samedi 7 septembre 2013

Salut, aux citoyens américains, il est temps de vous réveiller avant qu'ils nous mettent tous sous le joug de régimes autoritaires.

Commençons par une excuse, mes chers cinq lecteurs, j'ai oublié hier de mettre la source de la déclaration sur twitter de la déclaration du ministre des affaires étrangères iraniens souhaitant un joyeux Roch Hachana au peuple juif. Depuis, j'ai oublié où je l'avais trouvé.
Ceci fait, nous allons passer à deux conseils pour protéger vos légumes et consommer des fruits et légumes qui ne stockent pas les pesticides trouvés sur Nature to share.

POTAGER: Décoction d'ail, technique et recette


POTAGER: Décoction d'ail, technique et recette | Nature to Share | Scoop.it
La décoction d’ail est un excellent moyen de lutter contre la plupart des maladies et champignons qui touchent les plantes, arbres fruitiers et légumes du potager.
Vous l’utiliserez tout au long de l’année mais surtout au printemps lors de l’arrivée de la majorité des maladies.
Technique pour 5 litres de décoction d’ail :
Hachez 10 à 15 gousses d’ail,
Versez ce hachis dans 5 litres d’eau bouillantes.
Laissez infuser environ 10 à 12 heures
Pulvérisez directement sur le feuillage et arrosez le pied de la plante et des légumes.
Renouvelez l’opération 2 à 3 fois à 3 jours intervalle
Cette décoction s’utiliser beaucoup au potager et sur les arbres fruitiers mais l’ensemble de vos plantes peut être concernée.
La décoction d’ail agît principalement sur :
Le mildiou
La rouille
La moniliose ou pourriture des fruits
Le cloque du pêcher
Les pucerons
La cloque de la vigne
Cette préparation ne se conserve pas donc si il vous en reste, n’hésitez pas à l’utiliser pour le reste de vos plantation car cela ne pourra que leur faire du bien."
Et, celui sur les fruits et légumes :

Pesticides : les 14 fruits et légumes qui en contiennent le moins !


Pesticides : les 14 fruits et légumes qui en contiennent le moins ! | Nature to Share | Scoop.it
Nombreuses sont les raisons d’acheter des fruits et légumes biologiques certifiés : non traités aux pesticides, pas de recours aux graines de combustibles fossiles ou d’engrais à base d’eaux usées ou génétiquement modifiées.
Cependant, le bio coute encore cher. Manger sainement devient alors un privilège de riches.
Afin de pouvoir acheter en toute tranquillité pour votre santé des fruits et légumes issus de l’agriculture traditionnelle, voici une liste des plus “propres” établie par l’U.S. Department of Agriculture (Département de l’Agriculture des États-Unis), où les aliments contiennent une faible concentration de pesticides :
  1. L’avocat, a une peau épaisse qui protège le fruit de l’accumulation des pesticides.
     
  2. le maïs doux, tout en exigeant beaucoup d’engrais pour pousser, n’accumule pas les pesticides.
     
  3. l’ananas, il faut enlever sa peau qui agit comme barrière naturelle contre les substances toxiques éventuelles.
     
  4. la mangue, est également protegée par la présence de pesticides potentiels grâce à sa peau dure.
     
  5. Les asperges poussent sans grande dépense de substances chimiques.
     
  6. Les pois doux, ont tendance à retenir très peu de pesticides.
     
  7. les kiwis, ses poils caractéristiques présents sur sa peau empêchent que les substances extérieures nocives n’entrent à l’intérieur du fruit.
     
  8. le chou, est un super-aliment qui n’a pas besoin de grande pulvérisation pour croître.
     
  9. l’aubergine, est un légume peu contaminé aussi grâce à sa peau épaisse.
     
  10. la papaye, est également protegée par sa peau extérieure, pour cela, il est donc recommandé de le rinçer avant de le manger.
     
  11. la pastèque, la peau qui l’enveloppe est une barrière naturelle importante contre l’accès des agents extérieurs.
     
  12. les brocolis ne nécessitent pas une grande utilisation de pesticides.
     
  13. les tomates, même si incluses dans la ‘sale douzaine’ du 2008, semblent désormais être considérées comme les plus propres, sans savoir quelles modifications ont été faites…
     
  14. la pomme de terre douce, est un aliment riche en vitamine A et en bêta-carotène, et peu contaminé par les pesticides.
     
Qui aurait pu imaginer que ceux-ci sont les aliments plus ‘sûrs’ et les moins ‘infestés’ par les pesticides?"
Par contre, une liste toujours sur Nature to share des fruits et légumes qui contiennent le plus de pesticides :

Pesticides : les 12 fruits et légumes qui en contiennent le plus !


Pesticides : les 12 fruits et légumes qui en contiennent le plus ! | Nature to Share | Scoop.it
Les pesticides sont utilisés en quantités considérable depuis plus d’un demi siècle par l’agriculture intensive. Ainsi, on retrouve desrésidus de pesticides partout et notamment dans nos aliments : la moitié des fruits et légumesproduits par l’agriculture intensive en contiennent. Mais certains les absorbent plus que d’autres.
L’agence américaine « Animal and Plant Health Inspection Service », après avoir analysé les fruits et légumes les plus communs, a identifié ceux qui ont la plus forte teneur en pesticides et en engrais chimiques.
Voici donc la « blacklist » des produits les plus exposés aux substances chimiques quand ils sont cultivés de manière industrielle :
  • La pomme : plus de 40 pesticides différents ont été détectés sur les pommes, car ce fruit est sujet aux champignons et aux insectes; les pesticides sont également présents dans le jus de pomme et la compote de pomme. Les pesticides étant déposés presque complètement sur la peau, cela oblige le consommateur à l’enlever. Mais ce faisant, on élimine aussi la partie la plus nutritive. Si vous ne trouvez pas de pommes “biologiques”, nous vous conseillons les pastèques, les bananes et/ou les mandarines.
     
  • Le céleri : il s’agit d’un cas particulier car il n’est pas présent dans les trois grandes catégories: les arbres fruitiers, les petits fruits et les légumes verts. Néanmoins, le Test USDA a trouvé plus de 60 pesticidesdifférents dans ce légume. Comme pour les pommes, nous vous indiquons ces alternatifs: les brocolis, les radis et les oignons.
     
  • La fraise : comme sur le céleri, il y a plus de 60 pesticides différents, mais un peu moins sur celles congelées. Les fruits alternatifs « biologiques » peuvent être les kiwis et les ananas.
     
  • La pêche : il faut les différencier, dans les“fraîches” on a trouvé plus de 60 pesticides; presque la même quantité que dans celles des conditionnements en monodose, par contre, beaucoup moins sur les pêches en conserve. Des fruits alternatifs plus “sûrs” sont la pastèque, les mandarines, les oranges et les pamplemousses.
     
  • Les épinards : détestés par les enfants, les épinards sont en tête de la catégorie “ feuilles vertes”, avec presque 50 pesticides différents. Beaucoup moins, cependant, pour ceux en “boîte”.
     
  • Les abricots : sur les abricots ont été trouvés 33 pesticides. Si vous ne trouvez pas ceux biologiques, vous pouvez choisir les ananas, la papaye ou la mangue.
     
  • Le raisin. Le raisin importé peut avoir plus de 30 pesticides. Le raisin, contient également un nombre plus élevé de pesticides.
     
  • Le Poivron. Les poivrons doux, dans toute leur variété de couleurs, contiennent presque 50 pesticidesdifférents.
     
  • La pomme de terre. La pomme de terre contient plus de 35 pesticides. Les pommes de terre douces offrent une alternative délicieuse avec moins de résidus de pesticides.
     
  • La Myrtille : sur les myrtilles ont été trouvés 50 pesticides : celles congelées sont moins contaminées. Malheureusement, les fruits alternatifs et nutritifs à la place des myrtilles sont les cerises, qui bien que ne faisant pas partie de la liste, sont aussi souvent contaminées. Si utilisées pour le petit déjeuner, une alternative est la banane.
     
  • La laitue : plus de 50 pesticides ont été trouvés sur la laitue. A la place de la laitue biologique, vous pouvez choisir les asperges.
     
  • Le chou : même si le chou est connu comme plante plus résistante aux parasites et aux maladies, dans les dernières années, ont été trouvées des quantités élevées de résidus de pesticides. A sa place, vous pouvez choisir les asperges et les brocolis. Le pissenlit est aussi une alternative nourrissante.
     
Il y a ensuite des produits, qui, bien que ne faisant pas partie de cette liste, contiennent un grand nombre de pesticides : la viande de bœuf, les cuisses de poulet, la graisse de porc, le lait, le café (celui cultivé dans les pays qui autorisent l’utilisation de pesticides),  le vin (pour la présence d’insecticides dans lesraisins, sans surprise, augmente sur le marché la présence de “vin biologique”), le chocolat (comme pour le café si cultivé dans les pays sans législation spécifique).
La première précaution est donc de bien laver les fruits et légumes. Mais attention, cela ne suffit pas à faire disparaître toutes les traces de produits chimiques. Idéalement, il faudrait les éplucher mais on perdrait alors les anti-oxydants et les vitamines contenus dans la peau. Pour plus d’efficacité, vous pouvez ajouter du bicarbonate de soude à votre eau de rinçage et nettoyer la peau avec une brosse à légumes écolo.
Le mieux reste encore de privilégier leur équivalent bio !"
Bon, à se demander ce qu'il nous reste à manger. C'est bien la raison pour laquelle, je suis parti à la campagne pour planter mon potager avec des graines traditionnelles et avoir avec mes quatre poules des oeufs bio qui font plaisir à mes potes.
Et, oui, parce que, ma compagne pensait pouvoir vendre des paniers bio, mais, l'Europe a sorti un texte interdisant la vente sur les marchés de légumes issus de graines traditionnelles. 
Evidemment, le gouvernement français n'a même pas demandé un moratoire et à mon avis, il ira jusqu'à nous interdire de plante chez soi des graines traditionnelles.
Naturellement, j'appelle à la RESISTANCE sous toutes ces formes "pacifiques".
Parce qu'entre-nous les semences génétiquement modifié, de part les multi"résistances" qu'elles produisent chez les prédateurs pourraient nous amener, un jour proche, à des situations de famine dans le monde.


Un papillon super-résistant inquiète les producteurs d'OGM

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Vue d'une parcelle de maïs transgénique.

Un nouveau mode de résistance aux organismes génétiquement modifiés (OGM) a été mis en évidence par une étude franco-sud-africaine, publiée mercredi 4 septembre par la revue PLOS One (Public Library of Science Open Access Journal). Cette découverte pourrait conduire à réviser les stratégies actuellement appliquées par les agriculteurs pour lutter contre l'émergence de résistances.

Les chercheurs de l'Institut de recherche pour le développement (IRD) et leurs collègues sud-africains se sont penchés sur Busseola fusca, un papillon de nuit qui n'a mis que quelques années à développer une résistance à un maïs de type Bt cultivé depuis 1998 en Afrique australe. Ce type de plante transgénique sécrète ses propres toxines insecticides Bacillus thuringiensis (Bt), censées venir à bout des ravageurs.
Un certain nombre de cas de résistances apparues chez ces insectes ont déjà été répertoriés. Mais leur développement était relativement lent en raison du caractère récessif de la résistance, celle-ci ne se transmettait à un individu que si ses deux parents étaient eux-mêmes résistants. Or, chez le papillon de nuit sud-africain, les expériences menées en laboratoire ont mis en évidence le caractère dominant de la résistance. Il suffit qu'un seul des deux parents le possède pour qu'il soit transmis à la génération suivante. La résistance se diffuse donc beaucoup plus vite, et pour y répondre, les agriculteurs concernés doivent setourner vers ces mêmes insecticides que le maïs transgénique était censé leur éviter d'utiliser.
Face à ce type de résistance, la stratégie consistant à maintenir à proximité des champs d'OGM des "zones refuges" plantées de variétés conventionnelles, afin de favoriser le maintien d'une population d'insectes non résistants, risque de se révéler vite insuffisante. "Cette étude est importante parce qu'elle explique pourquoi ce ravageur a rapidement développé la résistance au maïs Bt et qu'elle suggère qu'une très forte abondance de refuges sera nécessaire pour ralentirl'évolution de la résistance", affirme l'entomologue Yves Carrière (université de l'Arizona).
MULTITHÉRAPIE
Les auteurs de l'étude estiment cependant que la proportion de zones refuges nécessaires pour lutter contre ce type de résistance pourrait devenir tellement importante qu'elle rendrait caduque cette stratégie. Ils suggèrent d'autres pistes comme le recours à des champignons ou parasites pathogènes afin de maintenirsous contrôle la population de ravageurs.
Pour arriver à ses conclusions, l'équipe dirigée par Pascal Campagne, un spécialiste de la génétique des populations, a croisé des papillons résistants avec des papillons sensibles à la toxine insecticide et a trouvé un taux de survie élevé. Les chiffres ne convainquent cependant pas tout à fait Denis Bourguet, de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), qui s'interroge sur les résultats que donnerait une expérimentation menée en plein champ. 
Si le caractère dominant du gène de résistance était confirmé, ce généticien des populations privilégierait une réponse qu'il compare à une multithérapie : le développement de variétés d'OGM combinant plusieurs toxines insecticides."L'avantage de cette solution, c'est que la probabilité qu'un individu résistant à une toxine le soit également à une autre est faible", affirme-t-il, estimant que plusieurs décennies seraient alors nécessaires avant qu'apparaisse une population significative de ravageurs résistants à l'ensemble des toxines. Une piste que lesentreprises de semences transgéniques ont déjà commencé à explorer."

Et, pour finir, toujours la Syrie, les States se préparent :

Les Etats-Unis évacuent ses diplomates au Liban

( Xinhua )

07.09.2013 à 14h31

Le gouvernement américain a décidé vendredi d'évacuer le personnel non essentiel de son ambassade au Liban en raison d'éventuelles menaces contre les missions diplomatiques américaines, selon un avertissement de voyage émis par le département d'Etat américain.

"Nous prenons ces mesures par excès de prudence pour protéger nos employés et leurs familles, et les employés locaux et les visiteurs se trouvant dans nos installations. Nous allons continuer à évaluer la situation et à adapter notre posture de sécurité en conséquence", a déclaré le département d'Etat.

Il a également conseillé aux Américains au Liban et en Turquie du sud d'éviter de voyager au Liban et a également mis en garde ceux qui voyagent vers ou qui vivent en Turquie.

"Les citoyens américains restant au Liban ou dans le sud-est de la Turquie, en dépit de l'avertissement de voyager, devraient limiter les voyages non essentiels dans le pays, être conscients de leur environnement que ce soit dans leurs résidences ou en se déplaçant, faire leurs propres plans d'urgence", a déclaré le département.

L'administration Obama cherche l'approbation du Congrès pour mener une frappe militaire contre la Syrie, voisine du Liban et de la Turquie.

Le mois dernier, les Etats-Unis avaient fermé 19 ambassades et consulats en Afrique et au Moyen-Orient pour plus d'une semaine en raison d'une menace terroriste.

A bientôt.
René.

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