(blog à finir)
Eh, bien, mes chers trois lecteurs, aujourd'hui, je me retrouve avec six poules pondeuses dont une pond.
Non pas, que je veuille avoir une basse cour de poules, mais, lorsque je les ai vu enfermé dans une cage étroite en sur-nombre, mon coeur s'est ouvert comme une fleur de nénuphar, j'ai versé deux larmes et je les ai acheté pour qu'elles connaissent la liberté d'aller librement à leur guise dans mon jardin.
Voilà, sauf que le magasin où je les ai acheté, il renouvelle son stock tous les quinze jours et malheureusement, mon coeur n'est pas assez grand pour accueillir tout le malheur du monde comme disait notre ancien premier ministre, Michel Rocard.
Car, quoiqu'en en dise, l'immigration est ressentie par nombre de français, non pas comme une immigration choisie, mais, comme une invasion. Donc, une immigration subie.
Et, comme la mondialisation, choisie et cadrée par les places financières et les multinationales va jeter de plus en plus de peuples dans la misère et le désespoir, nos frontières risquent d'être assaillies.
Quoi, de plus normal en fait que de pauvres gens tentent de venir chez nous puisque nous faisons parti des pays qui détruisent leurs tissus économiques et leur environnement.
Lorsque les hollandais viennent cultiver des fleurs au Kenya, ils utilisent des produits chimiques qui détruisent l'environnement et polluent les nappes phréatiques, les cours d'eau et les lacs.
Sans compter que les salaires qu'ils accordent sont des salaires de misères pour un temps de travail véritablement épuisant;
N'oublions pas, qu'en plus, les produits chimiques qu'ils utilisent dans ce pays sont interdit chez eux.
Alors, le citoyen français a le droit de se demander jusqu'à quand l'industrie continuera à se conduire en prédateur. Parce que désormais, l'industrie va nous faire la même que dans les pays pauvres.
Et, qui nous protégera, vu que dans les pays pauvres les politiques se font le bras armés des lobbies industriels ? En France, ils vont nous faire la même, soyez en sûrs, mes trois chers lecteurs.
La connivence entre le politique et le monde des affaires et des industries marque la fin des régimes démocratiques. En réalité, le simple citoyen n'a plus voix au chapitre à partir du moment où les canaux d'informations sont devenus la propriété d'un de ces trois partenaires.
Il nous impose de fait, un mode de pensée tout à la gloire de la rentabilité pour les actionnaires du monde productif.
Bon, en fait, je voulais parler de l'influence du confucianisme sur la morale politique, mais, je suis fatigué.
Peut-être, demain.
RenéN
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