Des incitants financiers pour les médecins qui vaccinent le plus d'enfants possible
Il y a des primes financières pour les médecins et les autres praticiens de santé conventionnels qui maintiennent des forts taux d'adhésion des patients à diverses visites médicales et prescriptions médicamenteuses (y compris les vaccins). Ces incitants pour avoir plus de patients dans leurs cabinets et pour recevoir autant de vaccins et de médicaments que possible viennent du secteur des assurances.
En 2016, la preuve de ces backchichs médicaux était révélée sur internet par un pamphlet des grosses compagnies d'assurance (Blue Cross (BC), Blue Shield (BS), Blue Cross Network (BCN)).
Voici une capture d'écran de la page 15 de leur brochure sur le programme incitatif pour les dispensateurs de soins en 2016, lequel offre donc des récompenses financières pour le respect des calendriers vaccinaux du CDC:
10 vaccins différents à fourguer par enfant: diphtérie, tétanos, coqueluche (DTaP), polio (IPV), ROR (MMR), varicelle (VZV), haemophilius influenza (HiB), hépatite B, pneumocoques (PCV), hépatite A, rotavirus (RV) et grippe (influenza)
Explications de la page Résultats en matière de soins de santé
La capture d'écran ci-dessus détaille les conditions pour que les médecins puissent toucher les primes, en fonction du pourcentage d'enfants vaccinés, de 2 ans ou plus jeunes.
Seuls les enfants inscrits à un programme d'une de ces trois compagnies d'assurances susmentionnées (BC, BS, BCN) sont éligibles au programme pour les prestataires qui les ont en charge.
Quand cela a été découvert, plusieurs praticiens de santé holistique préoccupés et quelques sites de santé alternatifs ont manifesté leur mécontentement face au dépliant incitatif pour les prestataires de 2016.
Début 2017, les informations de 2016 ont été retirées de l'accès public en ligne. Mais il y avait au moins un site qui a réussi à conserver l'original. Les vaccins combinés qui incluent plus d'un vaccin dans une injection sont énumérés à côté du titre «Description».
L'élément «Critères d'exclusion» explique que «Les enfants qui présentent une réaction anaphylactique au vaccin ou à ses composants» ne peuvent pas être inclus. Cela pourrait être un facteur intervenant dans l'attitude des médecins et des infirmières ne signalant pas d’effets indésirables au système VAERS (Système de notification des effets indésirables des vaccins), géré par le CDC et indiquant aux parents que les réactions observées étaient normales. Les médecins et les autres praticiens de la médecine traditionnelle signalent très rarement des événements indésirables.
Le pourcentage «cible» de 63% est obtenu en divisant le nombre d'enfants ayant terminé les vaccinations décrites par le nombre d'élèves éligibles, c'est-à-dire ceux qui sont couverts par l'assurance. Le prix est de 400 $ par enfant.
Voici un exemple de la façon dont cela fonctionne. Un pédiatre a 100 patients inscrits chez lui et s'il en vaccine pleinement 63 dans les délais prescrits jusqu'à l'âge de deux ans, l'objectif de 63% est atteint.
Les 63 personnes vaccinées donnent lieu à une récompense annuelle de 25 200 $ pour le bureau de pédiatrie. Cela pourrait être plus ou moins selon la charge de travail du médecin ou de la clinique.
N'oubliez pas que les enfants et les bébés sont les seuls types de patients traités par les pédiatres. Il pourrait donc y avoir beaucoup plus que ce que montre cet exemple simpliste.
Une étude de recherche pédiatrique menée en 1999 a déterminé que le nombre moyen de patients par pédiatre était de 1 546. C'était un décompte en nombre de patients, pas de visites. Ainsi, si une clientèle compte 1 546 personnes et que, sur ce total, 150 sont à la compagnie Croix Bleue et que le pédiatre en a vaccinés cent, le montant annuel sera de 40 000 $.
Ce programme de récompenses comporte des effets pervers, comme d’imposer à un enfant plus de vaccinations et à un rythme plus rapide que ce qu’il pourrait supporter, avec plus de vaccins par visite. Cela est arrivé avec plusieurs effets indésirables signalés par les parents après vaccination, alors que les médecins nient tout lien.
Source: Health Impact News
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