lundi 2 septembre 2013

Salut aux citoyens américains qui se réveillent, il est temps de reconquérir votre démocratie et obliger l'état à reprendre le droit d'émissions de vos dollars. Votre liberté reconquise commence par cette étape !

Re-bonjour, mes chers cinq lecteurs. Je vous ai abandonné ces derniers temps du fait que je travaillais comme plongeur (essuyeur de vaisselle) dans le midi et que le premier ordi que j'ai touché avait un clavier anglais et que l'autre ramait sa mère, j'ai préféré attendre d'être revenu pour vous recontacter.
Donc, je vous donne tout de suite des nouvelles de mes quatre poules pondeuses que j'ai abandonné pendant douze jours avec un tas de bouffe et d'eau et bien, je vous rassure, elles vont bien et n'ont fait que pondre.
Et, mon potager aussi, merci, pour lui.
A part cela, l'espionite gagne la planète.
Par exemple, l'UNICEF, cette grande instance internationale qui s'occupe des enfants dans le monde et fait gagner beaucoup d'argent à l'industrie pharmaceutique occidentale s'est mise à la surveillance de tous les abrutis qui soupçonnent les vaccins de contenir des additifs qui provoquent des maladies secondaires ou même stérilisent.
Ce qui, entre-nous, si, ce soupçon s'avérait justifié serait un scandale majeur et pourrait faire penser que les organisations internationales ne travaillent en fait pour les multinationales occidentales dont celle de rockfeller qui ne l'oublions pas à avancer les fonds et les "experts" pour fonder l'OMS (organisation mondiale de la santé). Un investissement lucratif sous couvert d'humanitaire.

(source : Wikistrike)

Dimanche 1 septembre 2013
L'UNICEF surveille et diffame des sites consacrés à la santé traitant du problème des vaccin
 
Un nouveau rapport très étonnant révèle que le Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF) a surveillé les sites consacrés à la santé, ainsi que leurs utilisateurs dans le but d'identifier les « personnes d'influence anti-vaccins », ainsi que leur impact sur les faibles taux de vaccinations.

Un nouveau document du Fonds des Nations Unies pour l'Enfance(UNICEF) et destiné à surveiller « la montée des sentiments anti-vaccination en ligne en Europe Centrale et Orientale » identifie des sites consacrés à la santé comme GreenMedInfo.com,Mercola.com, NaturalNews.com et Vactruth parce qu'ils contribueraient à de trop faibles taux de vaccination.

Le rapport de l'UNICEF intitulé «  Surveillance du sentiment anti-vaccination dans les médias sociaux en Europe Centrale et Orientale » a confirmé que les parents utilisent les réseaux sociaux pour prendre la décision de faire ou non vacciner leurs enfants.

Le rapport de 47 pages tente de répondre aux questions suivantes :

  • Pourquoi les parents refusent-ils la vaccination ?
  • Quelles sont les inquiétudes au sujet des vaccins ?
  • Quels sont leurs perceptions, leurs idéaux ?
  • Qui influence la discussion ?
  • Quels sont les réseaux utilisés ?
  • Où sont-ils situés ?
  • Comment répondre ?
En commençant par reprendre une citation de Mark Twain : « un mensonge aura déjà fait la moitié du tour du monde alors que la vérité a seulement commencé à mettre ses chaussures », le rapport cite les mouvements anti-vaccinations qui influencent l'information en ligne, comme :

GreenMedInfo.com

Mercola.com

Vactruth.com

Mothering.com

Dr. Tenpenny on Vaccines

Thinking Moms' Revolution

The Refusers

Natural News

Worldtruth.tv

Cafemom.com

VaccineInjury.info

EverydayHealth.org

LeftBrain/RightBrain

Zen Gardner - Just Wondering

La référence de l'UNICEF au "mensonge" (désinformation) qui serait répandu par les sites web repris ci-dessus indique que, même si le document est censé être analytique et descriptif, il semble bien être empreint de nuances normatives et ostracisantes et ne dissimule que difficilement un programme visant à discréditer les points de vues opposés.

La position désobligeante de l'UNICEF est d'autant plus surprenante que des sites comme GreenMedinfo.com diffusent et fournissent un accès à la recherche évaluée par les pairs sur les effets secondaires des vaccins, les problèmes de sécurité, autant d'informations qui proviennent directement de l' « US National Library of Medicine » et dont une grande partie provient de revues très importantes. [see data set here: vaccine research ]. En outre, des sites comme Mercola.com et Natural News ne font souvent que citer les mêmes données et faire rapport sur leurs implications.

Etiqueter d' « anti-vaccin » la recherche qui contredit ou s'interroge sur la vision unilatérale qui considère que les vaccins sont toujours sûrs et efficaces, que leurs bénéfices l'emportent toujours sur leurs risques, ou que les sites qui hébergent ou traitent des informations ayant trait « au mouvement anti-vaccinal » est tout simplement polémique et malhonnête.

En effet, dans la mesure où bon nombre de sites que l'UNICEF qualifie d' « anti-vaccins » n'hésitent pas à citer systématiquement des recherches publiées et évaluées par les pairs, n'est-on pas en droit de se demander si l'UNICEF ne risque pas de mettre en cause la crédibilité de son propre programme de vaccination à l'échelle mondiale qui est lui aussi apparemment basé sur les mêmes ensembles de preuves.

La méthodologie de collecte des données du rapport est décrite comme suit :

« Les chercheurs ont sélectionné les canaux des médias sociaux, les langues, ainsi que des mots-clés pour effectuer les recherches en ligne du 1er mai au 30 juin 2012. Les messages provenant de 22.300 participants utilisant l'anglais, le russe, le roumain et le polonais ont été suivis en fonction du volume (mentions, messages, vues), des canaux par lesquels s'opèrent les échanges, de l'engagement (manière dont les utilisateurs réagissent, apprécient et partagent l'information) et de l'analyse des sentiments (pour pouvoir détecter les attitudes positives et négatives). »
Les auteurs du rapport évoquent les « considérations éthiques » par rapport à la collecte et à l'analyse des comportements et des données du web concernant 22.300 utilisateurs pistés. Mais ils prétendent que le fait de ne pas publier les données IP spécifiques dans leur rapport ne viole aucune loi, même si le rapport peut se permettre de violer les codes « moraux » par rapport à ceux qui font l'objet d'une surveillance alors qu'ils n'en ont jamais été avertis.

Les principales conclusions présentées :

-Dans les quatre langues, les blogs constituent le moyen le plus fréquemment utilisé, suivi par Facebook. Twitter est la deuxième plus grande chaîne en russe.

-La plupart des interactions se font dans les forums. Le public féminin a tendance à se focaliser sur des questions comme les troubles du développement, les produits chimiques, les toxines et les effets secondaires. Les hommes se concentrent davantage sur les arguments ayant trait aux théories du complot, aux croyances religieuses, aux problèmes éthiques. En ce qui concerne les échanges sur le thème de l'anti-vaccination, 56% étaient des femmes et 44% des hommes.

-Au cours de la période d'étude, un nombre plus important de messages en anglais ont utilisé des mots-clés ayant trait aux théories du complot, de la méfiance envers les gouvernements et l'industrie pharmaceutique. En langue russe on relève surtout les thèmes suivants : croyance religieuses et problèmes d'éthique, méfiance envers les gouvernements américains et occidentaux.

-Les leaders d'opinion des mouvements anti-vaccins dans le monde en ligne présentent des caractéristiques différentes. Certains ne possèdent pas de véritable formation universitaire, tandis que d'autres font partie du monde médical (comme par exemple les infirmières). Ces personnes paraissent souvent bien informées dans le domaine des médecines alternatives. Elles s'abonnent à des canaux sociaux d'homéopathes et de défenseurs des médecines alternative

Selon le rapport : « L'étude révèle la nécessité urgente d'investir davantage dans l'analyse des hésitations qui se manifestent par rapport à la vaccination... pour pouvoir élaborer des stratégies conjointes en vue de lutter contre cette tendance. »

Le rapport fait également les recommandations suivantes :

"Les organisations internationales et les autres partenaires devront unir leurs forces et aider les gouvernements à inverser cette tendance contre-productive, et élaborer des stratégies communes pour promouvoir la vaccination comme l'une des interventions sanitaires les plus efficaces et rentables connues dans le monde." [Souligné par l'auteur de l'article]
Bien que ce rapport semble présenter l'objectivité et la crédibilité associées depuis longtemps aux Agences de Santé gouvernementales mondiales, L'UNICEF ne fait pas grand-chose pour camoufler sa volonté de collaborer et d'accepter de l'argent de sociétés qui peuvent avoir intérêt à discréditer des informations scientifiquement établies au sujet des effets secondaires inattendus des vaccins, à leur manque d'efficacité..

Ils annoncent ouvertement leur volonté de soutenir les sociétés multinationaleshttp://www.unicef.org/corporate_partners/index.html, un système de marketing largement critiqué par les groupes d'intérêt public...

A titre d'exemple du manque de neutralité de l'UNICEF par rapport aux conflits d'intérêts, il est à rappeler qu'en juin de cette année, l'UNICEF s'est associée avec l'un des plus importants fabricants de vaccins, Merck & Co.http://en.wikipedia.org/wiki/Merck_%26_Co. qui a promis 500 millions de dollars « pour diminuer la mortalité des mères, le VIH et la prévalence de la tuberculose en Afrique du Sud.

Président et chef de la direction du Fonds Américain pour l'UNICEF, Caryl Stern a été cité en juin 2012 dans un article duVaccine New Daily. Il disait : «  Merck est un partenaire précieux qui contribue à nous rapprocher du jour où plus aucun enfant (ZERO enfant) ne mourra d'une maladie évitable (de causes évitables). » [1]

Merck, tout en étant considéré par l'UNICEF comme « un partenaire important » peut difficilement être considéré comme étant une source crédible d'information sur la sécurité et l'efficacité de ses produits, comme en témoigne la décision (2011) du Ministère de la Justice Américain qui aurait contraint Merck à payer 950 millions de dollars pour régler les accusations criminelles et clôturer les poursuites civiles fédérales liées à la commercialisation frauduleuse de son médicament meurtrier, le Viox. Ceci ne constitue en fait que la pointe émergée de l'iceberg des nombreux problèmes juridiques de Merck. Pour en savoir plus :http://www.corp-research.org/merck

Une autre organisation a établi un partenariat avec l'UNICEF et accepté des contributions financières importantes de la fondation Bill & Melinda Gates qui a soutenu activement la surveillance en ligne de groupes soi-disant « anti-vaccins », comme nous l'avons documenté dans un document du 29 août 2012 : « La Fondation Gates finance la surveillance des groupes anti-vaccins »

Une subvention de $100K a été récemment versée à Seth C. Kalichman, professeur au département de psychologie de l'université du Connecticut pour « établir un système de surveillance et d'alerte par rapport aux mouvements anti-vaccins » qui aurait pour objectif « d'établir un système rapide d'alerte internet mondiale pour trouver, analyser et contrer les campagnes de désinformation en ce qui concerne les vaccins et ce dans le but ultime de soutenir les efforts destinés à promouvoir la vaccination sur un plan mondial. »
La Fondation Gates est connue pour concentrer ses dons de charité sur le plan d'éradication mondial de la polio, alors qu'elle néglige de mettre l'accent sur des solutions durables pour prévenir la morbidité et la mortalité associées aux vecteurs de maladies infectieuses, à savoir l'amélioration de la nutrition, de l'assainissement et de l'hygiène.

Ironiquement, les programmes de l'UNICEF basés sur les vaccinations pour combattre la mortalité infantile en Afrique de l'Ouest semblent réduire la survie dans certaines régions qui sont hors de portée de leurs programmes.

Selon un rapport de 2010 de la BBC http://news.bbc.co.uk/2/hi/africa/8455444.stm

« L'UNICEF aurait dépensé 27 millions de dollars (£17m) pour le déploiement de campagnes de vaccination, de pilules de vitamine A et de moustiquaires pour protéger contre le paludisme, et ce, de 2001 à 2005 dans les régions de 11 pays. Il semble intéressant de noter que les chercheurs qui ont étudié des régions du Ghana, du Mali et du Bénin auraient déclaré que les enfants avaient souvent plus de chances de survivre à l'extérieur du système établi par les Nations Unies. »
 
En effet, la critique la plus connue de l'UNICEF, c'est qu'elle semble avoir fait très peu pour réduire la mortalité infantile (dans certaines régions Sub-Sahariennes d'Afrique, la mortalité a en fait augmenté), attestant ainsi que la priorité accordée à la vaccination, et aujourd'hui à la surveillance et au ciblage des associations « anti-vaccins » constitue une profonde erreur.

En fin de compte, le nouveau rapport de l'UNICEF représente davantage qu'une analyse objective des organisations soi-disant « anti-vaccins ». Il ressemble plutôt à un bout de propagande visant à dissuader des millions de personnes de consulter journellement des sites alternatifs pour obtenir de l'information qui n'a pu être validée par ces industries qui ont tout à gagner en camouflant les effets secondaires pourtant bien connus de leurs produits et qui ont réussi à transformer de nombreuses agences gouvernementales de Santé - y compris des agences mondiales - en divisions de meneurs pour le marketing, la protection en matière de responsabilité et pour la surveillance

Notes :

[1Vaccine News Daily, Merck for Mothers contributes to UNICEF's South African efforts, June 4th, 2013.

Avertissement : Cet article n'est pas destiné à fournir des conseils sur le plan médical, un diagnostic ou un traitement. Les vues exprimées ci-dessus ne reflètent pas nécessairement celles de Greenmedinfo ou de son personnel.

 
Traduction: Initiative Citoyenne 
 
Source:
http://www.greenmedinfo.com/blog/unicef-surveils-defames-health-sites-over-vaccines-greenmedinfo-motheringcom?utm_source=The+Vaccine+Truth+Newsletter&utm_campaign=8c724b94ca-08_30_2013_speak&utm_medium=email&utm_term=0_ce7860ee83-8c724b94ca-384563062

Ah, là, là, mes chers lecteurs, ce monde est trop merveilleux.
Coca Cola nous dit que l'Aspartame est un produit merveilleux, l'industriel chimique Bayer (allemand) nous dit que ses pesticides sont merveilleux et que si les abeilles crèvent, c'est pas de sa faute.
Bref, ils nous empoisonnent tous et en plus, nous devons en être contents.

(source : Nature to Share)

ABEILLES: Bayer saisit la justice sur la suspension de ses pesticides


Le groupe allemand Bayer a déposé plainte auprès de la Cour de justice de l’Union européenne concernant la décision de l’UE de suspendre l’utilisation de ses insecticides suspectés d’être nocifs pour les abeilles, a appris mardi l’AFP.

Bayer CropScience, la division d’agrochimie du groupe, « a déposé plainte mi-août », a déclaré un de ses porte-paroles.

Fin mai, la Commission européenne avait confirmé sa décision de restreindre pendant deux ans à compter du 1er décembre l’utilisation de trois néonicotinoides (la clothianidine, l’imidaclopride et le thiaméthoxame) utilisés dans des pesticides fabriqués par les groupes Bayer et Syngenta. Ce dernier a annoncé mardi qu’il allait contester cette décision auprès de la Cour de justice de l’UE.

Leur utilisation est proscrite pour le traitement des semences, l’application au sol (en granulés) et le traitement foliaire des végétaux, y compris les céréales (à l’exception des céréales d’hiver), qui attirent les abeilles.

Bruxelles avait ensuite décidé en juillet d’interdire pour deux ans l’usage à l’air libre du Fipronil, un insecticide considéré comme mortel pour les abeilles, fabriqué par le groupe allemand BASF.

Les deux pesticides de Bayer à base de clothianidine et d’imidaclopride sont sur le marché depuis plusieurs années et ont reçu une autorisation de commercialisation, a fait valoir mardi Bayer.

Le chimiste dit « attendre de la clarté » de cette plainte, actuellement en train d’être examinée.

« Nous avons besoin de conditions générales fiables pour décider de futurs investissements », a souligné le porte-parole de Bayer CropScience.

« Nous aurions préféré ne pas intenter une action en justice mais nous n’avons pas le choix étant donné que nous sommes persuadés que la Commission a établi à tort un lien entre le thiaméthoxame et le déclin de la santé des abeilles », a pour sa part expliqué mardi le directeur opérationnel du groupe suisse Syngenta, John Atkin, cité dans un communiqué."

Nom d'un petit bonhomme, à quoi tient notre santé !
En attendant, chez le père Mosanto, grand empoisonneur devant l'éternel, le navire tangue. Pour l'instant encore un navire, mais, bientôt, peut-être, si Dieu le veut, une barcasse à la dèrive.

Monsanto : les rats quittent le rafiot !


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Les hedge funds et les traders commencent à vendre les actions de Monsanto car les OGM posent trop de problèmes pour Wall Street !
par Mike Adams  rédacteur en chef de NaturalNews.com
Les dirigeants de Monsanto sont en train de vendre leurs actions Monsanto dans des volumes records provoquant une spirale de baisse du cours des actions. Le PDG Hugh Grant vient juste de vendre 40000 parts à 97,74 $, deux hauts responsables Janet Holloway et Gerald Steiner ont récemment abandonné plus de 10.000 actions chacun et Tom Hartley 6.000 autres actions à 100,15 $.
Les hedge funds vendent aussi de Monsanto, mais plus probablement en raison de la très forte augmentation "l’opinion négative." Cela signifie que les gens de plus en plus ne font plus confiance à Monsanto, et c’est une conséquence directe de toutes les informations au sujet des dangers des OGM, des pratiques douteuses de Monsanto, des expériences dangereuses de la compagnie qui ont déjà entraînés des pollutions génétiques, et le fait qu’il a été prouvé expérimentalement que les maïs OGM provoque des tumeurs cancéreuses chez le rat.
Juste le fait que les essais de blé de Monsanto ont dérapé et ont contaminé un champ de blé dans l’Oregon ont provoqué l’interdiction par le Japon et la Corée du Sud des importations de blé américains et a donné lieu à ce que 150 groupes exigent un contrôle plus serré de la part du gouvernement sur les expérimentations d’OGM. Ces groupes en ont marre de voir que la valeur de marché de leurs récoltes est détruite par des expériences bâclées de "plein champ", menées par Monsanto, propageant des pollutions génétiques à travers tout le pays et contaminant les cultures non-OGM. Et comble de cynisme Monsanto poursuit effectivement les agriculteurs dont les champs qu’ils ont contaminés pour utilisation frauduleuse de ses brevets !
Les hedge funds vendent Monsanto
Comme les rapports InsiderMonkey.com , Monsanto "a connu une baisse d’intérêt de l’ensemble des fonds de couverture que nous suivons."
Le rapport poursuit en disant :
Au sommet de la pyramide, Vinik Asset Management de Jeffrey Vinik dit au revoir à la plus grande participation des 450 fonds que nous surveillons, totalisant près de 100,8 millions de dollars investis. Le fonds de Sean Cullinan, Point State Capital, a également diminué ses actions d’une valeur d’environ 54,7 millions de dollars.
Ces ventes quittent Lone Pine Capital de Stephen Mandel avec les plus grandes exploitations de Monsanto , sur la valeur de l’action de la société de 613 millions $. Nouvelles Naturel demande instamment à tous les investisseurs à abandonner Lone Pine Capital et de mettre votre argent ailleurs mais qui n’investit pas en "société la plus mal dans le monde."
Blue Ridge Capital possède également plus de 320 millions de dollars en actions Monsanto et doit être immédiatement abandonnée par tous les investisseurs.

Le cours des actions de Monsanto en chute libre depuis Mars 2013 !

Jusqu’à présent cette année, Monsanto (MON) les cours des actions ont chuté d’un sommet de 109 $ à une fourchette de négociation actuelle autour de 95 $. C’est une baisse de près de 13%, et les mauvaises nouvelles pour Monsanto continuent juste à venir.
D’une part, de nouvelles lignes directrices en matière de sécurité alimentaire de l’Union européenne affirment la méthodologie et les conclusions de l’étude sur les rats GM de maïs Séralini . Autant que l’industrie biotechnologique et tous ses trolls des sciences souteneur-ont tenté d’attaquer l’étude, le secret est déjà sorti: le maïs OGM provoque des tumeurs cancéreuses et les consommateurs voient précisément le maïs OGM comme l’équivalent d’un symbole de "Poison" sur les aliments.
L’étude Séralini, par ailleurs, constaté que :
• Jusqu’à 50% des mâles et 70% des femelles ont subi une mort prématurée.
• Les rats qui buvaient des quantités infimes de Roundup (aux niveaux légalement autorisés dans l’alimentation en eau) ont eu une augmentation de 200% à 300% dans les grandes tumeurs.
• Les rats nourris de maïs OGM et des traces de Roundup ont subi des dommages graves sur un organe, y compris des dommages au foie et aux reins.
• L’étude a été faite sur des rats nourris avec du NK603, la variété de maïs OGM de Monsanto qui est cultivé en Amérique du Nord et qui sert largement à nourrir les animaux et les humains.C’est le même maïs qui est dans votre céréale de petit déjeuner à base de maïs, des tortillas de maïs et croustilles de maïs.
Toute personne qui investit encore dans Monsanto investit dans cela :

Toutes les entreprises alimentaires qui utilisent le maïs de Monsanto seront punies sur le marché !

L’avenir pour les ventes de maïs OGM de Monsanto est particulièrement sombre en raison du simple fait que l’étiquetage des OGM est désormais inévitable. La pression des consommateurs pour savoir ce qu’il ya dans notre nourriture est imparable, peu importe combien de lobbying de Monsanto mène dans un effort désespéré pour maintenir les consommateurs ignorants de ce qu’ils mangent.
Whole Foods, bien sûr, a déjà annoncé l’étiquetage obligatoire des OGM sur tout ce qu’il venden 2018. Je crois que Wal-Mart et d’autres détaillants envisagent également un mouvement similaire, ou ils perdront des parts de marché à Whole Foods.
Dans le même temps, les principaux fabricants de produits alimentaires se rendent compte qu’ils doivent soit supprimer les OGM de leurs produits ou faire face à une réaction massive des consommateurs. En conséquence, il y a actuellement une course folle par les entreprises alimentaires pour obtenir leurs produits certifiés non-OGM. Dans l’ensemble, les produits qui sont fabriqués sans OGM avec garantie subissent une augmentation presque immédiate de 30% du chiffre d’affaires.
Faites le calcul : les entreprises qui utilisent du maïs OGM de Monsanto sont punis et boycotté sur le marché.
Les entreprises qui utilisent du maïs non-OGM constatent d’énormes augmentations des ventes.
Dans les conseils d’administration d’entreprises alimentaires partout en Amérique, c’est une évidence : arrêter les OGM si vous voulez survivre !
La même chose est également vraie pour les hedge funds et les fonds communs de placement : plus ils investissent dans Monsanto, plus ils risquent de subir les conséquences de l’indignation mondiale contre Monsanto, les OGM et le maïs OGM en particulier.
De plus, il m’arrive aussi de croire qu’il viendra un jour où la plupart des hauts dirigeants de Monsanto seront arrêtés et poursuivis pour leur rôle dans l’exécution de crimes contre l’humanité (et pas seulement à partir d’OGM, mais aussi avec le glyphosate). Quand ce jour viendra, la valeur des ses actions passera à travers le plancher. La société peut, en fait, imploser, laissant les investisseurs avec du papier sans valeur au lieu d’actions de valeur… ce sera une sorte de justice pour tous ceux qui ont apporté des moyens pour une une telle entité destructrice !

Voici les fonds qui investissent encore dans Monsanto !

Les fonds communs de placement qui investissent dans toujours Monsanto :
• Fidelity Select
• American Century
• Rydex Matériaux de base
• La croissance Hartford
• Matériaux ICON
• Matériaux Vanguard
Si vous possédez l’un de ces fonds communs de placement, vendez les maintenant et investir ailleurs. Devenir un "investisseur activiste" et de mettre votre argent dans des entreprises qui créent un monde meilleur, pas les entreprises qui détruisent leur monde pour leur propre cupidité égoïste.
Voir une liste plus détaillée à l’adresse :
http://www.morningstar.com/invest/categories/funds-holding-monsanto-c …

Pourquoi l’humanité va remporter la victoire contre Monsanto ?

Monsanto est en guerre contre l’humanité et de la planète, mais l’humanité va remporter la victoire contre cette force maléfique de cette entreprise de mort et de destruction. C’est déjà le cas dans le marché et dans les esprits et les cœurs de millions de militants qui sont solidaires contre l’entreprise du mal.
Alors passer le mot sur ​​non seulement d’éviter les OGM, mais aussi en évitant détenir des actions Monsanto sous n’importe quelle forme. Si vous avez de l’argent investi dans un fonds commun de placement ou de fonds de couverture qui est propriétaire de Monsanto,vendre les fonds !
Ne laissez personne utiliser votre argent pour promouvoir les bénéfices de l’industrie de la biotechnologie.
Investissez votre argent dans quelque chose qui aide l’humanité, et non pas qu’il nuit.
Les sources de cette histoire sont les suivants:http://www.insidermonkey.com/blog/hedge-funds-are-dumping-monsanto-co …http://www.insidermonkey.com/insider-trading/company/monsanto+co/1110 …http://GMOseralini.orghttp://www.naturalnews.com/039405_whole_foods_gmo_labeling_monsanto.h …http://www.nongmoproject.org http://farmfutures.com/story-groups-request-enhanced-usda-oversight-g … http://www.morningstar.com/invest/categories/funds-holding-monsanto-c …

Les semences de la colère

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Le soja transgénique - "l’or vert" de l’Amérique du Sud - génère d’immenses profits mais aussi
des dégâts sociaux et environnementaux considérables. Enquête au Paraguay, où des petits paysans
 affrontent la puissante filière des cultures OGM.
Geronimo est un petit paysan qui vit avec sa famille dans un village du Paraguay. Autour de chez lui s’étendent à perte de vue des champs de soja transgénique appartenant à de grands propriétaires, des colons brésiliens pour la plupart. Victimes de contaminations dues à l’épandage d’herbicide, les villageois s’organisent pour lutter contre la destruction de leur environnement et sauver la vie de leurs enfants…
La loi du plus fort !
Paysans expulsés, pollution des sols, déforestation, empoisonnements… : quel poids pèsent les dégâts sociaux et environnementaux face aux profits générés par la monoculture intensive du soja génétiquement modifié ?
En se rendant au Paraguay, qui compte parmi les principaux pays exportateurs mondiaux de soja, et en se mettant à l’écoute des différentes parties en présence, les réalisateurs nous donnent des clés pour comprendre comment a pu s’imposer un modèle de développement agricole particulièrement destructeur.
Et cela à travers l’affrontement inégal entre, d’un côté, les grands propriétaires producteurs de soja, bras armés (au sens propre) des firmes agroalimentaires et des spéculateurs financiers, et de l’autre les campesinos, ces petits paysans qui tentent de défendre leur outil de travail et leur mode de vie.
Aux discours agressifs des premiers, partisans de la loi du plus fort – renforcés dans leurs convictions par les arguments de scientifiques défendant les intérêts des leaders du marché des semences et des produits phytosanitaires –, s’oppose l’énergie du désespoir d’une société rurale traditionnelle pour qui le soja transgénique est une malédiction.
Dans cet universel combat du pot de terre contre le pot de fer, c’est la logique du profit qui l’emporte, avec l’arrestation des petits paysans pour “occupation illégale des terres”… Comment la lutte se poursuivra-t-elle ?
Source : Arte
Voir les 2 vidéos de 40 minutes sur :

Et; cela sera tout pour aujourd'hui.
Bien le bonjour chez vous.
René.

PS : (source : Actuenvironnement)

Le Biocontrôle : 4 freins au développement d'une filière prometteuse

Philippe Freund, Directeur Associé et Co-fondateur de BeCitizen, revient sur les opportunités que présentent les produits de biocontrôle dans le débat sur les pesticides et soulève les principaux freins au développement de cette filière pourtant prometteuse.
Le feuilleton continue ! Après le moratoire sur les insecticides néonicotinoïdes décidé par l'UE le 29 avril et l'étude collective de l'INSERM parue le 13 juin, l'interdiction par l'UE le 16 juillet d'un quatrième insecticide mortel pour les abeilles, le fipronil, relance le débat sur les pesticides. D'un côté, l'étude de l'INSERM s'intéresse aux effets des pesticides sur la santé des agriculteurs notamment en signalant une forte présomption de lien entre exposition professionnelle à des pesticides et certaines pathologies (maladie de Parkinson, cancer de la prostate, lymphome non Hodgkinien, myélomes multiples). De l'autre, le moratoire de l'UE et la restriction récente du fipronil soulignent les effets sur l'environnement de quatre insecticides suspectés de provoquer l'effondrement des colonies d'abeilles, qui – au delà de leur fonction de producteur de miel – sont surtout nécessaires à la fructification de la majorité des fruits et légumes cultivés.
Même si le sujet est l'objet d'intenses polémiques, il y a consensus sur la nécessité de réduire drastiquement les quantités de pesticides chimiques utilisées. Les produits de biocontrôle offrent une alternative, partielle au moins, aux pesticides conventionnels, mais ils peinent encore à s'imposer dans nos campagnes malgré un développement assez dynamique du secteur.
Le biocontrôle : une alternative aux pesticides conventionnels
Si l'on s'accorde sur la définition qu'en donne la fédération du secteur (l'IBMA, International Biocontrol Manufacturers' Association), « les agents de biocontrôle – encore appelés biopesticides – recouvrent l'ensemble des méthodes de protection des végétaux qui reposent sur l'utilisation de mécanismes naturels. Ils visent la protection des plantes par le recours aux mécanismes et interactions qui régissent les relations entre espèces dans le milieu naturel. Ainsi, le principe du biocontrôle est fondé sur la gestion des équilibres des populations d'agresseurs plutôt que sur leur éradication. »
On distingue quatre grandes familles d'agents de biocontrôle :
-       Les petits organismes (invertébrés, insectes, acariens…) qui protègent les cultures contre les ravageurs. Exemple : une coccinelle peut être utilisée comme prédateur des pucerons qui s'attaquent aux tomates.
-       Les micro-organismes (champignons, bactéries, virus) qui protègent les cultures ou stimulent leur vitalité. Exemple : la bactérie Bacillus Subtilis déposée à la surface des feuilles de vigne attaque le mildiou, une maladie fongique.
-       Les médiateurs chimiques (phéromones par exemple) qui permettent de piéger ou de désorienter les insectes ravageurs. Exemple : des leurres imprégnés de phéromones imitant celles émises par la femelle du Carpocapse du Pommier désorientent les mâles et les empêchent de s'accoupler.
-       Les substances naturelles avec un effet répulsif ou stimulateur de la défense des plantes. Exemple : la laminarine, substance issue d'algues brunes, renforce les défenses naturelles des céréales contre des champignons du type Oïdium.
Leur utilisation est très différente de celle d'un pesticide conventionnel : ils sont souvent utilisés dans un mode plus préventif que curatif sur des infestations légères à moyennes. Bien souvent, c'est leur association avec un pesticide conventionnel qui est la formule gagnante : l'agent de biocontrôle aura maitrisé les ravageurs ou la maladie assez efficacement durant la saison pour que la quantité et la fréquence d'usage du pesticide chimique soit drastiquement réduite. Comme le montrent les exemples ci-dessus, leurs modes d'action (prédation, parasitisme, symbiose, imitation…) nécessitent souvent une compréhension précise du fonctionnement de la maladie ou du ravageur.
Un secteur jeune et très dynamique
Ce n'est que très récemment, depuis octobre 2012, que le biocontrôle a été intégré au plan Ecophyto 2018 avec la signature d'un accord cadre entre les Ministères de l'Agriculture et de l'Environnement et les partenaires agricoles impliqués.
Sur un marché mondial des phytosanitaires d'environ 50 milliards d'euros en 2012, le biocontrôle ne représente que 1,2 milliards d'euros, mais la croissance annuelle du secteur est de l'ordre de 15% dans un marché des pesticides conventionnels qui plafonne à 5,5%.
Le marché du biocontrôle est encore majoritairement dominé par des PME de 1 à 10 millions d'euros généralement spécialisées dans 1 ou 2 agents. Il est en pleine voie de concentration. Les « big six » de l'agrochimie mondiale (Monsanto, DuPont, Syngenta, Bayer, Dow et BASF) ont bien compris le dynamisme de ce marché et se sont lancés dans une intense activité d'acquisition dans le secteur et dans le développement de programmes de R&D dédiés. L'allemand Prophyta a été racheté par Bayer Cropsciences, le belge DevGen a été racheté par Syngenta, pour ne citer que les plus récentes. Pour Bayer, le biocontrôle devrait représenter 10% de son chiffre d'affaire en 2020.
Nos études récentes nous ont permis d'analyser, à travers une centaine d'interviews d'acteurs de la chaine de valeur, quelles étaient les principales barrières au développement de cette filière.
4 freins au développement de la filière à lever
Barrière 1 : homologation / législation non adaptée. Les procédures créées et pensées à l'origine pour les pesticides chimiques conventionnels sont très longues et onéreuses. La matière active doit être approuvée au niveau européen (intégrée à l'annexe I du règlement n°1107/2009) puis obtenir une Autorisation de Mise sur le Marché dans l'état membre concerné (AMM). Cette procédure coûte environ 1 million d'euros et dure de 3 à 5 ans. Peu de PME peuvent financer ces procédures qui doivent être mieux adaptées au biocontrôle. De plus, aucun pays ne possède de centre d'expertise du biocontrôle ce qui rend parfois l'homologation très complexe.
Barrière 2 : doutes sur l'efficacité chez les agriculteurs. Comme toute nouvelle approche, il faut convaincre de l'efficacité du produit. Au-delà des tests d'efficacité requis par la réglementation, la conviction doit se faire sur le terrain auprès de l'agriculteur, pour chaque couple culture/ravageur-maladie et dans chaque terroir. Comme pour tout produit innovant, les mauvaises expériences existent car l'agriculteur n'est pas toujours bien conseillé pour utiliser ce nouveau produit selon les bonnes indications et dans les bonnes conditions. Les réseaux FARRE, AEI ou encore des fermes DEPHY mises en place dans le cadre du plan EcoPhyto intègrent des expérimentations en ce sens. Il faut encore multiplier les fermes pilotes et les démonstrations en plein champ, notamment avec l'appui incontournable des Instituts Techniques agricoles.
Barrière 3 : le coût élevé. Les agents de biocontrôle sont aujourd'hui plus couteux que les pesticides conventionnels ce qui limite leur intérêt aux filières à très forte valeur ajoutée et où l'argument santé auprès du consommateur est important (fruits et légumes, agriculture biologique). Des marges de progrès existent sur les coûts de production et de distribution. On pourrait également imaginer une fiscalité de type bonus/malus récompensant les réductions d'usage des pesticides chimiques qui serait un facteur de soutien à une vraie filière industrielle naissante.
Barrière 4 : distribution et logistique peu adaptés. Rares sont les réseaux de distribution spécialisés dans le biocontrôle. Or les spécificités du biocontrôle nécessitent des distributeurs formés pour prodiguer conseils et formations aux coopératives et indirectement aux agriculteurs. Les circuits logistiques doivent également être adaptés pour stocker du matériel vivant ou issu du vivant (durée de vie des larves, réfrigération des spores ou des bactéries par exemple).
Ce n'est qu'une fois ces principales barrières levées que le biocontrôle pourra s'imposer dans les années à venir comme une pièce maitresse du mix des pratiques agricoles durables.
Avis d'expert proposé par Philippe Freund, Directeur Associé et Co-fondateur de BeCitizen.

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