Salut à la corruption européenne, estimée à 120 milliards d'euros, l'équivalent du budget européen.
Finalement, mes chers cinq lecteurs, ce sont les américains qui bougent au sujet de l'accord de zone de libre échange entre l'Europe et les Etats-Unis.
En Europe, les élus, à part quelques uns, démontrent qu'ils sont encore plus inféodés à la finance et aux multinationales.
En France, un bonus, spécialement pour les élus du gouvernement hollande et de la droite, Ump. Silence généralisé, un grand Bravo !
Au moins aux States, il y a un lever de boucliers pour défendre le citoyen européen.
En France, en Allemagne et en Angleterre, le silence des Abysses !
Alors, corrompus, pas corrompus ?
En tout cas, les ricains sont pas des cons !
(source : www.contexte.com)
Pendant ce temps, en France, le ministre de l'agriculture réfléchit.
Il diminue les réglementations sur les porcheries qui en Bretagne pollue toutes les nappes phréatiques, les source, les rivières et provoque la prolifération d'algues vertes toxiques sur les place de cette même Bretagne et des départements environnants.
Mais, l'idée est bonne, à réfléchir.
(source ; Sud Ouest)
Et, oui, mes chers lecteurs, ils réfléchissent les membres du gouvernement social-libéral français.
Comme les banques françaises qui continuent, malgré leurs déclarations, à prendre des frais financiers exagérés sur les comptes courants et qui d'un autre côté font des "AFFAIRES" tout aussi illégales démontrant par là qu'elles sont IMMORALES.
Mais, cela, on le savait.
(source : Challenges)
Et, dans la rubrique, "On rigole comme des fous".
(source : 7 sur 7)
Tiens, cela me rappelle Véolia à Paris qui fait payer le tri sélectif et qui balance tout dans le même four.
Mais, passons, car, dans la rubrique, ils continuent à nous prendre pour des cons.
(source : terresacree.org)
En novembre 2013, la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (DGCCRF) annonçait les résultats d'une de ses enquêtes, concernant d'une part des aliments contaminés par des plantes génétiquement modifiées (PGM) non autorisées ; et d'autre part, des aliments non correctement étiquetés.
Un article de Pauline VERRIERE, publié par infogm.org et relayé par SOS-planete
Et, pour finir des nouvelles du Dannemark après l'achat par Goldman Sachs d'une entreprise publique.
(source : La Tribune)
538 mots | - Six ministres danois ont démissionné après la vente d'une entreprise publique d'énergie, Dong, à la banque américaine Goldman Sachs.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Finalement, mes chers cinq lecteurs, ce sont les américains qui bougent au sujet de l'accord de zone de libre échange entre l'Europe et les Etats-Unis.
En Europe, les élus, à part quelques uns, démontrent qu'ils sont encore plus inféodés à la finance et aux multinationales.
En France, un bonus, spécialement pour les élus du gouvernement hollande et de la droite, Ump. Silence généralisé, un grand Bravo !
Au moins aux States, il y a un lever de boucliers pour défendre le citoyen européen.
En France, en Allemagne et en Angleterre, le silence des Abysses !
Alors, corrompus, pas corrompus ?
En tout cas, les ricains sont pas des cons !
(source : www.contexte.com)
Revers en série pour l’accord transatlantique
Une fronde sans précédent s’élève contre Barack Obama au lendemain de son discours sur l’état de l’Union. Le blanc-seing donné à l’exécutif pour négocier les accords internationaux (fast track) est refusé par les parlementaires.
Un missile tiré de son propre camp… En guise de commentaire à son discours sur l’état de l’Union, Obama a vu sa majorité, emmenée par le chef de file des démocrates au Sénat, Harry Reid, rejeter toute idée de « fast track » .
Le Président des Etats-Unis venait pourtant de rappeler toute l’importance de ce mandat donné par les parlementaires au gouvernement pour conclure les traités commerciaux en cours de négociation avec l’Asie (TPP) et l’Union européenne (TTIP).
Cette procédure évite les querelles de clocher et accélère la conclusion des négociations, mais court-circuite sévèrement les représentants démocratiquement élus. Car à l’issue des discussions, les parlementaires disposent uniquement d’un pouvoir d’aval ou de veto, sans aucune marge d’amendement ou de blocage.
Négociations obscures
L’administration américaine pilote pour l’heure le processus dans une opacité générale souvent décriée par les parlementaires, de facto tenus à l’écart des négociations.
Elle agit comme si un nouveau fast track avait été voté (le précédent est caduc depuis 2007). Et espère convaincre le Congrès à temps pour bénéficier d’un nouveau mandat.
Rupture consommée
Le principal allié d’Obama, le sénateur Max Baucus, vient de quitter son poste de président de la commission des Finances du Sénat pour celui d’ambassadeur en Chine.
Sa proposition de Bipartisan Congressional Trade Priorities Act, présentée début janvier, restera sans doute lettre morte en dépit de l’engagement présidentiel.
Un nouvel appel a été lancé par une coalition d’ONG pour rejeter la proposition de loi et un courrier au Congrès signé par plus de 550 groupements.
L’une de ces ONG, l’Electronic Frountier Foundation, rappelle sur son site que plus de 170 Représentants, démocrates ou républicains, ont déjà fait part de leurs préoccupations sur le sujet et, peu à peu, les bruissements de la fronde laissent place à une rupture consommée.
« Je suis contre le fast-track », a réaffirmé Reid mercredi 29 janvier, « et tout le monde ferait bien de s’abstenir de soutenir ce texte. »
Obama en a-t-il vraiment envie ?
Le revers est sérieux pour des négociations qui prennent un tour compliqué par ailleurs.
C’est une chose que la Commission européenne ait décidé, le 21 janvier, d’interrompre le volet des négociations du TTIP consacré au mécanisme d’arbitrage des différends entre Etats et entreprises - le temps, dit-elle, de se livrer à une consultation étendue sur la question.
C’en est une autre de voir fleurir les critiques liées à la fois à la forme des négociations, menées sans mandat défini, et à leur contenu. La démocrate Rosa DeLauro, membre de la Chambre des Représentants a déclaré :
« Je soutiens volontiers les propositions d’Obama ( …) mais il est exclu de défendre une procédure destinée à faire passer un accord néfaste pour les travailleurs et les consommateurs américains. »
Reste à savoir si le président est prêt à s’investir autant que nécessaire pour convaincre son propre camp, interrogeait le Wall Street Journal dans son éditorial de mercredi :
« A moins qu’il ne tienne pas à ces accords de libre-échange autant qu’il le prétend et cherche à trouver une excuse politique pour les abandonner » …
Pendant ce temps, en France, le ministre de l'agriculture réfléchit.
Il diminue les réglementations sur les porcheries qui en Bretagne pollue toutes les nappes phréatiques, les source, les rivières et provoque la prolifération d'algues vertes toxiques sur les place de cette même Bretagne et des départements environnants.
Mais, l'idée est bonne, à réfléchir.
(source ; Sud Ouest)
Énergie : Le Foll préfère la méthanisation au gaz de schiste
"Commençons par valoriser" le méthane directement disponible plutôt que de forer à 1 500 m de profondeur pour extraire les gaz de schiste, estime le ministre de l'Agriculture
L
e ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, a affirmé jeudi que la méthanisation "est en train de décoller", estimant qu'avant d'explorer les gisements de gaz de schiste, il convient d'exploiter le méthane naturellement disponible.
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"Avant d'aller chercher des gaz de schiste à 1 500 m de profondeur, commençons par valoriser le gaz qui se trouve dans la matière organique dont nous disposons", a affirmé le ministre, lors d'une visite au salon Biogaz, consacré à la méthanisation, à Saint-Brieuc.
"La méthanisation est en train de décoller, c'est le message que je veux faire passer. Il faut maintenant organiser son développement", a souligné Stéphane Le Foll.
Le ministre a annoncé sa volonté de simplifier les démarches administratives d'autorisation pour l'installation d'unités de méthanisation, à l'instar de la simplification engagée récemment pour les installations classées (ICPE), les porcheries en particulier.
"Il faut aller plus vite (...) avec un dossier unique pour une installation" et non pas un dossier par administration, a-t-il dit. "L'expérimentation de ces procédures d'allègement devra se faire en mars 2014", a-t-il indiqué.
Le méthanisation de matières organiques, comme les lisiers ou les déchets agroalimentaires, est présentée comme une source d'énergie renouvelable et comme une possibilité de revenu supplémentaire pour les exploitants agricoles notamment."
Et, oui, mes chers lecteurs, ils réfléchissent les membres du gouvernement social-libéral français.
Comme les banques françaises qui continuent, malgré leurs déclarations, à prendre des frais financiers exagérés sur les comptes courants et qui d'un autre côté font des "AFFAIRES" tout aussi illégales démontrant par là qu'elles sont IMMORALES.
Mais, cela, on le savait.
(source : Challenges)
Libye: La Société Générale dans le collimateur de la justice américaine
La banque française est soupçonnée de ne pas avoir respecté les lois anti-corruption dans ses opérations avec le fonds souverain libyen.
Plusieurs banques dont Société Générale sont soupçonnées par la justice américaine d'avoir violé les lois anti-corruption du pays dans leurs opérations avec le fonds souverain libyen, rapporte lundi 3 janvier le Wall Street Journal.
Le département américain de la Justice (DOJ) vient de se joindre à cette enquête qui dure depuis plusieurs mois déjà, et à laquelle participe également le gendarme boursier (SEC), indique le journal évoquant une source proche.
Outre la française Société Générale, les autorités examinent des opérations des banques américaines Goldman Sachs et JPMorgan Chase, de l'helvète Crédit Suisse et des fonds Blackstone et Och-Ziff Capital Management, selon le WSJ.
La banque au logo rouge et noir est également dans le viseur du fonds souverain libyen (Libyan Investment Authority, LIA) , affirme le quotidien britannique The Independant.
Le LIA a entamé la semaine dernière une procédure judiciaire contre Goldman Sachs, accusé d'avoir "délibérément mis à profit" l'inexpérience de ses responsables pour empocher 350 millions de dollars de profit sur un milliard de dollars de transaction.
Selon The Independant, "Société Générale serait la prochaine sur la liste".
Sollicitée par l'AFP, la banque n'a pas souhaité commenter ces informations.
(source : 7 sur 7)
La compagnie d'électricité japonaise Tokyo Electric Power (Tepco), connue dans le monde entier depuis la catastrophe atomique de Fukushima, a affiché vendredi un profit net énorme pour les 9 premiers mois de son exercice 2013-2014, grâce aux aides étatiques et à une augmentation des tarifs de l'électricité.
La compagnie présente un bilan net artificiel de 773 milliards de yens (près de 6 milliards d'euros) qui repose sur les fonds qu'elle reçoit par avance afin de dédommager les victimes du drame. Incapable de faire face seule non seulement au coût exorbitant des travaux à Fukushima mais aussi aux compensations financières des personnes affectées par le drame nucléaire, Tepco reçoit régulièrement de l'argent de la part d'un fonds de soutien financé par l'Etat et toutes les compagnies d'électricité. Le total des sommes accordées à ce jour s'élève déjà à environ 4.800 milliards de yens (plus de 34 milliards d'euros au cours actuel). Tepco est toutefois censée reverser cet argent rapidement aux résidents évacués de Fukushima, puis le rembourser ultérieurement aux autorités.
Au cours des 9 mois d'avril à décembre 2013, les recettes de ventes d'électricité de Tepco ont bondi de plus de 10% en dépit d'une légère baisse de consommation. Les factures d'électricité des clients particuliers et des entreprises ont été augmentées d'autant, avec la bénédiction du gouvernement, pour aider la compagnie à se tirer de la mauvaise passe qu'elle traverse. En facturant plus les consommateurs, Tepco compense le surcoût du pétrole et du gaz naturel achetés en énormes quantités pour faire tourner à plein régime ses centrales thermiques afin de combler le manque dû à l'extinction totale de son parc de réacteurs nucléaires.
Au cours des 9 mois d'avril à décembre 2013, les recettes de ventes d'électricité de Tepco ont bondi de plus de 10% en dépit d'une légère baisse de consommation. Les factures d'électricité des clients particuliers et des entreprises ont été augmentées d'autant, avec la bénédiction du gouvernement, pour aider la compagnie à se tirer de la mauvaise passe qu'elle traverse. En facturant plus les consommateurs, Tepco compense le surcoût du pétrole et du gaz naturel achetés en énormes quantités pour faire tourner à plein régime ses centrales thermiques afin de combler le manque dû à l'extinction totale de son parc de réacteurs nucléaires.
Tiens, cela me rappelle Véolia à Paris qui fait payer le tri sélectif et qui balance tout dans le même four.
Mais, passons, car, dans la rubrique, ils continuent à nous prendre pour des cons.
(source : terresacree.org)
Cette actualité a été publiée le 03/02/2014 à 21h47 par jacques.
OGM : LA DGCCRF REFUSE DE COMMUNIQUER LES DÉTAILS D'UNE ENQUÊTE, INF'OGM SAISIT LA CADA
- EDITEUR de l'actualité (sans http://www.) : infogm.org
Mais aucune précision sur les produits concernés. Inf'OGM a donc demandé à la DGCCRF la communication des résultats détaillés de cette enquête. Refus de celle-ci, car de tels documents ne seraient pas communicables du fait de « leur caractère judiciaire », c'est-à-dire susceptibles d'être à l'origine de poursuites au vu des infractions constatées.
Cette réponse n'a pas satisfait Inf'OGM compte tenu de l'importance de ces informations. Les consommateurs n'ont-ils pas le droit d'être pleinement informés des produits qui contiennent des OGM alors même que ceux-ci n'ont pas reçu d'autorisation ni même été évalués ? Même retirés du marché, ces produits ont pu être achetés et consommés avant l'enquête. Il nous a donc semblé indispensable de connaître à la fois les produits concernés et les entreprises qui sont moins rigoureuses sur leur contrôle, ou qui oublient d'étiqueter...
Inf'OGM a donc saisi la Commission d'accès aux documents administratifs (CADA) pour obtenir les détails de cette enquête. À la CADA maintenant de déterminer si, oui ou non, de tels documents doivent effectivement être rendus publics.
Et, pour finir des nouvelles du Dannemark après l'achat par Goldman Sachs d'une entreprise publique.
(source : La Tribune)
Le gouvernement danois implose après la vente d'une entreprise à Goldman Sachs
"Nous avons maintenu nos positions sur Dong jusqu'au bout", a indiqué lors d'une conférence de presse la ministre des Affaires sociales et de l'Intégration, Annette Vilhelmsen. Membre de la direction du Parti populaire socialiste, plus à gauche que les sociaux-démocrates qui dirigent la coalition de gouvernement, elle a présenté sa démission jeudi.
En novembre, l'exécutif avait signé un accord en vue d'une augmentation de capital à laquelle la"Firme" apportait 8 milliards de couronnes (1,1 milliard d'euros), acquérant ainsi 19% du capital.
Goldman Sachs, un "partenaire louche"
Malgré le soutien du ministre des Finances Bjarne Corydon (socio-démocrate), cet accord, qui voit passer la part publique de 81% à 60% dans Dong, a été contesté par une parti de l'opinion et de la classe politique.
L'ancien Premier ministre socio-démocrate Poul Nyrup Rasmussen, par exemple, s'est insurgé contre un deal aux allures de "catastrophe" avec un "partenaire louche" :
Le Danemark risque de perdre sa position de leader mondial dans le green business. Ca me blesse presque physiquement de voir ce qui est en train de se passer.
Coalition maintenue
Le Parti populaire socialiste danois, allié de la chef de gouvernement Helle Thorning, était fermement opposé à la transaction. En se retirant, il va priver le gouvernement, en place depuis l'automne 2011, de six ministres.
Toutefois le gouvernement ne devrait pas avoir à démissionner, car Annette Vilhelmsen a précisé que le Parti populaire socialiste, qui détient 16 sièges au Parlement (sur 179), ne basculera pas dans l'opposition.
"Politique de droite"
L'épisode, qualifié de "goutte d'eau faisant déborder le vase" par le Financial Times (lien en anglais) fragilise toutefois le gouvernement de gauche. En effet, explique le quotidien britannique, de nombreux électeurs se sentent trahis par le gouvernement et dénoncent de nombreuses promesses non tenues.
"Le gouvernement est déjà au plus bas dans les sondages, cette affaire ne va pas aider", a réagi auprès de Bloomberg (lien en anglais) le professeur de Sciences politiques de l'université de Copenhague, Jens Hoff. "L'électorat de base s'enfuit car les socio-démocrates comme les Socialistes considèrent cela comme une mauvaise idée".
Jens Hoff, qui parle de "privatisation", explique que cela fait "accrédite la thèse d'un gouvernement socio-démocrate conduisant une politique de droite".
"Investissement de long terme"
De son côté, le ministre des Finances Corydon, cité par Bloomberg (lien en anglais) a rétorqué qu'il s'agissait "d'une des plus grands entreprises du Danemark", qui a besoin"de toute urgence d'une injection de capital pour éviter de ralentir". "La situation est bien trop grave pour être employé à des fins politiques."
Dong Energy , l'un des services publics européens aux prises avec une dette élevée et une faible demande d'énergie, est un producteur de pétrole, de gaz naturel et d'électricité (éolienne et thermique) qui a réalisé en 2012 un chiffre d'affaires de 67,2 milliards de couronnes (9 milliards d'euros).
Se refusant "par principe" à tout commentaire sur la situation politique au Danemark, Goldman Sachs a pour sa part assuré qu'il s'agissait d'un "investissement de long terme" :
Nous soutenons la stratégie actuelle de l'équipe de gestion dans l'ensemble des activités de la société, y compris les investissements significatifs dans les énergies renouvelables
Bien le bonjour chez vous.
René.
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