mercredi 30 novembre 2022

 (La grande peste noire du 14ème siècle a commencé comme cela en europe, la multiplication des rats. note de rené)


Des rats partout ! A Center Park, à Paris, dans les métros pourquoi ?

La ville de Paris vit un véritable naufrage sanitaire, et ce n’est que le début.

Que le début, car l’idiologie verte, celle du recyclage, et du « compost » avec les déchets biologiques c’est très mignon, c’est très sympathique, mais cela ne peut générer que des réservoirs de nourriture pour nos amis les rats et autres rongeurs.

N’imaginez pas que je tienne là un discours anti-écolo.

La cohabitation de l’homme, de ses déchets et des rats est une donnée historique que l’on oublie un peu trop dans les ministères et autre association de sauvegarde du climat.

Dans mon petit coin de Normandie, les poutres et les entre-colombages des maisons ne servaient pas à rien. On y pendait les bébés qui étaient emmaillotés pour éviter qu’ils ne se fassent manger et blesser par les rats la nuit venue.

Des rats des villes aux rats des champs nous avons toujours vécu avec les rongeurs et dans un état de crasse assez épouvantable.

L’hygiène, l’eau courante, et la gestion des déchets, tout cela a moins d’un siècle.

Nous prenons tout cela pour acquis, et pourtant, pourtant, les rats font leur grand retour.

Dans ce reportage de CNews le journaliste ahuri se demande comment un rat est rentré dans le manteau de la dame. Simple. Il suffit de poser le manteau à côté de soi dans le métro et un rat aura vite fait de s’y mettre ou de rentrer dans votre sac pour attraper son repas du soir même si cela devait être le vôtre.

Il y a quelques jours c’était les rats à Center Park…qui défrayaient la chronique des bonnes âmes du « village nature », en bois écolo-bobo avec compost biodégradable dans des « cottages VIP » à 1 000 euros la semaine ou le week-end et infestés de rats !

Et oui, l’écologie c’est aussi les rats.

L’absence de pesticides les moustiques.

L’écologie telle que nous la concevons nous entraîne vers un effondrement sanitaire, économique, énergétique.

Un autre chemin est évidemment possible et il n’y a aucune fatalité.

Charles SANNAT

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