Salut aux trois petits cochons, ils continuent à faire gagner du fric à la société Dysney.
Bon, félicitation à l'armée congolaise et à l'armée ruandaise qui enfin montent des opérations communes. A cette occasion, l'armée ruandaise a arrêté le colonel rebelle, Laurent Nkunda qui avait fait cessesion dans le nord congo (Kivu). Ses opérations contre l'armée congolaise avaient donné lieu à des massacres de population. Il faut dire que l'armée congolaise avait pris aussi sa part dans ces massacres de populations civiles.
Donc, une bonne nouvelle dans ce monde de salauds et de prévaricateurs.
Egalement pour l'Afrique, la junte au pouvoir en Guinée Konakry a convoqué tous les dirigeants de grandes entreprises publics pour leur demander des comptes sur leur gestion.
Alors, laissons les agir puisqu'à travers la parole de leur représentant élu, ils ont décidé de demander des comptes aux prévaricateurs et aux guinéens impliqués dans les traffics de drogue.
Par contre à quand un capitaine au Zimbabwe qui nous renverse le gouvernement, mettent les vieux généraux au rencard comme en Guinée et demande des comptes aux profiteurs.
Finalement, peut-être que tout n'est peut-être encore pourri sur la planète ?
Par contre, en écoutant différentes radios, j'entend en ce qui concerne la France, beaucoup d'intervenants parlent de régression des libertés publics et parlementaires.
Alors, si je ne suis pas le seul, c'est qu'il doit y avoir un fond de vérité, ne croyez-vous pas mes trois chers lecteurs ?
Bon, à part ça, une new des Nouvelles Calédoniennes de ce jour pour vous prouvez que le monde reste merveilleux.
"Papouasie-Nouvelle-Guinée : Une femme accusée de sorcellerie brûlée vive
Mardi dernier, une jeune femme de 20 ans a été traînée de force hors de chez elle, déshabillée, ligotée, bâillonnée, attachée à un poteau et brûlée vive à l’aide de pneus. Les habitants de son village, près de Mount Hagen, dans la région des Hauts-Plateaux, la soupçonnaient d’être une sorcière.
Le décès de cette jeune femme vient s’ajouter à une liste déjà longue. Celle des hommes et femmes accusés de magie noire, torturés, et tués par les membres de leur village. Ces victimes sont souvent des boucs émissaires. Lorsque des décès inexpliqués frappent les communautés, des groupes d’hommes se forment et châtient quelqu’un pour ses supposés pouvoirs magiques.
« On a beaucoup de difficultés sur un certain nombre d’incidents de ce genre », explique Simon Mauba, commissaire adjoint de la police nationale et commandant de la région des Highlands, où le bûcher a été dressé. Les gens ne veulent pas raconter les circonstances, ou ce qu’ils ont vu. On essaie de les convaincre de nous aider. Même les proches de la victime ne parlent pas. Mardi matin, quelqu’un a pourtant perdu sa mère, sa fille, sa sœur... « Ce sont les gens des environs qui ont découvert le bûcher. En voulant connaître la cause du feu, ils ont vu quelqu’un en train de brûler. C’était horrible. »
Et terriblement fréquent ! Selon le quotidien Post-Courrier, près de 50 personnes sont mortes pendant l’année 2008 dans deux provinces des Highlands après avoir été accusées de pratiquer la magie noire.
« Les villageois prétextent des actes de sorcellerie pour se débarrasser de certaines personnes », affirme le président de la commission des lois de Papouasie-Nouvelle-Guinée, Joe Mek Teine. « C'est le moyen le plus facile de tuer quelqu'un en utilisant la sorcellerie comme mobile », indique-t-il, expliquant qu'en vertu de la nouvelle législation, les tribunaux ruraux seraient plus sévères envers les meurtriers. La plupart des victimes, généralement des femmes et des personnes âgées, sont accusées d'avoir provoqué la mort par le recours à la magie noire.
« Des personnes ont été tuées parce qu’elles étaient accusées de “transmettre” le virus du sida »
Mais ces dernières années, c’est le virus du sida qui a provoqué un regain de ce type de rituel sanglant. Les Nations unies ont fait part de leur inquiétude alors que l’épidémie se propage et que le pays compte près de 90 % des séropositifs de la zone Pacifique.
Et, dans les villages les plus isolés, les gens accusent les sorcières, et non le virus, lorsqu’une victime de l’épidémie succombe. Le taux de prévalence du VIH en Papouasie Nouvelle-Guinée, déjà estimé à un peu plus de 2 % (soit le taux le plus élevé de toute la région Asie-Pacifique), devrait passer à 5 % au cours des quatre prochaines années. Après les centres urbains, ce sont les régions rurales, où vit 85 % de la population, qui sont atteintes. « Nous avons un certain nombre de cas où les personnes ont été tuées parce qu’elles étaient accusées de “transmettre” le virus », ajoute le commissaire Mauba.
Les raisons qui ont conduit la jeune fille au bûcher ne sont toujours pas connues. La police a prévenu qu’elle se concentrait sur l’arrestation des meurtriers, pas sur les spéculations à l’origine du drame.
Jérôme Gavelle"
Dites-moi, ça ne vous rappellerait-il pas l'Afrique où ils tuent les albinos au Malawi, Tanzanie pour ingérer leurs entrailles qui ont des pouvoirs magiques ?
Alors, réfléchissez mes trois chers lecteurs, ce monde est-il merveilleux ou en avons-nous fait un cauchemar ?
Sur ce, bien le bonjour chez vous.
René.
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