(blog à finir et à corriger)
Bon Dieu, mais, pourquoi les States cherchent à se payer la Russie en impliquant l'Union Européenne dans une démarche de sanctions qui ne peut que lui nuire ?
Parce que les OGM y sont interdits ?
Parce qu'ils ne peuvent prendre le contrôle de la Banque centrale russe ?
Parce que la Russie est encore un pays indépendant, contrairement aux pays de l'Union Européenne ?
Parce que leurs minerais sont sous contrôle de l'état et non pas des multinationales étasuniennes ?
Parce que le pétrole russe fait de l'ombre à leur "putain" de pétrole et de gaz de schiste ?
Parce que le pétrole russe reste sous contrôle de l'état ?
Parce que les russes risquent encore d'en trouver en Sibérie qui dégèle ?
Parce que les banquiers de la Fed dont la famille rotschild de Londres n'aiment pas les gens qui ne sont pas à leur botte ?
Parce qu'ils ne peuvent pas dépecer la Russie, comme ils vont dépecer l'Europe, à leur guise ?
Oui, pourquoi, mes chers cinq lecteurs, les States et non pas le peuple américain joue-t-il les va-en-guerre ?
Pour la finance et les banquiers de la FED et les multinationales ou pour l'intérêt du peuple américain ?
Mais, passons, parce que notre président hollande en France joue le bouffon de la finance et des multinationales américaines.
Parlons plus sérieusement que ces marionnettes de la FED.
(source : Jacques Sapir, RussEurope)
A part cela, on se demande pourquoi les africains apprécient les chinois.
(source : RFI)
bb
Bon Dieu, mais, pourquoi les States cherchent à se payer la Russie en impliquant l'Union Européenne dans une démarche de sanctions qui ne peut que lui nuire ?
Parce que les OGM y sont interdits ?
Parce qu'ils ne peuvent prendre le contrôle de la Banque centrale russe ?
Parce que la Russie est encore un pays indépendant, contrairement aux pays de l'Union Européenne ?
Parce que leurs minerais sont sous contrôle de l'état et non pas des multinationales étasuniennes ?
Parce que le pétrole russe fait de l'ombre à leur "putain" de pétrole et de gaz de schiste ?
Parce que le pétrole russe reste sous contrôle de l'état ?
Parce que les russes risquent encore d'en trouver en Sibérie qui dégèle ?
Parce que les banquiers de la Fed dont la famille rotschild de Londres n'aiment pas les gens qui ne sont pas à leur botte ?
Parce qu'ils ne peuvent pas dépecer la Russie, comme ils vont dépecer l'Europe, à leur guise ?
Oui, pourquoi, mes chers cinq lecteurs, les States et non pas le peuple américain joue-t-il les va-en-guerre ?
Pour la finance et les banquiers de la FED et les multinationales ou pour l'intérêt du peuple américain ?
Mais, passons, parce que notre président hollande en France joue le bouffon de la finance et des multinationales américaines.
Parlons plus sérieusement que ces marionnettes de la FED.
(source : Jacques Sapir, RussEurope)
Russie: vers un nouveau modèle de développement?
La question du modèle de développement que la Russie pourrait suivre dans les années qui viennent est maintenant ouvertement posée par l’évolution du contexte international. Le jeu des sanctions et des contre-sanctions risque de se prolonger. On peut d’ores et déjà se demander s’il n’a pas provoqué un changement important dans la perception du monde pour le gouvernement mais aussi les élites russes.
Le retour de la guerre froide ?
Les relations entre les Etats Unis, l’Union européenne et la Russie se sont dégradées de manière considérable depuis le début de 2014. Non qu’elles aient été bonnes avant. Les contradictions entre les politiques étrangères étaient flagrantes depuis environ deux ans. Mais, l’initiative russe sur la question des armes chimiques en Syrie avait montré que des collaborations étaient toujours possibles. Ces collaborations sont d’ailleurs nécessaires, que ce soit pour les Etats-Unis qui ne peuvent s’extraire d’Afghanistan sans le soutien implicite de la Russie, ou que ce soit pour la France qui est largement tributaire des moyens de transports lourds mis à sa disposition par des sociétés russes pour les opérations en Afrique. Pourtant on assiste à une détérioration impressionnante de ces relations depuis le début de l’année 2014.
John Mearsheimer, un professeur de sciences politiques de l’université de Chicago a bien montré dans un récent article du magazine Foreign Affairs que la responsabilité de cette dégradation était plutôt à chercher du côté des Etats Unis et de l’Union européenne[1]. Dans cette dégradation, un tournant important semble avoir été pris avec le drame du vol MH17 de la Malaysian Airlines, détruit au-dessus de l’est de l’Ukraine. Les Etats-Unis ont immédiatement déclaré que les insurgés du Donbass et la Russie étaient responsables de ce drame. Il apparaît aujourd’hui que les choses sont bien plus complexes, et que les preuves permettant de condamner la Russie et les insurgés n’existent tout simplement pas[2]. Des anciens responsables des services de renseignements américains s’en sont émus[3].
Mais, quelle que soit l’origine de cette crise, sa dynamique actuelle constitue un pivotement important dans les relations internationales, qui va largement au-delà du cas de la seule Russie. Ce nouveau contexte international est bien entendu pris en compte par les élites russes. Il modifie, explicitement ou implicitement, leur relation avec le reste du monde et, de ce point de vue, a des conséquences importantes sur le modèle de développement adopté par la Russie. De ce point de vue, s’il est probablement exagéré de parler d’une « nouvelle Guerre Froide » comme le font certains commentateurs, il est indiscutable que l’on observe toutes les caractéristiques d’un éloignement entre la Russie et les pays que l’on qualifie, à tort ou à raison, d’occidentaux. Cependant, ma grande différence entre la situation actuelle et celle de la seconde moitié du XXème siècle vient du fait que désormais le « bassin Atlantique » (les Etats-Unis, le Canada et l’Europe occidentale) ne concentre plus l’essentiels des techniques et technologies de production. Le possible éloignement de la Russie pourrait ne pas se traduire par un isolement mais par un basculement vers des relations avec d’autres pays.
Les sanctions et les contre-sanctions.
Le mécanisme des sanctions et des contre-sanctions qui joue aujourd’hui à plein, pèse lourdement sur les anticipations des différents acteurs économiques. Les différentes étapes dans le processus de sanction, mais aussi les réponses qui y ont été apportées de la part du gouvernement russe, construisent un contexte psychologique particulier, dont l’importance va largement au-delà des effets réels des mesures prises de part et d’autre. Du côté des Etats-Unis et des pays de l’UE on a un ensemble de mesures (en incluant celles prévues au 8 septembre 2014) incluant tant le domaine des coopérations industrielles que celui des transactions financières.
Tout d’abord, des mesures ciblant des activités industrielles, essentiellement pétrolières, du domaine militaire et les techniques susceptibles d’avoir une capacité « duale ». Ces mesures restent cependant limités pour plusieurs raisons :
- (i) Elles ne s’appliquent qu’aux nouveaux contrats, en particulier dans le domaine pétrolier et militaire, et ne touchent pas les contrats déjà signés.
- (ii) Ces mesures sont à durée limitée, éventuellement renouvelable (6 mois).
Il faut aussi noter qu’un certain nombre de pays détenant ces techniques ne sont pas partie-prenante du mécanisme des « sanctions ». Ces pays vont continuer d’approvisionner la Russie. On peut même imaginer qu’une société d’un pays appliquant les sanctions transfère à une autre compagnie, sise dans un pays n’appliquant pas ces sanctions, la licence de la technique touchée par les sanctions[4]. Ceci réduit considérablement l’effet sur la Russie.
Nous avons ensuite des mesures qui portent sur la sphère financière. Les Etats-Unis ont décidé dès le 30 mars d’interdire tout contrat et de geler les avoirs de la banque ROSSIYA et de 6 petites banques. Ils ont, dans le cours du mois de juillet, décidé d’étendre ces mesures au secteur de défense, concernant alors la compagnie d’Etat des constructions navales (OSK) et la compagnie d’Etat des constructions aériennes (OAK). Nous avons, ensuite, les sanctions qui tombent sous le régime SSI des sanctions sectorielles. Il s’agit d’une interdiction pour des entreprises russes d’emprunter à plus de 90 jours sur les marchés financiers internationaux. Ces sanctions interdisent tant l’accroissement de la dette extérieure des entreprises privées, que le roulement de cette dette (roll-over) quand cette dernière arrive à maturité.
Graphique 1
La dette des banques concernées est estimée à 140 milliards de dollars. Sur ces sommes, environ 12 milliards auraient du faire l’objet de mesures de roll-over d’ici le troisième trimestre de 2014 et 22 d’ici la fin 2014.
Tableau 1
Sociétés touchées par les sanctions
Banques
|
Sociétés industrielles
|
Gazprombank,
VEB
VTB,
Bank of Moscow
Rosselkhozbank
|
Gazprom
Rosneft,
Novatek,
OAK
OSK
|
Quant à la dette extérieure brute des entreprises russes, elle est de l’ordre de 650 milliards de dollars. Les banques représentent un peu moins de la moitié de cette somme (310 milliards) mais ce sont elles qui ont connu la croissance la plus forte, cat la dette des entreprises est à peu près constante depuis 2012. Ces mesures vont donc pénaliser essentiellement le secteur bancaire russe.
Un aspect important de ce régime de sanctions est qu’il donne de facto la main aux Etats-Unis sur l’UE. La « jurisprudence BNP-Parisbas » va conduire les entreprises et les banques européennes à être extrêmement réticentes à faire des opérations en Dollars, qui pourraient tomber sous le cadre du statut SSI pour les Etats-Unis. Une conséquence induite pourrait être une réduction des flux en Dollars au profit soit de l’Euro, soit du Yuan (qui est désormais plus utilisé que l’Euro pour les investissements) soit d’autres monnaies.
La Russie a décidé, en réponse à ces mesures, d’instaurer un embargo d’un an sur certains produits alimentaires en provenance de l’UE, des Etats-Unis, du Canada et de l’Australie. Ces mesures relèvent de deux logiques distinctes : des mesures de rétorsion dont on peut supposer qu’elles seraient levées si les sanctions des Etats-Unis et de l’UE l’étaient aussi, et des mesures protectionnistes. En fait, on constate que le gouvernement russe a saisi l’occasion qui lui a été fournie par les sanctions pour prendre des mesures dont l’effet sur l’économie russe pourrait s’avérer positif.
L’impact possible sur le modèle de développement de la Russie.
Depuis octobre 2005, un compromis semblait avoir été passé entre les “interventionnistes” et les libéraux au sein du gouvernement et plus généralement de l’élite russe, pour une utilisation mesurée des moyens financiers issus de la rente des matières premières. Les 4 “Priorités Nationales” qui avaient été définies par V. Poutine à cette époque (Santé, Éducation, Logement et intégration agro-industrielle) devaient permettre de canaliser une partie de l’activité d’investissement souhaitée par les “interventionnistes”, mais sans provoquer de déséquilibres macro-économiques importants. Ces priorités nationales furent placées sous la responsabilité de l’ancien responsable de l’administration présidentielle, M. Medvedev nommé Premier vice-Premier Ministre à l’automne 2005, et devaient être compatibles avec les règles fixées par MM. Koudrine et Gref. À cette époque, il faut noter que M. Koudrine, qui était le ministre des finances à l’époque, continuait de s’opposer à toute utilisation massive des fonds accumulés via les exportations dans l’économie russe, au prétexte des risques de déséquilibre macroéconomique. Cette stratégie avait déjà été remise en cause avec la crise économique mondiale (2008-2010) qui avait vu l’Etat prendre un rôle de plus en plus important dans l’économie. Dans la période 2010-2013, il y a eu ce que l’on peut appeler « l’illusion » qu’un retour à cet équilibre serait possible.
Graphique 2
Source: Banque Centrale de Russie. Pour 2014: estimations de la Sberbank
Dans le même temps, on voyait apparaître une stratégie industrielle organisant l’économie russe autour de trois secteurs.
- (a) Le secteur prioritaire pour le développement de l’économie russe qui doit être étroitement contrôlé par l’État. Il s’agit ici du secteur de l’énergie et des matières premières.
- (b) Le secteur des industries stratégiques, qui se définit dans une logique de diversification de la production industrielle. On y trouve une bonne partie des constructions mécaniques. Dans ce secteur, l’État n’entend pas exercer un contrôle direct mais fixer des orientations stratégiques. L’entrée d’acteurs étrangers est donc possible, et même souhaitée, mais si la politique de ces acteurs vient s’intégrer aux orientations stratégiques déterminées. Par ailleurs, des entreprises russes chercheront à entrer dans le capital de grandes sociétés occidentales (EADS, Oerlikon) et en échange le capital de certaines sociétés russes pourrait être ouvert.
- (c) Le secteur des autres industries où l’État russe n’entend pas intervenir, sauf pour faire respecter la législation commune.
En réalité, la compatibilité entre les diverses orientations de politique économique présente dans le compromis de 2005 était problématique. Il n’est donc pas étonnant que le point d’équilibre entre les forces en présence au sein du pouvoir russe ait fortement bougé à la suite de la crise de 2008. Ce compromis semble avoir été la première victime des changements dans le contexte international. Mais, les signes d’une remise en cause pouvaient être perçus dès l’automne 2013 voire même avant. On en avait eu un signe avec le départ du gouvernement de M. Koudrine. De ce point de vue, le changement de modèle de développement n’est pas une simple réaction au changement géopolitique, mais ce changement a été utilisé pour mettre en œuvre un changement qui était à l’ordre du jour depuis la fin de 2012. Ce changement devrait aboutir à faire émerger un modèle de développement de la Russie qui serait beaucoup plus autocentré que ce qu’il est actuellement, et tourné de manière bien plus décisive sur la construction d’une industrie innovante[5].
Une politique de substitution aux importations.
On a constaté ces derniers mois des évolutions importantes, qui sont dans une certaine mesure le produit du nouveau régime de relations internationales. L’impact des sanctions a semblé très faible jusqu’en avril 2014, mais aujourd’hui on peut faire les constations suivantes :
- (a) Il y a une reprise de l’activité industrielle (+2,5% sur le premier semestre) qui est nette.
- (b) L’activité du secteur agricole et agro-alimentaire semble s’accélérer sur les mois de juin et de juillet, soit avant l’entrée en vigueur des mesures russes de rétorsion.
- (c) Ces effets positifs semblent directement liés à la dépréciation d’environ 10% du Rouble, depuis le mois de mars.
Graphique 3
La crise ukrainienne a aussi provoqué des perturbations importantes, mais limitées, sur le marché des changes et sur le marché financier russe. Si les fluctuations de la bourse de Moscou n’ont que peu d’influence (la bourse de Moscou ne finance que 1% des investissements en Russie), les perturbations sur le marché des changes sont plus importantes. De ce point de vue, pour estimer l’impact réel de la crise ukrainienne, il convient de rappeler les éléments suivants :
(1) La Russie a un taux d’inflation très largement supérieur aux pays de l’UE et aux Etats-Unis, avec un taux estimé sur 2014 de + 7,5%. Cela signifie qu’a gains de productivité comparables, la dépréciation du rouble devrait être de 5% par rapport au Dollar et de 6,5% par rapport à l’Euro pour que se maintienne la compétitivité du pays.
(2) En fait, les gains de productivité dans l’industrie manufacturière russe sont plus élevés de 2,5% environ que ceux que l’on connaît aux Etats-Unis et dans l’UE. La dépréciation du Rouble devrait donc être de 2% par rapport au Dollar et de 4% par rapport à l’Euro.
(3) On constate aujourd’hui une dépréciation moyenne de 8% à 12% par rapport au Dollar et de 11% à 16% par rapport à l’Euro, ce qui donne, en moyenne, une dépréciation réelle du Rouble de 8% par rapport au Dollar et de 9% par rapport à l’Euro.
Ces niveaux de dépréciation peuvent avoir effectivement un effet positif sur les producteurs « résidents russes ». Il est logique que l’économie russe réagisse alors positivement et non négativement aux sanctions, dans la mesure où elle dispose d’un potentiel important de croissance dans le domaine des substitutions à l’import. Cependant, l’effet direct d’une dépréciation du taux de change est à son maximum entre 6 et 18 mois après la dépréciation. Cet effet tend à s’amenuiser par la suite. On considère qu’il est épuisé dans un délai de 36 à 60 mois après la dépréciation. Néanmoins, ceci est une analyse purement statique qui suppose que les entreprises résidentes n’investissent pas pour améliorer qualitativement leur compétitivité. La véritable question est donc de savoir si l’investissement en capital productif dans les entreprises résidentes permettra de faire progresser la production de l’industrie manufacturière, mais aussi de l’industrie agro-alimentaire, en qualité et en diversité.
Vers l’indépendance financière ?
En réalité, cette question de l’investissement renvoie à l’autonomie, voire à l’indépendance, à laquelle la Russie pourrait accéder dans les prochaines années. Depuis 2011, les autorités russes ont donné des signes récurrents de leur volonté de construire leur autonomie par rapport aux marchés financiers occidentaux. Cette démarche a connu une accélération nette depuis l’automne 2013, dans le cadre d’une alliance de fait avec la Chine. La cotation du Yuan à la Bourse de Moscou, mais aussi la création d’un marché du Rouble « non résident », vont dans le sens de la construction d’une autonomie de l’économie russe vis-à-vis de l’espace financier dominé par le Dollar. Or, ceci ne peut qu’avoir des conséquences importantes sur l’équilibre financier mondial, car la Russie est un exportateur important de pétrole, de gaz, mais aussi de certains métaux, et que, jusqu’à présent, ces transactions étaient largement réalisées en Dollar.
La construction par la Russie d’un système de financement garantissant son autonomie face aux marchés financiers occidentaux ne pourra être qu’accélérée par la logique des sanctions. La construction de ce système est une priorité pour la Russie si elle veut tirer tout le profit de la logique de substitution aux importations, dans laquelle elle semble s’être engagée. Le rôle de l’Etat sera aussi important dans ce système de financement, et il n’est pas encore clair si ce rôle sera directement lié au Ministère des Finances ou s’il sera mis en œuvre par des banques d’Etat. Mais, la construction d’un tel système aura aussi des conséquences extrêmement importantes sur le système financier international, qui pourrait voir sa crise accélérée par le déséquilibre ainsi produit.
[1] Mearsheimer J., « Why the Ukraine Crisis is the West’s fault », Foreign Affairs, septembre/octobre 2014,http://www.foreignaffairs.com/print/138884
[2] Sapir J., « MH17, doubts in the intelligence community », article publié sur Russeurope, 1er aout 2014,http://russeurope.hypotheses.org/2610
[3] « Senior U.S. Intelligence Officers: Obama Should Release Ukraine Evidence », 29 juillet 2014,http://www.washingtonsblog.com/2014/07/obama-release-ukraine-evidence.html
[4] “Rosneft to take 30 percent in Norwegian driller”, RT Business, August 22nd 2014,http://rt.com/business/182188-rosneft-nadl-deal-stake
[5] Trenim D., Russia’s New National Strategy, http://carnegieeurope.eu/strategiceurope/
A part cela, on se demande pourquoi les africains apprécient les chinois.
(source : RFI)
Un «don sans conditions» de 18 milliards de FCFA de la Chine au Mali
En marge de la visite du Président malien IBK en Chine qui s'achève vendredi, ce pays a annoncé l'octroi "d'un don sans conditions" de 18 milliards de FCFA (27 millions et demi d'euros) au Mali, ainsi qu'un prêt sans intérêt de 8 milliards de FCFA (un peu plus de 12 millions d'euros).
bb
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire