(blog à finir et à corriger)
Décidément, ils sont trop forts ces américains lorsqu'il s'agit de la dette étudiante. En considérant sa population, c'est déjà le tiers monde alors que c'est le pays soi-disant (en dette) le plus riche du monde, bientôt, ils feront comme en Inde, la dette passera aux enfants et la boucle sera bouclé.
(source : BFMTV actualités)
Et, dans la rubrique, "Tu me piques mes profits", une guéguerre entre multinationales.
(source : les Moutons enragés)
Et, pour l'Ukraine, voilà ce que les Etats-Unis défendent, une bande de néo-nazi au gouvernement à Kiev qui veulent pratiquer l'épuration ethnique contre la population russe de l'est.
Il faut arrêter de croire ce que disent les journaux dont les propriétaires industriels ou banquiers sont d'accord avec les américains pour dépouiller le peuple ukrainien avec une bande de fascistes aux commandes à Kiev.
(source : idem)
Mais, passons, voyons plutôt ce qui motive le soutien du Qatar à la coalition arabe anti califat de l'Irak et du levant.
(source : El Watan)
La Turquie, voisine de l’Irak et de la Syrie, refuse une participation active aux opérations armées contre les ultra-radicaux que les Etats-Unis
Décidément, ils sont trop forts ces américains lorsqu'il s'agit de la dette étudiante. En considérant sa population, c'est déjà le tiers monde alors que c'est le pays soi-disant (en dette) le plus riche du monde, bientôt, ils feront comme en Inde, la dette passera aux enfants et la boucle sera bouclé.
(source : BFMTV actualités)
Ces retraités américains qui remboursent encore leur prêt étudiant
La dette étudiante des 65 ans et plus aux Etats-Unis a atteint 18,2 milliards de dollars en 2013. Si ces personnes âges ont du mal à rembourser, le gouvernement peut piocher dans leur retraite pour récupérer son argent.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les études coutent cher aux Etats-Unis. Et certains passent leur vie à les rembourser. La dette étudiante des 65 ans et plus a atteint en 2013 quelque 18,2 milliards de dollars, selon un nouveau rapport du Government Accountability Office (GAO), l'équivalent de la Cour des comptes en France.
Cette dette a rapidement grossi depuis 2005, où elle n'était encore pour cette tranche d'âge "que" de 2,8 milliards de dollars, souligne le GAO.
La plupart de ces personnes âgées ont emprunté pour rembourser leur propre éducation, pas même celle de leurs enfants ou de leurs petits-enfants, et beaucoup peinent encore à rembourser leurs prêts.
Ainsi, dans plus de la moitié des cas, les individus de plus de 75 ans font défaut sur le remboursement de leur prêt, c'est-à-dire qu'ils n'ont pas effectué de paiement depuis au moins 270 jours.
Des prestations retraite affectées
"La dette des personnes âgées américaines grandit et peut affecter la sécurité financière de leur retraite", souligne le GAO dans ce rapport. En effet, lorsqu'une personne âgée ne parvient pas à rembourser un prêt de l'Etat pour ses études, le gouvernement peut piocher dans sa retraite pour récupérer son argent.
Entre 2002 et 2013, le nombre d'individus dont les prestations de retraite ont été affectées pour payer le remboursement de leurs prêts étudiants a quintuplé, passant de 31.000 à 155.000. S'agissant de la tranche des 65 ans et plus, ce chiffre est passé de 6.000 à 36.000 sur la même période, soit une augmentation de presque 500%.
"En 1998, des limites additionnelles ont été imposées au montant qui peut être ponctionné des prestations mensuelles (de retraite), mais depuis cette époque, la valeur du montant protégé et laissé à l'emprunteur est tombée en-dessous du seuil de pauvreté", prévient le rapport.
Et, dans la rubrique, "Tu me piques mes profits", une guéguerre entre multinationales.
(source : les Moutons enragés)
Syngenta: plainte de Cargill à cause du maïs transgénique « Agrisure Viptera »
Et, pour l'Ukraine, voilà ce que les Etats-Unis défendent, une bande de néo-nazi au gouvernement à Kiev qui veulent pratiquer l'épuration ethnique contre la population russe de l'est.
Il faut arrêter de croire ce que disent les journaux dont les propriétaires industriels ou banquiers sont d'accord avec les américains pour dépouiller le peuple ukrainien avec une bande de fascistes aux commandes à Kiev.
(source : idem)
Déclaration de la députée de la Rada suprême d’Ukraine Elena Bondarenko…
Mais, passons, voyons plutôt ce qui motive le soutien du Qatar à la coalition arabe anti califat de l'Irak et du levant.
(source : El Watan)
Ses membres sont désormais indésirables au Qatar
Sale temps pour la confrérie des Frères musulmans
le 15.09.14 | 10h00 Réagissez
| © D. R.
En acceptant d’assouplir sa position sur le dossier des Frères musulmans, le Qatar montre bien qu’il cherche à «normaliser» ses relations avec les Etats du Golfe qui s’opposent clairement à sa voracité géopolitique.
Les Frères musulmans, l’association panislamiste, créée en 1928 à Ismaïlia par Hassan El Banna, et dont l’un des membres, Mohamed Morsi, avait réussi à prendre le pouvoir en Egypte après la chute du régime de Hosni Moubarak en février 2011, est assaillie de toutes parts. Après avoir été classés organisation terroriste par les autorités égyptiennes et saoudiennes qui se sont promis de les rayer durablement du jeu politique arabe, comme l’avait fait bien avant eux Gamal Abdel Nasser, les Frères musulmans viennent de subir un sérieux coup dur au Qatar.
Tamim Ben Hamad Al Thani, le nouvel émir de cette minuscule pétromonarchie du Golfe à peine aussi grande que la wilaya de Batna, a en effet signifié aux responsables de la confrérie établis dans l’émirat qu’ils étaient désormais persona non grata.
Le mouvement des Frères musulmans a lui-même confirmé samedi que sept de ses membres avaient été priés de quitter le Qatar par les hautes autorités du pays. L’information surprend dans la mesure où il n’est un secret pour personne que le Qatar est le principal protecteur et sponsor des Frères musulmans dans la région.
Le mouvement des Frères musulmans a lui-même confirmé samedi que sept de ses membres avaient été priés de quitter le Qatar par les hautes autorités du pays. L’information surprend dans la mesure où il n’est un secret pour personne que le Qatar est le principal protecteur et sponsor des Frères musulmans dans la région.
L’organisation qui dispose de solides relais dans tout le monde arabo-musulman a, en effet, bénéficié, lors des révoltes arabes de 2011 d’un soutien financier pratiquement illimité de la part de Doha. Ce soutien lui a permis d’ailleurs de prendre le pouvoir haut la main en Egypte et en Tunisie et de construire une imposante force politique en Libye. Les Frères musulmans sont également très présents en Algérie et au Maroc. Dans ce dernier pays, ils tiennent également les commandes du gouvernement.
En «investissant» dans la mouvance des Frères musulmans, il a aussi gagné au change puisqu’il s’en est servi pour étendre son influence, asseoir sa politique arabe et écarter des rivaux régionaux. Le colonel Mouammar El Gueddafi, Hosni Moubarak et Bachar Al Assad l’ont d’ailleurs vérifié à leurs dépens. Ces dernières années, l’ambition du Qatar était de devenir le centre politique du monde arabe. Autrement dit, le leader.
Le silence gêné du Qatar
Mais si les autorités qataries sont restées discrètes sur les raisons de cette expulsion qui ne dit pas son nom, la direction de la confrérie égyptienne s’est néanmoins dite persuadée que l’émir Tamim Ben Hamad Al Thani a agi sous la pression de membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG), particulièrement de l’Arabie Saoudite et des Emirats arabes unis. Dans tous les cas, il ne serait pas étonnant de découvrir que c’est Riyad et Abu Dhabi qui ont effectivement pesé de tout leur poids pour obtenir l’expulsion de la bande au prédicateur controversé Youssef Al Qardaoui qui n’a cessé ces dernières années d’appeler, à partir de son exil doré, la rue arabe à se rebeller contre ses dirigeants.
Habitué des plateaux de la chaîne pro-islamiste Al Jazeera, Youssef Al Qardaoui avait même cautionné, durant les années 1990, le meurtre de civils en Algérie. Le soutien qatari aux Frères musulmans a, rappelle-t-on, déjà été à l’origine d’une grave crise diplomatique régionale en mars dernier. La crise a atteint un tel point que l’Arabie Saoudite, Bahreïn et les Emirats arabes unis ont dû rappeler leurs ambassadeurs en poste à Doha. Une fois de plus, les raisons sont à lier avec les prêches enflammés de Youssef Al Qardaoui contre Riyad, Abu Dhabi et Le Caire. Mais fondamentalement, la levée de boucliers de ces deux pays contre les Frères musulmans s’explique surtout par le fait que l’arrivée au pouvoir de la confrérie dans plusieurs Etats de la région constitue une menace pour leur propre survie.
Pressions accrues
C’est d’ailleurs pourquoi ils s’appuient sur les salafistes. Ceux-ci ne contestent pas les pouvoirs en place. Du moins pas pour le moment. En acceptant d’assouplir sa position sur le dossier des Frères musulmans, le Qatar montre bien qu’il cherche à «normaliser» ses relations avec les Etats du Golfe. Dans la foulée, l’émir Tamim Ben Hamad Al Thani, pour montrer sa bonne foi, pourrait aussi décider de clouer le «bec» à Al Jazeera, la fameuse chaîne de télévision que la famille royale qatarie utilise pour, il faut dire les choses par leur nom, déstabiliser des pays et étendre son influence dans le monde musulman.
En tout cas, l’Arabie Saoudite a clairement demandé à son voisin de changer la ligne éditoriale de la chaîne, qui a pris pour habitude de prendre pour cible la monarchie saoudienne. Les expulsions de Frères musulmans dont il est question aujourd’hui sont-elles suffisantes pour dire que les ponts entre le Qatar et les Frères musulmans sont définitivement coupés ? Ibrahim Munir, un membre de la confrérie islamiste installé à Londres, est persuadé du contraire. Il a d’ailleurs déclaré à ce propos à Reuters que leur départ ne signifiait pas une rupture des relations entre le Qatar et les Frères.
«Les autorités qataries ont dit à la confrérie qu’elles étaient soumises à de la pression et que les circonstances n’autoriseraient pas la présence de tous ces membres de la confrérie à Doha», a-t-il expliqué. Possible que cela soit vrai sur le long terme. Mais dans le contexte actuel, il semble que le Qatar a bien compris qu’il n’avait pas du tout intérêt à continuer à jouer avec le feu, surtout qu’il a en face un adversaire qui s’appelle l’Arabie Saoudite.Un adversaire disposant d’un effroyable pouvoir de nuisance et qui n’est pas près de renoncer à son statut de leader au Proche-Orient. Il est vrai que Riyad a les moyens financiers et militaires suffisants pour transformer à nouveau Doha en désert aride.
Zine Cherfaoui
Et, du même journal, cet avis sur la position de la Turquie qui continue à laisser transiter les candidats djihadistes sur son territoire et qui refuse son territoire aux yazidis kurdes qui se font massacrer. Les mêmes candidats et devenus djihadistes du califat qui retournent en Europe après avoir massacré des chrétiens et autres minorités sans compter les musulmans jugés pas radicales.Lutte contre les djihadistes de l'état islamiste
Washington face aux craintes d’Ankara
le 13.09.14 | 10h00 4 réactions
| © D. R.
La Turquie, voisine de l’Irak et de la Syrie, refuse une...
La Turquie, voisine de l’Irak et de la Syrie, refuse une participation active aux opérations armées contre les ultra-radicaux que les Etats-Unis
entendent poursuivre en Irak et en Syrie.
En tournée au Moyen-Orient pour élargir la coalition anti-djihadiste contre l’Etat islamiste (EI) que le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, tentait à Ankara. Il s’agit pour le chef de la diplomatie américaine de convaincre la Turquie, un allié de Washington, de soutenir activement la lutte contre l’EI, ce groupe musulman. Cependant la Turquie, voisine de l’Irak et de la Syrie, refuse une participation active aux opérations armées contre les ultra-radicaux que les Etats-Unis entendent poursuivre en Irak et en Syrie.
Ankara n’a pas signé jeudi à Djeddah, en Arabie Saoudite, le communiqué commun de dix pays arabes et des Etats-Unis s’engageant à combattre ensemble l’EI, y compris, «le cas échéant, en participant à une campagne militaire coordonnée». La Turquie ne souhaite pas non plus permettre aux Américains d’utiliser sa base aérienne d’Incirlik (sud), proche de la frontière syrienne, pour des missions de combat, mais uniquement à des fins logistiques et humanitaires.
Craintes
La Turquie redoute de mettre en péril la vie des 46 ressortissants que les djihadistes retiennent depuis juin à Mossoul, dans le nord de l’Irak. «Apparemment, il y a des sensibilités du côté turc que nous respectons», a commenté un diplomate américain interrogé sur le refus d’Ankara. Néanmoins, des responsables américains minimisent les réticences turques, assurant que leur allié préfère agir en coulisses sur le dossier syrien, plutôt que de s’afficher dans une coalition anti-djihadistes. John Kerry s’est entretenu avec son homologue turc, Mevlüt Çavusoglu, et a souligné à ses côtés que les Etats-Unis et la Turquie étaient «des partenaires importants, évidemment au sein de l’OTAN, mais pas seulement», insistant sur la coopération «antiterroriste».
Le ministre turc s’est contenté d’évoquer «les défis et les menaces» que représentent «l’Irak et la Syrie». La Turquie, qui a accueilli 1,2 million de déplacés syriens sur son sol, craint en outre qu’une opération militaire internationale n’augmente le flot de réfugiés et n’aggrave l’insécurité à la frontière turque fragilisée par des incidents réguliers.
A l’occasion de sa visite en Turquie, John Kerry a d’ailleurs annoncé, dans un communiqué, le versement de 500 millions de dollars supplémentaires d’aide humanitaire pour les victimes du conflit en Syrie. Les Etats-Unis ont ainsi alloué environ 2,9 milliards de dollars pour l’assistance humanitaire depuis 2011. Cette nouvelle enveloppe est la plus importante accordée par Washington. Le chef de la diplomatie américaine est attendu aujourd’hui au Caire, où il doit notamment s’entretenir avec le chef de la Ligue arabe, Nabil Al Arabi. Il se rendra ensuite à Paris, où il participera, lundi, à une conférence internationale sur l’Irak.
L’EI compte dans ses rangs entre 20 000 et 31 500 combattants en Syrie et en Irak, selon la nouvelle estimation de l’agence américaine du renseignement (CIA). L’évaluation précédente de la même agence fait état de 10 000 djihadistes membres de l’EI. «La CIA estime que l’Etat islamique rassemble entre 20 000 et 31 500 combattants en Irak et en Syrie, en se fondant sur une nouvelle étude de rapports de toutes les sources de renseignement entre mai et août», a déclaré Ryan Trapani, un porte-parole de l’agence, à l’AFP.
Précédemment, «nous avons compté au moins 10 000 combattants», a-t-il ajouté. La CIA attribue cette hausse à «un recrutement plus vigoureux depuis le mois de juin, après des victoires sur le terrain et la proclamation du califat, une activité plus intense dans les combats et de nouvelles sources de renseignement», a encore expliqué M. Trapani.
L’EI a proclamé un «califat» à la fin du mois de juin avec à sa tête son leader, l’Irakien Abou Bakr Al Baghdadi. Ce califat s’étend sur de larges zones d’Irak et de Syrie conquises par ses combattants.
L’EI a proclamé un «califat» à la fin du mois de juin avec à sa tête son leader, l’Irakien Abou Bakr Al Baghdadi. Ce califat s’étend sur de larges zones d’Irak et de Syrie conquises par ses combattants.
Le président Barack Obama a promis d’«éradiquer» l’Etat islamique en s’attaquant à lui en Irak, mais aussi en Syrie, où l’EI se bat contre le régime de Bachar Al Assad et d’autres groupes rebelles. Les Etats-Unis ont obtenu jeudi le soutien de dix pays arabes à la campagne lancée par le président américain, mais le régime syrien, appuyé par la Russie, a mis en garde Washington contre le lancement de frappes sur son territoire sans son accord.
Rédaction internationale
Et, dans la rubrique, "Ce n'est pas gentil de dénoncer son petit copaine !"
(source : le Quotidien du Peuple)
Barack Obama accuse la France de payer des rançons aux terroristes
( Source: le Quotidien du Peuple en ligne )
15.09.2014 08h27
La vidéo montrant la décapitation de David Haines, qui a été mise en ligne le samedi 13 a une fois de plus suscité l'horreur dans le monde entier. Travailleur humanitaire écossais, il travaillait pour l'ONG française Acted, et avait été enlevé en Syrie en mars 2013. La vidéo mettant en scène l'exécution du journaliste américain Steven Sotloff, les djihadistes de l'Etat islamique l'avait désigné comme la prochaine victime.
Dans un article publié le 13 septembre, avant même que l'atroce nouvelle ne soit connue, le New York Times avait publié un long entretien avec Barack Obama dans lequel le président des Etats-Unis est revenu sur le débat qui ressurgit à chaque prise d'otages et en particulier lorsque des otages sont exécutés: le paiement d'une rançon, exprimant sa « frustration vis-à-vis du fait que les Français paient des rançons aux terroristes, affirmant que les Américains enlevés ont une valeur inférieure parce que les Etats-Unis ne le font pas (...) », ajoutant que « les Etats-Unis ne paient pas de rançons aux terroristes », mais remarquant avec irritation que « le président français François Hollande dit que son pays ne paie pas, alors qu'en fait, oui ».
Selon Joshua Keating, analyste en politique étrangère et journaliste, « La politique américaine consistant à ne pas verser de rançon contraste avec celle de gouvernements européens, qui passent souvent des accords sous le manteau pour ramener leurs citoyens à la maison. La conséquence, c'est que, alors que des dizaines de citoyens européens ont été libérés par des groupes terroristes ces cinq dernières années, très peu d'Américains ou de citoyens britanniques –dont les gouvernements ne paient également généralement pas de rançon– en sont sortis vivants », car, a-t-il précisé, les Etats-Unis refusent notamment de payer des rançons, parce que « l'argent versé aux terroristes a provoqué des dommages indéniables, procurant aux groupes liés à al-Qaida un revenu estimé à 125 millions de Dollars US depuis 2008 ».
Et, quand la course aux armements est reparti pour le plus grand bénéfice du lobby militaro-industriel américain.
(source : idem)
Et,si, nous pensions aux éléphants d'Afrique et d'Inde d'ailleurs, eux ne méritent pas de se faire massacrer.
(source : les Brindherbes engagés)
(source : idem)
L'expansion de l'OTAN jusqu'aux frontières de la Russie est inacceptable
( Source: Xinhua )
15.09.2014 08h22
L'expansion de l'OTAN en attirant de plus en plus de pays voisins de la Russie dans l'alliance est inacceptable, a déclaré samedi le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.
"L'OTAN espère transformer le plus de pays possibles en tant qu'Etat membres, et s'étendre jusqu'aux frontières russes -- c'est inacceptable", a expliqué M. Lavrov dans une interview diffusée par la chaîne moscovite, TVC.
"Nous souhaitons que chaque pays respecte les accords pour garantir une sécurité globale et indivisible dans la région euro-atlantique, et parmi ces accords, l'assurance que l'OTAN ne s'étendra pas vers l'Est joue un rôle décisif", a dit le chef de la diplomatie russe.
M. Lavrov a souligné que le statut non aligné de l'Ukraine, inscrit dans la constitution du pays, était une question de principe pour la Russie.
"Nous sommes convaincus que le choix de Kiev (de rester non aligné) est dans l'intérêt de son peuple et l'intérêt légitime de tous ses voisins et partenaires, et sert également à protéger la sécurité de la région euro-atlantique", a poursuivi M. Lavrov.
Le 3 septembre, le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk a appelé le parlement à rapidement adopter une loi pour abolir le statut de non aligné de l'Ukraine, afin d'ouvrir la voie pour la reprise de la marche du pays vers l'appartenance à l'OTAN.
M. Lavrov a assuré que M. Iatseniouk et "certains autres politiciens" ayant fait auparavant des suggestions similaires agissaient "non dans l'intérêt de leur propre peuple mais de ceux qui cherchent à causer une scission entre l'Ukraine et la Russie et à créer un fossé entre la Russie et l'Europe".
M. Lavrov a estimé que l'initiative venait "avant tout de Washington". "Les Etats-Unis ne cherchent même plus à cacher leurs intentions", a-t-il ajouté.
Le président russe Vladimir Poutine a accusé mercredi les pays occidentaux de provoquer la crise en Ukraine, dont selon lui l'Occident a profité pour ressusciter l'OTAN. Il s'est engagé à prendre des mesures pour renforcer la puissance militaire de Moscou face aux menaces sécuritaires émergentes."
Et,si, nous pensions aux éléphants d'Afrique et d'Inde d'ailleurs, eux ne méritent pas de se faire massacrer.
(source : les Brindherbes engagés)
L’extermination silencieuse des éléphants d’Afrique
L’ivoire est la cause du funeste destin qui menace la plupart des éléphants d’Afrique. C’est ce qui ressort d’une étude menée par la National Academy of Sciences (académie nationale des sciences) selon laquelle au moins 7 % des spécimens encore existants ont été tués chaque année depuis 2010. Les défenses des pachydermes servent à nourrir le marché illégal et très florissant de l’ivoire dont Hong-Kong est la plaque tournante.
La situation n’est pas partout la même sur le continent noir. Si un relatif équilibre avait été trouvé dans les savanes de l’Est et du Sud de l’Afrique entre 2002 et 2009 (avant le récent infléchissement de la population d’éléphants), il n’en est pas de même en Afrique centrale où le nombre des pachydermes n’a cessé de diminuer de façon dramatique.
Le respect de la vie animale n’a jamais été là-bas une priorité. Ebola n’a été qu’une énième catastrophe dans une partie du monde plombée par les guerres, les pénuries et la famine.
L’’ivoire est dans ce contexte une source de financement idéale pour les trafiquants, les gangs criminels et les terroristes. Les Shebab somaliens se financeraient ainsi en grande partie grâce au trafic d’ivoire généré par le braconnage en Afrique de l’ouest, affirme l’ONG Elephant Action League. Selon cette dernière, entre une et trois tonnes d’ivoire transiteraient chaque mois par les ports du sud de la Somalie.
La communauté internationale a tenté de réagir face à cette tragédie. Les principaux pays impliqués dans le commerce de l’ivoire se sont engagés l’an dernier à pénaliser le trafic d’animaux sauvages lors d’un sommet sur la protection des éléphants au Botswana. Hong-Kong a effectué dernièrement des saisies significatives tout en procédant à la destruction des stocks. C’est un signe certes encourageant qui ne cache malheureusement pas les causes du problème.
La pauvreté et les insuffisances de la gouvernance dans les pays où vivent les éléphants, associées à une demande croissante d’ivoire illégal dans les pays consommateurs, notamment asiatiques, expliquent la présente situation.
En juillet 2013, environ trois cents éléphants sont morts empoisonnés au cyanure à Hwange au Zimbabwe. Ce jour-là, il fallait ajouter de nombreuses autres victimes collatérales au massacre : des lions, des vautours, des hyènes, etc., ont péri après avoir dépecé les carcasses d’éléphants. Selon Johnny Rodrigues, le président de l’ONG Zimbabwe Conservation Task Force, les autorités minimisent sciemment les pertes. « On cache beaucoup de choses », a-t-il affirmé. « Ceux qui ont été arrêtés sont du menu fretin sacrifié par des gros poissons qui eux restent intouchables. Il y a parmi eux des hommes politiques et des hommes d’affaires importants ».
On ne compte plus que 500 000 d’éléphants sur le continent africain, contre 1,2 million en 1980, et leur nombre pourrait baisser de 20 % ces dix dernières années si l’hémorragie n’était pas stoppée. Fin août, la douane vietnamienne a saisi plus d’une tonne de défense d’éléphants qui étaient dissimulées dans un container en provenance du Nigéria. L’ivoire, d’un poids de 1.266 kilos, était caché sous des paquets de cacahuètes.
L’ivoire récolté et exporté clandestinement est essentiellement destiné au marché asiatique. Les défenses finissent comme objets d’ornement ou de sculptures d’objets d’art. Il est malgré tout encore tout à fait légal aujourd’hui de chasser l’éléphant en dépit de l’avenir menacé de l’espèce. Le roi Juan Carlos avait défrayé en 2012 la chronique en se blessant lors d’un safari au Botswana. Ce spectacle d’un monarque chassant les éléphants d’Afrique alors que la crise économique frappe de plein fouet les Espagnols avait provoqué à l’époque un véritable malaise dans la péninsule ibérique. Ironie du sort, Juan Carlos était alors le président d’honneur de WWF Espagne.
Capitaine Martin
Tiens, une nouvelle, mes chers cinq lecteurs, sur le front OGM.
Question : Est-ce que Mosanto va envoyer ses mercenaires de black water pour renverser le gouvernement chinois ?
(source : Santé Nutrition)
La Chine décide la fin des recherches sur le maïs et le riz OGM et interdit leurs cultures !
Le ministère chinois de l’Agriculture vient de faire volte face en décidant de ne pas continuer le programme de recherche sur le riz et le maïs OGM.
Certains écologistes disent les préoccupations du public concernant les cultures d’OGM ont joué un rôle clé dans la décision.
Le 17 Août, lorsque ces permis devaient être renouvelés, le ministère de l’Agriculture a décidé de ne pas les proroger.
En 2009, le comité de biosécurité du ministère avait délivré des autorisations pour développer le deux cultures, le riz et le maïs.
Développées par l’Université agricole de Huazhong, près de Wuhan, l’objectif était que les variétés OGM permettraient de réduire l’utilisation des pesticides de 80%, tandis que les rendements seraient augmentés de près de 8%, a déclaré Huang Jikun, responsable scientifique à l’Académie chinoise des sciences, a-t-il déclaré à Reuters en 2009 !
Il était aussi illégal de vendre du riz génétiquement modifié sur le marché libre en Chine.
Cependant, en Juillet, le riz OGM a été trouvé en vente dans un grand supermarché à Wuhan, qui est juste en face de la rizière Yangtze de l’Université agricole de Huazhong, où le produit a été développé, ce qui a provoqué un tollé général.
Cependant, en Juillet, le riz OGM a été trouvé en vente dans un grand supermarché à Wuhan, qui est juste en face de la rizière Yangtze de l’Université agricole de Huazhong, où le produit a été développé, ce qui a provoqué un tollé général.
« Nous croyons qu’il y a des lacunes dans l’évaluation et le suivi de la recherche sur les OGM, ainsi que les préoccupations du public sur les questions de sécurité sont les raisons les plus importantes pour que les autorisations ne soient pas renouvelées, » Wang Jing, un officiel de Greenpeace basé à Pékin, a écrit dans un courriel à « Science-Insider ».
Cong Cao, qui est professeur agrégé à l’Université de Nottingham au Royaume-Uni, a été cinglante de la décision. Écrivant dans la revue « The Conversation », il dit que le mouvement « signale un coup majeur au combat pour établir les aliments OGM en Chine. »
Cao estime que cette décision n’est pas logique, ajoutant que « Le sentiment anti-occidental a été jugé plus convaincant que l’ensemble des études montrant le bien-fondé de l’agro-biotechnologie.
Le soutien du gouvernement pour les aliments OGM est en baisse rapide, et il semble juste de dire que la possibilité de commercialiser le riz OGM, et avec elle la chance d’aider à résoudre certains des problèmes les plus urgents de la Chine, est tout sauf disparu »
Le soutien du gouvernement pour les aliments OGM est en baisse rapide, et il semble juste de dire que la possibilité de commercialiser le riz OGM, et avec elle la chance d’aider à résoudre certains des problèmes les plus urgents de la Chine, est tout sauf disparu »
La production de maïs OGM n’a pas eu autant de scepticisme, car il sert surtout à nourrir le bétail, selon Huang Jikun.
Néanmoins, comme le riz, il n’a pas non plus eu son autorisation renouvelée.
Et, sur le front du califat d'Irak et du levant.
(source : Histoire de la fin de la croissance)
Les « Soldats du califat » ont décide de rompre avec Al Qaïda au Maghreb islamique.
Un nouveau groupe armé algérien, les « Soldats du califat », a annoncé qu’il rompait avec Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et prêtait serment d’allégeance à l’Etat islamique (EI) qui contrôle de vastes régions en Irak et en Syrie.
Dans un communiqué diffusé sur des sites internet djihadistes, Gouri Abdelmalek, alias Khaled Abou Souleïmane, qui était le commandant d’Aqmi pour la région centrale, annonce prendre la tête des « Soldats du califat » et accuse les pays du Maghreb d’avoir « dévié de la juste voie ».
Il précise avoir été rejoint par un autre commandant d’Aqmi dans l’est de l’Algérie. « Vous avez au Maghreb islamique des hommes qui obéiront à vos ordres », ajoute-t-il à l’adresse d’Abou Bakr al Baghdadi, le « calife » de l’EI qui avait lui même abandonné les rangs d’Al Qaïda en 2013.
Un autre groupe islamiste, celui de Mokhtar Belmokhtar, « Ceux qui signent avec leur sang », a aussi rompu il y a plusieurs mois avec Aqmi. Il serait basé actuellement dans le sud de la Libye. Belmohktar est tenu pour responsable de l’attaque contre le complexe gazier de Tiguentourine en janvier 2013 en Algérie, qui a fait des dizaines de morts dont trois Américains.
Et, quand notre président national françois hollande continue à être à côté de ses pompes.
(source : le Monde)
La conférence de Paris s'engage à soutenir l'Irak « par tous les moyens »
Le Monde.fr avec AFP | • Mis à jour le
Réunis à Paris pour une conférence internationale sur la sécurité en Irak, une trentaine de pays ont promis, dans le texte final, de soutenir la lutte de Bagdad contre les djihadistes de l'Etat islamique (EI) « par tous les moyens nécessaires », y compris militaires. Ce soutien sera apporté « dans le respect du droit international et de la sécurité des populations civiles », assure le texte.
Le chef de la diplomatie française, Laurent Fabius, a évoqué devant la presse« à la fois une réunion de gravité et une réunion d'espoir », se félicitant de la présence de « trente pays, qui sont parmi les plus puissants du monde et qui sont dans des situations géographiques, idéologiques diverses, mais qui tous disent “nous avons decidé de lutter contre Daech” [acronyme de l'EI en arabe] ».
« Beaucoup ont insisté ce matin sur la nécessité de tarir le financement de ce groupe terroriste et une conférence sera prochainement organisée à l'initiative de nos amis de Bahreïn en ce sens », a-t-il ajouté.
« NOUS AVONS BESOIN D'UNE INTERVENTION AÉRIENNE »
Les Etats-Unis mènent depuis le 8 août des frappes aériennes contre l'EI dans le nord de l'Irak, et plusieurs pays, dont la France, livrent des armes aux combattants kurdes irakiens, en première ligne dans le combat contre les djihadistes.
La campagne aérienne française a débuté lundi matin en Irak : les Rafale basés à Abou Dhabi, accompagnés d'avions espions – mais pas de drones, employés au Sahel – ont reçu pour ordre d'effectuer les missions de reconnaissance et de renseignement préalables aux frappes envisagées par Paris contre l'Etat islamique.
La rencontre, coprésidée par le chef d'Etat français et son homologue irakien, Fouad Massoum, a rassemblé les représentants d'une trentaine d'Etats, dont le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, et le secrétaire d'Etat américain, John Kerry.
Avant de se rendre au ministère des affaires étrangères français, où se tenait la réunion, M. Massoum, au micro d'Europe 1, a lui aussi appelé la communauté internationale à intervenir rapidement dans son pays :
« Militairement nous n'avons pas besoin de soldats qui se battent sur le terrain en Irak. Nous avons besoin d'une intervention aérienne (…). S'ils tardent, si cette intervention et ce soutien à l'Irak tardent, peut-être que Daech vaoccuper d'autres territoires et leur menace sera plus grande. »
L'IRAN ABSENT DE LA CONFÉRENCE
Le vice-ministre des affaires étrangères iranien, dont le pays n'a pas été invité à la conférence, a déclaré lundi que la meilleure façon de lutter contre « le terrorisme » et les djihadistes était de renforcer les gouvernements irakien et syrien. M. Amir-Abdollahian s'exprimait en recevant la présidente de la commission de la défense du Parlement français, Patrica Adam, en visite à Téhéran.
« La République islamique d'Iran n'attendra aucune coalition internationale pourlutter contre le terrorisme et fera son devoir », a affirmé M. Amir-Abdollahian. L'Iran, puissance chiite régionale, s'est par ailleurs déclaré hostile à toute intervention américaine en Syrie.
L'ayatollah Ali Khamenei, guide suprême de la révolution iranienne, a lui critiquéà la télévision « les déclarations des responsables américains sur la constitution [d'une coalition] contre l'Etat islamique », qui « sont vides de sens, creuses et opportunistes, et les contradictions dans leurs attitudes et déclarations en sont la preuve ».
L'absence de délégation iranienne à Paris, liée notamment au soutien de Téhéran au gouvernement du président syrien, Bachar Al-Assad, a été regrettée par les dirigeants irakiens. D'après le président Fouad Massoum, l'Iran avait fourni dès les premiers jours de l'offensive des djihadistes une aide humanitaire et militaire à l'Irak et aux Kurdes irakiens.
A l'issue de la conférence, le département d'Etat américain a indiqué que les Etats-Unis ne se coordonneraient pas « militairement » avec l'Iran pour luttercontre l'Etat islamique en Irak, mais qu'ils restaient ouverts à la poursuite d'une« discussion diplomatique » sur le sujet."
Sauf que notre président devrait se mettre à la page, la situation évolue constamment en Syrie.
(source : Histoire de la fin de la croissance)
Les rebelles syriens et les jihadistes de l'Etat islamique (EI) ont enterré la hache de guerre au sud de Damas au terme d'un accord, le premier du genre depuis le déclenchement des hostilités entre eux au début de l'année, selon une ONG.
Les insurgés, islamistes ou modérés, ont conclu un cessez-le-feu à Hajar al-Aswad, dans la banlieue sud de la capitale, où les deux adversaires sont présents, explique l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Selon les termes de l'accord, "les deux parties respectent une trêve jusqu'à ce qu'une solution définitive soit trouvée et elles promettent de ne pas s'attaquer car elles considèrent que le principal ennemi est le régime noussaïri", terme péjoratif pour désigner les alaouites, secte dont est issu le chef de l'Etat Bachar al Assad.
Après des revers cuisants subis dans le nord et surtout l'est de la Syrie et à l'issue d'une offensive lancée en juillet, les rebelles avaient réussi à chasser les combattants de l'EI de quatre de leurs bastions au sud-est de Damas, Mesraba et Maydaa, dans la Ghouta orientale, ainsi que de Yalda et Beit Sahem. "Les jihadistes s'étaient alors retranchés dans Hajar al-Aswad, où ils ont une forte présence, précise l'OSDH.
Selon l'ONU, plus de 191.000 personnes sont mortes depuis le début de la guerre en Syrie, commencée en mars 2011 par une contestation pacifique devenue insurrection armée à la suite de la répression menée par le régime. Elle a pris depuis une tournure encore plus complexe, les rebelles combattant désormais à la fois le régime et l'EI."
En plus, il semble ne pas être au courant que l'Iran devient un partenaire incontournable dans la lutte contre le califat de l'Irak et du levant, surtout, si, les américains n'y vont pas, ce seront les iraniens qui iront y mourir.
(source : idem)
Le ministre bahreïni des Affaires étrangères a demandé la participation de l'Iran à la réunion internationale, à Paris, sur la lutte contre le groupe terroriste Daesh.
Vendredi soir, Cheikh Khaled Ben Ahmed Al-e Khalifa a salué la décision de l'Iran de se joindre à la communauté mondiale, pour lutter contre le groupe terroriste Daesh, a écrit le quotidien bahreïni, Gulf Daily News.
"L'Iran est un pays puissant, dans la région, d'autant plus que sa participation à la réunion de lundi, à Paris, serait efficace, dans la lutte contre Daesh", a affirmé Cheikh Khaled Ben Ahmed Al-e Khalifa. «Nous saluons l'intérêt que porte l'Iran à la contribution à la lutte contre Daesh.
Nous souhaitons parvenir avec les autres participants à une feuille de route, à ce propos», a-t-il indiqué, lors d'une réunion tenue à l'initiative d'Amr Moussa, l'ancien secrétaire général de la Ligue arabe.
bbb
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