(Erreur humaine, mon oeil ! Des injectés ont aimanté des métaux à l'endroit où ils avaient reçu la piqure. Sauf que les japonais ne l'acceptent pas. note de rené)
Une « erreur humaine » est à l’origine de la contamination des vaccins Moderna au Japon
Le distributeur japonais de Moderna, Takeda, a déclaré vendredi qu’une « erreur humaine » avait provoqué la contamination de lots de doses de vaccins Covid-19 par des particules métalliques qui « réagissent aux aimants », entraînant la suspension de 1,63 million de flacons.
Au moins deux personnes sont décédées quelques jours après avoir reçu des vaccins provenant de lots contaminés, mais on ne sait pas si les contaminants ont causé les décès, car ils correspondent au profil de la myocardite induite par le vaccin.
Selon l’agence Reuters, Takeda, qui importe et distribue le vaccin au Japon, a déclaré dans un nouveau rapport que l’usine espagnole où le vaccin est fabriqué a découvert des contaminants dans certains flacons, ce qui, selon elle, est dû à un assemblage incorrect dû à une « erreur d’appréciation visuelle de l’espace requis de 1 mm » entre les couvercles des flacons concernés et les machines utilisées pour les insérer.
Cinq lots au total étaient concernés par le problème, dont trois ont été expédiés au Japon après avoir été inspectés avant d’être rappelés. Les deux derniers lots ont été retenus par le fabricant espagnol, Rovi, après avoir échoué à l’inspection le 2 juillet.
Au total, cinq lots séquentiels du vaccin Moderna COVID-19 fabriqués par Rovi entre le 27 juin et le 3 juillet ont été examinés. Les trois premiers ont été expédiés au Japon, puis rappelés après la découverte de particules, déterminées ultérieurement comme étant de l’acier inoxydable, à l’intérieur de 39 flacons.
Mais un quatrième lot a échoué à l’inspection après la découverte de particules le 2 juillet, et un cinquième lot a également été retenu par Rovi. Les problèmes concernant les lots 4 et 5 ont été signalés à Moderna, Takeda et au ministère japonais de la santé, mais les trois premiers lots ont été autorisés à être utilisés parce qu’ils « avaient passé l’inspection et n’étaient pas considérés comme affectés ». – Reuters
Le rapport indique que le processus de fabrication fera appel à un nouvel outil de précision pour éviter que le problème ne se reproduise.
Source : Zero Hedge – Traduit par Anguille sous roche
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