Bon, mes chers cinq lecteurs, voyons, prenons deux informations et juxtaposons les. Il s'agit de la frégate française l'Aquitaine qui a participé à l'attaque de missiles contre la Syrie. Un avion russe a survolé la frégate et a neutralisé ses systèmes électroniques pour un temps selon certaines informations. Un cas semblable a vu une frégate américaine aveuglée en mer noire après le passage d'un chasseur russe qui a dû se réfugier dans un port roumain. Ce qui voudrait dire que les deux autres frégates françaises ont été contaminées par le système informatique et que surtout cela voudrait dire que le bouclier anti-missile américain ne vaut plus un clou. note de rené)
AVANT LES FRAPPES
APRES LES FRAPPES.
AVANT LES FRAPPES
Une frégate française « menacée » par un avion russe en Méditerranée
Une frégate française a été survolée de façon « agressive » par un avion russe en Méditerranée, durant le week-end du 7 au 8 avril, selon le quotidien français Le Point.
Le journal parle d’un survol « agressif » du navire de guerre français baptisé Aquitaine, présent en Méditerranée dans le cadre de l’opération Chammal de soutien aux autorités irakiennes dans leur lutte contre l’État islamique.
L’avion militaire russe est « passé au plus près du navire français », selon Le Point, ce qui est inhabituel, puisque les survols de navires occidentaux par des avions russes sont fréquents mais ces premiers restent habituellement à une distance raisonnable.
L’avion russe était visiblement armé, ce qui confirme le caractère « agressif » du survol et indique une volonté des Russes « d’envoyer un message très clair aux autorités françaises, et singulièrement au président de la République Emmanuel Macron », explique Le Point.
Cet incident survient dans un contexte tendu dans lequel il n’est pas exclu que les puissances occidentales mènent une action armée en Syrie, où l’armée russe est fortement présente.
La France et d’autres pays membres de l’Otan ont imputé les attaques chimiques perpétrées cette semaine contre des civils, à Douma, en Syrie à Bachar el-Assad.
Le président américain Donald Trump et le français Emmanuel Macron ont demandé une « réaction ferme » de la part de la communauté internationale après s’être entretenus lundi à propos de ce que l’Élysée a qualifié de « nouvelles atteintes à l’interdiction des armes chimiques ».
APRES LES FRAPPES.
Frappes françaises en Syrie : plusieurs missiles n’ont pu être tirés en raison d’un bug
source : LCI
BUG – Si la ministre des Armées s’est félicitée du succès des frappes françaises en Syrie le week-end, l’opération ne s’est toutefois pas déroulée sans incident.
20 avr. 11:44 - La rédaction de LCI
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L’opération Hamilton, qui a eu lieu le week-end dernier et au cours de laquelle 12 missiles français ont été tirés sur des centres de fabrication d’armes chimiques en Syrie, ne s’est pas déroulée tout à fait comme prévu. Si les cibles ont bien été atteintes, pas moins de quatre missiles ne sont jamais partis.
Comme le révèle RTL, les premiers tirs qui devaient être effectués depuis la frégate Aquitaine n’ont pas fonctionné. Au moment de faire feu, les hommes à bord ont vu un signal rouge s’afficher, bloquant les tirs. Comme le veut le protocole, une seconde frégate, l’Auvergne, était en appui pour pallier à d’éventuelles défaillances.
Mais là encore, un nouvel incident empêche les missiles d’être tirés. C’est finalement, le bâtiment de remplacement, le Languedoc-Roussillon, qui a armé ses missiles pour atteindre la cible prévue, un centre de stockage d’arme chimique près de Homs. Les deux autres cibles ont été frappées par des tirs d'avions Rafale.
La Marine française ainsi que les ingénieurs de Naval Group et du missilier MBDA tentent actuellement de déterminer les causes de ces déboires, dont le coût est particulièrement élevé. En effet, le prix des missiles prévus pour cette opération, capable de pulvériser une cible à plus de mille kilométres de distance avec une précision inférieure à un mètre, est de 2,8 millions d’euros l’unité.
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