de s'accrocher, de s'imposer, alors qu'il est clair que pour sauver les meubles l'Ump devrait choisir un autre candidat, comme Juppé, notre ministre des affaires étrangères par exemple.
Alors, je leur dis, "dernière chance", après, lui, le déluge.
Pour moi, il est clair que au deuxième tour se confronteront les deux françois. Ca me rappelle la guerre des deux roses en Angleterre, en moins sanglant et en plus marrant.
En tout cas, dans ce cas de figure, Bayrou sort gagnant.
Parce que, notre pauvre président ne peut même plus se présenter comme le libérateur de la Libye. Ce sont les libyens eux mêmes qui lui ont refusé l'argument en s'enfonçant dans une guerre civile larvée et se proclamant de la charia.
Sans compter que les droits de l'homme, apparemment, ils n'en ont rien à "battre".
(source : Agoravox)
"BHL, la Libye et le CNT : la stratégie de l’aveuglement ou la politique de l’autruche.
Le régime actuellement en place en Libye - pouvoir aux mains du Conseil National de Transition - ne vaut apparemment guère mieux, en matière de respect des droits de l’homme, que celui que présidait l’ancien dictateur, feu le colonel Kadhafi. C’est là, en tout cas, ce que donnent légitimement à penser ces jours-ci, dans leurs diverses et très justes dénonciations, deux des organisations humanitaires les plus estimables de par le monde civilisé : Amnesty International et Médecins sans Frontières, qui vient par ailleurs de se retirer, en guise de protestation, de la ville martyre de Misrata, où les pires exactions, tortures d’une rare violence et exécutions sommaires, sont infligées quotidiennement, dans les prisons gardées aujourd’hui par d’obscurs groupuscules armés, aux anciens kadhafistes, au nombre desquels l’on compte surtout - signe d’un racisme de très mauvais augure pour l’avenir prétendument démocratique de ce pays - les populations noires subsahariennes (...)."
Quant-à utiliser l'argument de la Côte d'Ivoire, malheureusement, ce sont les français qui n'en ont rien à battre.
Mais, alors de quoi, peut-il parler ?
De sa fameuse "règle d'or" ?
Bof, avec Merkel, ils nous ont concocté un plan draconien de contrôle budgétaire qui risque simplement de mettre le feu au poudre en Europe.
Alors, sarko serait-il un agent de l'international révolutionnaire trotskyste chargé de créer des situations pré-révolutionnaires en Europe en vue du grand soir ?
Parce qu'entre-nous, la question peut se poser, vu les conneries accumulées et qui conduisent à la ruine des peuples.
Mais, passons.
Parce que ailleurs, il y a un pays qui croie à son avenir et qui ne considère pas la recherche comme l'enfant pauvre de la famille et qui s'en donne les moyens.
Le genre de truc que l'on ne verrait pas en France où le gouvernement s'évertue d'annihiler la recherche française, sans doute pour que les chercheurs émigrent aux Etats-Unis, et, bientôt en Chine.
(source : brasil.fr)
"dimanche 18 décembre 2011
100 000 bourses pour former des scientifiques à l'étranger seront attribuées
Brasilia — Le Brésil, un pays en pleine expansion économique, mais avec un gros déficit de main-d'œuvre qualifiée, a lancé hier son plus grand plan de bourses pour que des Brésiliens étudient dans les meilleures universités du monde en sciences et technologies.
D'ici à 2015, le gouvernement brésilien va octroyer quelque 75 000 bourses dans des universités en Chine, aux États-Unis, en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne et au Japon notamment, a annoncé la présidente Dilma Rousseff.
Les entreprises privées contribueront pour leur part à hauteur de 26 000 bourses — soit 101 000 bourses au total en quatre ans — pour le développement du plan «Science sans frontières», l'un des programmes phare du gouvernement."
Ben, dit donc, mon cochon, même les entreprises mettent la main à la poche. En France, les entreprises cotées sont tellement occupées à réduire les coûts de production pour distribuer plus de dividendes à leur actionnaire qu'elles ont oublient de s'occuper de développer leur activité. En sachant que cette masse d'argent distribuée ne servira pas à l'investissement. Evidemment, qu'après, les entreprises se font dépasser par les entreprises des pays émergents qui, elles, investissent dans l'avenir.
Ah, là, là, pauvre France avec un syndicat patronal qui prend l'état pour une vache à lait. Qui accuse la masse salariale alors qu'il vit sur des acquis bientôt obsolètes.
Si, l'on écoute ce syndicat, il faudrait pensionner les patrons pour qu'ils exploitent les salariés et se contentent d'un train train qui n'interroge pas leur compétence.
Parce qu'entre nous, si, la France connaît une croissance nulle, sinon négative, ce n'est pas de la faute des salariés, mais, plutôt d'un patronat à la ramasse.
C'est facile d'accuser les salariés lorsque l'on est incapable de relancer l'activité de son entreprise.
En réalité, ce ne sont pas les coûts salariaux qui sont en jeux, parce que les patrons des entreprises cotées en bourse ne se privent pas pour leur émolument, ce sont les patrons qui sont des gros nuls.
Et, cela, il faut le dire.
Comme, cette maxime, "Ce n'est pas parce que l'on est énarque que l'on n'est pas un gros con".
Enfin, vous voyez le genre mes quatre chers lecteurs.
Et, sur ces bonnes paroles bien mièvres, je vais vous quitter.
A bientôt.
René.
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