(Pour ces gens-là, nous ne sommes qu'un prétexte à leur enrichissement. Ils ont tous leurs mains dans nos poches pour nous piquer du pognon, voilà à quoi se résume désormais le modèle occidental. note de rené)
LE DR BOURLA ET SON VACCIN PFIZER ENFIN SUR LE GRILL PAR LES ANGLAIS: Comment ce PDG a-t-il pu faire autant de déclarations mensongères concernant son vaccin ? Influencer les populations à se faire vacciner et notamment les tous petits, est absolument INACCEPTABLE !
Vous pourriez penser qu’une réprimande officielle du PDG de Pfizer pour avoir induit le public en erreur sur les avantages de son vaccin COVID serait une grande nouvelle, surtout compte tenu de la pression exercée par les absolutistes du vaccin pour obliger les gens à tous se faire vacciner.
Il y a 6 mois, le Dr Bourla est apparu avec Klaus Schwab au World Economic Forum.
Mais même avec une recherche sur Google, je n’ai pas encore vu de couverture médiatique américaine qui se permettait la moindre réprimande adressée au PDG de Pfizer, le Dr Albert Bourla, par un panel convoqué par la Prescription Medicines Code of Practice Authority (PMCPA) du Royaume-Uni. La critique faisait suite à des remarques qu’il avait faites dans une interview de décembre 2021 avec la BBC. Le récit suivant est tiré d’un article du Melbourne, « Australia Herald-Sun » de Frank Chung.
Début décembre 2021, le Dr Bourla a utilisé une interview avec la « BBC Breakfast » pour affirmer que le virus « prospérait » dans les écoles et « il ne fait aucun doute dans mon esprit que les avantages, et j’en suis certain, sont favorables pour que les » enfants de cinq ans se fassent tous vacciner.
« Cela perturbe, de manière significative, le système éducatif, et il y a des enfants qui auront des symptômes graves », a-t-il déclaré.
En mars 2022, certaines données montraient que l’efficacité du vaccin pour enfants avait chuté de seulement 12 % quelques semaines après l’inoculation.
Le Dr Bourla a déclaré dans l’interview de la « BBC » que le principal avantage de la vaccination des enfants était « la protection indirecte des adultes ».
« La mesure dans laquelle nous pouvons faire cela et protéger les adultes en évitant qu’ils ne soient infectés par des enfants avec les vaccins actuels est encore assez incertaine », a-t-il déclaré.
« Donc, c’est l’équilibre – nous voulons clairement protéger les enfants autant que possible et nous avons maintenant de bonnes preuves que ce vaccin, même à faible dose, produit une très bonne réponse immunitaire protectrice chez les enfants et produit beaucoup moins d’effets secondaires à cause de la dose plus faible.
La vantardise du PDG de « bonnes preuves » et sa promotion d’un coup qui s’est avéré n’avoir qu’une efficacité de 12 %, ont suscité une plainte presque immédiate :
Peu de temps après la publication de l’interview, le groupe de pression des parents « UsForThem » a déposé une plainte officielle auprès de la Prescription Medicines Code of Practice Authority (PMCPA).
La plainte alléguait que les remarques du Dr Bourla étaient « honteusement trompeuses » et « de nature extrêmement promotionnelle », violant plusieurs clauses du code de pratique de l’Association de l’industrie pharmaceutique britannique (ABPI), a rapporté « The Telegraph ».
Il n’y a tout simplement aucune preuve que les écoliers en bonne santé au Royaume-Uni courent un risque important face au virus du SRAS COV-2 et laisser entendre qu’ils le sont est honteusement trompeur », a déclaré la plainte.
Un panel sur le code de pratique convoqué par le PMCPA a conclu que Pfizer avait enfreint le code de différentes manières, notamment en induisant le public en erreur, en faisant des allégations non fondées et en ne présentant pas les informations de manière factuelle et équilibrée, selon « The Telegraph ».
Pfizer a fait appel des conclusions, arguant que les remarques du Dr Bourla étaient fondées sur des « preuves scientifiques à jour » et pouvaient être étayées par les « évaluations indépendantes des avantages et des risques accessibles au public ».
Un comité d’appel s’est réuni en novembre, où les manquements liés à la tromperie du public, aux allégations non fondées et au manque d’équilibre ont été confirmés.
Les conclusions les plus graves, notamment que Pfizer avait jeté le discrédit sur l’industrie, avait encouragé l’utilisation irrationnelle d’un médicament et n’avait pas réussi à maintenir des normes élevées, ont été annulées.
Le rapport de cas complet sera publié dans les prochaines semaines.
Pfizer est l’un des plus grands annonceurs de télévision aux États-Unis. C’est pourquoi je ne m’attends pas à ce que cette forte réprimande de son PDG reçoive beaucoup de publicité ici.
Source: zerohedge
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