Salut à tous les citoyens russes, l'Ukraine est votre exemple !
Bon, mes chers cinq lecteurs, si, nous parlions de ce dont personne ne parle.
Ah, cette industrie alimentaire, quel bonheur !
(source : R-éveillez-vous)
Et, une bonne nouvelle.
(source : Sciences et Avenir)
Très concluant, mes chers lecteurs, sauf que pour la recherche, il faut de l'argent. Peut-être que si le gouvernement récupérait l'argent de la fraude fiscale, il pourrait à nouveau financer la recherche publique au lieu de la laisser au secteur privé qui en profite pour nous dépouiller joyeusement.
Parce qu'il y a à faire, croyez-moi, concernant la fraude fiscale.
A croire que le gouvernement se contente des lampistes pour ne pas embêter les gros poissons.
(source : votreargent.lexpress.fr)
En savoir plus sur http://votreargent.lexpress.fr/impots/evasion-fiscale-petite-lecon-de-calcul-a-l-attention-du-ministre-du-budget_360304.html#xyH7K6jMYcQqDHb4.99
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Et, un avertissement, UN !
La crise arrive mes chers lecteurs, Soros, le financier spéculateur parie sur une chute de Wall Street et autre signe qui ne trompe pas, les banquiers sautent des grattes ciel.
Ce qu'ils n'ont pas fait lors de la précédente.
(source : reseauinternational.net)
Ce que cela pourra signifier pour nous, mes chers lecteurs, si, celle-là, à venir est la bonne ?
On ne pourra plus tirer d'argent, tout simplement !
Nos gouvernements sont au courant ?
Sans doute, bien que le gouvernement américain mente comme un arracheur de dent sur l'état réel du pays.
Qui vivra, verra, comme on dit.
Bon, à part cela, sur cette mauvaise nouvelle, je vous tire ma révèrence.
Bien le bonjour chez vous.
René.
Bon, mes chers cinq lecteurs, si, nous parlions de ce dont personne ne parle.
Ah, cette industrie alimentaire, quel bonheur !
(source : R-éveillez-vous)
IRRADIATION DES ALIMENTS ?
PERSONNE N’EN PARLE ! ALORS PARLONS-EN !
Quelques notions concernant l’irradiation des aliments (improprement appelée ionisation)
Que signifie irradier les aliments ?
Lorsqu’on parle des aliments irradiés, il ne s « agit pas de ces végétaux qui ont été contaminés par des particules radioactives de Tchernobyl, » en infraction avec les autorisations officielles d’entrée sur notre territoire des dites particules… «
Il s’agit d’un traitement volontaire des aliments dans des installations aménagées spécialement à cet effet. Ces aliments sont soumis à un rayonnement radioactif de type » gamma » (par cobalt 60) ou de type » bêta » par des moyens électriques (accélérateurs de particules).
Dans quel but ?
Le but affiché : débactériser, désinsectiser ou prolonger la conservation de l’aliment
Est-ce justifié ?
Sans micro-organismes, dont les bactéries, point de vie possible. L’irradiation provoque une destruction incontrôlée des bactéries utiles comme celles qui le sont moins, et de toute évidence un bouleversement du milieu vivant, aux conséquences imprévisibles. C’est l’idéologie Pasteurienne, associée avec les impératifs d’une agriculture industrialisée et d’un commerce à l’échelle mondiale, qui prétendent justifier un tel traitement. C’est la course à l’économie et au profit qui pousse à de telles méthodes et pas la qualité nutritionnelle.
Conséquences
1-Ce rayonnement intense, administré selon des doses extrêmement élevées, (1 à 10 Kgy soit 100 rad à 1 million de Rad) a des conséquences qui vont bien au-delà du but recherché. Il provoque, en effet la formation de radicaux libres qui en se recombinant de diverses façons forment de nouvelles molécules inconnues : les produits de radiolyse. On ne connaît pas le comportement de ces nouvelles molécules, ni leur impact sur la santé. Ceci est reconnu de pus en plus par le milieu scientifique.
2- Les effets sur la substance ainsi traitée sont multiples mais sont minimisés par la communauté scientifique en charge de ces questions. Bien qu’ils aient conservé leur aspect habituel, ces aliments sont non seulement appauvris en nutriments, vitamines et oligo-éléments, mais voient leur ADN altéré plus ou moins profondément. On peut redouter à juste raison que la consommation de tels aliments les mêmes conséquences que celles attribuées à la consommation d’aliments génétiquement modifiés.
3- La législation française et européenne est très floue sur l’obligation d’information du consommateur. Ces aliments ne sont pas étiquetés dans les lieux de vente et rien ne les distingue des autres aliments qui ne sont pas irradiés. Ils sont absolument non reconnaissables une fois sortis
de l’usine de traitement. Ils sont déclarés sans danger pour la santé une fois pour toute par l’O.M.S,
l’ A.I.E.A et la F.A.O !!!
de l’usine de traitement. Ils sont déclarés sans danger pour la santé une fois pour toute par l’O.M.S,
l’ A.I.E.A et la F.A.O !!!
Pour plus de renseignements :
Association AIDAS Quartier l’Olagnier Route de Beauvallon 26800 PORTES LES VALENCES
Pour plus d’information :
http://www.actionconsommation.orghttp://www.mdrgf.org
http://www.ecoforum.fr
Contacts :
Par ailleurs, une pétition électronique est lancée en partenariat avec l’association Cyberacteurs (http://www.cyberacteurs.org/actions/action.php?id=74).
10 bonnes raisons
de s’opposer à l’irradiation des aliments
de s’opposer à l’irradiation des aliments
Les entreprises d’irradiation des aliments, l’industrie agro-alimentaire et les autorités publiques de plusieurs pays répètent depuis près d’un demi-siècle que les personnes qui consomment des aliments irradiés n’ont rien à craindre. D’après eux, les aliments irradiés ne perdent ni leurs qualités nutritives, ni leur goût et sont parfaitement sains. D’après eux, la recherche démontre que les aliments irradiés sont sans danger pour la consommation humaine. Ils prétendent que les usines d’irradiation sont sûres. Et que l’irradiation n’a pas de conséquences économiques néfastes. Voici 10 raisons qui montrent qu’ils se trompent.
1- Les études menées depuis les années 1950 ont révélé un grand nombre de problèmes de santé chez les animaux ayant consommé de la nourriture irradiée. Au nombre de ces affections on trouve : des morts prématurées, une forme rare de cancer, des animaux morts-nés et autres problèmes de reproduction, des mutations et autres problèmes génétiques, des dysfonctionnements d’organes, des malformations lors de la croissance et des carences en vitamines. (1), (2), (3), (4)
2- L’irradiation permet de cacher les mauvaises conditions d’hygiène de certains abattoirs et entreprises de conditionnement, qui entraînent la contamination de la viande par des éléments pathogènes. En effet, si l’irradiation peut tuer la plupart des bactéries, elle ne peut en aucun cas éliminer les traces d’excréments, d’urine, de pus et de vomis qui peuvent se retrouver sur la viande, qu’elle soit de bœuf, de porc, de poulet ou autres. (5), (6).
3- L’irradiation met en jeu différents types de rayonnements ionisants – des faisceaux d’électrons, des rayons gamma et des rayons X – qui bouleversent la composition chimique de la matière qu’ils traversent. De nombreux corps chimiques nouveaux, appelés » radicaux libres « , sont produits par l’irradiation. Certains d’entre eux n’existent pas dans la nourriture à l’état naturel et la FDA (Agence américaine de l’alimentation et des médicaments) n’a pas effectué d’étude suffisante pour prouver leur innocuité. On vient de démontrer qu’un de ces éléments, nommé 2-ACBs, pouvait induire un processus de cancérisation et des altérations génétiques chez le rat,
et pouvait occasionner des lésions génétiques et cellulaires, chez l’homme comme chez le rat. (7), (8), (9), 10).
et pouvait occasionner des lésions génétiques et cellulaires, chez l’homme comme chez le rat. (7), (8), (9), 10).
4- L’irradiation détruit et altère, et de façon parfois très significative, les vitamines, les protéines, les acides gras essentiels et d’autres composants alimentaires. Le procédé peut détruire jusqu’à 80% de la vitamine A contenue dans les œufs et 48% du beta carotène contenu dans le jus d’orange. La FDA a néanmoins donné son accord pour l’irradiation de ces produits. (11), (12).
5- En donnant leur aval à l’irradiation des aliments, la Food and Drug Administration américaine et l’Organisation Mondiale pour la Santé ont toutes les deux omis de prendre en compte un grand nombre d’études montrant que les produits irradiés ne sont pas sans danger pour la consommation humaine. (13), (14).
6- Par le simple fait qu’elle prolonge la durée de vie des aliments et qu’elle utilise des installations centralisées, l’irradiation risque d’accélérer le processus de mondialisation et de concentration de la production, de la distribution et de la vente des produits alimentaires entre les mains de quelques multinationales. Cette tendance a d’ores et déjà pour conséquence la diminution radicale du nombre des exploitations au Nord comme au Sud, la mise en cause de la diversité de la production et le bouleversement des économies locales dans les nations en voie de développement.
7- L’irradiation peut aggraver les problèmes auxquels sont confrontées les petites exploitations agricoles, en facilitant l’importation de produits alimentaires bon marché. Des installations d’irradiation ont été construites dans de nombreux pays exportateurs de fruits, de légumes et de viande, parmi lesquels l’Argentine, l’Australie, le Brésil, le Chili, le Mexique et la Nouvelle-Zélande. Le Brésil, qui est déjà un gros exportateur de viande, est aujourd’hui présenté comme le producteur de fruits n°1 mondial. .
8- L’irradiation peut modifier le goût, l’odeur et la consistance de la nourriture, en la rendant parfois peu appétissante. La viande de porc peut devenir rouge et la viande de bœuf peut prendre une odeur de chien mouillé. De même, il arrive que les fruits et les légumes deviennent spongieux. (15), (16), (17)
9- Les installations d’irradiation peuvent polluer l’air et présenter des risques pour les employés et l’environnement. Les installations utilisant des accélérateurs linéaires libèrent de l’ozone qui provoque un brouillard. Un grand nombre d’accidents et d’infractions dans les installations d’irradiation dans le monde entier ont entraîné des blessures et même des décès. En 1988, après plus de 30 infractions (dont des déchets radioactifs mis à la poubelle) relevées par l’autorité de sûreté nucléaire américaine (Nuclear Regulatory Commission), le président d’une entreprise d’irradiation du New Jersey, a été inculpé pour un grand nombre de délits, et en particulier pour avoir trompé la NRC. Le président, qui menaçait de licencier les employés refusant de mentir aux inspecteurs de l’autorité de sûreté, s’est vu infliger 2 ans de prison. (18).
10- Dans un proche avenir, il est possible que certaines installations d’irradiation utilisent le césium 137, un déchet hautement radioactif provenant de la fabrication d’armement nucléaire. Ce matériau est dangereux et instable. En 1988, une fuite de césium 137, près d’Atlanta, a entraîné des opérations de décontamination qui ont coûté 40 millions de dollars aux contribuables. (10).
Public Citizen
Notes :(1) A Broken Record : How the FDA Legalized – and Continues to Legalize – Food Irradiation Without Testing it for safety. Washington, D.C. : Public Citizen, Cancer Prevention Coalition, Global Resource Action Center for the Environment, Oct. 2000.(2) Kesavan, P.C., Swaminathan, M.S. « Cytotoxic and mutagenic effects of irradiated substrates and food material. » Radiation Botany, 11:253-181, 1971.(3)énbsp ;Schubert, J. « Mutagenicity and cytotoxicity of irradiated foods and food components. » Bulletin of the World Health Organization, 41:873-904, 1969.(4) Spiher, A.T. « Food Irradiation : An FDA Report. » FDA Papers, Oct. 1968.(5) Nestor, F. and Hauter, W. The Jungle 2000 : Is America’s Meat Fit to Eat ? Washington, D.C. : Government accountability Project, Public Citizen, Sept. 2000.(6) Piccioni, R. « Food irradiation : Contaminating our food. » The Ecologist, 18:2:48-55.(7) Delincee, H. and Pool-Zobel, B. Genotoxic properties of 2-dodecylcyclobutanone, a compound formed on irradiation of food containing fat. Radiation Physics and Chemistry, 52 : 39-42, 1998. _(8) Delincee, H. et al. Genotoxicity of 2-dodecylcyclobutanone. Food Irradiation : Fifth German Conference, Karlsruhe, November 11- 13, 1998.(9) Delincée, H. et al. « Genotoxicity of 2-alkylcyclobutanones, markers for an irradiation treatment in fat-containing food – Part I : cyto- and genotoxic potential of 2-tetradecylcyclobutanone. » Radiation Physics and Chemistry, 63:431-435, 2002.(10) D. Burnouf, H. Delincée, A. Hartwig, E. Marchioni, M. Miesch, F. Raul, D. Werner (2001), Etude toxicologique transfrontalière destinée à évaluer le risque encouru lors de la consommation d’aliments gras ionisés – Toxikologische Untersuchung zur Risikobewertung beim Verzehr von bestrahlten fetthaltigen Lebensmitteln – Eine französisch-deutsche Studie im Grenzraum Oberrhein, Rapport final d’étude Interreg II, projet N° 3.171. BFE-R-02-02, Federal Research Centre for Nutrition, Karlsruhe, Germany.(11) FDA Memorandum, from Kim Morehouse, Ph.D. to William Trotter, Ph.D. April 11, 2000.(12) FDA Memorandum, from Antonio Mattia, Ph.D. to William Trotter, Ph.D. Nov. 2, 1999.
(13) Op. cit, Note 1.
(14) Bad Taste : The Disturbing Truth About the World Health Organization’s Endorsement of Food Irradiation. Washington, D.C. : Public Citizen, October 2002.
(15) Webb, T. et al. Food Irradiation : Who Wants It ? Rochester, Vermont : Thorsons Publishers, 1987.
(16) Huang, S. et al. « Effect of electron beam irradiation on physical, physicochemical and functional properties of liquid egg during frozen storage. » Poultry Science, 76:1607-15, 1997.(17) Wong, Y.C. et al. « Comparison between irradiated and thermally pasteurized liquid egg white on functional, physical and microbiological properties. » Poultry Science, 75:803-808, 1996. (18) « Executive convicted in radiation spill. » North Jersey Advocate, Oct. 30, 1986. (19) « Last radioactive capsules taken from DeKalb plant. » Macon Telegraph, Nov. 20, 90.
(13) Op. cit, Note 1.
(14) Bad Taste : The Disturbing Truth About the World Health Organization’s Endorsement of Food Irradiation. Washington, D.C. : Public Citizen, October 2002.
(15) Webb, T. et al. Food Irradiation : Who Wants It ? Rochester, Vermont : Thorsons Publishers, 1987.
(16) Huang, S. et al. « Effect of electron beam irradiation on physical, physicochemical and functional properties of liquid egg during frozen storage. » Poultry Science, 76:1607-15, 1997.(17) Wong, Y.C. et al. « Comparison between irradiated and thermally pasteurized liquid egg white on functional, physical and microbiological properties. » Poultry Science, 75:803-808, 1996. (18) « Executive convicted in radiation spill. » North Jersey Advocate, Oct. 30, 1986. (19) « Last radioactive capsules taken from DeKalb plant. » Macon Telegraph, Nov. 20, 90.
Remarque : Un document de 6 pages réalisé par l’ONG américaine » Public Citizen » est disponible auprès du MDRGF sur simple demande par email à : courrier@mdrgf.org
IRRADIATION DES ALIMENTS :
QUELS PRODUITS SONT CONCERNES ?
QUELS PRODUITS SONT CONCERNES ?
Les produits qui peuvent être légalement irradiés en France
Liste obligatoire de l’ Union Européenne
Liste spécifique à la France
Bibliographie
o La bouffe d’égout, F. Perruca et G. Pouradier, ed. j’ai lu.
o Des poubelles dans nos assiettes, F. Perruca et G. Pouradier, ed. livre de poche.
o Que mangeons-nous vraiment ? Docteur Wolf, Otto, ed. les trois arches.
Et, une bonne nouvelle.
(source : Sciences et Avenir)
Leucémie : l'espoir de l'immunothérapie
Des malades atteints d'une leucémie avancées sont en rémission complète après un essai clinique testant une immunothérapie.
CANCER. 88 % des malades atteints d'une leucémie avancée sont en rémission complète après une immunothérapie, un traitement qui dope le système immunitaire, très prometteur contre ces cancers du sang ayant résisté à l'arsenal thérapeutique conventionnel.
Les résultats de cet essai clinique mené avec 16 patients, le plus étendu à ce jour avec l'immunothérapie contre une leucémie agressive, ont été publiés mercredi 19 février dans la revue médicale américaine Science Translational Medicine.
Nos résultats initiaux, avec cinq malades en mars 2013, se sont confirmés dans un plus grand groupe de patients
"Ces résultats extraordinaires démontrent que la thérapie cellulaire est un traitement puissant pour les malades ayant épuisé toutes les thérapies conventionnelles", souligne le Dr Michel Sadelain, directeur du département d'ingénierie cellulaire au Centre du cancer Memorial Sloan Kettering à New York, qui a dirigé cette étude clinique.
"Nos résultats initiaux, avec cinq malades en mars 2013, se sont confirmés dans un plus grand groupe de patients", précise-t-il dans un communiqué. "Nous travaillons déjà sur de futurs essais cliniques pour faire avancer cette nouvelle approche thérapeutique contre le cancer", ajoute le cancérologue.
Modification génétique du système immunitaire
La leucémie aiguë lymphoblastique est une catégorie de cancer du sang qui se développe dans les cellules B. Elle est particulièrement difficile à traiter car la majorité des malades rechutent. Le système immunitaire ne reconnaît pas les cellules cancéreuses comme un corps étranger à détruire, contrairement aux agents pathogènes, ce qui le rend inefficace pour combattre le cancer.
La seule manière de guérir est de subir une greffe de moelle osseuse réussie, mais la plupart des malades ne vivent pas assez longtemps pour recevoir une telle greffe. Seuls 5 % d'entre eux parviennent à avoir une greffe de moelle osseuse réussie, précisent les chercheurs.
Pour cet essai clinique, seize malades atteints de cette leucémie ont reçu des injections de leurs propres cellules immunitaires modifiées génétiquement pour pouvoir détecter et détruire les cellules cancéreuses. Cela a permis à la plupart d'entre eux d'être en assez bonne santé pour ensuite recevoir une greffe de moelle osseuse et être en rémission.
D'autres études sont en cours pour évaluer la thérapie cellulaire contre d'autres type de cancers, précisent ces chercheurs."
Très concluant, mes chers lecteurs, sauf que pour la recherche, il faut de l'argent. Peut-être que si le gouvernement récupérait l'argent de la fraude fiscale, il pourrait à nouveau financer la recherche publique au lieu de la laisser au secteur privé qui en profite pour nous dépouiller joyeusement.
Parce qu'il y a à faire, croyez-moi, concernant la fraude fiscale.
A croire que le gouvernement se contente des lampistes pour ne pas embêter les gros poissons.
(source : votreargent.lexpress.fr)
Evasion fiscale : petite leçon de calcul à l'attention du ministre du Budget
La cellule mise en place pour régulariser les comptes étrangers non déclarés de contribuables fonctionne à plein assure Bercy. Le ministère annonce in fine 4 milliards de recettes fiscales supplémentaires. Pourtant, à y regarder de plus près, on est loin du compte en examinant la réalité des chiffres de l'évasion fiscale.
En savoir plus sur http://votreargent.lexpress.fr/impots/evasion-fiscale-petite-lecon-de-calcul-a-l-attention-du-ministre-du-budget_360304.html#xyH7K6jMYcQqDHb4.99
Dans une récente chronique Jean-Marc Sylvestre s'insurgeait contre la marche triomphante entamée par Bercy à l'occasion des " bons résultats " des demandes de régularisation des comptes à l'étranger. Près de 16 000 contribuables, abusivement baptisés évadés fiscaux, seraient en cours de régularisation. 2 621 dossiers sont totalement complets et vont être instruits par les services fiscaux. Aujourd'hui, seuls 241 dossiers ont déjà été traités faisant renter dans les caisses 230 millions d'euros. Mais le ministre du budget Bernard Cazeneuve et le rapporteur général du budget à l'Assemblée nationale, Christian Eckert, estiment que cette régularisation pourrait rapporter 3 à 4 milliards d'euros de recettes.
40 milliards de recettes fiscales cachés sur les comptes offshore des sociétés !
Bien évidemment, 3 à 4 milliards d'euros, vu l'état de déliquescence du budget national, c'est toujours bon à prendre. Mais cette régularisation, et nous sommes sur ce point entièrement d'accord avec Jean-Marc Sylvestre, c'est l'arbre qui cache la forêt.
Tout d'abord, cette régularisation ne concerne que les contribuables qui résident en France et détiennent des avoirs bancaires à l'étranger non déclarés. En Suisse essentiellement et au Luxembourg. Ce sont souvent des héritiers qui ont reçu ces comptes du défunt ou des particuliers, commerçants, professions libérales ou patrons d'entreprise qui suite à divers soubresauts économiques ou politiques (l'arrivée de la gauche au pouvoir en 1981, la création de l'ISF, le plafonnement du plafonnement du même impôt, le passage à l'euro...) ont ouvert un compte dans une banque suisse ou luxembourgeoise. Aucune procédure de régularisation n'est en revanche prévue pour les sommes autrement plus astronomiques détenues par les grandes entreprises sur des comptes offshore dans les paradis fiscaux. Pourtant ce ne sont pas 3 à 4 milliards que pourrait récupérer Bercy mais dix fois plus d'après les estimations de certains experts !
Ensuite, cette régularisation, avec la complicité de Bercy, créée une confusion totale entre évadés fiscaux et exilés fiscaux. Les premiers demeurent bien en France et y paient beaucoup d'impôt sauf pour les sommes à l'étranger, les véritables évadées, qu'ils s'abstenaient jusqu'à présent de déclarer. Les seconds quittent la France avec armes et bagages et surtout avec la totalité de leur fortune et de leurs économies. Or, sur ce sujet c'est l'omerta.
Pas de recettes fiscales supplémentaires avec la régularisation des repentis
Bercy annonce pour 2011 un peu plus de 400 départs de redevables de l'ISF. C'est peu quand une promenade à Bruxelles, dans les rues d'Ixelles ou d'Uccle vous permet de croiser à chaque coin de rue de riches français exilés. Le phénomène étant le même à Londres et en Suisse, on s'interroge sur le réalisme de ce chiffre. Malheureusement pour notre fisc national, ces exilés ont souvent des fortunes supérieures à 10 millions d'euros. Soit une perte annuelle d'ISF pour ce montant de 98 190 euros. Sans compter l'impôt sur le revenu, les impôts locaux et la TVA le plus souvent à 20 % sur les achats des " riches ".
C'est ridicule, car ce chiffre ne prend pas en compte les contribuables, souvent des entrepreneurs partant à la retraite ou de jeunes loups cédant leur entreprise pour empocher la plus-value, qui quittent la France avant d'avoir à payer l'ISF.
C'est inexact car Bercy écarte ces cohortes de retraités qui vont s'installer sous des cieux ensoleillés à la fiscalité plus clémente (le Maroc et ses 30 000 retraités Français, le Portugal qui depuis peu voit débarquer ces nouveaux résidents) et qui le plus souvent ne paient pas l'ISF mais souhaitent mieux vivre en payant moins d'impôt sur le revenu et de taxes locales.
Les pertes annuelles de recettes fiscales pour l'ensemble de ces exilés dépassent annuellement largement les 3 à 4 milliards d'euros de recettes supplémentaires fièrement brandis par Bercy.
Quelles solutions pour éviter une telle déperdition fiscale ?
Plutôt que de pourchasser nos contribuables résidents en leur assénant des pénalités qui restent non négligeables ( 15 % et 30 % en plus de tous les impôts à régulariser sur plusieurs années), Bercy ferait mieux de leur accorder une amnistie fiscale en contrepartie d'une injection des sommes dissimulées dans l'économie nationale.
Bercy devrait également penser, puisque le Président de la République évoque une baisse des impôts, à une refonte totale d'un système fiscal qui fait partir par grappes entières ces contribuables les plus contributeurs.
Enfin, le ministère des Finances ne peut pas diaboliser ainsi sans cesse les particuliers sans s'attaquer vraiment sérieusement à une évasion fiscale autrement plus colossale, celle des grandes entreprises. Car malgré l'adaptation bienvenue de plusieurs articles du Code général des impôts, notamment en ce qui concerne les prix de transfert, les résultats de la lutte contre l'évasion fiscale internationale des entreprises doivent être bien maigres, Bercy restant sur ce sujet bien silencieux !
En savoir plus sur http://votreargent.lexpress.fr/impots/evasion-fiscale-petite-lecon-de-calcul-a-l-attention-du-ministre-du-budget_360304.html#xyH7K6jMYcQqDHb4.99
Et, un avertissement, UN !
La crise arrive mes chers lecteurs, Soros, le financier spéculateur parie sur une chute de Wall Street et autre signe qui ne trompe pas, les banquiers sautent des grattes ciel.
Ce qu'ils n'ont pas fait lors de la précédente.
(source : reseauinternational.net)
EPIDÉMIE DE SUICIDES CHEZ LES BANQUIERS : UN DE PLUS !
Il va falloir faire quelque chose, on risque de manquer de « vampires » si cela continue… Car depuis quelques temps, les grands pontes de la finance se suicident à un rythme effréné. La situation serait-elle financièrement si tragique que cela ou est-ce une simple coïncidence? (si bien sur les coïncidences existent…)
La vague de suicides de banquiers qui a commencé à la fin de du mois de janvier s’est transformée en épidémie, et il semble que cela se concentre principalement sur une banque: la JP Morgan. sic…
Il ya quelques instants un troisième banquier de la JPMorgan s’est suicidé, cette fois au siège de la JPMorgan Charter House Asie dans le centre de Hong Kong, où un homme de 33 ans qui a était un trader FX pour la JPM a fait le grand saut.Peu de choses sont encore connues sur les circonstances du suicide, mais selon les premiers rapports ,l’homme était âgé de 33 ans, surnommé Lee, et était considéré comme un cambiste pour JP Morgan.
Petit rappel des derniers rappel de banquiers auprès de Dieu:
Dimanche 26 janvier: La police de Londres trouvés William Broeksmit, un ancien cadre supérieur de 58 ans à la Deutsche Bank AG, mort à son domicile après un suicide apparent.
Lundi 27 janvier: Le directeur général Karl Slym de Tata Motors est mort après être tombé d’une chambre d’hôtel à Bangkok suivant ce qu’a indiqué la police, cela pourrait être un suicide. Slym, 51 ans, a assisté à une réunion du conseil d’administration de l’unité thaïlandaise de Tata Motors dans la capitale et est resté ensuite avec sa femme dans une chambre au 22ème étage de l’hôtel Shangri-La. Le personnel de l’hôtel a retrouvé son corps dimanche 18 étage plus bas, sur le toit du 4ème étage.
Mardi 28 janvier: un employé de la JPMorgan de 39 ans . est mort après une chute du toit du siège européen de la JPMorgan à LondresL’homme, Gabriel Magee, était vice-président dans le département technologique de la banque d’investissement, a déclaré une source WSJ .
Mercredi 29 Janvier: Mike Dueker de la Russell Investments . économiste en chef retrouvé mort dans un suicide apparent suivant ce qu’a déclaré la police. il se serait suicidé en sautant d’une rampe près du Tacoma Narrows Bridge à Tacoma, état de Washington. Selon Bloomberg, Mike Dueker, 50 ans, avait été déclaré disparu le 29 janvier et ses amis ainsi que les forces de police étaient parti à sa recherche.
La semaine précédente, un directeur de la communication du Royaume-Uni à là Swiss Re AG est mort. La cause du décès n’a pas été rendue publique.
Lundi 3 Février: Un directeur général de JPMorgan Chase & Co de 37 ans est mort de causes inconnues le 3 février. Ryan Crane, employé de la JPMorgan Chase & Co. est décédé après avoir suivit une carrière durant 14 ans à la banque basée à New York dans laquelle il a fini directeur général d’une unité qui négocie des stocks pour les clients, il est décédé dans sa maison du Connecticut, à Stamford.
Mardi 18 Février: Le cambiste de 33 ans de la JPMorgan est la dernière d’une série de suicides.
Article complet sur Zerohedge
Traduction libre: Les moutons enragés
Ce que cela pourra signifier pour nous, mes chers lecteurs, si, celle-là, à venir est la bonne ?
On ne pourra plus tirer d'argent, tout simplement !
Nos gouvernements sont au courant ?
Sans doute, bien que le gouvernement américain mente comme un arracheur de dent sur l'état réel du pays.
Qui vivra, verra, comme on dit.
Bon, à part cela, sur cette mauvaise nouvelle, je vous tire ma révèrence.
Bien le bonjour chez vous.
René.
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