(Alors eux à l'Onu, il y a de quoi rigoler, un organisme supra-national dont l'administration est contrôlée par les fonctionnaires occidentaux qui y imposent leur quatre volontés et traduisent dans les textes législatifs les désidératas de ceux qui les agitent comme des marionnettes. note de rené)
Les Nations unies préparent un « code de conduite » pour les plateformes en ligne afin de lutter contre la « désinformation »
D’autres demandes de censure sont prévues pour l’année prochaine.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a pris la parole au siège des Nations unies pour parler de ce qu’il pense être la spirale de la « désinformation » en ligne.
La proposition : M. Guterres a qualifié la situation de la désinformation de « grave » et a lancé l’idée d’élaborer un code international.
L’intrigue : Le plan de match de Guterres ? Une alliance tripartite – associant les gouvernements, les géants de la technologie et la société civile – visant à freiner la propagation galopante de fausses informations, en particulier sur les médias sociaux. Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ?
Ce qu’il a dit : « La prolifération de la haine et des mensonges dans l’espace numérique cause aujourd’hui de graves dommages à l’échelle mondiale », a déclaré M. Guterres lors de la conférence de presse qui s’est tenue lundi. « Elle alimente les conflits, la mort et la destruction. Elle menace aujourd’hui la démocratie et les droits de l’homme. »
Les défenseurs de la liberté d’expression froncent les sourcils : Les partisans de la liberté d’expression devraient être en état d’alerte. Toutes ces discussions sur les excès de la réglementation pourraient réduire au silence les véritables dissidents et les voix critiques, comme cela s’est déjà produit au cours des dernières années. Les juristes et les organisations de défense des libertés civiles demandent instamment que le code proposé examine méticuleusement les conséquences sur la liberté d’expression et qu’il cherche à établir une approche nuancée. Les vrais devraient demander sa suppression pure et simple.
La prudence est de mise : António Guterres n’avait pas d’œillères. Il a placé les dangers présumés de la désinformation au centre de son argumentation – pensez au COVID-19 (qui pourrait l’oublier) – mais il a rapidement exigé un code international transparent.
Derrière le rideau : Les détails du code ? C’est encore un secret, mais M. Guterres a déclaré qu’un « Code de conduite des Nations unies » pour les plateformes numériques devrait voir le jour l’année prochaine.
Le consensus général est qu’il s’agira probablement d’une approche globale – pensez à des programmes d’éducation aux médias, à de nouvelles règles de base pour les plateformes de médias sociaux et à une pincée de vérification des faits – le même type de choses qui ont affecté l’internet au cours des dernières années.
Lire aussi : Le grand canular de la « désinformation »
Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche
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