mercredi 4 avril 2018

Petite réflexion sur l’Ukraine, mes chers cinq lecteurs, et l’affaire de l’espion russe assassiné qui au final ne l’est pas et dont la fille aurait bien récupéré ce qui démontre la nullité crasse des services russes.

Evidemment, vous demandez pourquoi l’Ukraine serait mêlée à cette pantalonnade. Vous souvenez-vous du boeing de la Malaysia airlines abattu au dessus de l’Ukraine ?
A l’époque, le gouvernement de Kiev en pleine offensive contre les provinces séparatistes de Donetsk et Lougansk les a accusé d’avoir utilisé un missile russe pour l’abattre. La commission d’enquête européenne n’a jamais publié des résultats fiables de son enquête se contentant de désigner la Russie comme acteur principal probable.
Une attitude qui est le copié collé de celle adoptée par le gouvernement britannique concernant le cas de l’espion ex-russe. Les journaux des milliardaires étant chargé d’asséner cette information comme unique vérité.
Aujourd’hui où l’Ukraine s’apprête à lancer une nouvelle offensive meurtrière qui se veut décisive sur les deux républiques séparatistes avec l’appui des troupes occidentales sur place, comme par hasard, une offensive diplomatique généralisée contre la Russie se développe. Ce qui aura pour effet de rendre légitime aux yeux des opinions occidentales une offensive programmée comme tellement meurtrière qu’elle oblige les populations à se réfugier en Russie et/ou oblige les russes à s’engager dans une intervention directe.
Mais, quel rapport avec le gaz utilisé ? 
Simple, l’Ukraine en tant que province soviétique majeure disposait de tout un arsenal du nucléaire à la construction d’armes lourdes et chimiques. Donc, ils ont dû garder des spécimens dans leur stock.
Ce cas de figure signifie que l’offensive est pour bientôt (peut-être en même temps que le mondial de foot) et que les médias des milliardaires sont prêts à faire monter la sauce en  accusant la Russie de mettre la paix du monde en danger tout en justifiant une implication forte des forces de l’Otan.
L’Ukraine qui cherche par tous les moyens à impliquer l’Europe dans une guerre avec la Russie n’est certainement pas l’unique acteur, elle n’a pu le faire, si son implication s’avère prouvée ou fortement probable, qu’avec l’assentiment du gouvernement anglais et sans doute américain.
Sauf que dans ce genre d’histoire, le premier qui appuie sur le bouton n’a pas gagné.

rené

PS : Cependant, le manque d’efficacité du gaz en question laisse planer un doute sur sa véritable identité annoncée.

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