Salut aux révoltés du système Sarkozy, nous ne sommes pas les révoltés du Bounty.
Eh, oui, mes trois chers lecteurs, jeudi prochain va se dérouler en France une manifestation unitaire de tous les syndicats et j'en serais. Qu'en se le dise parmi les manifestants, il y aura le rédacteur de la lettre de la tribu. Tremble pouvoir !
C'est vrai, quoi, y'en a marre !
Le gouvernement distribue l'argent du peuple aux riches au lieu de relancer la consommation, de sauver la sécurité sociale, de remettre l'enseignement droit dans ses bottes et l'hopital à la hauteur de sa mission de service public.
Alors, c'est vrai, y'en a marre. Surtout, si les banques ne jouent pas le jeu, que les entreprises continuent à licencier et à délocaliser et que le gouvernement joue à la régression des libertés public et neutralisent les contrepouvoirs.
On va où là ?
En tout cas, on va vers un régime présidentiel autoritaire pire que celui des Etats-Unis.
A se demander pourquoi le notre de président fait du copié collé sur le système politique américain à un moment où celui ci se remet en question ?
Est-ce qu'il serait autiste ?
A ne vouloir ne rien entendre et à s'écouter parler, le cas, docteur me semble limpide, il est autiste !
Donc, s'il ne nous reste plus que la manisfestation pour déclamer nos désaccords, alors, mes trois chers lecteurs allons manifester.
C'est vrai quoi, y'en a marre !
Mais, en attendant, les anglais irradiés par les essais nucléaires réclament des indemnités. A quand les indemnités pour les populations du pacifique français, les touaregs au Sahara et les habitants de Tchernobyl ?
Articles des Nouvelles Calédoniennes de ce jour :
"Les irradiés du Pacifique veulent être indemnisés
Près d’un millier d’anciens combattants de l’armée britannique ont réclamé, mercredi à Londres, des indemnisations pour des problèmes de santé qu’ils estiment liés aux essais nucléaires perpétrés, dans les années 1950, en Australie et dans le Pacifique Sud.
Lors du premier jour des audiences d’un procès intenté par plus de 900 anciens combattants de Grande-Bretagne, d’Australie, de Nouvelle-Zélande et des îles Fidji, les juges de la Haute cour de Londres ont pu entendre que des vétérans des essais nucléaires du Pacifique ont été délibérément utilisés comme des « cobayes humains » par le gouvernement britannique.
Ces vétérans du nucléaire affirment que les autorités britanniques ont empoisonné des centaines de militaires pour étudier les effets des retombées radioactives sur le personnel militaire à l’occasion des expérimentations conduites en Australie et dans le Pacifique Sud entre 1952 et 1958.
Cela fait maintenant des années que ces vétérans tentent de prouver le lien entre l’exposition aux radiations nucléaires, et les maladies dont ils souffrent, notamment des cancers de la thyroïde, du sang, ou des problèmes de fertilité. La Haute cour a pour mission de déterminer si, cinquante ans après les faits, les vétérans du nucléaire ont toujours le droit de réclamer des compensations.
« Non seulement le gouvernement n’a pas proposé d’indemnisation, mais il combat toutes les plaintes avec la plus grande détermination »
La Haute cour doit entendre pendant trois semaines les arguments des anciens combattants d’un côté, et du ministère britannique de la Défense de l’autre, avant de décider d’un éventuel procès. Un ministère qui estime pour sa part que ces plaintes sont trop tardives. L’avocat de l’Association des vétérans des essais nucléaires britanniques, Benjamin Browne, s’est appuyé sur un rapport scientifique qui établirait le lien entre exposition aux radiations et cancer, au cours de ses remarques préliminaires, mercredi dernier, devant une salle d’audience comble.
« Les vétérans affirment que les indemnisations sont justifiées », a-t-il expliqué devant le juge David Foskett. « Cependant, non seulement le gouvernement n’a pas proposé d’indemnisation, mais il combat toutes les plaintes avec la plus grande détermination », a-t-il poursuivi.
Un porte-parole du ministère de la Défense a affirmé que « le gouvernement britannique reconnaissait la
contribution vitale apportée par les militaires au cours des essais nucléaires dans les années 1950. » Mais, le ministère examinera ces plaintes « en fonction de sa responsabilité légale, ou non, de verser des indemnisations », a-t-il ajouté. Les anciens-combattants néo-zélandais, selon le quotidien New Zealand Herald, estiment que cet aveu est symbolique et qu’il ne satisfait en rien les demandes de compensation des marins et du personnel qui ont participé aux expérimentations nucléaires.
Le Sunday Mirror anglais a rapporté le week-end dernier que des documents juridiques montrent que le ministère britannique de la défense a reconnu que les essais nucléaires sont à l’origine de la mort de certains militaires. Mais le ministère estime que sur les 20000 personnes qui ont participé aux expérimentations, 159 hommes seulement ont été exposés à la radioactivité.
Jérôme Gavelle"
Eh, oui, mes chers trois lecteurs dans le pacifique français, il a été demandé simplement aux populations de rester chez elles le temps de l'explosion. Après, on les a laissé manger leurs productions irradiés et le fruit de la pêche.
N'est-ce pas la définition d'un crime contre l'humanité ?
Tiens, en parlant de crime contre l'humanité, les israéliens ont promis de protéger leurs soldats coupables d'avoir commis des crimes contre l'humanité.
Et, leur ministre des affaires étrangères est venue en France pour nous faire accroire qu'Israël défendait la démocratie.
On peut se demander alors pourquoi Barack Obama supprime la geôle de Guantanamo si ses pratiques s'inscrivent dans la démocratie ?
Par contre, à Gaza, le Hamas continue de tout contrôler et l'on peut se demander si la majorité de ses combattants ne s'est pas planqué pour pouvoir reprendre le contrôle de la rue après l'intervention israélienne.
Et, en ce qui concerne les tunnels, Tsahal n'aurait avec ses bombardements détruit que 150 tunnels sur 1200 recensés. Bref, dans cette histoire, seuls les civils ont payé le prix du sang.
Gageons que les militants palestiniens respecteront la trêve le temps de renouveler leurs arsenal.
Donc, la question : Plus de mille civils tués....Pourquoi ?
Ben, voilà, serait-ce tout pour aujourd'hui ? Ah, non !
Il faut que je finisse en envoyant une grande félicitation au pouvoir dictatorial ouzbek qui ressemble à celui de Birmanie. Mais, son président fait pire puisqu'il prépare sa succession en chauffant sa place pour sa fille.
Vous me direz qu'en Azerbaïdjan, ancienne république soviétique aussi, c'est le fils qui a remplacé le père.
Finalement, il n'y a pas de petit profit.
Et, moi, qui va me remplacer comme rédacteur de la lettre de la tribu quand j'aurais passé l'arme à gauche ?
Moi, je vous le dis....personne !
C'est à pleurer, n'est-il pas ?
C'est vrai qu'il n'y a pas de fric à la clé et même pas de bonus ou de parachute doré.
Bon, tant pis. Alors, dépité, je vous laisse à vos amours nouvelles ou anciennes et je vous dis, bien le bonjour chez vous et n'oubliez pas,"No Passaran !" Traduction, "Il ne passera pas !" Vous voyez de qui je cause ?
A bientôt.
René.
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