Salut aux camarades du front de l'est. Dans le ciel apparaissent les stukas.
Alors, moi qui pensais que mon scénario de politique fiction allait donner lieu à réactions. Eh, bien, négatif, pas un commentaire.
La réflexion qui me vient, c'est qu'il est soit pertinent, soit trop nul pour donner lieu à réaction.
En tout cas sur le terrain, le Hamas refuse tout cessez le feu. Ne serait-ce pas comme je l'ai expliqué dans mon scénario qu'il a plus à gagner à laisser Israël s'enfoncer dans son intervention qu'à conclure une trêve pour épargner les populations ?
Par contre, sur le plan de paix égypto-français d'empêcher tout creusement de tunnel, je me pose cette question, "Et, comment vont survivre les palestiniens de Gaza avec le blocus israélien qui va perdurer ?"
Les tunnels servent aussi à nourir la population. Elle ne va pas quand même en totalité émarger à l'aide alimentaire onusienne ?
C'est à se demander pourquoi les Etats Unis n'accorde pas une aide conditionnelle à Israël ?
Par exemple, une aide militaire en échange de l'évacuation des colonies en Cisjordanie. C'est au début de son mandat qu'Obama peut le faire, certainement pas vers la fin.
Donc, je me pose des questions, et même si j'ai des sympathies pour le peuple palestinien, je n'en ai pas pour le Hamas. C'est bien pour cette raison que je ne participerai à aucune manifestation à Paris pro palestienne parce qu'avec toutes ces femmes arborant le foulard islamique, j'aurais l'impression de manifester pour le Hamas.
Sauf qu'en face du Hamas, il y a le Fatah corrompu jusqu'à la moëlle qui ne fait plus le poids auprès de la population palestienne et qui en plus ne la fait plus rêver.
En attendant, en France, le pouvoir réduit de plus en plus les contre pouvoirs étatiques. Sarko s'attaque au pouvoir des médias et au pouvoir des juges comme il dit. Et cela, pour qu'un jour, il n'y ait en France que son seul pouvoir....de nuissance.
Bon, pour aujourd'hui, je ne vais pas trop m'étendre, après tout c'est la fin de la semaine. Bonjour le repos régalien.
Surtout mes trois chers lecteurs ne faites pas de cauchemars en pensant à moi.
Bien le bonjour chez vous.
René.
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