vendredi 1 avril 2011

Salut aux intérimaires japonais qui travaillent dans la centrale et qui gagnent entre 753 et 1200 eurosN N'avez-vous pas l'impression que l'on vous prend pour des cons en vous sacrifiant ?

Bon, mes trois chers lecteurs, il semblerait que les militaires ralliés à la rébellion se décident à prendre les choses en main pour éviter que les amateurs se fassent dégommer comme des quilles.
Maintenant, kadhafi peut se faire du mouron. Mais, ce ne suffira pas pour l'instant à le faire disparaître du paysage libyen.
Manifestement, il y a des villes qui le soutiennent et tout le peuple libyen ne le rejette pas.
En attendant, l'histoire de l'unique route que l'on prend en des aller-retour incessants, cela commençait à ressembler à un dessin animée des merrie melodies américaine.
Il était temps que cela change.
Par contre, en Côte d'Ivoire, l'armée qui devait soutenir Laurent Gbagbo et qui n'avait pas été payé ce mois-ci a déposé les armes. Il faut dire que les forces nouvelles de Ouattara avait une stratégie et que Gbagbo n'avait que la stratégie de sa femme.
Les sanctions économiques ont fait leur effet et je dois reconnaître que les forces nouvelles ont entamé leur offensive au bon moment, tout en ayant l'intelligence de l'avoir préparée.
A mon avis, en face, soit, ils n'avaient pas la volonté, soit, ils ont laissé faire parce que plus de dix ans de guerre civile, sans doute, tout le monde en avait marre. Et, que finalement, ils ont l'esprit de la nation. Ce qui est rare en Afrique. Ou bien, le haut commandement était composé de gros nullards. Ce qui me semble plus approchant de la vérité.
Mais, décidément, certaines des femmes de dirigeants africains font partie des grandes mégères de l'histoire de l'humanité. Car, en ce qui concerne Gbagbo, c'est la femme qu'il faut pendre et non lui.
Mais, rappelons-nous que la France accueille toujours, la femme de l'ex-président rwandais, l'une des chantres du génocide tutsi sur la radio des milles collines.
Voilà et je pense que cela sera tout pour aujourd'hui.
A bientôt.
René.

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