(hillary clinton ne laissera pas tomber la campagne présidentielle, mais, pour les américains cette femme est dangereuse, car les signes de dérèglements mentaux et physiques dont elle a été victime, sont des révélateurs d'une dépendance aux psychotropes. Les psychotropes, vous savez, les médocs qui, semble-t-il, font péter les plombs aux adolescents qui, dans leur école, se mettent à flinguer à tout va ou le pilote d'avion de la compagnie allemande qui a écrasé volontairement son avion de ligne sur les Alpes française. Il faut interroger son médecin et sa famille. note de rené)
L’hypothèse que Hillary puisse laisser tomber la course à la présidence n’est plus un fantasme
Par Jon Rappoport – Le 12 septembre 2016 – Source jonrappoport via le Saker francophone
La politique est l’art de chercher des problèmes, d’en trouver partout, de faire les mauvais diagnostics et d’appliquer les mauvais remèdes. – Groucho Marx
Hillary a titubé et était proche de s’évanouir au mémorial du 9/11. La vidéo est disponible ici sur infowars, qui raconte l’histoire.
J’ai écrit au sujet de ses problèmes de santé avant, y compris sur le Coumadin qu’elle prend pour fluidifier son sang et éviter des caillots sanguins, et la contre-indication de voyager en avion parce que de nouveaux caillots sanguins potentiellement mortels pourraient se former.
J’ai écrit et je persiste à dire que de puissants joueurs du camp démocrates vont continuer l’élection dans cette configuration, même si Hillary doit être traînée jusqu’au Bureau ovale pour y mourir. Ils ne s’en soucient pas.
J’ai écrit et je persiste à dire que de puissants joueurs du camp démocrates vont continuer l’élection dans cette configuration, même si Hillary doit être traînée jusqu’au Bureau ovale pour y mourir. Ils ne s’en soucient pas.
Après l’évanouissement d’Hillary au mémorial 9/11, le Washington Post, cet organe de la vérité incontestée, reconnait qu’il est maintenant acceptable de poser des questions polies au sujet de sa santé. Bien joué, les gars. Quelle prise de risque! Merci beaucoup.
Je pense qu’il est temps pour les grands médias de prendre une position franche à propos d’Hillary : «Elle est peut être très malade, dangereusement, mais c’est encore un crime de le souligner parce que c’est une position sexiste, et d’ailleurs, cette publicité malencontreuse pourrait permettre à Trump de se glisser jusqu’à la Maison Blanche, sans compter que nous les journaux avons fait des dons à la Fondation Clinton. Elle est Hillary et nous l’aimons et nous ne voulons pas penser que quelque chose de mauvais puisse lui arriver parce que cela serait trop triste.»
Je pourrais accepter cette déclaration.
La toux publique contenue d’Hillary. L’instabilité physique. L’évanouissement. Le conseiller, Todd Madison, s’avançant sur scène, mettant sa main sur elle, en lui disant de continuer à parler, comme si elle avait oublié ce qui se passe. Vous devez en conclure que ses médecins ont essayé tout ce qu’ils pouvaient pour la garder debout et en état de marche, mais si c’est le mieux qu’ils peuvent faire, alors elle est vraiment dans un sale état.
L’hypothèse que Hillary laisse tomber la course à la présidence n’est plus un fantasme. Ça pourrait arriver. Si elle le fait, les médias vont se lever comme un seul homme et essayer de demander un délai pour l’élection.
Il n’y a aucune base pour une telle demande, parce que les deux grands partis peuvent choisir leur candidat selon leurs propres termes. Les Démocrates, par exemple, comme nous l’avons vu, ont pu truquer le vote et secrètement soutenir Hillary depuis le début et faire cuire leur propagande pour vaincre Bernie Sanders. Ils peuvent choisir un grand nombre de soi-disants super-délégués qui ne doivent rien aux électeurs et, au contraire, soutiennent qui ils veulent (Hillary). Donc, si elle abandonne, les dirigeants démocrates peuvent simplement décider, encore une fois, sans consulter leurs électeurs, de son remplaçant. Kaine ? Biden ? Sanders ? Elizabeth Warren ? Michelle Obama ? Rachel Maddow ? Karl Marx ? [Karl ou Groucho ?, NdT]
Sans doute, certains experts progressifs proposeront-ils qu’Obama reste en poste pendant un certain temps, parce qu’il a l’expérience, qu’il est présidentiel, qu’il a fait un travail magnifique pendant ses deux mandats, que sa mission est inachevée (il doit obtenir la ratification du traité TPP). Nous avons besoin de lui pour poursuivre le dialogue sur la race dans une société post-raciale. Il sait comment contourner le Congrès avec une tempête de décrets. Il peut trouver un moyen de faire venir des millions d’immigrants clandestins sur nos rivages. Il soutient les Blacks Lives Matters et il sait comment parler des faux chiffres de l’emploi et prétendre qu’ils sont réels.
Les Démocrates et leurs partisans mettront frénétiquement en avant leur statut de victime : malheur à nous, Hillary, notre chef est tombée, nous sommes paralysés (handicapés…), nous avons besoin de temps pour nous regrouper, vous ne pouvez pas nous demander une décision instantanée, nous devons suivre avec soin les règles constitutionnelles qui régissant les élections, c’est vraiment sérieux. Nous devons décider qui est le meilleur pour le peuple, et nous devons trouver un moyen de payer Bernie Sanders pour qu’il reste dans la clandestinité et qu’il la ferme.
Pour ma part, je voudrais voir Trump contre Bernie. Socialisme contre capitalisme. Ils pourraient faire deux, trois débats sur le globalisme et ses effets horribles sur l’Amérique, pour que le public se rende compte qu’ils prétendent tous deux percevoir la menace gigantesque, mais sous des angles différents.
Hillary était la reine sans repentance des abeilles du globalisme.
En tout cas, vous pouvez parier que, pendant que nous parlons, les géants des médias se réunissent en privé pour organiser la manière dont la saison électorale se déroulerait si elle abandonne. Ils préparent leurs points presse avec force histoires et mensonges. Tout cela va culminer en quelque sorte sur une victoire du Parti démocrate en novembre, contre vents et marées.
Puis les dirigeants du Congrès supplieront le président Obama de rester plusieurs mois de plus, ce qu’il acceptera, en disant: «Et bien, j’ai au moins 60 à 70 décrets présidentiels déjà prêts, alors peut-être que je pourrais amener le pays un peu plus près de l’avenir que nous envisageons tous. Nous sommes tous dans le même bateau.» [Le Titanic ?, NdT]
Jon Rappoport
Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par Catherine pour le Saker Francophone
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