Depuis des mois, les vols de drones US de reconnaissance à très long rayon d’action près des frontières occidentales de la Russie se sont intensifiés. Dernièrement certains de ces drones ont longé les limites de l’espace aérien russe de l’enclave de Kaliningrad mais également près de Saint-Pétersbourg et toute l’Ukraine orientale.
La recrudescence spectaculaire de ces vols de reconnaissance est naturellement perçue comme un acte résolument hostile par Moscou.
La Russie a demandé aux États-Unis de cesser ces provocations mais Washington n’a jamais daigné répondre. Tout au plus, un officiel du Pentagone se contente de préciser que certains de ces drones partent de bases aussi éloignées de la Russie que celle de Signonella en Sicile et que leurs missions sont classées secret défense.
Cependant, les Russes soupçonnent que sous couvert de ces missions de reconnaissance et de collecte du renseignement électronique se cache un autre programme secret dont les antécédents ont été « noyés » par le phénomène OVNI au dessus de certaines régions en Europe. Il s’agit de la prochaine génération de drones furtifs à très grande capacité de pénétration en territoire hostile et protégé par un système de défense aérienne dense et avancé.
L’idée de base de ce nouveau programme est inspirée par l’atterrissage près de Moscou d’un Reims Cessna F-172P piloté par un jeune pilote amateur ouest-allemand inexpérimenté en mai 1987 peu avant la signature du Traité INF entre Moscou et Washington. Cet incident assez curieux permit à l’époque à Gorbatchev de se débarrasser des chefs militaires de valeur de l’Armée rouge pour lui laisser les mains libres et achever l’Ex-Union Soviétique.
Les Russes en sont conscients et accélèrent la mise au point de nouveaux systèmes d’interception plus performants que les S-500 actuellement déployés autour de Moscou mais également des systèmes d’interception de petits objets et leur destruction au moyens de laser ou de micro-ondes.

(Le pentagone a imposé une nouvelle guerre froide avec la Russie alors que celle-ci est capitaliste, mais, dont le capitalisme n'pas encore aussi prédateur et destructeur des tissus économiques locaux que celui des Etats-Unis. Le pentagone et la finance représentés par les quelques grandes banques américaines, pas plus de cinq, marchent main dans la main et imposent "leur" politique à l'état américain. Les milliards de dollars qui disparaissent du budget de l'armée servent à nourrir ce double système. note de rené)