Salut, aux citoyens américains, il est temps de vous réveiller avant qu'ils nous mettent tous sous le joug de régimes autoritaires.
Commençons par une excuse, mes chers cinq lecteurs, j'ai oublié hier de mettre la source de la déclaration sur twitter de la déclaration du ministre des affaires étrangères iraniens souhaitant un joyeux Roch Hachana au peuple juif. Depuis, j'ai oublié où je l'avais trouvé.
Ceci fait, nous allons passer à deux conseils pour protéger vos légumes et consommer des fruits et légumes qui ne stockent pas les pesticides trouvés sur Nature to share.
Commençons par une excuse, mes chers cinq lecteurs, j'ai oublié hier de mettre la source de la déclaration sur twitter de la déclaration du ministre des affaires étrangères iraniens souhaitant un joyeux Roch Hachana au peuple juif. Depuis, j'ai oublié où je l'avais trouvé.
Ceci fait, nous allons passer à deux conseils pour protéger vos légumes et consommer des fruits et légumes qui ne stockent pas les pesticides trouvés sur Nature to share.
La décoction d’ail est un excellent moyen de lutter contre la plupart des maladies et champignons qui touchent les plantes, arbres fruitiers et légumes du potager.
Vous l’utiliserez tout au long de l’année mais surtout au printemps lors de l’arrivée de la majorité des maladies.
Technique pour 5 litres de décoction d’ail :
Hachez 10 à 15 gousses d’ail,
Versez ce hachis dans 5 litres d’eau bouillantes.
Laissez infuser environ 10 à 12 heures
Pulvérisez directement sur le feuillage et arrosez le pied de la plante et des légumes.
Versez ce hachis dans 5 litres d’eau bouillantes.
Laissez infuser environ 10 à 12 heures
Pulvérisez directement sur le feuillage et arrosez le pied de la plante et des légumes.
Renouvelez l’opération 2 à 3 fois à 3 jours intervalle
Cette décoction s’utiliser beaucoup au potager et sur les arbres fruitiers mais l’ensemble de vos plantes peut être concernée.
La décoction d’ail agît principalement sur :
Le mildiou
La rouille
La moniliose ou pourriture des fruits
Le cloque du pêcher
Les pucerons
La cloque de la vigne
Le mildiou
La rouille
La moniliose ou pourriture des fruits
Le cloque du pêcher
Les pucerons
La cloque de la vigne
Cette préparation ne se conserve pas donc si il vous en reste, n’hésitez pas à l’utiliser pour le reste de vos plantation car cela ne pourra que leur faire du bien."
Et, celui sur les fruits et légumes :
Nombreuses sont les raisons d’acheter des fruits et légumes biologiques certifiés : non traités aux pesticides, pas de recours aux graines de combustibles fossiles ou d’engrais à base d’eaux usées ou génétiquement modifiées.
Cependant, le bio coute encore cher. Manger sainement devient alors un privilège de riches.
Afin de pouvoir acheter en toute tranquillité pour votre santé des fruits et légumes issus de l’agriculture traditionnelle, voici une liste des plus “propres” établie par l’U.S. Department of Agriculture (Département de l’Agriculture des États-Unis), où les aliments contiennent une faible concentration de pesticides :
Qui aurait pu imaginer que ceux-ci sont les aliments plus ‘sûrs’ et les moins ‘infestés’ par les pesticides?"
Par contre, une liste toujours sur Nature to share des fruits et légumes qui contiennent le plus de pesticides :
Les pesticides sont utilisés en quantités considérable depuis plus d’un demi siècle par l’agriculture intensive. Ainsi, on retrouve desrésidus de pesticides partout et notamment dans nos aliments : la moitié des fruits et légumesproduits par l’agriculture intensive en contiennent. Mais certains les absorbent plus que d’autres.
L’agence américaine « Animal and Plant Health Inspection Service », après avoir analysé les fruits et légumes les plus communs, a identifié ceux qui ont la plus forte teneur en pesticides et en engrais chimiques.
Voici donc la « blacklist » des produits les plus exposés aux substances chimiques quand ils sont cultivés de manière industrielle :
Il y a ensuite des produits, qui, bien que ne faisant pas partie de cette liste, contiennent un grand nombre de pesticides : la viande de bœuf, les cuisses de poulet, la graisse de porc, le lait, le café (celui cultivé dans les pays qui autorisent l’utilisation de pesticides), le vin (pour la présence d’insecticides dans lesraisins, sans surprise, augmente sur le marché la présence de “vin biologique”), le chocolat (comme pour le café si cultivé dans les pays sans législation spécifique).
La première précaution est donc de bien laver les fruits et légumes. Mais attention, cela ne suffit pas à faire disparaître toutes les traces de produits chimiques. Idéalement, il faudrait les éplucher mais on perdrait alors les anti-oxydants et les vitamines contenus dans la peau. Pour plus d’efficacité, vous pouvez ajouter du bicarbonate de soude à votre eau de rinçage et nettoyer la peau avec une brosse à légumes écolo.
Le mieux reste encore de privilégier leur équivalent bio !"
Bon, à se demander ce qu'il nous reste à manger. C'est bien la raison pour laquelle, je suis parti à la campagne pour planter mon potager avec des graines traditionnelles et avoir avec mes quatre poules des oeufs bio qui font plaisir à mes potes.
Et, oui, parce que, ma compagne pensait pouvoir vendre des paniers bio, mais, l'Europe a sorti un texte interdisant la vente sur les marchés de légumes issus de graines traditionnelles.
Evidemment, le gouvernement français n'a même pas demandé un moratoire et à mon avis, il ira jusqu'à nous interdire de plante chez soi des graines traditionnelles.
Naturellement, j'appelle à la RESISTANCE sous toutes ces formes "pacifiques".
Parce qu'entre-nous les semences génétiquement modifié, de part les multi"résistances" qu'elles produisent chez les prédateurs pourraient nous amener, un jour proche, à des situations de famine dans le monde.
Un papillon super-résistant inquiète les producteurs d'OGM
Le Monde.fr | • Mis à jour le |Par Gilles van Kote
Un nouveau mode de résistance aux organismes génétiquement modifiés (OGM) a été mis en évidence par une étude franco-sud-africaine, publiée mercredi 4 septembre par la revue PLOS One (Public Library of Science Open Access Journal). Cette découverte pourrait conduire à réviser les stratégies actuellement appliquées par les agriculteurs pour lutter contre l'émergence de résistances.
Les chercheurs de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et leurs collègues sud-africains se sont penchés sur Busseola fusca, un papillon de nuit qui n'a mis que quelques années à développer une résistance à un maïs de type Bt cultivé depuis 1998 en Afrique australe. Ce type de plante transgénique sécrète ses propres toxines insecticides Bacillus thuringiensis (Bt), censées venir à bout des ravageurs.
Un certain nombre de cas de résistances apparues chez ces insectes ont déjà été répertoriés. Mais leur développement était relativement lent en raison du caractère récessif de la résistance, celle-ci ne se transmettait à un individu que si ses deux parents étaient eux-mêmes résistants. Or, chez le papillon de nuit sud-africain, les expériences menées en laboratoire ont mis en évidence le caractère dominant de la résistance. Il suffit qu'un seul des deux parents le possède pour qu'il soit transmis à la génération suivante. La résistance se diffuse donc beaucoup plus vite, et pour y répondre, les agriculteurs concernés doivent setourner vers ces mêmes insecticides que le maïs transgénique était censé leur éviter d'utiliser.
Face à ce type de résistance, la stratégie consistant à maintenir à proximité des champs d'OGM des "zones refuges" plantées de variétés conventionnelles, afin de favoriser le maintien d'une population d'insectes non résistants, risque de se révéler vite insuffisante. "Cette étude est importante parce qu'elle explique pourquoi ce ravageur a rapidement développé la résistance au maïs Bt et qu'elle suggère qu'une très forte abondance de refuges sera nécessaire pour ralentirl'évolution de la résistance", affirme l'entomologue Yves Carrière (université de l'Arizona).
MULTITHÉRAPIE
Les auteurs de l'étude estiment cependant que la proportion de zones refuges nécessaires pour lutter contre ce type de résistance pourrait devenir tellement importante qu'elle rendrait caduque cette stratégie. Ils suggèrent d'autres pistes comme le recours à des champignons ou parasites pathogènes afin de maintenirsous contrôle la population de ravageurs.
Pour arriver à ses conclusions, l'équipe dirigée par Pascal Campagne, un spécialiste de la génétique des populations, a croisé des papillons résistants avec des papillons sensibles à la toxine insecticide et a trouvé un taux de survie élevé. Les chiffres ne convainquent cependant pas tout à fait Denis Bourguet, de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), qui s'interroge sur les résultats que donnerait une expérimentation menée en plein champ.
Si le caractère dominant du gène de résistance était confirmé, ce généticien des populations privilégierait une réponse qu'il compare à une multithérapie : le développement de variétés d'OGM combinant plusieurs toxines insecticides."L'avantage de cette solution, c'est que la probabilité qu'un individu résistant à une toxine le soit également à une autre est faible", affirme-t-il, estimant que plusieurs décennies seraient alors nécessaires avant qu'apparaisse une population significative de ravageurs résistants à l'ensemble des toxines. Une piste que lesentreprises de semences transgéniques ont déjà commencé à explorer."
Et, pour finir, toujours la Syrie, les States se préparent :
Les Etats-Unis évacuent ses diplomates au Liban
( Xinhua )
07.09.2013 à 14h31
Le gouvernement américain a décidé vendredi d'évacuer le personnel non essentiel de son ambassade au Liban en raison d'éventuelles menaces contre les missions diplomatiques américaines, selon un avertissement de voyage émis par le département d'Etat américain.
"Nous prenons ces mesures par excès de prudence pour protéger nos employés et leurs familles, et les employés locaux et les visiteurs se trouvant dans nos installations. Nous allons continuer à évaluer la situation et à adapter notre posture de sécurité en conséquence", a déclaré le département d'Etat.
Il a également conseillé aux Américains au Liban et en Turquie du sud d'éviter de voyager au Liban et a également mis en garde ceux qui voyagent vers ou qui vivent en Turquie.
"Les citoyens américains restant au Liban ou dans le sud-est de la Turquie, en dépit de l'avertissement de voyager, devraient limiter les voyages non essentiels dans le pays, être conscients de leur environnement que ce soit dans leurs résidences ou en se déplaçant, faire leurs propres plans d'urgence", a déclaré le département.
L'administration Obama cherche l'approbation du Congrès pour mener une frappe militaire contre la Syrie, voisine du Liban et de la Turquie.
Le mois dernier, les Etats-Unis avaient fermé 19 ambassades et consulats en Afrique et au Moyen-Orient pour plus d'une semaine en raison d'une menace terroriste.
"Nous prenons ces mesures par excès de prudence pour protéger nos employés et leurs familles, et les employés locaux et les visiteurs se trouvant dans nos installations. Nous allons continuer à évaluer la situation et à adapter notre posture de sécurité en conséquence", a déclaré le département d'Etat.
Il a également conseillé aux Américains au Liban et en Turquie du sud d'éviter de voyager au Liban et a également mis en garde ceux qui voyagent vers ou qui vivent en Turquie.
"Les citoyens américains restant au Liban ou dans le sud-est de la Turquie, en dépit de l'avertissement de voyager, devraient limiter les voyages non essentiels dans le pays, être conscients de leur environnement que ce soit dans leurs résidences ou en se déplaçant, faire leurs propres plans d'urgence", a déclaré le département.
L'administration Obama cherche l'approbation du Congrès pour mener une frappe militaire contre la Syrie, voisine du Liban et de la Turquie.
Le mois dernier, les Etats-Unis avaient fermé 19 ambassades et consulats en Afrique et au Moyen-Orient pour plus d'une semaine en raison d'une menace terroriste.
A bientôt.
René.
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