(Le crime devient trop lourd pour les consciences encore indemnes. note de rené)
Un témoignage écrit exceptionnel, inédit, est porté à notre connaissance. C'est une nouvelle alerte qui vient confirmer davantage le bien-fondé des analyses proposées, depuis des mois, par le CTIAP (centre territorial d'information indépendante et d'avis pharmaceutiques) du centre hospitalier de Cholet.
Ce témoignage considère que l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) n'aurait pas respecté la méthode qu'elle avait, elle-même, fixée dans le cadre de l'analyse des effets indésirables présumés liés aux vaccins contre la Covid-19.
Pour cette raison, l'auteur de ce témoignage, qui se présente comme étant un « membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l'ANSM » aurait « démissionné en juin ».
Le CTIAP publie, ci-dessous, un extrait de ce témoignage afin de lancer une nouvelle alerte :L'analyse révélée par ce témoignage exclusif vient confirmer celles proposées dans les articles du CTIAP ; et en particulier celui qui a été publié, le 20 janvier 2021, sous le titre : « Décès après la vaccination contre la Covid-19 : la « preuve diabolique » (exigée des familles des personnes décédées) ». Dans cette réflexion, on peut lire notamment ceci :
Ce témoignage considère que l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) n'aurait pas respecté la méthode qu'elle avait, elle-même, fixée dans le cadre de l'analyse des effets indésirables présumés liés aux vaccins contre la Covid-19.
Pour cette raison, l'auteur de ce témoignage, qui se présente comme étant un « membre du Comité Scientifique Permanent Pharmacovigilance de l'ANSM » aurait « démissionné en juin ».
Le CTIAP publie, ci-dessous, un extrait de ce témoignage afin de lancer une nouvelle alerte :L'analyse révélée par ce témoignage exclusif vient confirmer celles proposées dans les articles du CTIAP ; et en particulier celui qui a été publié, le 20 janvier 2021, sous le titre : « Décès après la vaccination contre la Covid-19 : la « preuve diabolique » (exigée des familles des personnes décédées) ». Dans cette réflexion, on peut lire notamment ceci :
« Au lieu d'exiger de ces familles de prouver l'existence dudit « lien de causalité », ne serait-il pas plus opportun, et plus juste, de demander aux experts (pharmacovigilance, médecine légale (autopsies), etc.) d'apporter la preuve qui permet d'exclure ce lien de causalité ?
Un tel changement de paradigme pourrait permettre de mettre un terme à ladite « preuve diabolique » (...).
Un tel revirement d'approche, un tel renversement de la charge de la preuve, pourrait, peut-être, rétablir la confiance perdue et un minimum d'apaisement pour ces familles (en leur évitant l'habituel « parcours du combattant »).
À qui devrait profiter le doute ? Aux familles des personnes décédées ? Ou aux produits pharmaceutiques et à leurs fabricants ? ».
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